samedi 31 mars 2012

Il se tue en chutant de son toit

Un dramatique accident domestique s'est déroulé hier à 13 heures sur la commune de Calamane.
Un homme âgé de 62 ans était monté sur le toit de sa maison pour passer un produit destiné à enlever la mousse.
Le malheureux a chuté et est mort sur le coup. Arrivés sur les lieux les secours n'ont pu que constater son décès. Georges Teyssèdre, la victime, était très apprécié dans la commune.
« Avec sa femme il formait un couple uni et très discret. Lorsqu'il y avait des manifestations il y participait. C'est un terrible accident », confie très ému le maire de la commune, Jean-Paul Dujol.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/31/1319922-calamane-il-se-tue-en-chutant-de-son-toit.html

Des enfants de diplomates scolarisés dans l’Ain faisaient du trafic de cigarettes

Des enfants de diplomates, élèves au lycée international de Ferney-Voltaire revendent à prix d’amis des cigarettes achetées en Suisse dans des magasins de détaxe réservés aux diplomates, selon le journal 20 minutes.
Ces types de magasins existent à Genève depuis 1995 et ont pour but de faciliter l’acquisition de produits détaxés aux diplomates. La seule obligation requise est que ces achats doivent profiter uniquement à l’acheteur. Par conséquent, il est interdit en principe de les revendre ou de les donner. Selon Jean-Philippe Brandt, porte-parole de la police genevoise, en l’absence de délit, les autorités suisses ne peuvent rien faire. Alerté par la situation, François Meylan, maire de Ferney, envisage de saisir les autorités genevoises et les organisations internationales.

http://www.leprogres.fr/ain/2012/03/31/des-enfants-de-diplomates-scolarises-dans-l-ain-faisaient-du-trafic-de-cigarettes

Trois Roumains arrêtés pendant qu'ils désossent une chaudière

Les trois ressortissants roumains ont été pris la main dans le sac. Ou du moins, la pince dans la chaudière. Mercredi après-midi, le trio a été arrêté par les gendarmes, peu de temps après un vol dans une entreprise du Soissonnais. Les filous s'affairaient à démonter le produit qu'ils venaient de dérober afin de récupérer des métaux.
Ces « désosseurs » ont sévi entre 14 heures et 14 h 30. Ils se sont introduits dans une entreprise installée à Missy-aux-Bois, entre Soissons et Villers- Cotterêts. Durant leur larcin, les malfaiteurs ont été surpris par des employés de l'entreprise. Les salariés ont tenté de les retenir, en vain. Les voleurs ont emporté une chaudière et ont pris la fuite à bord d'une Volkswagen Golf de couleur rouge.
Les faits ont été très rapidement signalés aux forces de l'ordre, qui ont établi un dispositif de recherche. Dans la demi-heure qui a suivi, les gendarmes de la compagnie de Soissons ont pu retrouver le fameux trio. Les hommes étaient cachés au bout d'un chemin de terre, en train de démonter l'appareil fraîchement dérobé.
Les trois Roumains, âgés de 19 à 23 ans et domiciliés en Seine-Saint-Denis (93), ont été immédiatement interpellés, puis conduits dans les locaux de la gendarmerie pour être placés en garde à vue. Ils seront convoqués en juillet devant la justice. Jusqu'à cette date, leur véhicule est saisi. En outre, les trois hommes font l'objet d'une obligation de quitter le territoire français. Après leur garde à vue, ils ont donc été conduits au centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne) dans l'attente d'une reconduite à la frontière.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/trois-roumains-arretes-pendant-quils-desossent-une-chaudiere

vendredi 30 mars 2012

Volé, il jette un cocktail Molotov sur une façade

Titulaire d'un BEP en hôtellerie-restauration, un jeune Laonnois de 20 ans n'a rien de trouver de mieux que de confectionner des cocktails molotov et de les jeter sur la façade d'un immeuble. Les faits se sont produits le 20 janvier dernier.
Rapidement interpellé par les policiers, le jeune homme a expliqué qu'il avait été victime d'un vol de la part de sa copine. Énervé contre elle, il s'est rendu devant l'immeuble où elle avait l'habitude d'aller et a décidé de se venger.
Lors de sa garde à vue, les policiers lui ont dit qu'il ferait mieux de déposer plainte contre elle plutôt que de faire justice lui-même. C'est ce qu'il a d'ailleurs fait depuis et cela a porté ses fruits puisque la jeune femme a été poursuivie et condamnée.
À la barre, le prévenu a eu pour seule explication de son attitude, l'alcool qu'il avait consommé ce jour-là et la colère qui l'animait. Embauché depuis deux mois comme cuisinier, le jeune homme était jusqu'à ce jour inconnu des services de police.
En lui conseillant de mûrir et ne plus faire de bêtise, le tribunal a fait preuve de clémence en le condamnant hier après-midi à une peine de 100 jours amende à 2 euros.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/vole-il-jette-un-cocktail-molotov-sur-une-facade

Deux personnes mordues par un chien croisé labrador

Il était aux environs de 8 heures, jeudi, lorsque les sapeurs-pompiers de Tombeboeuf et de Monclar, ainsi que les gendarmes, ont été appelés à intervenir à Montastruc. Un chien croisé labrador venait de mordre deux personnes : Isabelle Martin, secrétaire de mairie à Montastruc, qui a été mordue à une main, et Didier Chavignon, le propriétaire du chien, mordu au niveau d'un bras. D'après les premiers témoignages sur les lieux, Isabelle Martin promenait son petit chien lorsqu'ils ont croisé la route du chien appartenant à Didier Chavignon. L'animal s'en est alors pris au petit chien et c'est en essayant de les séparer que la secrétaire de mairie se serait fait mordre. Le labrador croisé s'en est ensuite pris à son maître. « Ce n'est pas la première fois que je demande au propriétaire de ce chien de l'enfermer. Dans les petites communes, les problèmes que l'on a ce sont des problèmes de chiens… Je vais veiller à ce que des dispositions soient prises afin que ce chien soit enfermé sinon il faut qu'il aille à la fourrière », indique le maire de Montastruc, Clément Gleize, soulignant que des promeneurs sont régulièrement importunés par des chiens errants.
Des chiens errants, il en est aussi sur la circonscription de Villeneuve-sur-Lot et plus particulièrement à Bias. Du côté du château d'Auriol, plusieurs personnes ont été victimes de morsures. Au commissariat de police de Villeneuve, ce sont environ cinq divagations d'animaux avec ou sans morsure qui ont été signalées depuis le début de l'année.
Quant au comportement à adopter face à un chien qui montre les crocs, Nicolas Galley, le président du Club d'éducation canine du Villeneuvois, conseille : « Il ne faut surtout pas prendre la fuite car dans ce cas on est pris pour du gibier, le chien se sent un peu plus fort. Face à un chien menaçant, il faut rester le plus immobile possible et ignorer la menace, rester neutre face à l'agressivité de l'animal et attendre que le propriétaire arrive. On peut aussi essayer d'avoir une voix ferme vis-à-vis de l'animal mais cela dépendra de la détermination du chien. C'est comme lorsque l'on est en face de quelqu'un qui nous agresse, est-ce qu'il va passer à l'acte ou pas? L'éducation canine règle une partie des problèmes mais pas tous. Les propriétaires doivent bien connaître leur chien. Devant un chien menaçant, bien qu'il n'y ait pas vraiment de méthode, il faut retenir qu'il ne faut pas prendre la fuite ».
http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/30/1318909-deux-personnes-mordues.html

Région parisienne : le faux trafiquant de drogue terrorisait les étudiants

Un homme de 33 ans et une femme de 26 ans ont été mis en examen, jeudi à Versailles (Yvelines), pour extorsion de fonds. L'homme a été écroué et sa compagne enceinte a été remise en liberté sous contrôle judiciaire. La leur reproche d'avoir depuis avril 2010 menacé quinze jeunes dans les Yvelines, au Vesinet, à Mantes-la-Jolie et à Plaisir avant de retirer de l'argent avec leurs cartes de .

Lundi dernier, les forces de l'ordre ont interpellé le couple dans leur appartement de Villetaneuse (Seine-Saint-Denis). Durant leur garde à vue, le couple est passé aux aveux. Le jeune homme se considère comme un escroc. Il assure qu'il ne vit que de cela. Il commet un
par jour dans toute la région parisienne excepté en Seine-Saint-Denis. Le tout pour un bénéfice de 2000 € par semaine.

«Pour lui, il n'a commis aucune violence, il estime qu'il mène sa barque avec un scénario efficace destiné à berner ses victimes en douceur ». Il aurait également beaucoup sévi dans le Val-de-Marne. En revanche, il n'a rien voulu dire sur ses complices.

Le scénario de ce jeune homme était bien huilé. Il roulait dans de grosses voitures de location, des BMX X 5 noire ou des Porsche Cayenne. Notre homme était accompagné de gaillards aux crânes rasés très impressionnants. Il repérait un étudiant propre sur lui et l'accostait. Il lui expliquait qu'il était trafiquant de drogue et qu'il avait besoin d'une carte bancaire pour téléphoner dans une cabine. Parfois, les menaces verbales étaient accompagnées d'un couteau pour être plus convaincantes. Mais aucun coup n'a jamais été porté.

Le jeune homme donnait alors sa carte et le code et l'agresseur faisait semblant de téléphoner. Ensuite le minot était contraint de monter en voiture et après un petit tour au cours duquel on le menaçait de le tuer en criant, la voiture s'arrêtait. Les malfaiteurs effectuaient un retrait au distributeur. Les sommes dérobées étaient de 150 € à 1500 €. Enfin, ils relâchaient leurs proies après leur avoir donné toutefois 10 € pour les dédommager des faux appels téléphoniques

http://www.leparisien.fr/yvelines-78/region-parisienne-le-faux-trafiquant-de-drogue-terrorisait-les-etudiants-29-03-2012-1929964.php

Les corps de plusieurs Axonais maltraités à la morgue de Lens

La dépouille de leur proche leur a été rendue en morceaux: la tête entre les jambes, les organes dans un sac. Le 4 avril, ces familles crieront leur indignation devant le palais de justice de Paris.

«IL ne s'agit pas que de corps non recousus après une autopsie. Ces deux médecins légistes et ces deux agents d'amphithéâtre qui officiaient à la morgue de Lens ont fait preuve de barbarie. Pendant 10 à 15 ans, ils ont dépecé sans vergogne des êtres humains. »
Hervé Louvrié l'homme par qui l'affaire éclate en avril 2008 pèse pourtant ses mots. Sa femme Betty s'est suicidée. « Elle a été retrouvée morte dans la salle de bain par notre fille. » Hervé, pompier sur Paris, prend alors le premier train.
Quand il arrive dans leur maison du Pas-de-Calais, le corps n'est déjà plus là. « Les policiers se demandaient s'il ne s'agissait pas d'un crime de rôdeurs déguisé en suicide. Il n'y avait pourtant aucune trace d'effraction et ma femme n'avait pas de trace de défense sur son corps. » Hervé Louvrié s'oppose à l'autopsie. « La substitut du procureur m'a dit de ne pas m'inquiéter, que ma femme me serait rendue en bon état. »
Très croyant, Hervé Louvrié veut mettre une bible dans le cercueil. « Mais on m'a rendu un cercueil scellé. » Le mari ne lâche pas, obtient de la justice que les scellés soient brisés. « C'est là que les pompes funèbres ont refusé. Ils ont dit que ma femme n'avait pas été recousue, que sa tête était posée entre ses jambes. Ses organes en vrac mis dans un sac-poubelle jeté dans le cercueil. »
Il fait coucher par écrit le témoignage du directeur des pompes funèbres, qui ajoute que l'état du corps de Betty Louvrié ne le surprend pas puisque c'est chose courante. Il porte plainte.

