lundi 30 avril 2012

Incendie à Saint-Etienne: elle saute de la fenêtre pour échapper aux flammes

Ce matin, peu avant 8 heures, un incendie s'est déclaré au premier étage d'un appartement situé 10 rue Mi-Carême, dans le centre de Saint-Etienne. L'occupante des lieux, une femme d'une quarantaine d'années, a sauté de la fenêtre pour échapper aux flammes. Elle s'est grièvement blessée aux jambes mais ses jours ne sont pas en danger.
Quatre autres personnes ont été légèrement incommodées par les fumées: un couple de personnes âgées qui habitent dans l'appartement situé au-dessus, et deux policiers qui ont procédé à leur évacuation.
Malgré les efforts d'une quarantaine de pompiers, le logement a été totalement ravagé par les flammes. L'origine du feu est pour l'instant inconnu.

http://www.leprogres.fr/actualite/2012/04/30/incendie-a-saint-etienne-elle-saute-de-la-fenetre-pour-echapper-aux-flammes

2 morts et 1 blessé dans un incendie

Un père de 46 ans et son fils de 15 ans ont péri dans la nuit de dimanche à lundi dans l'incendie d'une maison à Messanges (Landes), a-t-on appris auprès des pompiers.
Une troisième personne, un homme dont l'âge n'a pas été précisé, a été légèrement blessée et prise en charge par le Service mobile d'urgence et de réanimation (Smur), selon la même source. L'incendie, dont l'origine est encore indéterminée, s'est déclaré vers 02H40 et a entièrement ravagé cette maison de 150 m2, a-t-on ajouté.

Une enquête de gendarmerie est en cours.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/30/97001-20120430FILWWW00430-2-morts-et-1-blesse-dans-un-incendie.php

Un jeune homme se jette sous le train

Un jeune homme de 21 ans s’est donné la mort dimanche peu avant 21 heures en se jetant sous un train à proximité d’un tunnel situé à l’entrée de Voiron. Le jeune garçon s’était fait accompagner à la gare SNCF par un proche en expliquant qu’il allait rejoindre des amis. Mais peu après, il s’est dirigé vers le tunnel et s’est jeté sur les voies au moment où le train Lyon-Grenoble surgissait. Selon nos informations, le jeune homme était fragile psychologiquement et était suivi pour une dépression. Les services de police ont procédé aux constatations. Le trafic ferroviaire a été très perturbé pendant toute la première partie de nuit.

http://www.ledauphine.com/isere-sud/2012/04/30/un-jeune-homme-se-jette-sous-le-train

Braquage dans une boucherie

Un vol à main armée s’est produit samedi soir peu avant 20 heures dans une boucherie de l’avenue Général-de-Gaulle au Pont-de-Claix.
Un homme encagoulé, ganté et porteur d’une arme de poing, a fait irruption dans le commerce où le boucher et une employée étaient toujours présents. Le malfaiteur les a menacés avec son arme avant de s’emparer de la caisse enregistreuse qu’il a projetée au sol pour qu’elle s’ouvre. L’homme a ensuite pris la recette du jour avant de s’enfuir par la porte arrière du magasin.
Le butin serait de plusieurs centaines d’euros.
Les gendarmes de la brigade du Pont-de-Claix et leurs collègues de la brigade des recherches de Grenoble sont en charge de l’enquête sur ce braquage.

http://www.ledauphine.com/isere-sud/2012/04/29/braquage-dans-une-boucherie

Carambolage Trois véhicules impliqués

Un spectaculaire carambolage entre trois véhicules a eu lieu vendredi vers 19 heures, sur la départementale 67 reliant la ville de Saint-Quentin à la commune de Morcourt. En ligne droite, trois voitures se suivent, il semblerait que la première ne circule pas assez vite tout au moins au goût des deux autres automobilistes qui la suivent. Le conducteur de la seconde voiture décide d'effectuer un dépassement. Pas de chance, au même moment le chauffeur du troisième véhicule entreprend, lui aussi, de doubler. Les trois voitures se percutent et si les dégâts matériels sont importants, aucun blessé sérieux n'est à déplorer.
Prévenus les gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Quentin, se sont rendus sur les lieux et ont établi les constats d'usage tout en assurant la sécurité des autres usagers de la route.
La circulation a été perturbée le temps des secours et de l'enlèvement des véhicules accidentés.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/morcourt-carambolage-trois-vehicules-impliques

dimanche 29 avril 2012

Un Quick braqué dans l'Essonne

Un fast-food Quick de Viry-Châtillon ,dans l'Essonne, a été la cible d'un braquage dans la nuit de vendredi à samedi par deux individus, qui se sont emparés d'un butin de près de 2.000 euros après avoir ligoté trois des employés du restaurant, a-t-on appris samedi de source policière.
Vers 00H45, deux malfaiteurs, visages dissimulés, ont profité de l'heure de la fermeture pour pénétrer à l'intérieur du restaurant. Ils ont ensuite ligoté trois des employés présents sur les lieux avant de menacer un quatrième avec une arme de poing.
Les deux individus ont ensuite raflé le contenu du coffre du fast-food avant de prendre la fuite à bord d'un véhicule. L'enquête a été confiée à l'antenne de la police judiciaire d'Evry.