Vide juridique ?
La morgue de Lens est fermée en décembre 2008, après une visite inopinée des services de la DDASS. Raison officielle : « Manque criant d'hygiène. » Première victoire. Les actions s'enchaînent pour alerter pouvoirs publics et politiques. Les témoignages de familles affluent. « Le parquet de Lens classe l'affaire refusant d'entamer des poursuites, parlant de vide juridique. » Coupables sur le plan moral mais pas condamnables.
La révolte est en marche, Anita Gilliot, maman endeuillée près de Bethune rejoint Hervé Louvrié, son cas étant similaire : « Mon fils de 18 ans a été retrouvé mort. Mort suspecte, ils ont dit qu'il fallait l'autopsier… » Elle travaille aux urgences d'un hôpital, « j'avais l'habitude de recoudre les corps des personnes mortes dans un accident de la route par exemple. Je ne pouvais m'imaginer que telles pratiques existaient. »
Anita et Hervé vont aller à la rencontre des thanatopracteurs officiant à la morgue de Lens, font le tour des agents des pompes funèbres, entrent en contact avec des officiers de police judiciaire censés assister aux autopsies. Leur enquête est édifiante. « Les médecins autopsiaient à tout va pour l'appât du gain : constater une mort naturelle, c'est 40 euros, pratiquer une autopsie, c'est 150 euros. »

Les familles trouvent témoins et preuves
Il n'y avait pas de petits profits selon trois agents de salle repentis qui assurent que « les petits organes étaient systématiquement prélevés comme les cornées, que les corps de SDF étaient conservés et les membres étaient éparpillés dans d'autres cercueils. L'idée était de récupérer les cercueils payés pour les revendre ». Les trois thanatopracteurs parlent aussi de vols des objets appartenant aux défunts : bijoux, vêtements… Des inversions de corps ne sont pas à exclure vu le manque de rigueur qui régnait.
Les familles s'organisent, créent une association, prennent un avocat parisien qui décide d'assigner directement devant la justice les deux médecins et les deux agents. Les juges de Lens devraient examiner l'affaire en juin. « Selon les thanatopracteurs, dans 90 % des autopsies, c'était un carnage. Quand on parle de 800 victimes de ces barbares, on ne doit pas être loin », poursuit Hervé Louvrié.
Pourtant seulement une vingtaine de familles ont engagé des démarches judiciaires. Tous veulent l'exhumation. « Être sûr que c'est notre proche, prouver les vols, explique Anita Gilliot. Les actions en justice nous coûtent très cher et on sait que l'on ne récupérera pas d'argent. »
Dans l'Aisne, deux familles ont jeté l'éponge. Une veuve dont le mari est décédé dans un accident de la route dans le Pas-de-Calais et une maman qui a perdu sa fille. Et combien d'autres, dans le même cas, n'ont pas osé contacter Anita Gilliot ou Hervé Louvrié ?
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-corps-de-plusieurs-axonais-maltraites-a-la-morgue-de-lens

jeudi 29 mars 2012

SNCF: huit syndicats du comité d’entreprise régional devant le tribunal

La justice leur reproche des délits financiers dans la gestion du budget du comité d’entreprise entre 2005 et 2006
Un juge d’instruction de Lyon vient de décider du renvoi devant le tribunal correctionnel de huit syndicats du comité d’entreprise régional de la SNCF.
Ils devraient être jugés pour « recel d’abus de confiance » et/ou « faux en écriture », selon l’ordonnance du magistrat rendue le 23 mars dernier.
Sont concernés : la CGT, l’UNSA, Sud Rail, la CFTC, la CFDT, FO, la CGC et la FGAAC.
 

Prison pour vol et viol d'un vieil homme

La cour d'assises de l'Essonne a condamné ce soir à cinq, six et douze ans d'emprisonnement trois hommes de 19 à 43 ans, pour avoir cambriolé et violé un homme de 81 ans, en juillet 2010 à Milly-la-Forêt (Essonne). Le principal accusé, âgé de 19 ans et reconnu coupable de viol, vol avec arme et séquestration, a été condamné à douze ans de réclusion criminelle, conformément aux réquisitions.

Les deux autres accusés, Nicolae Dieaconu, condamné pour vol avec arme, et Livia Tudorache, condamné pour vol avec arme et séquestration, ont écopé de cinq et six ans d'emprisonnement. L'avocat général avait requis dix ans de réclusion criminelle à leur encontre. Les trois accusés de nationalité roumaine sont également sous le coup d'une interdiction de territoire définitive.

Le principal accusé, qui dit s'appeler Sorinel Mangau mais dont l'identité est incertaine, a reconnu avoir forcé l'octogénaire à lui pratiquer une fellation. "Il assume la peine", a indiqué son avocate Me Karine Tilly. L'avocate de la victime Me Marjorie Besse a indiqué que son client était "satisfait du verdict".

Les voleurs surpris par l'octogénaire

Dans la nuit du 3 au 4 juillet 2010, l'homme, qui se trouvait seul dans son pavillon de Milly-la-Forêt à la suite de l'hospitalisation de son épouse, surprend trois hommes, aux visages découverts, en train de fouiller sa chambre. Le plus jeune des cambrioleurs le menace alors avec un couteau, tandis que les deux autres s'emparent des objets de valeur, puis se rendent dans la cuisine pour boire et manger. Le vieil homme se retrouve seul avec son agresseur, qui baisse son pantalon et l'oblige à lui faire une fellation. Puis les trois hommes attachent les mains et les pieds de leur victime, la bâillonnent, et l'un d'eux lui donne une forte gifle.

Les malfaiteurs quitteront ensuite la maison avec du matériel hi-fi, de l'outillage, de la nourriture, 300 euros, une voiture, des chéquiers, mais aussi de l'alcool et de la nourriture, "une véritable épicerie" selon le président, "un inventaire à la Prévert" dira la victime, qui réussira rapidement à se défaire de ses liens.

"Il espère qu'ils en sortiront meilleurs"

Sorinel Mangau a expliqué à la cour qu'il était sous l'effet de l'alcool et de drogues, qu'il n'était pas tout à fait conscient, mais aussi que sa victime lui tenait tête.
"Je sais que c'est impardonnable", dira-t-il à la cour avant que les jurés ne partent délibérer, en début d'après-midi.

Son avocate, après avoir salué chez le vieil homme une "foi dans l'humanité qui est admirable", racontera "l'engrenage de violence, l'engrenage de folie", qui va mener ce jeune homme, venu cambrioler une maison, à violer un octogénaire. Souriant, celui-ci, dans son costume gris, s'était interrogé lundi à la barre: "Qu'est-ce qu'ils ont pu vivre pour commettre de tels actes?" "Il veut simplement que justice soit faite. Il n'a pas de haine. Il espère même qu'ils en sortiront meilleurs", avait confié à l'AFP son avocate avant le verdict.

Les trois agresseurs présumés ont rapidement été interpellés. Les deux premiers ont été retrouvés par comparaison de l'ADN, le dernier par des recoupements avec une affaire de proxénétisme dans laquelle il était impliqué. Deux des trois accusés avaient déjà été condamnés auparavant pour des faits de vol.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/03/28/97001-20120328FILWWW00682-prison-pour-vol-et-viol-d-un-vieil-homme.php

Le corps d'un homme repêché dans la rivière

Le corps d'un homme flottant au bord de l'eau, coincé dans des branchages. Hier après-midi, un marinier d'origine étrangère a fait cette désagréable découverte sur l'Aisne, entre Soissons et Vic-sur-Aisne. Immédiatement, le batelier a signalé les faits aux services de gendarmerie.
La dépouille était encore immergée lorsque les forces de l'ordre sont arrivées sur les lieux, en début d'après-midi. Les brigades de recherche de Soissons et de Vic-sur-Aisne ont trouvé le corps à proximité de l'écluse de Fontenoy. Un service spécialisé a été aussitôt alerté. Les plongeurs de l'équipe technique d'intervention sous-marine de Noyon, ainsi que le technicien en identification criminelle (TIC) de Laon se sont rendus sur place.

Un corps peut-être déjà aperçu
L'équipe sous-marine a extrait la dépouille de l'eau, avant de procéder à diverses constatations concernant l'environnement aquatique où elle se trouvait. Le TIC laonnois a ensuite pris le relais une fois le corps sur la terre ferme. Un médecin légiste, présent sur place n'a pas relevé de traces suspectes sur le cadavre, qui avait manifestement séjourné longtemps dans l'eau, au moins plusieurs jours.
S'agirait-il du corps aperçu par des promeneurs à Soissons le jeudi 15 mars dernier ? L'hypothèse n'est pas farfelue. Pour rappel, des passants avaient repéré un corps en se promenant sur les berges de l'Aisne. Malgré d'intenses recherches, les plongeurs des sapeurs-pompiers du centre de Soissons n'avaient pu le retrouver.
Pour le moment, la piste criminelle est très peu probable. Suicide ou accident ? Afin de déterminer avec précisions les causes de la mort, une autopsie va être pratiquée dans les jours à venir au centre hospitalier de Saint-Quentin. Parallèlement, les gendarmes de Soissons sont en train d'identifier le corps. Plusieurs auditions devraient être menées dans cette optique.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/le-corps-dun-homme-repeche-dans-la-riviere

mercredi 28 mars 2012

Pour braquer, il se déguise en policier

Un homme vêtu d'un blouson de la police municipale a été interpellé aujourd'hui à Lyon après le braquage en plein jour d'une bijouterie située dans le centre-ville, tandis que son complice était recherché, a-t-on appris de source policière.

Deux individus ont sonné aux alentours de 11 heures à la porte de cette bijouterie dotée de caméras et d'une porte sécurisée rue Paul-Chenavard, une artère commerçante du 1er arrondissement, avant de s'y introduire en demandant aux employés de baisser le rideau.

Pas de blessés

Après l'alerte donnée par les commerçants du quartier, qui se sont inquiétés de ce procédé, des policiers arrivés sur place ont pu interpeller un des deux braqueurs, a expliqué cette source policière. Son complice est toujours recherché. "Sur la personne interpellée par la BAC dans une rue adjacente, nous avons retrouvé des éléments, dont le blouson, qui proviennent de la police", a-t-elle précisé.

Quatre personnes se trouvaient à l'intérieur de la bijouterie au moment des faits, trois responsables et une cliente. "Elles ont été braquées mais ne sont pas blessées et aucun coup de feu n'a été tiré", a ajouté la source policière. "Notre enquête débute et nous ne connaissons pas encore le montant du butin", a poursuivi cette source, précisant que des bijoux ont été retrouvés sur la personne interpellée, "porteuse d'un sac".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/03/28/97001-20120328FILWWW00493-pour-braquer-il-se-deguise-en-policier.php

Cadavre retrouvé au barrage de Labastide-Saint-Pierre. Vers la piste d'une noyade accidentelle

C'est donc aujourd'hui, un peu plus de quarante-huit heures après la découverte du cadavre, que l'on procédera à l'autopsie du corps de Dominique Pédemons. Cet examen se déroulera à la demande du parquet de Tarn-et-Garonne à l'institut médico-légal de Toulouse- Rangueil. Institut, qui depuis le début de l'année 2 011 est devenu le seul centre de toute la région à pratiquer ces autopsies. Ce qui explique parfois des délais plus longs que quand ces expertises se réalisaient dans chaque chef-lieu, avant que l'on ne décide de leur fermeture pour des raisons d'économie budgétaire... Les gendarmes attendent bien évidemment les résultats de cette autopsie pour poursuivre leur enquête et surtout la conclure.

Voiture embourbée ?

D'après certaines personnes proches de la conduite de cette enquête on s'acheminerait vers une explication accidentelle de ce décès. Mais le mystère demeure entier quand aux motivations qui ont conduit Dominique Pédemons sur ce chemin du Moulin dont la partie goudronnée se termine en cul-de-sac juste après l'usine électrique. Un chemin de terre s'ouvrant là et surplombant sur plusieurs centaines de mètres le Tarn. C'est dans ce secteur, plus de 300 mètres après la centrale, que les gendarmes de la COB Grisolles-Villebrumier ont découvert lundi la Renault - Twingo noire. Embourbée comme nous disions hier, mais dans une fâcheuse posture mécanique. Car le conducteur quand il a senti que son véhicule ne voulait plus avancer a tenté une manœuvre. Ou plutôt plusieurs qui se sont soldées par un ennui mécanique au niveau de l'embrayage et de la boîte de vitesse. On imagine la suite. Dominique Pédemons s'extrayant de l'habitacle de sa voiture et remontant le chemin (de nuit ?) en s'aidant de ses béquilles. À l'abord de la centrale sur la partie haute de l'ouvrage il a laissé une des deux béquilles et a tenté de descendre vers la plate-forme bétonnée qui sépare les eaux du canal d'amenée, la grille et la partie turbine. À t-il manqué une marche ou un barreau de l'échelle métallique ? C'est possible et cela expliquerait la chute fatale. Et la position du corps telle que le gardien de l'unité hydroélectrique l'a trouvé lundi vers huit heures du matin. La thèse de la chute justifierait l'explication du visage tuméfié par une chute face en avant contre le sol bétonné. Restera à savoir pourquoi la victime qui était partie vendredi soir du domicile familial de Monbéqui est venu dans ce secteur peu fréquenté entre Labastide et Bressols. Et surtout n'avait pas motivé ce départ au travers d'un message écrit ou non.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/28/1317195-on-s-oriente-vers-un-deces-accidentel.html

Mort en tombant de la voiture de police

Un homme de 35 ans s'est tué cet après-midi dans le Rhône en tombant d'une voiture de police sur l'autoroute A42, alors qu'il était en garde à vue et en cours de transfert vers le palais de justice de Lyon, a-t-on appris auprès de la police et des pompiers.

L'accident est survenu vers 15h à Vaulx-en-Velin, dans l'est de l'agglomération lyonnaise, dans le sens est-ouest de l'A42, a-t-on précisé confirmant
une information du site du Progrès. La victime était "en cours de transfert" au palais de justice "pour se voir notifier la prolongation de sa garde à vue", liée à "un délit routier", a indiqué une source policière, sans préciser les circonstances de sa chute sur la chaussée. D'après Le Progrès, l'homme aurait sauté menotté du véhicule.

Deux enquêtes distinctes ont été ouvertes, confiées à la Sûreté départementale et à la brigade accident des CRS autoroutiers, d'après la même source.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/03/27/97001-20120327FILWWW00740-mort-en-tombant-de-la-voiture-de-police.php

Un gyrocoptère s'emballe : le pilote gravement blessé

Il était 10 heures, hier, lorsqu'un accident de gyrocoptère (petit hélicoptère) s'est produit au sol à l'aérodrome du Champ cadet. L'appareil qui était sur le point de décoller s'est, semble-t-il, emballé et a fini sa course contre un hangar. Le pilote, Luc Fella, bien connu des Castels, et ancien directeur de l'Intermarché à Château-Thierry qui était aux commandes, a été sérieusement blessé. Souffrant de fractures à une jambe et d'un traumatisme crânien, l'homme, âgé de 64 ans, a été pris en charge par les pompiers, avant d'être transporté par hélicoptère au centre hospitalier de Reims aussitôt. Son pronostic vital n'était toutefois pas engagé, hier soir.
Le pilote, encore en apprentissage de l'engin, n'en était néanmoins pas à ses premières leçons de gyrocoptère. La police a ouvert une enquête pour connaître les circonstances exactes de l'accident.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-gyrocoptere-semballe-le-pilote-gravement-blesse

mardi 27 mars 2012

Disparition d'une jeune fille en Haute-Loire: son corps retrouvé

Le corps de la lycéenne de 18 ans disparue lundi à Yssingeaux en Haute-Loire a été retrouvé et un homme a été placé en garde à vue mardi matin, a indiqué le maire de la commune et une source judiciaire.

Le maire Bernard Gallot n'a apporté aucune précision sur les circonstances de la découverte du corps. Le suspect en garde à vue est une "relation masculine" de la jeune fille disparue, a indiqué la source judiciaire.
Sinistre épilogue. La lycéenne disparue lundi à Yssingeaux, en Haute-Loire, a été retrouvée morte. On ne connait pas pour le moment les circonstances de la découverte du corps de cette jeune femme de 18 ans. Un homme a été placé en garde à vue mardi matin. Selon une source judiciaire, ce serait une "relation masculine" de la lycéenne.

"Je suis profondément choqué. C'est des vies gâchées. C'est un nouveau drame de la jeunesse", a réagi l'élu de la commune Bernard Gallot auprès de l'AFP. De gros moyens de gendarmerie avaient été mobilisés pour retrouver la jeune fille, dont la disparition a été constatée lundi matin lorsqu'elle ne s'est pas présentée au lycée agricole qu'elle fréquente. Ses parents habitent en région parisienne. Son appartement a été perquisitionné. "C'est sa mère qui a tenté sans succès de la joindre lundi", a expliqué la gendarmerie du Puy-en-Velay.


Une jeune fille de 18 ans a disparu depuis lundi à Yssingeaux (Haute-Loire) et de gros moyens de gendarmerie ont été mobilisés pour tenter de la retrouver, a indiqué la gendarmerie.

Sa disparition a été constatée lundi matin lorsqu'elle ne s'est pas présentée au lycée agricole qu'elle fréquente, a expliqué à l'AFP un responsable de la gendarmerie d'Yssingeaux. "De gros moyens d'investigation sont mobilisés, pas seulement à Yssingeaux mais aussi à Lyon et ailleurs, des endroits où se trouvent des connaissances de cette jeune fille, qui se trouvait avec un chien le jour de sa disparition", a expliqué ce responsable.

Des auditions sont actuellement menées pour recueillir des éléments, selon le site internet du journal La Montagne.


Un cadavre découvert dans un garage

Macabre découverte lundi matin à Plérin (Côtes-d’Armor). Une femme d’une cinquantaine d’années a été retrouvée sans vie dans un garage. Le parquet de Saint-Brieuc a confirmé la découverte d’un corps, mais s’est refusé à en dire plus.
Ce que l’on sait toutefois, c’est que les gendarmes techniciens en investigation criminelle ont réalisé des prélèvements dans le garage, ainsi que dans l’appartement correspondant à celui-ci. Leurs résultats sont attendus ce mardi.
Les enquêteurs se sont aussi livrés à une enquête de voisinage en présentant le portrait de la victime.

Pris pour cible par son voisin, il vit dans la peur

Jesse Gabet, 34 ans a porté plainte contre son voisin qu'il accuse d'avoir tiré dans sa direction. L'affaire s'est déroulée le 19 mars au milieu des bois, à Espère. Le plaignant vit avec sa compagne dans un camion aménagé, le voisin a sa caravane, à 100 mètres de là. La justice a fait saisir ses armes.
La main tremble en tenant la photocopie du dépôt de plainte. Huit jours après les faits, Jesse Gabet est encore sous le choc : « Les projectiles sont passés à rien de ma tête » lâche-t-il nerveusement. Le lundi 19 mars vers 15 heures alors qu'il était juché sur le toit de son camion aménagé en maison, pour régler un panneau solaire, on aurait tiré dans sa direction. Ce « On », Jesse Gabet, l'a immédiatement identifié accusant son voisin d'être l'auteur des faits même s'il ne l'a pas vu avec une arme. L'homme en question, réside à une centaine de mètres de l'îlot que se sont construits Jesse et sa compagne au milieu des bois à Espère. Le tireur présumé habite dans une caravane, entre lui et le jeune couple il y a des chênes, de la broussaille et un vieux mur de pierres couvert de mousse. Dans ce coin perdu, isolé de tout, on accède par un chemin de terre et de pierre tout juste carrossable.
« Depuis huit jours, je vis dans la peur ». Le trentenaire ne comprend pas cet acte dont il se dit victime : « Je suis végétarien, pacifiste, je ne suis pas quelqu'un de mauvais. Avec mon amie, ajoute-t-il, nous sommes des voyageurs, nous avons acheté ce terrain il y a trois ans, c'est notre mode de vie, je suis pour la décroissance ».
À la suite de la plainte, le suspect a été entendu par les policiers au commissariat de Cahors. Un travail de police qui a été transmis à la justice. Pendant le week-end, Jesse Gabet a tenté de s'expliquer avec son voisin : « J'ai décidé d'aller le voir, avec une bouteille de vin et deux verres pour discuter et comprendre ce qu'il me reprochait. ça n'a pas été possible, la police lui avait interdit de me parler mais il a eu des mots menaçants ». Des coups de feu ont été tirés, l'enquête l'a démontré, mais visaient-ils directement le plaignant ? Les premières constatations sembleraient l'infirmer. Toujours est-il que les armes du voisin ont été saisies
http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/27/1316347-espere-pris-pour-cible-par-son-voisin-il-vit-dans-la-peur.html

Ivre, il vole un vélo appartenant à un enfant et zigzague sur la route

L’abus d’alcool n’excuse pas tout, loin de là. Dimanche dernier, un homme d’une quarantaine d’années a été interpellé au guidon d’un vélo destiné aux enfants âgés de 6 à 8 ans. Passablement éméché, ce dernier était en train de zigzaguer dangereusement au milieu de la route.
Selon les premiers éléments de l’enquête, l’individu aurait réquisitionné la monture aux abords de la rue Edgar-Quinet à Oyonnax. Pour ne rien arranger à l’affaire, les policiers vont retrouver sur lui près d’1,5 gramme de résine de cannabis. L’homme a été conduit au commissariat pour être placé en cellule de dégrisement. Son taux d’alcoolémie reste un mystère, les fonctionnaires n’ayant pas réussi à le faire souffler dans la machine. Après avoir retrouvé ses esprits, il aurait reconnu le vol de la bicyclette. Déjà connu des services de police, cet habitant de Bellignat devra s’expliquer le 25 juin prochain devant le tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse. En attendant, le propriétaire du vélo, une monture bleue et jaune, est invité à venir récupérer le deux-roues au commissariat d’Oyonnax.

http://www.leprogres.fr/ain/2012/03/27/ivre-il-vole-un-velo-appartenant-a-un-enfant-et-zigzague-sur-la-route

Des policiers municipaux se croient tout permis

Reims (Marne). Pendant la pause déjeuner, des policiers municipaux ont squatté une place handicapée durant de longues minutes. Vers des sanctions?