Un Parisien, trafiquant de cocaïne, gardé en prison

Il voulait voir le Legalize Tekno, sauf qu'il avait des produits illégaux sur lui. Résultat, Ludovic Dufrenot, un Parisien de 31 ans, a découvert un espace plus clos que les pistes ouvertes du Teknival de Laon-Couvron en commençant, dès hier soir, à purger une peine de 18 mois de prison ferme pour infractions à la législation sur les stupéfiants.
Hier après-midi, il avait été repéré à la gare de Laon, lorsqu'il a laissé tomber un pochon à la vue du comité d'accueil de la police qui se trouve sur les quais. Interpellé aussitôt, l'homme venait de tenter de se débarrasser de 71 petites doses de cocaïne (50 grammes au total), qu'il comptait écouler sur ce festival de musique tekno. Pour un total estimé à 3 400 euros…
Sauf que c'est un total de 4 ans de prison qu'il a écopé, dont 18 mois ferme, étant en récidive pour toutes les charges : cession, transport et usage de stupéfiants. Soit exactement la peine demandée par le procureur de la République lors de cette comparution immédiate, hier après-midi, au tribunal correctionnel de Laon.
Un autre « marchand ambulant d'occasion », un Italien très connu pour graviter dans le milieu des stups en France, avait été intercepté, jeudi soir, au rond-point de Molinchart. Il avait sur lui 181 micropointes de LSD, ainsi que 30 grammes d'amphétamine. Il sera convoqué devant la justice ultérieurement.



http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-parisien-trafiquant-de-cocaine-garde-en-prison

samedi 28 avril 2012

Trois morts dans une collision entre deux voitures

Trois personnes ont trouvé la mort ce vendredi après-midi dans une collision entre deux voitures qui s’est produite sur une départementale à Epeugney (Doubs), a-t-on appris auprès de la gendarmerie et des pompiers.
Les trois victimes, toutes originaires de Chavagnes-les-Redoux (Vendée), sont un homme de 48 ans et deux femmes âgées de 45 et 74 ans. L’époux de cette dernière, qui se trouvait avec elle à l’arrière du véhicule, a été légèrement blessé.
Tous quatre se trouvaient dans un véhicule qui, selon des témoins, a été percuté de plein fouet par une autre voiture qui effectuait un dépassement. Le conducteur de cette voiture, âgé de 40 ans, a été grièvement blessé et transporté au Centre hospitalier régional et universitaire de Besançon.

http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2012/04/28/trois-morts-dans-une-collision-entre-deux-voitures

Il vole ses voisins « pour les embêter »

Comme les trains, une affaire judiciaire peut en cacher une autre…
Mercredi matin, vers 4 h 30, un cambrioleur s'attaque à la porte battante de la pharmacie de Bazancourt, commune marnaise limitrophe des Ardennes. Surpris par un témoin, il s'enfuit sans avoir eu le temps de pénétrer dans l'officine.
Les gendarmes se lancent à sa recherche. Grâce au signalement, ils finissent par localiser un suspect garé dans une rue du village. Il s'agit d'un habitant d'Aussonce, Franck Winisky, 34 ans, conducteur d'une Opel Agila qui ne lui appartient pas : la voiture a été volée durant la nuit à l'un de ses voisins, lequel se l'était fait dérober une première fois la nuit précédente, en même temps que la Skoda d'une voisine !


Cinq litres de bière dans le gosier
Les deux véhicules retrouvés dans la journée de mardi avaient pu être restitués aux victimes. Le voleur avait également mis la main sur une batterie, un sac à main, des bouteilles d'alcool ou encore deux téléphones portables.
Interrogé sur cette série de faits, le jeune homme a reconnu en être l'auteur. D'après ses déclarations, il s'en est pris à ses voisins « pour les embêter », ajoutant qu'il n'aurait « jamais fait ça à jeun ».
Lundi soir, veille des premiers vols, il a reconnu avoir consommé une dizaine de canettes de bière de 33 cl, soit trois litres de bière. Le lendemain soir, il aurait avalé une bouteille entière de calva avant d'ingurgiter 2,5 litres de bière avec un copain. L'Ardennais présentait d'ailleurs tous les signes de l'ivresse manifeste quand les gendarmes l'ont arrêté à Bazancourt.
Déjà condamné à cinq reprises pour des vols, Franck Winisky a fait l'objet d'une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims, hier après-midi, mais il a demandé un délai pour préparer sa défense. Le procès a été renvoyé au 21 mai, le prévenu remis en liberté sous contrôle judiciaire avec obligation de résider chez un membre de sa famille dans la Marne, de pointer une fois par semaine à la brigade de Witry-lès-Reims et d'entreprendre une cure de désintoxication.
Interdiction lui est faite de remettre les pieds chez lui à Aussonce et de rencontrer ses voisins jusqu'à la date du jugement.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/il-vole-ses-voisins-pour-les-embeter

vendredi 27 avril 2012

Perte de contrôle mortelle

Un accident s’est produit hier matin entre 5 h et 5 h 30 sur la départementale 400, à hauteur de la commune de Vitrimont. Un jeune homme de 22 ans, Romain Perrin, originaire de Lunéville et militaire à Draguignan, a perdu le contrôle de son véhicule pour une raison indéterminée, alors qu’il circulait dans le sens Dombasle-Lunéville. Son passager, du même âge, né à Lamath, et lui-même militaire dans le Sud de la France, a été blessé et transporté à l’hôpital de Lunéville par les sapeurs-pompiers. Les gendarmes de la brigade de Lunéville étaient sur les lieux pour les constats d’usage.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/04/27/perte-de-controle-mortelle