LA police, la gendarmerie n'ont pas une belle image auprès du grand public. C'est comme ça. Peur du PV et de la sanction qui va avec, intimidation due au port de l'uniforme, les raisons sont multiples. Ce qui s'est passé vendredi dernier, en plein centre de la cité des sacres, jette le discrédit, cette fois, sur la police municipale.
« Totalement choquant »
Il ne s'agit pas ici de généraliser et de tirer à boulets rouges sur l'ensemble de ce corps qui œuvre pour le bien-être de notre cité mais bien de pointer du doigt les mauvais élèves, plus prompts à dresser des PV pour un stationnement dépassé de quelques minutes, que capables de respecter quelques règles élémentaires de vie en communauté. Explication.
La scène s'est passée vendredi, entre 12 heures et 12 h 30, juste à côté de la Poste du Boulingrin, à 300 mètres à vol d'oiseau de la mairie. Le parking faisant face à l'agence postale ne compte que peu de places, rarement disponibles d'ailleurs. Cela n'a pas dérangé deux policiers municipaux. Ils n'ont pas hésité à s'accaparer la dernière place disponible, celle qui est d'ordinaire dédiée aux personnes handicapées. Un panneau et un balisage au sol sont d'ailleurs présents pour le signifier. Mais qu'importe visiblement.
Les deux policiers dépendant de la brigade environnementale de la police municipale se sont garés le plus naturellement du monde sur cet emplacement. Ils n'ont même pas pris la peine d'allumer leurs feux de détresse pour signaler une intervention urgente, par exemple. Il n'y avait effectivement pas de quoi puisque ces deux agents étaient, semble-t-il, partis déjeuner. Une riveraine, témoin de la scène, n'en a pas cru ses yeux. « Ils sont venus prendre cette place le plus naturellement du monde. En toute impunité. Je sais qu'il ne faut pas généraliser et que les policiers municipaux ne sont pas tous comme cela. Mais il faut sanctionner ce genre de comportement totalement choquant. »

Des sanctions
Cette lourde faute est forcément très vite revenue aux oreilles du directeur de la police municipale, Nicolas Roche. Et ce dernier promet de faire la lumière sur cette triste histoire. « Ce comportement de la part d'un équipage de la police municipale est particulièrement inadmissible. J'ai demandé une enquête de commandement suite à cette affaire et vous pouvez être assuré de notre volonté de sanctionner les agents responsables de cette infraction. »
Le slogan « Si tu prends ma place, prends mon handicap » est visiblement totalement étranger à ces deux personnes.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/des-policiers-municipaux-se-croient-tout-permis

lundi 26 mars 2012

Le Dr Dukan visé par deux plaintes

Deux institutions médicales, le Conseil départemental de l’ordre des médecins et le Conseil national de l’ordre des médecins visent le docteur Pierre Dukan pour non-respect du code de déontologie.

La proposition du Dr Dukan d’instaurer une
option « anti-obésité » au baccalauréat n’a pas plu au Conseil départemental de l’ordre des médecins de Paris qui y voit une violation de l’article 13 du code de déontologie médicale qui indique qu’"un médecin doit faire attention aux répercussions de ses propos auprès du public" Les élèves entre la Première et la Terminale gagneraient des points au bac s’ils restaient dans une fourchette de poids normal, propose le docteur.

Le Conseil national de l’ordre des médecins, à l’origine de la seconde plainte, invoque lui l’article 19 du code de déontologie qui stipule que la médecine ne peut être pratiquée comme un commerce.

Actuellement en tournée promotionnelle aux Etats-Unis, le docteur Pierre Dukan risque un blâme du Conseil de l’Ordre

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/03/26/97001-20120326FILWWW00359-le-dr-dukan-vise-par-deux-plaintes.php

Des chiens errants attaquent des agneaux

Dans la nuit de samedi à dimanche, le petit élevage ovin d’Armand Grognux au hameau des Régalets a été décimé par une nouvelle attaque de chiens errants. Trois agneaux d’environ 40 kg ont été égorgés, dont un partiellement dévoré.
Depuis 22 mois, il cumule la perte de 14 bêtes à la suite de quatre attaques similaires et de deux vols dans cet enclos proche de sa maison. Depuis de nombreuses années, il conduit avec passion une sélection d’ovins de pure race “Île de France” avec pedigree. Ses bêtes ont remporté de nombreux concours. Cet éleveur cède au découragement, d’autant plus qu’il est confronté à un récurrent et insoluble problème localisé de divagation de chiens. Leurs propriétaires les attachent en journée mais les lâchent la nuit

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2012/03/25/des-chiens-errants-attaquent-des-agneaux

Un pêcheur tombe à l'eau, les plongeurs bredouilles

Le lieu est, paraît-il, régulièrement fréquenté par les pêcheurs : au bout d'une l'impasse, dans le quartier de Mohon à Charleville-Mézières, le beau temps en avait encore attiré quelques-uns. Aux environs de 13 h 30, l'un d'entre eux, se trouvant sur un parapet, aurait tenté de rattraper un bout de ligne mais serait alors tombé dans la Meuse. D'après d'autres pêcheurs présents sur place, l'homme, venu seul et dont personne ne connaissait, hier soir, l'identité, ne remonte pas à la surface. Les pompiers sont alertés. Pendant près de deux heures, plusieurs plongeurs - pompiers de Charleville - tentent de retrouver le disparu. En vain. Le dispositif de recherche est finalement levé vers 15 h 30. « Il y a pas mal de courant au milieu du fleuve donc nous ne pouvions pas continuer plus longtemps », confiait un pompier. « Puisque nous ne sommes pas le 1er avril, je suppose que ce n'est pas un canular. Dans ce cas, ce serait en effet une disparition plus qu'inquiétante, analysait pour sa part un policier. Les pêcheurs portent souvent des équipements lourds avec eux. »

http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/un-pecheur-tombe-a-leau-les-plongeurs-bredouilles

dimanche 25 mars 2012

Saint-Etienne: poursuivi par la police, il percute un bus

Le fuyard est sérieusement touché. Quant au conducteur du bus, il n'a été que légèrement blessé.
Hier soir, vers 22 h 20, un véhicule de la police a entamé une course poursuite rue Henri et Bernard Muller à Saint-Etienne. Devant lui se trouvait un fuyard au volant d'une Peugeot 106. En tentant d'échapper à ses poursuivants, le conducteur a grillé un feu tricolore avant de venir percuter violemment un bus.Sous le choc, le pilote de la 106 a été violemment blessé. Le conducteur du bus n'a été que légèrement blessé. Les sapeurs-pompiers et le Samu ont pris en charge les blessés avant de les conduire aux urgences hospitalières.

http://www.leprogres.fr/actualite/2012/03/25/saint-etienne-poursuivi-par-la-police-il-percute-un-bus

Agression d'une vendeuse de glace Lourdes peines pour les deux pieds nickelés

Les deux hommes, Kévin H, 23 ans et Nicolas J. 32 ans, qui avaient braqué la vendeuse du camion des glaces Martinez, le 7 août dernier à Bogny, ont été condamnés à 3 ans de prison ferme. Depuis jeudi, ils dorment à la prison. Ils devront en outre dédommager la victime de 4.000 euros de dommage et intérêts et 109 euros à la société de glace Martinez pour le dommage matériel sur la camionnette.
C'est une peine particulièrement lourde qui a été infligée aux deux hommes originaires de Bogny-sur-Meuse, surtout au vu du maigre butin de 203 euros.
Jeudi, le procès s'est joué autour du réquisitoire de Marlène Borde, substitut du procureur qui n'a trouvé aucune circonstance atténuante aux prévenus et de la plaidoirie de la partie civile, lorsque Maître Simon a profité l'émotion et des larmes de la victime à l'audience pour finir d'accabler les deux agresseurs. « Ma cliente a croisé la route de deux voyous qui ont eu l'idée de se la faire, a soutenu l'avocate de la victime. C'est une attaque violente et inhabituelle pour la jeune femme. C'est l'arme et la violence verbale qui l'ont apeurée. Elle a cru qu'elle allait mourir ».
Une sorte de délire
Le parquet a fait observer qu'ils ont choisi la facilité : « En plus ils s'en sont pris à une femme. Le plus jeune des prévenus a eu un rôle directeur. C'est lui qui conduit et c'est encore lui, qui oblige la marchande de glace à s'arrêter. C'est aussi lui qui tient la carabine. L'autre prévenu, malgré son plus grand âge, et malgré ses 12 mentions sur le casier dont 6 condamnations pour vols, il n'a pas dissuadé son cousin. Il est aussi responsable que lui »
Les avocats de la défense ont interprété le geste de leurs clients comme une sorte de délire : « Ils n'ont pas compris la portée de leur acte. Ils mettent des gants en latex. Ils prennent des manches de pulls pour s'en faire une cagoule, qu'ils enfilent sans même percer un trou pour les yeux et pour le nez. Ce sont deux pieds nickelés qui ne représentent pas de dangerosité pour la société. Nous vous demandons d'être mesurés ».
Rappel des faits : Le 7 août dernier, vers 21 h 30, à Bogny-sur-Meuse, la vendeuse de glace de la société Martinez qui rentrait de sa tournée dominicale au volant de sa camionnette dans la Vallée pour rejoindre le dépôt situé rue Bourbon, à Charleville-Mézières a été braquée par deux individus encagoulés.
C'est sur la route de Nouzonville, qu'une Renault 5 se porte à sa hauteur, coince la camionnette et sous la menace d'une carabine, l'un des individus réclame la caisse, soit 203 euros. seulement et l'autre plie la plaque d'immatriculation arrière de la voiture.
Les gendarmes récupèrent le témoignage de la victime, du garde-champêtre de Bogny ainsi que les images des caméras vidéos placées à Bogny-sur-Meuse.
Avec tous ces éléments, ils identifient la voiture, remontent jusqu'à son propriétaire qui dénonce son complice qui n'est autre que son cousin.
 