Paris : l'appartement de l'épouse d'un prince grec cambriolé

Des cambrioleurs sont parvenus à s'introduire dans l'appartement de l'épouse de Michel de Grèce, dans la VIIe arrondissement à . Le cambriolage a été constaté, le 1er avril, par la victime. Les malfrats ont fouillé les lieux avant de prendre la fuite après avoir mis la main sur un important lot de bijoux.

Le préjudice est estimé à près de 250 000 €. Les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme (BRB) ont été chargés des investigations.


http://www.leparisien.fr/faits-divers/paris-l-appartement-de-la-femme-d-un-prince-grec-cambriole-27-04-2012-1974346.php

Au moins 100 000 € détournés aux Janves

Stupeur aux Ateliers des Janves. Une plainte a été déposée pour détournements. Un employé aurait fait main basse sur plus de 100 000 euros.

LA plainte a été reçue mardi par le parquet de Charleville. Et dès hier, une enquête a été confiée au Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Reims, dont une section est spécialisée dans la délinquance financière.
La direction des Ateliers des Janves a saisi la justice après avoir mis au jour un détournement portant sur au moins 100 000 euros (les investigations permettront de préciser le montant des sommes en cause).
De source judiciaire, on précise que serait dans le collimateur un employé de l'entreprise (un « col blanc » comme on dit) et que les faits auraient couru « sur deux ans ».
Hier, la direction de la société s'est refusé à confirmer ou infirmer l'information.

Volumes modestes
Il n'empêche : depuis quelques jours, la rumeur courait Bogny et dans toute la vallée de la Meuse : une drôle d'affaire avait été découverte aux Ateliers des Janves, une entreprise qui est une des vitrines de l'industrie ardennaise.
« Depuis 1925, les Ateliers des Janves forgent et estampent des pièces pour l'industrie automobile, ferroviaire, agricole et mécanique. ADJ est le premier fabricant autonome de bielles en France et le fournisseur des principaux constructeurs automobiles et équipementiers européens », lit-on sur le site officiel de la société, basée sur la zone de Braux.
En 2010, les Ateliers des Janves ont réalisé 65,7 millions de chiffre d'affaires pour un résultat de 117 000 euros.
L'effectif est d'un peu plus de 220 salariés. On ignore évidemment encore les moyens utilisés par l'employé indélicat qui a escroqué l'entreprise, mais le fait que les détournements se soient étalés sur deux ans laisse à penser que les « ponctions » étaient de volumes modestes (pour ne pas attirer l'attention des supérieurs lors des bilans comptables). Mais leur répétition a fini par peser pour que le pot aux roses soit in fine découvert.
On ignore tout autant, alors que l'enquête débute seulement, les motivations de l'auteur…
Pour l'heure, le préjudice fût-il important, la surface financière de l'entreprise permet de penser que sa pérennité n'est, heureusement, en rien mise en cause. Malgré la crise, malgré des donneurs d'ordre de plus en plus exigeants (en terme de prix) dans le secteur automobile, les Janves ont retrouvé en 2011 leur niveau d'activité de 2008, notamment grâce à la mise en service d'une nouvelle ligne de production entièrement automatisée.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/au-moins-100-000-%E2%82%AC-detournes-aux-janves

jeudi 26 avril 2012

Mort d'un bébé en 2005 : l'hôpital de Beauvais condamné en appel

En mars 2005, une petite fille de 14 mois souffrant d'une forme de méningite était décédée à l'hôpital de Beauvais (Oise), à la suite d'une erreur de diagnostic. La cour administrative d'appel de Douai vient de condamner l'établissement pour négligence, a-t-on appris jeudi auprès de l'avocate de la mère de l'enfant, confirmant une information du Courrier picard.
Souffrant d'une forte fièvre, l'enfant est d'abord examinée par un premier interne en fin de matinée, qui ordonne plusieurs test sanguins, dont une analyse de la procalcitonine, qui permet de déceler les infections bactériennes ou virales. Ayant terminé sa garde, il confie le cas à un second interne, qui décide de renvoyer la petite fille chez elle vers 14h30. «Les résultats des tests sanguins montraient pourtant que le taux de procalcitonine de la petite étaient vingt fois supérieur à la normale», explique Me Naldi Varela, avocate de la famille.

La mère du bébé déboutée en 2010

«On ne sait pas si l'interne a négligé de regarder ce test ou bien s'il a choisi de ne pas en tenir compte dans la mesure où il était encore expérimental à l'époque, toujours est-il que la petite est rentrée chez elle avec une prescription d'Advil et que quelques heures plus tard, son état s'est aggravé et elle est décédée dans la soirée», ajoute l'avocate. Or, ajoute-t-elle, «si elle avait été diagnostiquée à temps, elle aurait eu 70 à 80% de chances de survivre».

Estimant l'hôpital est responsable du décès de sa fille, la mère du bébé avait saisi le tribunal administratif d'Amiens en 2007. Elle a été déboutée en 2010. Mais le 12 avril, «la cour d'appel administrative de Douai a estimé que la négligence dans l'acte de diagnostic commise par l'interne était de nature à engager la responsabilité de l'hôpital».

L'établissement a été condamné à verser des dommages et intérêts à la famille de l'enfant, a indiqué Me Naldi Varela. «La mère n'a pas voulu que le montant des dommages soit rendu public, car pour elle, ce n'est pas ça qui est important, mais le fait que l'hôpital soit condamné et jugé responsable de la
de sa fille», a déclaré l'avocate.
http://www.leparisien.fr/societe/mort-d-un-bebe-en-2005-l-hopital-de-beauvais-condamne-en-appel-26-04-2012-1972868.php

Un garagiste rethélois arrêté pour la 5e fois au volant sans permis

Tribunal correctionnel/ Sur la main courante de la session d'hier : un déménagement qui dégénère, une « cuite » qui dérape et un vendeur de voitures toujours sans permis de conduire.

SURVÊTEMENT noir et sweat à capuche blanc, voilà Jason. Ce grand gaillard de 21 ans en fait presque dix de plus.
Début avril, au domicile de sa mère à Nouzonville, il aidait à déplacer quelques meubles. Un matelas échappé occasionne une remarque désobligeante de cette dernière à son encontre.
Jason voit rouge : « De toute façon, je vais vous bousiller avec une hache ». Et d'enchaîner les menaces.
Sa mère, accompagnée de sa sœur et du mari de celle-ci, prend l'affaire au sérieux et file se réfugier chez les voisins.
Jason n'est pas calmé quand les gendarmes arrivent. Six condamnations inscrites au casier de ce natif de Charleville, dont quatre pour violences. Quatre ans plus tôt, il avait frappé sa mère.
A la barre, l'élocution est difficile. « Bon, c'est ma mère mais je ne lui pardonnerai pas d'avoir appelé les gendarmes », dit-il.
Le président fronce les sourcils : « Ah, c'est un peu curieux, ce que vous nous dites… C'est votre mère, la victime ! »
Suite à une lourde chute lorsqu'il avait 6 ans, Jason, placé en famille d'accueil à 10 ans, s'est vu diagnostiquer un « trouble du comportement ». Le jeune homme n'a ni emploi, ni formation, ni revenus.
Epaulée par sa sœur, la mère sanglote : « Je ne veux pas d'argent, je veux juste qu'il comprenne le mal qu'il a fait ».
La substitut du procureur, au terme de ses « réquisitions inquiètes », réclame douze mois de prison - dont six avec sursis - avec des obligations de soins, travail et interdiction de voir sa mère. Ce que le prévenu réclame également.
L'avocate de Jason griffe le ministère public : « Concernant cette affaire, si vous êtes inquiète, moi je suis très triste ! […] Ce jour-là, il voulait faire plaisir à sa mère, il est toujours en attente d'être aimé et estime, peut-être à tort, qu'il est rejeté par sa famille ».
Déclaré coupable, Jason écope d'un an de prison - dont dix mois avec sursis - avec obligations de soins et interdiction d'entre en contact avec les victimes.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/un-garagiste-rethelois-arrete-pour-la-5e-fois-au-volant-sans-permis

mercredi 25 avril 2012

Condamnée pour mendicité

On pouvait s'en douter. Une jeune Roumaine de 24 ans ne s'est pas rendue à l'audience du tribunal de proximité de Castres où elle était convoquée hier matin. Elle devait répondre « d'occupation abusive du domaine public et sollicitations et quête à l'égard des passants ». En résumé, elle faisait la manche et tombait donc sous le coup d'un arrêté municipal « anti- mendicité » pris par le maire divers droite Pascal Bugis. La jeune femme a été contrôlée et verbalisée huit fois en un peu plus d'un mois par la police municipale castraise, toujours au même endroit, à différentes heures de la journée, devant un supermarché de la rue Camille-Rabaud, près de l'Albinque, en centre ville de la sous-préfecture tarnaise. La mendiante a finalement été condamnée par défaut à 10 € d'amende par infraction, soit 80 € d'amende. Le ministère public avait requis 20 € par infraction

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/25/1338715-condamnee-pour-mendicite.html

Un écolier asperge un autre enfant à coup de lacrymo

« Il paraît qu’hier, il y a eu une agression dans le bus avec une bombe lacrymogène. C’est inquiétant. » Voilà le style de propos que l’on pouvait entendre ce mardi, à la sortie de l’école Laurent Molliex, en centre-ville de Cluses. Une inquiétude, formulée par une maman attendant son enfant, vraisemblablement légitime, au regard des faits qui ont eu lieu lundi aux alentours de 16 h 40.
À ce moment-là, deux enfants, âgés d’une dizaine d’années, chahutent avant de montée dans le bus de transport scolaire d’une société clusienne qui récupère les écoliers de plusieurs établissements scolaires distincts et les déposent ensuite dans divers quartiers du centre-ville et des alentours.
Soudain, à l’intérieur du véhicule, l’un d’eux a sorti une bombe lacrymogène et aspergé l’autre. Tous les enfants présents à ce moment-là ont "profité" de la projection de gaz.