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/bogny-sur-meuse-agression-dune-vendeuse-de-glace-lourdes-peines-pour-les-deux-pieds

samedi 24 mars 2012

Un homme retrouvé mort dans son appartement

C'est dans la nuit de jeudi à vendredi vers 23 h 45, que les habitants de la rue du Pla à Fitou ont vu de la fumée sortir d'un appartement situé en plein cœur du village, appartement sur deux niveaux, immédiatement, ils appellent les secours. Rapidement, plusieurs véhicules d'intervention se rendent sur place, les pompiers sont à pied d'œuvre au beau milieu de la nuit pour venir à bout du sinistre. L'accès est difficile, et les pompiers sont obligés de percer des accès sur le toit et sur la façade pour pénétrer à l'intérieur. Quand les secours arrivent l'incendie a déjà fortement endommagé l'appartement duquel se dégage une intense chaleur. Les opérations de secours ont duré jusqu'à trois heures du matin. C'est en arrivant dans la chambre à coucher que les pompiers ont fait une macabre découverte. En effet ,l'occupant des lieux, éric Fourty, un homme de 37 ans, a trouvé la mort, intoxiqué par les fumées générées par l'incendies dont l'origine serait accidentelle. C'est une cigarette tombée ou mal éteinte qui aurait déclenché le feu.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/24/1313798-un-homme-retrouve-mort-dans-son-appartement.html

Villeurbanne : le gérant du bar cachait de la cocaïne et une kalachnikov

Les policiers de Givors travaillaient ainsi sur une affaire de recel de fret. Ils soupçonnaient plusieurs individus d’avoir revendu à une société située à Saint-Pierre-de- Chandieu de la marchandise volée. Sur l’un des colis suspects, les policiers font parler une empreinte qui renvoie à un homme âgé de 32 ans, demeurant à Givors et gérant d’un bar à Villeurbanne. C’est lors de cette perquisition que les fonctionnaires ont fait d’autres découvertes : 227 grammes de cocaïne, une kalachnikov, un pistolet de calibre 7.65, plusieurs chargeurs, une cagoule, une balance électronique, et un brouilleur d’onde de téléphone portable. Un matériel bien encombrant que son propriétaire prétend ne garder uniquement pour le compte de tiers.
Ce dernier a été présenté hier au parquet pour cette détention d’armes et de stupéfiants

http://www.leprogres.fr/rhone/2012/03/24/le-gerant-du-bar-cachait-de-la-cocaine-et-une-kalachnikov

Retour de soirée bien arrosée en voiture

Il rentrait chez lui après une soirée bien arrosée, un peu trop même. Rue d'Isle à Saint-Quentin, il perd le contrôle de sa BMW, qui vient emboutir l'arrière d'une Renault en stationnement.
Ce Saint-Quentinois de 43 ans enclenche la marche arrière mais n'arrive pas à se dégager. L'attache caravane de la Renault retient le pare-chocs de la BMW. C'est alors qu'il est en train de faire vrombir le moteur qu'une patrouille de police passe rue d'Isle et s'arrête, évidemment.
Il est 23 h 45, mercredi, le conducteur de la BMW est détecté positif à l'alcoolémie. Ramené au commissariat, il souffle. Verdict : 2,20 grammes d'alcool par litre de sang. Il a été placé en garde à vue tandis que les policiers entendaient le propriétaire du véhicule embouti, un habitant d'Harly, âgé de 26 ans. Remis en liberté au cours de la journée de jeudi, il est convoqué au tribunal dans le cadre d'une procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité le 12 juin, afin de s'expliquer sur sa conduite en état d'ébriété.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/retour-de-soiree-bien-arrosee-en-voiture

vendredi 23 mars 2012

Montbéliard : un proxénète condamné

Abdeslam Anjguar partait déjà avec des a priori négatifs. Prévenu de proxénétisme, le quadragénaire qui vit aux crochets de ses parents à singulièrement aggravé son cas par son attitude à la barre. Après avoir contraint son ex-compagne à se livrer à la prostitution, il l’a littéralement salie. Des propos parfois « teintés de moquerie », convient le propre avocat du proxénète. Anjguar rencontre celle qui va devenir son amie dans un bar, en juin 2011. Elle l’invite chez lui. Rapidement, il fait part de son intention de se livrer à des cambriolages avec son fils. « À moins que t’aies autre chose à proposer », lance-t-il à la dame, handicapée à 80 %. De sous-entendus en incitations, il l’oriente vers les chemins de la prostitution. « Ben elle faisait déjà ça, il y a 25 ans à Lyon », balance-t-il à la barre avant de vomir sur cette femme et dénigrer l’éducation qu’elle donne à ses enfants.

« Vous êtes un parasite »

Trop c’est trop ! Le président Troilo explose : « Vous êtes un parasite ! Vous venez donner des leçons alors que vous n’êtes pas fichu de payer une pension alimentaire à vos enfants. Vous mettez une femme sur le trottoir et là vous venez nous dire que c’est une salope ! » La dame encaisse les saillies verbales de son ex-compagnon. Elle rapporte comment il l’a tabassé un jour, comment aussi il relevait les compteurs toutes les deux passes, comment il l’a laissée se dépatouiller seule ce jour où un homme a cherché à l’agresser. Il n’a pas levé le petit doigt. Comment encore il dilapidait l’argent (des passes et de l’allocation Cotorep) au PMU. « L’argent ? Elle me défrayait pour l’emmener sur les parkings (à Voujeaucourt et Sochaux) et pour mes cigarettes », ose encore le prévenu qui ajoute qu’il ignorait que ce qu’il faisait était illégal. M e Roy, l’avocat de la dame, n’en peut plus. « Vous êtes un marchand de chair humaine », lance-t-il écœuré à Anjguar. Il parle du « préjudice irréparable » causé chez cette femme « manipulée », parle du « costume de scène acheté 60 €» pour que madame soit plus affriolante et du voyage fait à Belfort auprès d’une autre prostitué pour se renseigner sur les tarifs à pratiquer. Il évoque enfin les insultes « sale pute », dont le prévenu gratifiait la victime. Le procureur Pascal cimente ses réquisitions sur les fondations d’une solide enquête de gendarmerie et requiert un an de prison dont six mois ferme. M e Roller, l’avocat de la défense, cherche à lutter « contre la vision manichéenne qui semble se dégager. Mon client n’est pas le dangereux prédateur que l’on dépeint. Il a peut-être une conception de la femme différente de la nôtre… »
Le tribunal a apprécié… et est allé au-delà des réquisitions. Abdeslam Anjguar est condamné à deux ans de prison dont un ferme, avec maintien en détention. Il devra aussi verser 5.000 € à son ex-compagne pour laquelle il n’a eu aucun mot de compassion ni de repentance
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/03/23/un-marchand-de-chair-humaine

Elle giffle la policière... au commissariat

Cette Carcassonnaise de 47 ans était passablement énervée lorsqu'elle est arrivée, mercredi, vers 20 heures au commissariat de Carcassonne pour tenter de récupérer la voiture de son fils. Or, la dite voiture était gardée en dépôt pour les besoins d'une enquête concernant le fils. Le ton est rapidement monté, la dame est passée des cris aux vociférations et a finalement collé une gifle retentissante au visage de la policière qui tentait de la ramener au calme. Elle n'a pas récupéré la voiture, mais une rébellion contre agent de la force publique et menaces répétées qui lui vaudront de comparaître, en mai prochain devant un officier de police judiciaire.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/23/1313381-elle-giffle-la-policiere-au-commissariat.html

La conductrice avait fait demi-tour : un mort

Le soir du 8 août 2010, Julien Lozano, âgé de 26 ans, perdait la vie au guidon de sa moto, sur la route de Vaison à Malaucène. Une camionnette conduite par Yolanda Gonzalez-Fernandez, 41 ans, s’était mise sur sa voie de circulation pour tenter de faire demi-tour.
C’est ce dramatique accident de la circulation que le tribunal correctionnel de Carpentras devait juger ce jeudi. Venue d’Espagne, où elle réside, la prévenue s’est montrée marquée par le drame, à la barre.
Tout comme la famille de la victime, présente au complet. Les faits n’ont pas été contestés par la conductrice, qui avait elle-même dans le passé, perdu ses parents dans un accident de la route.
Le débat portait sur un rapport d’expertise qui avait conclu que « le motard roulait à 163 km/h. Soit le double de la vitesse autorisée. Ma cliente a pris un missile », a plaidé, en défense, M e Roubaud. Ce même rapport a été dénoncé par M e Pammard et M e Maritan, défendant les intérêts de la famille du défunt.

Délibéré rendu le 10 mai

« S’il avait roulé à cette vitesse folle, lui qui était si prudent, son corps aurait été retrouvé à 90 m du point de choc. Et pas à 15 m, comme cela a été constaté. Et la moto aurait été pulvérisée à 15 m. Et pas presque intacte à 4 m comme les gendarmes l’ont noté. »
Le parquet aussi a appelé à la prudence quant à la lecture des conclusions délivrées par l’expert. Le ministère public a requis 10 mois de prison avec sursis contre la conductrice, ainsi que l’annulation de son permis de conduire et l’interdiction de le repasser pendant 18 mois. Le délibéré sera rendu le 10 mai 2012.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2012/03/22/la-conductrice-avait-fait-demi-tour-un-mort

Monoprix Un retraité arrêté pour vol de nourriture

Les policiers sont venus l'arrêter hier, vers 11 h 15, après qu'il ait essayé de sortir du magasin Monoprix de Saint-Quentin sans payer. L'agent de sécurité de l'enseigne qui l'a vu faire dans les rayons l'a intercepté alors qu'il venait de passer les caisses et s'apprêter à sortir du magasin. Il a vidé son sac sans difficulté. À l'intérieur, diverses denrées alimentaires : du riz et du fromage, essentiellement pour un montant de 40 euros.
Cet homme de 64 ans, habitant près de Valenciennes dans le Nord, a été ramené au commissariat par la patrouille de police. Une fois entendu, il a pu ressortir libre du commissariat. Il devra revenir au poste de police, dans quelques jours, pour connaître les suites judiciaires que souhaite prendre le parquet à son encontre.
 