Que faisait cet enfant avec une bombe lacrymogène ?

« Heureusement, le chauffeur du bus a rapidement réagi et a fait sortir tous les écoliers pour aérer le véhicule » explique la maman d’un des enfants qui se trouvaient à l’intérieur.
Malgré cela, un bambin de 6 ans a été indisposé et s’est vu prescrire une ITT de 3 jours. Une plainte a été déposée en gendarmerie et une enquête a été ouverte pour violence avec usage ou menace d’une arme suivie d’une incapacité de moins de 8 jours.
Que faisait cet enfant avec une bombe lacrymogène ? Est-ce qu’il s’agit d’un fait purement accidentel ? Les enfants s’amusaient-ils ou pas ?
Autant de questions auxquels les enquêteurs devront répondre pour tenter de faire toute la lumière sur les circonstances exactes de cet incident. L’auteur présumé des faits ainsi que le chauffeur du bus devraient être entendus dans les prochaines heures. « C’est une ligne très calme sur laquelle nous n’avons jusqu’alors jamais eu aucun problème » assurait-on du côté de la société de bus. Même son de cloche à la ville de Cluses qui organise le service de transport scolaire. « Il s’agit d’une grosse bêtise pour laquelle l’enfant a déjà été réprimandé » confiait-on.

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2012/04/24/bus-scolaire-un-ecolier-asperge-un-autre-enfant-a-coup-de-lacrymo

Déchaînement de violence dans le quartier Wilson

REIMS (Marne). DES hurlements d'enfants, des pleurs inhabituels, des objets qui volent... Même s'il est habituel d'entendre du bruit dans cet appartement du quartier Wilson, un voisin a bien compris qu'il se passait quelque chose de grave dans la nuit de vendredi à samedi dernier. Il était environ 1 heure du matin lorsqu'il a appelé la police.
Sur place, les policiers ont découvert un homme vociférant, une femme enceinte, couverte de sang, blottie dans un coin de l'appartement, protégeant ses trois filles de 5, 8 et 11 ans. En caleçon, l'homme avait tenté de gagner une cabine téléphonique en bas de l'immeuble pour demander de l'aide.
Ce soir-là, le couple et ses trois enfants ont subi un véritable déchaînement de violence de la part d'une connaissance, Nadji Mandi, un Rémois de 22 ans, dont ils disaient même qu'il faisait partie de la famille.
C'est justement le motif de la venue de ce dernier, vendredi vers 23 h 30 au domicile du couple. Nadji Mandi, accompagné ce soir-là d'un ami, Abou Dabo, âgé de tout juste 18 ans, ne voulait surtout pas être affilié à cette famille. « Je ne voulais pas qu'ils disent que je suis de leur famille ! J'ai fait les vendanges avec eux il y a deux ans, j'ai bu un café avec eux, c'est tout... Elle (NDLR : la mère de famille), elle couche avec tout le monde. Elle fait des trucs malsains... Je leur ai dit d'arrêter de dire que j'étais de leur famille. Ça m'a pas plu. »
Déféré hier après-midi devant le tribunal selon la procédure de comparution immédiate, Nadji Mandi a expliqué avoir beaucoup bu ce soir-là... mais il savait ce qu'il faisait : « J'ai toqué à la porte, je suis entré... Son copain m'a bousculé, j'ai réagi en lui mettant trois claques. Elle, elle est arrivée sur moi comme une furie. Je sais qu'elle était enceinte, mais elle voulait me frapper. Alors je l'ai stoppée en l'attrapant à la gorge et je lui ai mis des claques pour qu'elle se calme... C'est tout, j'ai pas touché aux enfants ! »

Frappée au ventre
La version du couple et des enfants est tout autre. Nadji Mandi n'aurait pas fait que mettre des claques à la mère de famille, il lui aurait donné des coups de pied et de poing au visage et au ventre. Il aurait tiré les cheveux de leur fille de 11 ans, jeté un vélo sur celle de 8 ans et des chaussures sur la petite de 5 ans ! Les photos, les constatations en attestent, tout a volé dans l'appartement. Les meubles ont été saccagés, il y avait du verre partout... Surtout, le mari en est bon pour 9 jours d'ITT, son épouse 14 jours et leurs filles 9 jours ! Tous sont traumatisés.
Moins impliqué dans l'affaire, Abou Dabo, qui a déjà 12 condamnations à son actif, toutes par le tribunal des enfants, a indiqué avoir mis des claques au père, parce qu'il l'avait « traité de macaque. Après, je suis parti, je n'ai pas assisté à ce qui s'est passé dans l'appartement. »
Les vaines excuses de Nadji Mandi n'y ont rien fait. Hier soir, après en avoir délibéré, les deux prévenus (au regard de leur casier) ont tous deux été condamnés à deux ans de prison dont un an avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans, avec obligation de soins et d'indemniser les victimes. Un maintien en détention a également été requis à leur encontre.


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/dechainement-de-violence-dans-le-quartier-wilson

mardi 24 avril 2012

Disparition inquiétante d'une femme de 39 ans à Grasse

D’importants moyens ont été déployés dimanche et lundi, pour tenter de retrouver Karine Marino, disparue samedi soir à Grasse.

Âgée de 39 ans, cette mère de famille a quitté son domicile à pied, samedi en fin de journée, avant de faire parvenir des SMS inquiétants à son conjoint.

La jeune femme venait de séjourner dans un centre de soins psychiatriques.

Des patrouilles terrestres, ainsi que l’hélicoptère Dragon 06 tentent actuellement de retrouver la disparue. Un appel à témoin est lancé par le commissariat de Grasse en charge de l’enquête.

Contact police : 04.93.40.91.91

http://www.nicematin.com/derniere-minute/disparition-inquietante-dune-femme-de-39-ans-a-grasse.852406.html

Prison ferme pour des incendiaires

Deux habitants des Deux-Sèvres ont été condamnés à huit et six mois de prison ferme à Niort après avoir été pris d'une folie incendiaire mi-avril qui s'est soldée par la destruction de six véhicules dans le petit village apparemment sans histoires de Nueil-sur-Aubiers.
Michel, âgé de 59 ans et Julien, 19 ans, ont été respectivement condamnés à dix-huit mois de prison dont huit ferme et à un an, dont six mois ferme par le tribunal correctionnel de Niort, où ils étaient jugés en comparution immédiate.

Ils devront également indemniser les 31 victimes pour des dégâts estimés à au moins 200.000 euros. En trois nuits, du 10 au 14 avril, les deux hommes ont crevé les pneus d'une vingtaine de véhicules, incendié deux autres voitures et quatre cars de ramassage scolaire, calciné un hangar, la véranda d'une maison et détruit les volets et l'enseigne d'une pharmacie, le tout à l'aide d'un poinçon et d'un chalumeau.

A la barre, interrogés par la vice-présidente du tribunal Sylvie Bordat, ils n'ont pas su motiver leurs gestes, si ce n'est par leur alcoolisation et l'envie qu'aurait formulée la jeune compagne de Julien de voir "un feu d'artifice". Le maire de la commune, interrogé par l'AFP peu après les faits, n'avait pas davantage trouvé de justification à leur geste.

"C'est l'étonnement le plus total. Je suis scandalisé et excédé par ce genre d'actes", avait déclaré Philippe Brémond, évoquant une commune rurale paisible de 5.000 habitants, "pas habituée à ce genre d'actes".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/23/97001-20120423FILWWW00768-prison-ferme-pour-des-incendiaires.php

Il insulte les policiers au téléphone

Le moins que l'on puisse dire, dans cette affaire, c'est que l'amour et l'alcool ne font vraiment pas bon ménage.
Samedi soir, vers 21 heures, un jeune homme de 20 ans qui avait été éconduit par sa copine, a tout simplement décidé de le faire payer… à la police.
Cette idée lui serait venue en passant devant le commissariat, pour regagner son domicile.
Le jeune homme qui avait trop bu, s'est rendu dans la cabine téléphone située à côté de la gare.
À chaque fois qu'il décrochait le combiné, il composait le 17 (police secours) et gratifiait l'opérateur qui décrochait d'une salve d'insultes.
Au troisième outrage téléphonique, les policiers ont localisé la cabine d'où provenaient les appels. Une patrouille a donc pu cueillir l'amoureux transi qui a reçu une composition pénale devant le procureur de la République pour outrage à agent dépositaire de l'autorité publique.
C'est une procédure qui permet au procureur de la République de proposer une mesure alternative aux poursuites à une personne ayant commis certaines infractions.


http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/il-insulte-les-policiers-au-telephone

lundi 23 avril 2012

Saint-Quentin / Ivresse Au volant, il percute du mobilier urbain

Dans la nuit de vendredi à samedi, le conducteur d'une voiture a perdu toute maîtrise de son véhicule. Il a violemment percuté un panneau d'informations.
Les faits se sont produits place du 8-Octobre, à Saint-Quentin. Prévenus, les fonctionnaires du commissariat, situé à seulement quelques mètres du lieu du choc, se sont rendus sur les lieux.
Le conducteur, seul à bord, un Saint-Quentinois âgé de 24 ans, s'est révélé positif au test d'alcoolémie avec un taux de 1,56 gramme d'alcool par litre de sang.
Ramené au commissariat, il a été placé en cellule de dégrisement. Il devra s'expliquer devant la justice,


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/saint-quentin-ivresse-au-volant-il-percute-du-mobilier-urbain

dimanche 22 avril 2012

Dépressive, l’octogénaire saute du 2e étage de la maison de retraite

Hier matin vers 9 heures, un drame a failli se produire au sein du foyer résidence Les Tilleuls à Murviel-lès-Béziers.
Dépressive, une résidente de 85 ans a en effet tenté de mettre fin à ses jours en sautant par une fenêtre du 2e étage. Par chance, la victime n’a finalement fait qu’une chute de deux mètres de hauteur, tombant sur la terrasse du 1er étage.