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/saint-quentin-monoprix-un-retraite-arrete-pour-vol-de-nourriture

jeudi 22 mars 2012

Il menace de se jeter dans le vide

Mardi, vers 19 h 30, les policiers grenoblois ont été appelés par les habitants d’un immeuble de la rue du Vieux-Temple, à Grenoble, pour des nuisances sonores. Sur place, les fonctionnaires ont cherché à entrer en contact avec l’occupant du logement d’où provenaient ces nuisances. De l’autre côté de la porte qu’il n’a dans un premier temps pas voulu ouvrir, un homme de 47 ans a expliqué aux policiers vouloir mettre fin à ses jours et avoir piégé la porte de son appartement. L’homme s’est ensuite approché de la fenêtre et a menacé de sauter dans le vide avant de pointer le canon d’une arme de poing sur sa tête. Après plus d’une heure de négociation, il a finalement ouvert la porte de son appartement. Pris en charge par les sapeurs-pompiers et les policiers, il a été conduit au CHU Michallon de Grenoble-La Tronche où il a fait l’objet d’une hospitalisation d’office.

http://www.ledauphine.com/isere-sud/2012/03/21/il-menace-de-se-jeter-dans-le-vide

Collision avec un camion : 150 litres de gazole sur la chaussée

Hier, sur la route reliant Montcornet à Marle, aux environs de 14 heures, un accident s'est produit à hauteur de la commune de Tavaux-et-Pontséricourt. Au carrefour de la RD 946 et la RD 591, une voiture et un poids-lourd sont entrés en collision.
Pour une raison inexpliquée, la conductrice aurait perdu le contrôle de sa voiture et serait venue heurter le camion. Le choc a eu lieu au niveau du réservoir de ce dernier, occasionnant une importante fuite de gazole.
Environ 150 litres ont été déversés sur la chaussée, contraignant alors les gendarmes de Marle, renforcés par les militaires de Laon et Sissonne, à barrer la route.
Pendant près de deux heures, les militaires ont dévié le trafic routier, le temps que la voirie, rendue glissante par le carburant, soit nettoyée et de nouveau praticable.
À bord de la voiture, la conductrice et son enfant n'ont pas été blessés tout comme le chauffeur du poids-lourd.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/collision-avec-un-camion-150-litres-de-gazole-sur-la-chaussee

mercredi 21 mars 2012

Trafic de stupéfiants : un dernier suspect en garde à vue

Un suspect, interpellé samedi matin par les enquêteurs, était toujours en garde à vue hier soir, dans le cadre des investigations menées par la police et la gendarmerie, conjointement, sur un trafic de cocaïne et de cannabis dans notre département. L'homme aurait dû être arrêté samedi matin, en même temps que quatre autres suspects dans ce dossier, mais il aurait été « retardé » lors d'un voyage de l'autre côté des Pyrénées par… les policiers espagnols. Ces derniers l'auraient interpellé alors qu'il circulait en état d'ivresse. Cet homme, ancien compagnon d'un des suspects placés lundi en détention, doit être présenté ce matin au parquet de Foix et au juge d'instruction. Sa mise en détention pourrait être demandée. Selon nos sources, l'enquête menée par les services de police et de gendarmerie serait alors bouclée. Il n'y aurait pas de nouvelles interpellations dans ce dossier. Le coup de filet de vendredi et de samedi, en effet, aurait concerné la tête du trafic, épilogue de plusieurs mois d'enquête. Par ailleurs, les quantités de stupéfiants saisies lors de ce coup de filet n'ont pas été dévoilées. Les enquêteurs observent la plus grande discrétion en ce qui concerne le résultat de leurs investigations, menées sur commission rogatoire de Catherine Ostengo, juge d'instruction à Foix, dans le cadre d'une enquête qui a débuté en janvier 2 011.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/21/1311454-trafic-de-stupefiants-un-dernier-suspect-en-garde-a-vue.html

Val-d'Oise: un enfant porté disparu

Un appel à témoin a été lancé après la disparition jugée inquiétante d'un adolescent de Deuil-la-Barre (Val-d'Oise) âgé de 11 ans, dont les proches n'ont plus de nouvelles depuis vendredi, a-t-on appris aujourd'hui de source policière.

Matthieu Appolinaire, élève de sixième au collège Emilie du Châtelet, a été déposé par sa mère vendredi peu après 16 heures près de l'école Pasteur, dans le centre de Deuil-la-Barre, pour récupérer ses jeunes frères.

Sa famille, avisée une heure plus tard qu'il n'était pas venu chercher ses frères, n'a plus eu de nouvelles depuis lors de l'adolescent, qui mesure 1m76, porte des lunettes carrées et est de corpulence mince.

Selon la source policière, le collégien avait été convoqué avec sa mère par le responsable de son école pour un problème de discipline le vendredi matin, quelques heures avant sa disparition. "Aucune piste n'est à l'heure actuelle privilégiée", a toutefois précisé la source policière, selon qui le collégien reste "activement recherché".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/03/20/97001-20120320FILWWW00677-val-d-oise-un-enfant-porte-disparu.php

Ils entrent chez lui pour régler un compte

Les motivations des deux hommes restent assez floues. Toujours est-il que pour régler un contentieux, ils sont venus rendre visite à un Sud-Axonais. Une visite qui a eu lieu à 1 h 30 dans la nuit de dimanche à lundi !
Les individus, qui ne sont pas originaires de l'Aisne, se sont présentés au domicile de l'intéressé, qui réside dans le bourg de Chézy-en-Orxois. Ils ont réussi à pénétrer à l'intérieur en poussant avec vigueur l'une des fenêtres du logement. L'ouverture a cédé, et les deux hommes sont entrés.
L'occupant des lieux n'était visiblement pas sur place, mais l'un de ses proches, si. Ce dernier s'est levé lorsqu'il a entendu le bruit. En allumant la lumière, il est tombé nez à nez avec les intrus. Aucune violence n'a eu lieu puisqu'il connaissait apparemment l'un d'eux.
Les gendarmes de La Ferté-Milon ont été rapidement sollicités par l'occupant des lieux. En arrivant sur place, les militaires ont interpellé les deux garçons qui avaient fait irruption dans l'habitation.
Placés en garde à vue, ils ont été libérés hier. Ils ont rendez-vous au tribunal dans les semaines à venir pour répondre de violation de domicile.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/ils-entrent-chez-lui-pour-regler-un-compte

mardi 20 mars 2012

Marseille : un couple de retraités blessés à l'arme blanche dans son immeuble

Un couple de retraités a été grièvement blessé à l'arme blanche, mardi matin dans le hall de son immeuble à Marseille, par un homme qu'ils hébergeaient gratuitement, à la suite d'un différend.

Les marins-pompiers ont été appelés à 9h10 sur les lieux, boulevard Périer, dans le centre-ville.               L'homme, âgé de 72 ans, a été touché au thorax et sa femme de 80 ans à la carotide, ont précisé les secours.

Tous deux ont été transportés à l'hôpital de la Timone. Leur pronostic vital est engagé, selon l'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM).

L'agresseur, un septuagénaire que le couple de locataires cherchait à évincer, s'est rendu, a précisé une source proche de l'
, qui a été confiée à la Sûreté départementale.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/marseille-un-couple-de-retraites-poignarde-dans-son-immeuble-20-03-2012-1915070.php

La caissière aspergée de gaz lacrymogène

La gendarmerie d’Albertville lance un appel à témoins après le vol du fonds de caisse de la station-service de l’hypermarché Géant d’Albertville/Gilly-sur-Isère, et l’agression de la caissière.
Les faits se sont déroulés à la fermeture de la station en paiement à la caisse (des pompes fonctionnent 24h/24), vers 19 h 30. Alors que l’employée s’affairait à fermer boutique, un individu l’a poussée à l’intérieur du local de caisse, l’a aspergée de gaz lacrymogène au visage et s’est enfui avec le fonds de caisse, probablement à bord d’une voiture. La caissière ne peut le certifier, car elle était aveuglée par le gaz lacrymogène, mais elle a bien entendu le bruit d’un véhicule.
Très choquée, l’employée a été conduite à l’hôpital d’Albertville.
L’agression et le vol se sont déroulés à une heure de grande affluence. Raison pour laquelle les gendarmes espèrent recueillir des témoignages susceptibles de faire progresser l’enquête, car, pour l’heure, l’individu est toujours dans la nature.

APPEL A TEMOINS

Contact : gendarmerie d’Albertville, tél. 04 79 32 00 17.

Il s'assoupit et se retrouve… sur le bas-côté

Hier vers 10 h 45, une voiture a fait une sortie de route sur la RN 44 entre Châlons-en-Champagne et Vitry-le-François.
L'accident est signalé à hauteur de la Chaussée-sur-Marne, mais les sapeurs-pompiers du village devront se rendre jusqu'à la côte de Gravelines, à Couvrot.
A leur arrivée, ils se retrouvent face à une voiture immobilisée sur le toit, sur le bas-côté de la route, en contre sens. Ils imaginent le pire mais fort heureusement le conducteur, un homme de 44 ans habitant en Seine-et-Marne, était déjà sorti seul de son véhicule et n'était que très légèrement blessé.
D'après les premières constatations des gendarmes qui se sont rendus sur les lieux, le conducteur se serait assoupi avant de se déporter vers la droite.
Il a été transporté aux urgences de la cité rose pour un bilan complémentaire.
La circulation a dû être interrompue durant les opérations de secours mais n'a eu pour seule conséquence qu'un léger ralentissement à l'approche de l'accident

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/il-sassoupit-et-se-retrouve-sur-le-bas-cote

lundi 19 mars 2012

"Faire du mal lui faisait du bien"

Une femme de 38 ans, comparaît aujourd'hui devant les assises des Pyrénées-Orientales pour vol de cartes bancaires et une série d'enlèvements violents de personnes vulnérables, qui s'est achevée par la défenestration mortelle de l'un d'eux, en 2009 à Perpignan. Cette femme a confié aux enquêteurs qu'elle se trouvait alors dans une mauvaise passe et que « faire du mal lui faisait du bien ».
Dans le box des accusés, elle est accompagnée de ses deux derniers compagnons . Le second est accusé comme elle, de la séquestration pendant trois jours, suivie de la mort, le 19 août 2009, de Philippe Rocquemont, 49 ans. Il avait mortellement chuté de la fenêtre de l'appartement de la mise en cause, situé au deuxième étage. Le procès doit s'achever le 27 mars.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/19/1309685-perpignan-faire-du-mal-lui-faisait-du-bien.html

Un arbitre refuse de diriger un match avec des joueuses voilées

L'arbitre de la rencontre de football de Promotion régionale féminine entre Narbonne et le Petit-Bard Montpellier a refusé de diriger le match, les joueuses visiteuses s'étant présentées sur le terrain la tête recouverte d'un foulard, a annoncé dimanche le FC Narbonne.
Le directeur de jeu a émis une réserve sur la feuille de match et transmis un rapport à la Ligue de Languedoc-Roussillon, qui devra décider de faire rejouer la rencontre ou de donner match gagnant aux Audoises.

Les joueuses des deux équipes ont cependant décidé de s'affronter en match amical et Narbonne l'a emporté 7 buts à 6.

http://www.midilibre.fr/2012/03/18/un-arbitre-refuse-de-diriger-un-match-avec-des-joueuses-voilees,472948.php

Nouveau coup de filet Trois revendeurs de drogue arrêtés

Après avoir mis la main sur un gros bonnet de la drogue et deux de ses complices la semaine dernière, les gendarmes de la compagnie de Vitry-le-François ont arrêté mercredi dernier, sur commission rogatoire, trois revendeurs présumés.
Ils y sont allés en force. Près de 25 militaires de la brigade de recherches de la cité rose, du Peloton d'intervention et de surveillance de la gendarmerie de Vitry-le-François, des brigades territoriales de Vitry, de Thiéblemont-Farémont et de Fère-Champenoise, aidés d'un maître-chien et du Groupement d'intervention régional (GIR), ont appréhendé à leur domicile deux hommes âgés de 33 et 25 ans.
L'un habitait Vitry-le-François, l'autre à Courdemanges.
Ils ont également interpellé une femme de 24 ans, résidant dans le canton de Thiéblemont-Farémont.
Revendeurs et consommateurs
Tous trois se seraient fournis pour des quantités importantes d'héroïne auprès de la tête de réseau arrêté la semaine précédente - un Vitryat de 21 ans qui partageait un appartement avec son amie dans le quartier Rome Saint-Charles, à Vitry-le-François (lire l'union du 10 mars dernier).
Les trois revendeurs consommaient également de la drogue.
Chez l'un des hommes qui vivait à Vitry-le-François, les gendarmes ont d'ailleurs retrouvé un peu de cannabis.
Entendu pendant 48 heures, le trio a été présenté vendredi matin devant le juge d'instruction de Châlons-en-Champagne. Le revendeur résidant à Courdemanges a été incarcéré. Les deux autres ont été placés sous contrôle judiciaire.
Dans cette affaire, les militaires ont auditionné au total une quinzaine de personnes, essentiellement des consommateurs « pour matérialiser le trafic de stupéfiants ». Ce nouveau coup de filet dans le milieu de la drogue intervient près de quatre mois après l'arrestation de deux trafiquants, l'un à Vitry-le-François, l'autre à Bignicourt-sur-Marne.
Ces derniers auraient écoulé entre 2 et 5 kg d'héroïne par mois. « Nous continuons à travailler pour lutter contre ces trafics et l'économie souterraine qu'ils engendrent, déclare le commandant Martin de la compagnie de gendarmerie de Vitry. Nous sommes plus résolus que jamais ».
 
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/vitry-le-francois-nouveau-coup-de-filet-trois-revendeurs-de-drogue-arretes

dimanche 18 mars 2012

Ils roulent ivres et s’attirent des ennuis

Jeudi, à 18 h 50, les policiers de la brigade de contrôle technique ont interpellé, rue Arthur-Deroye à Dijon, un automobiliste dijonnais de 36 ans, avec un taux délictuel de 1,02 gramme d’alcool par litre de sang.
A 20 h 50, les policiers de la Formation motocycliste urbaine (FMU) contrôlaient, place Bossuet, un conducteur de 27 ans, demeurant à Saint-Apollinaire, avec un taux d’alcoolémie délictuel de 1,40 gramme.
Tous deux ont été remis à des tiers. Ils seront convoqués ultérieurement à la brigade des accidents et délits routiers.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, à 2 h 45, les policiers de la section de roulement ont arrêté, alors qu’il partait à pied, un automobiliste complètement ivre qui venait de percuter un véhicule en stationnement. Le taux d’alcoolémie de cet habitant de Gevrey-Chambertin a été établi à 1,50 gramme. Celui-ci a été en outre trouvé porteur d’un couteau.
Les policiers ont placé le contrevenant en cellule de dégrisement.

http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2012/03/18/ils-roulent-ivres-et-s-attirent-des-ennuis

Explosion d’une maison aux Sables : l’habitante est décédée

La femme de 90 ans, grièvement blessée dans l’explosion de sa maison, jeudi soir, aux Sables-d’Olonne, est décédée vendredi, vers 20 h, à l’hôpital.
Le sinistre, a priori dû au gaz, s’était déclaré, vers 20 h 45, impasse François-Bougniot, près du quartier de la gare, en plein cœur de la ville. Plus de 40 sapeurs pompiers avaient été mobilisés au plus fort de l’intervention. Ils avaient découvert la propriétaire de la maison, consciente, dans les décombres.
L’incendie s’était propagé à une maison mitoyenne inoccupée. Trois autres habitations, essentiellement des résidences secondaires, avaient été endommagées. Huit voisins avaient dû être relogés, dont quatre par la municipalité.
Des experts, sur place, depuis vendredi après-midi, poursuivent leurs investigations ce samedi, afin de déterminer les causes de l’explosion.

Un nouveau chien abattu de sang-froid

Un trou béant dans le dos, ce chien a été abattu à bout portant dans un bois isolé de Castelsarrasin. L'histoire aurait pu s'achever là. L'instinct de survie de ce border collet aura été plus fort. Un souffle de vie qui a permis à cet animal à l'article de la mort de ramper plusieurs centaines de mètres.
C'est à quelques pas de chez lui, chemin de Baqué, qu'un Castelsarrasinois, M. Belguiral a découvert la bête. « Il a eu le réflexe de le conduire immédiatement à la clinique vétérinaire de Prades, confirmait Ghislaine Laval, coresponsable du refuge canin de Saint-Béart. C'est très certainement ce qui a permis de le sauver. » Après une opération pour lui soustraire les plombs de sa carcasse et des soins intensifs, « Priska » semble donc être sortie d'affaire. « Selon le vétérinaire, sa survie est exceptionnelle, Priska, soumis à une forte fièvre et ensanglantée, aurait mis près de trois jours pour arriver jusqu'à son sauveur » attestait Michèle Fléta.
Depuis, la chienne a été prise en charge par l'Association des oubliés de Saint-Béart. « Elle est actuellement chez l'une de nos bénévoles qui lui donne des soins quotidiens pour la remettre droit sur ses pattes, assurait Michèle Fléta qui tout en lançant un appel au don, cherche désormais un nouveau maître pour la jeune chienne. « Tous les frais médicaux ont été pris en charge par le refuge canin… Et la facture est lourde, c'est la raison pour laquelle nous espérons que les amis

Un acte de barbarie ignoble

Une affaire qui révoltait les bénévoles du refuge canin. « C'est un acte de barbarie ignoble d'autant plus lamentable que son bourreau lui a tiré dessus à bout portant sans lui laisser la chance de s'enfuir. »
Une exécution qui leur rappelait une autre affaire survenue, en 2010, dans un secteur également isolé de la ville sous-préfecture (lire ci-dessous). « Le pire c'est que dans ces affaires, il nous est impossible de faire punir la cruauté de ses maîtres » indiquait avec dépit les deux responsables du refuge. « L'animal n'a ni tatouage, ni puce. Sans aucun élément pour l'identifier, déposer une plainte est inutile. » En l'espèce, la justice ne serait pas tendre avec le propriétaire indélicat. « Si donner la mort à un animal peut relever d'une simple contravention pouvant aller jusqu'à 1 500 €, confirme Me Alexandre Delord, avocat à Montauban. Les sévices sur animaux sont considérés comme un délit pouvant requérir jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende. »
Des sommes auxquelles il faudrait ajouter les plaintes déposées par les associations de protections des animaux qui réclameraient de lourds dommages et intérêts. « Désormais, il ne nous reste plus qu'à espérer qu'un voisin ou une personne connaissant la chienne ne se manifeste » certifiait Michèle Félta.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/18/1308869-castelsarrasin-un-nouveau-chien-abattu-de-sang-froid.html

Cuivre 900 mètres de câble téléphonique volés

Deux mois jour pour jour, un nouveau vol de câble téléphonique de la société France Télécom a eu lieu le long de la départementale 3 entre Jaulgonne et Chartèves. Dans la nuit de jeudi à vendredi, plusieurs malfaiteurs ont sectionné les câbles de télécommunication enterrés sur près de 900 mètres à partir de regards en béton.
Un mode opératoire identique aux premiers faits datant du 17 janvier. À l'époque, 400 abonnés avaient été privés de téléphone et d'Internet pendant une semaine, voire plus pour certains, le temps que France Télécom procède aux réparations du réseau.
Le nombre de victimes de ce nouveau vol restait encore à déterminer hier soir. Il est néanmoins certain que trois communes sont touchées, à savoir Jaulgonne, Mont-Saint-Père et Chartèves.
Le service de communication de France Télécom n'a pu être joint pour connaître l'étendue des dégâts et le temps nécessaire au rétablissement des lignes téléphoniques.
Les gendarmes de Condé-en-Brie sous le commandement de l'adjudant Freytag, en charge de l'enquête, invitent la population à redoubler de vigilance et à les prévenir en cas de comportement suspect.
 
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/sud-de-laisne-cuivre-900-metres-de-cable-telephonique-voles

samedi 17 mars 2012

Haute-Corse : cambriolage d’un centre de distribution des Restos du Cœur

Un centre de distribution des Restos du Cœur à Ghisonaccia (Haute-Corse) a été cambriolé et une partie des denrées alimentaires dérobée, privant 250 personnes de repas, a-t-on appris samedi auprès de la gendarmerie.
Les voleurs ont forcé la grille métallique d’une fenêtre de l’établissement et cassé une vitre pour y pénétrer, selon la même source.
La presse locale a rapporté que ce vol concernait des stocks de café, près de 300 boîtes de thon, des pâtes, du riz, des compotes, ainsi que des couches-culottes pour enfants et autres denrées.
La distribution du vendredi n’a pas pu se dérouler pour les quelque 250 personnes, qui s’y rendent habituellement.
Les gendarmes de la brigade territoriale de Ghisonaccia, en charge de l’enquête, n’ont pour l’heure aucune piste. « L’enquête de voisinage et les indices trouvés sur place n’ont pas permis de nous donner des pistes sur les auteurs de ce vol », ont-ils déclaré à l’AFP.
Début mars, des inconnus avaient dérobé des ordinateurs et un camion frigorifique dans un centre de distribution des Restos du Cœur à Besançon, empêchant un millier de familles de recevoir leur repas
http://www.bienpublic.com/faits-divers/2012/03/17/haute-corse-cambriolage-d-un-centre-de-distribution-des-restos-du-coeur

Ivre et impatient, le conducteur klaxonne la voiture de police

Il est 4h30, vendredi, quand un automobiliste circulant rue Poulain-Corbion, à Saint-Brieuc, se retrouve coincé derrière un véhicule qui n'avance pas assez vite à son goût. Perdant patience, il se met à klaxonner. À sa grande surprise, au lieu d'accélérer, la voiture devant lui s'arrête net. Plusieurs hommes en sortent et viennent à sa rencontre. Ce sont des... policiers de la Brigade anticriminalité (Bac) qui patrouillaient en ville.

Conduit au commissariat, ce Briochin âgé de 67 ans a tout d'abord refusé de se soumettre au contrôle d'alcoolémie. Avant de souffler à 1,68g, près de cinq heures plus tard. Il sera jugé le 4 mai pour conduite sous l'empire de l'alcool en état de récidive. Son véhicule a été placé en fourrière. 


http://www.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/saint-brieuc/ville/saint-brieuc-ivre-et-impatient-le-conducteur-klaxonne-la-voiture-de-police-17-03-2012-1635583.php

Feu de cellier dans un immeuble des Chaumes

Les pompiers de Montauban ont été appelés hier matin vers 10 h 25 pour un début d'incendie qui avait pris naissance au premier étage d'un immeuble de la rue Jean-Bart. Les soldats du feu se rendaient sur place avec un fourgon-pompe tonne et la grande échelle car l'appel reçu au CTA/CODIS 82 n'indiquait pas précisément la localisation de l'incendie. Le sinistre était rapidement placé sous contrôle et pour écarter tous risques les pompiers arrivaient sur site avec une caméra thermique pour localiser les zones encore à surveiller. Vers midi trente, le dispositif de surveillance état levé.(Photo DDM: Chantal Longo)

Nouveau feu de poubelles rue Jean-Jaurès

En début d'après-midi nouveau départ de la caserne en direction du 23 de la rue Jean-Jaurès avec encore un feu de container. Sinistre inquiétant car un incendie identique s'était développé dans le local à poubelles il y a moins de deux semaines entraînant l'évacuation des 25 locataires (six familles) et surtout la blessure de deux personnes ayant sauté du premier étage. 

 http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/17/1308576-feu-de-cellier-dans-un-immeuble-des-chaumes.html