Souffrant d’un lourd traumatisme de la hanche et d’une suspicion de fracture du bassin, elle a été évacuée au centre hospitalier de Béziers.
Ses jours ne seraient pas en danger.

http://www.midilibre.fr/2012/04/21/dma-depressive-l-octogenaire-se-jette-du-2e-etage-de-la-maison-de-retraite,489637.php

Double accident de poids lourds place Méhul : les camions devront désormais être bâchés

A la suite du double accident des fournisseurs de BST, place Méhul, la municipalité demande à la société , de mieux encadrer ses activités.

UNE semaine après le renversement d'un poids lourd de la société CETT de Rochefort (Belgique) sur une Renault C 5 à la place Méhul, des zones d'ombres demeurent concernant les causes de cet accident. Une chose est cependant sûre, la vitesse n'est pas en cause.
« Le camion est tombé presque au ralenti », indique Sandra Mabilat, riveraine de la place. Plusieurs témoins abondent dans le même sens.
Seule une faille mécanique pourrait expliquer le fait que ce camion ait basculé sous le poids de ses 18,5 tonnes de ferraille (7,5 tonnes dans le container et 11 tonnes dans la remorque).
Thomas Monseu en charge de la logistique de la société CETT n'émet qu'une seule hypothèse : « On pense que c'est le châssis du container qui s'est laissé aller. »
Il s'agit du premier accident du genre depuis l'ouverture de cette société de recyclage de Rochefort depuis 2001, date de l'ouverture de la société.
Chaque jour depuis trois ans la société livre 60 tonnes de ferraille provenant de PME belges à la société BST (Belgian Scrap Terminal) installée dans le port de Givet, spécialisée en recyclage de métaux. « On passe trois fois par jour », explique M. Monseu. Et il n'y a jamais rien eu jusqu'à ce fameux lundi 16 avril.
Il faut attendre les conclusions de l'expert de l'assureur Letecheur à Rochefort en début de semaine pour en savoir plus. La gendarmerie a aussi ouvert une enquête, toujours en cours, nous fait-elle savoir.
Riverains inquiets
Cependant, depuis ce nouvel accident de transporteurs de ferraille, les Givetois sont inquiets. La rédaction de notre journal a reçu quelques appels téléphoniques de riverains.
« Un jour, un piéton aura la gorge tranchée avec de la ferraille que transportent ces poids lourds », s'est alarmé un automobiliste cette semaine. Car en effet, certains fournisseurs de la société BST ne bâchent pas leurs marchandises.
La ferraille parfois coupante tombe quelquefois des containers et les deux accidents successifs des fournisseurs de BST (Belgian Scrap Teminal) - installée dans le port depuis mai 2009 - alimentent les inquiétudes.
Interrogée, la société BST décline toutes responsabilités. « Les camions ne nous appartiennent pas. Et nos fournisseurs organisent eux-mêmes leurs transports », explique la société.
Toutefois, BST devra être plus vigilante à l'avenir et demander à ses fournisseurs de bâcher leurs marchandises et à leurs chauffeurs de respecter les limitations de vitesse.
En effet, le géant du recyclage devra recevoir aujourd'hui ou au plus tard en début de semaine une lettre du maire de Givet dans ce sens.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/double-accident-de-poids-lourds-place-mehul-les-camions-devront-desormais-etre-bach

samedi 21 avril 2012

Un camion se renverse sur la départementale

Hier, vers 14 heures, un gros camion immatriculé dans la Haute-Garonne, a été victime d'un accident sur la départementale 622, entre le Rec de Nore et Sagnens, alors qu'il circulait en direction de Lacaune. Le chauffeur n'a pu empêcher son lourd véhicule de mordre le fossé et après une trentaine de mètres, le camion s'est couché pour s'immobiliser sur le côté droit de la chaussée.
Sur cette portion de route peu sinueuse et qui a été refaite récemment, il a suffi d'un moment d'inattention pour que le chauffeur perde le contrôle de son véhicule. Rapidement secouru par les sapeurs-pompiers de Lacaune, le chauffeur a reçu les premiers soins dans l'ambulance et s'en tire sans trop de gravité.
Les gendarmes de la communauté de brigades étaient sur les lieux pour sécuriser la circulation qui n'a pas été interrompue.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/21/1335731-un-camion-se-renverse.html

Il percute des ouvriers et prend la fuite

Un automobiliste a percuté jeudi deux ouvriers d'un chantier à Clamart (Hauts-de-Seine) et a pris la fuite avant d'être finalement interpellé à Paris, a-t-on appris vendredi de source policière. Légèrement blessés aux jambes, les ouvriers ont été conduits à l'hôpital Béclère de Clamart pour y subir des examens, a précisé la source.
L'automobiliste, un septuagénaire, a été interpellé dans le XIVe arrondissement de Paris et brièvement placé en garde à vue, a expliqué cette source. Lors des faits, le conducteur du véhicule aurait roulé dans une rue mise en sens interdit en raison de travaux. Les ouvriers auraient alors tenté de l'empêcher d'aller plus loin. Passablement énervé, l'homme aurait alors percuté les deux ouvriers, puis fait demi-tour avant de prendre la fuite, d'après la source policière.