Mably: une collégienne échappe à une tentative d'enlèvement

Victime d’une agression, une collégienne de 14 ans a échappé, jeudi après-midi, aux griffes d’un homme, grâce à l’intervention d’un jogger
L'adolescente, âgée de 14 ans, est scolarisée au collège Louis-Aragon à Mably, dans l’agglomération du Grand-Roanne.
Alors qu’elle se trouvait à quelques centaines de mètres du collège, la jeune fille a été accostée par le chauffeur d’une fourgonnette de couleur blanche.
C'est un jogger, qui passait par là, qui a mis en fuite l'agresseur

http://www.leprogres.fr/actualite/2012/03/16/roanne-une-collegienne-echappe-a-une-tentative-d-enlevement

Il frappe un CRS au visage : 11 mois de prison ferme

Mercredi à 22 h 20, une patrouille de policiers aperçoit plusieurs individus, derrière le Palais des Sport de Saint-Quentin. Tous ont passablement bien bu et sont en état d'ivresse. Les fonctionnaires, aidés des CRS, décident de les contrôler.
Parmi les six personnes appréhendées, un individu est particulièrement excité. Il se rebelle, s'avance vers un CRS et le frappe d'un violent coup de poing au visage tout en le menaçant de mort. Le représentant des forces de l'ordre sera blessé à la bouche. Maîtrisé, le Saint-Quentinois, âgé de 27 ans, est placé en garde à vue. Hier en début d'après-midi, il était présenté devant le parquet et a fait l'objet d'une comparution immédiate en justice, pour rébellion, outrages et menaces de mort. Il écope de 11 mois de prison ferme avec une peine adaptée (il devra porter un bracelet électronique). De plus il prendra également 16 mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/il-frappe-un-crs-au-visage-11-mois-de-prison-ferme

vendredi 16 mars 2012

Une octogénaire attaquée chez elle durant la nuit

Ils s'en sont pris à bien plus faible qu'eux. Trois hommes sont entrés par effraction, dans la nuit de mercredi à jeudi, chez une Lambersartoise de 84 ans. Ils étaient cagoulés, gantés. Ils sont passés par les jardins, à l'arrière des maisons voisines. Il semble même qu'ils se sont servis de l'échelle d'un voisin pour passer d'un terrain à l'autre. Ensuite ils ont forcé une fenêtre, ont monté l'escalier et ont débarqué dans la chambre à coucher de l'octogénaire.


Celle-ci a été surprise dans son sommeil : « Quand je les ai vus, j'ai crié "Au voleur !", "Au secours !" ; alors, ils ont mis la main sur ma bouche pour que j'arrête de crier. Ils m'ont dit : "Si tu ne te tais pas, on te tue". » Puis les malfaiteurs ont fouillé dans la chambre de cette dame. Après avoir trouvé ses économies, ils sont repartis par la porte principale de l'habitation. La victime a été légèrement blessée au visage. Un médecin du Samu a examiné les ecchymoses sur son visage et sur ses bras. Elle a refusé d'être emmenée à l'hôpital.

Le 29 février déjà, un homme de 85 ans a été victime d'une attaque similaire, à Mons-en-Baroeul. C'était cette fois aussi vers minuit : deux malfaiteurs au visage découvert sont entrés par effraction chez lui, l'ont plaqué au sol, puis frappé et ligoté. Ils ont volé sa voiture, sa télévision et sa carte bancaire avant de prendre la fuite.
La nuit ou au petit matin

Les home-jacking, ou attaques à domicile, sont particulièrement nombreux ces dernières semaines. La plupart du temps, ils se produisent durant la nuit, voire au petit matin. Parfois les malfaiteurs cherchent à voler une voiture (souvent de grosse cylindrée) dans le but de commettre, plus tard, un braquage. D'autres fois, ils réclament de l'argent ou emportent du matériel facilement revendable. La Sûreté urbaine de Lille est la plupart du temps saisie pour enquêter sur ces faits violents
http://www.nordeclair.fr/Actualite/2012/03/16/une-octogenaire-attaquee-chez-elle-duran.shtml

Il lui fracture le bras lors d'une dispute

La scène s'est déroulée dans la soirée de lundi, tard, dans une rue du centre ville. Un couple, tous deux âgés d'une cinquantaine d'années, s'est disputé dans leur appartement. L'homme a frappé la dame, l'a saisie par le bras avec une force telle qu'elle a été victime d'une fracture au bras gauche, entraînant 14 jours d'invalidité.
Le lendemain, mardi, cette dame a été porter plainte au commissariat.
Mercredi son compagnon a été interpellé par les policiers et placé en garde à vue à Saint-Gaudens. Il devait être déféré hier au parquet de Toulouse où il a été entendu en comparution immédiate.
Verdict : une peine de prison assortie du sursis et deux ans de mise à l'épreuve.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/16/1307705-il-lui-fracture-le-bras-lors-d-une-dispute.html

Les braqueurs s’emparent de 132 palettes de parfum

Le perpétré mercredi soir dans la zone industrielle de Torcy, fait partie des plus gros casses de ces derniers mois. Les braqueurs, au nombre de six ou huit, sont repartis avec deux semi-remorques de 38 t chargés de 132 palettes de parfum de la marque Lancôme, pour femme. Le montant du préjudice est estimé à 800000 €. Un braquage de professionnels sans bavure, dont le directeur général a fait seul les frais.

A 18h30 deux semi-remorques précédés par un fourgon blanc entrent dans la cour de l’entreprise Dupuis & Associés — qui fabrique et conditionne du parfum, fournit des instituts de beauté, des détaillants… — rue des Epinettes, dans la zone d’activité industrielle de Torcy. Les chauffeurs, habillés de chasubles fluorescentes, reculent les camions jusqu’au quai. Trois hommes au moins du commando sont
de pistolets. Tous portent une cagoule et des gants.

Le patron doit lui-même charger la totalité des marchandises

Malgré la mention « Télésurveillance 24 heures sur 24 avec intervention physique » placardée sur la porte d’entrée, deux d’entre eux se dirigent droit vers le bureau du directeur général. Ils somment le patron, âgé de 57 ans, de leur dire où sont entreposés les cartons de parfum. Puis, sous bonne surveillance et à l’aide d’un transpalette, le dirigeant doit lui-même charger dans les camions les 132 palettes contenant des coffrets de luxe. Après quoi, pour être certains que ce dernier ne donnera pas l’alerte trop tôt, les hommes le menottent sur un transpalette. Il réussira à se libérer et à prévenir les secours vers 19h45. L’antenne de la police judiciaire de Meaux a été chargée de l’enquête.

Il faut remonter à mars 2011 pour recenser un braquage de cette ampleur chez un fournisseur de boutiques duty free à Mitry-Compans. Le commando d’alors avait emporté quelque trente palettes de cartouches de cigarettes, de cigares, de parfums et de vins. Ceci, après avoir séquestré la vingtaine de salariés de l’entrepôt de logistique Kuehne & Nagel. En novembre dernier, un autre commando avait fait main basse sur un million d’euros de maroquinerie de luxe à Croissy-Beaubourg. Mais cette fois, la marchandise avait été retrouvée un peu plus tard dans un hangar situé au Pin, près de Chelles.
http://www.leparisien.fr/chelles-60350/les-braqueurs-s-emparent-de-132-palettes-de-parfum-16-03-2012-1907925.php

Frédérique Niay rattrapée par la justice

Revenue en France l'été dernier, Frédérique Niay risque de repartir en Espagne, où elle a été condamnée pour trafic de drogue.

«JE n'ai aucun intérêt à me rendre sur place, et que ce soit clair, je ne le ferai pas. » En août dernier, la Laonnoise Frédérique Niay s'exprimait en ces mots dans nos colonnes, en évoquant son procès en Espagne. Malgré son absence lors de l'audience, les juges ibériques l'ont condamnée. Et récemment, la justice l'a rattrapée.
D'après nos sources, des fonctionnaires de la police judiciaire sont venus frapper à la porte de son domicile laonnois, il y a quinze jours. La mère de famille, âgée de 44 ans, a juste eu le temps de téléphoner au père de son fils pour qu'il vienne le récupérer. Contacté, ce dernier n'a pas souhaité réagir.
Son ancienne compagne a été, pour sa part, conduite au quartier femmes de la maison d'arrêt d'Amiens. Elle pourrait être extradée vers l'Espagne, pays où elle a été condamnée à plusieurs années de prison ferme pour trafic de drogue. Dans ce cas, elle pourrait être jugée de nouveau par un tribunal espagnol.
Cette issue pour la Laonnoise intervient près d'un an après le début de son cauchemar. L'année dernière, Frédérique Niay a affirmé avoir fait confiance à son petit ami Faouzi, âgé de 28 ans, qu'elle avait rencontré à Laon. Ce dernier lui a proposé un voyage au Maroc, dont il est originaire. Le séjour était censé être une virée en amoureux. Le rêve a pris fin le jour du retour, prévu en France le 26 mars 2011. Le cousin de Faouzi, un Français d'une vingtaine d'années, reconduisait alors l'Axonaise vers l'Hexagone en voiture.
Au passage à la douane, entre le Maroc et l'Espagne, les fonctionnaires découvrent que le véhicule est bien lourd : 62 kg de cannabis sont alors découverts. La Laonnoise a beau clamer son innocence, elle est emprisonnée à la maison d'arrêt de Melilla, enclave espagnole située sur le territoire du Royaume.
Environ deux mois plus tard, le cousin en question aurait indiqué aux juges que la Française était innocente. La justice espagnole a alors annoncé que la Laonnoise est libérable sous caution. Ses proches organisent des soirées et des collectes diverses pour financer son retour. En quinze jours, 2 700 euros sont récoltés sur les 9 500 euros nécessaires à la libération de Frédérique. Mi-juillet, un mystérieux donateur laonnois se propose de payer la différence. Quinze jours plus tard, la quadragénaire retrouve le sol français.
« Tout le monde lui avait dit : « Revenez pour votre procès ! » », commente une source espagnole. L'avertissement, Frédérique Niay l'a reçu, entre autres, des autorités consulaires, avant de prendre l'avion pour la France après ses quatre mois de détention. Les soutiens de Frédérique Niay avaient même réservé le billet d'avion pour qu'elle retourne en terre espagnole, en septembre, pour une audience.
Aujourd'hui, la plupart de ceux qui ont plaidé sa cause déchantent. « Son comportement après son retour a beaucoup déçu », commente un proche, sans en dire plus. En résumé, la Laonnoise ne bénéficiera plus du soutien qu'elle a reçu jusqu'à maintenant.
Le risque de retourner en prison a vraisemblablement poussé Frédérique Niay à rester sur le territoire français. « Les juges ont dû avoir l'impression qu'elle se moquait d'eux. Du coup, ils ont été beaucoup plus sévères. » D'après nos informations, les magistrats espagnols l'ont condamnée à une peine de cinq ans de prison ferme. Son « complice » a écopé, quant à lui, d'une peine de trois ans et demi.
Quant à son petit ami, Faouzi, il a toujours nié être au courant pour la voiture remplie de drogue. Recherché pour purger une condamnation à une peine de prison par le tribunal correctionnel de Laon, il a été arrêté en région parisienne, il y a un peu plus de six mois.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/frederique-niay-rattrapee-par-la-justice