Ils fabriquent des faux billets pour payer le découvert

Pour renflouer le compte familial, ils ont décidé tout simplement de frapper de la monnaie. Ils ont été condamnés à 16 mois de prison ferme pour l’un et 8 mois ferme pour l’autre.

MARTIAL DEMAGNY, 46 ans, et son beau-fils, Christopher Quint, 18 ans, risquaient chacun 30 ans de réclusion criminelle pour avoir fabriqué de la fausse monnaie. « Nous n'avons pas à faire à une criminalité organisée. » Le procureur Damien Savarzeix, qui n'a retenu que la détention et la mise en circulation de fausse monnaie, s'est cependant bien gardé de minimiser les faits. « On est très loin du vol chez Auchan », ironise-t-il.
Le beau-père, auto entrepreneur, a dû mal à joindre les deux bouts. Il ne sait pas comment rembourser le crédit de son camion qui lui permet de travailler.


Fabrication artisanale
L'idée va faire son chemin lorsqu'il a, par hasard, entre ses mains de faux billets de banque. Il se rend compte que c'est assez facile de les écouler.
Pour la technique, c'est le beau-fils qui s'y colle. Il photocopie un vrai billet de 50 euros sur une machine tout à fait ordinaire. Il va devoir s'y prendre à plusieurs fois, de multiples réglages pour imprimer recto/verso, pour jouer sur les couleurs d'impression afin de coller au mieux avec l'original. Des faux billets imprimés sur du papier A 4 ordinaire.
« Pour du travail artisanal, c'est tout de même pas mal imité, assure le procureur. Ensuite, vous menez une réflexion sur la meilleure manière d'écouler ces faux billets. » Le jeune se présente, lundi, à un guichet de la banque postale, place de la Basilique à Saint-Quentin. Un faux billet au milieu d'autres, qui eux, sont vrais. L'employé ne fait pas attention. La même journée, un autre faux billet est accepté dans un supermarché.
Engaillardis par ce premier coup d'essai fructueux, le duo de faussaires impriment d'autres faux billets. Au total, il y en aura dix-neuf : un seul de 20 euros, les autres sont des répliques de 50 euros. Le lendemain, il retourne à la même banque, choisit le même guichet, le même employé. Il est arrêté. « Entre-deux, la banque s'est bien évidemment rendu compte de la supercherie, explique une enquêtrice de la police judiciaire. Lorsque l'employé voit le jeune homme qui se présente à nouveau, iI a un doute, vérifie minutieusement chaque billet de banque contenu dans la liasse que ce client lui présente et se rend compte que certains sont faux et nous appelle. »


Christophe Quint ressort menotté de la banque postale. Ramené au commissariat, il est placé en garde à vue. Il nie, joue l'étonnement le plus total. Il dit qu'il travaille avec son beau-père et que c'est l'argent de l'entreprise qu'il déposait. Martial Demagny est à son tour placé en garde à vue. Lui aussi dit ne pas comprendre. Cet argent provient d'un commerçant ternois. Une version ubuesque qui ne tiendra pas longtemps. « Nous avons tout de même placé en garde à vue ce commerçant et perquisitionné son domicile et sa boutique », poursuit l'enquêtrice. C'est la raison pour laquelle celui-ci s'est porté partie civile. « Au-delà de la mauvaise image que cela me fait si l'on a vu débarquer les policiers à mon commerce, j'ai en plus loupé mes vacances au ski. »


« Ce sont des pieds nickelés. Ils n'avaient pas conscience de la gravité de leurs actes », a plaidé pour leur défenseur, Me Pascale Bonnard.
Le tribunal correctionnel de Saint-Quentin a suivi les réquisitions et a condamné Martial Demagny à trois ans de prison dont 18 mois de sursis avec l'obligation de travailler et d'indemniser la victime et Christopher Quint à deux ans d'emprisonnement dont 16 mois avec sursis.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/ils-fabriquent-des-faux-billets-pour-payer-le-decouvert

vendredi 20 avril 2012

Une ado de 15 ans frappée à coups de lattes par sa mère

Une Castelsarrasinoiss de 33 ans a été placée en garde à vue pour faits de violences aggravés sur sa fille. En effet, la mineure qui avait joint le 13 avril le « 119 », le centre d'appel d'aide aux victimes de violences, pour se plaindre de coups répétés, a été placée et examinée par un médecin lundi. Ce dernier lui ayant donné deux ITT, la mère a été convoquée. Durant son audition, cette dernière a confirmé avoir porté des coups à trois reprises (des gifles, des coups de poing au dos et plus grave des coups avec une latte en bois d'un sommier). Elle a été relâchée avec une comparution, en juin, devant le tribunal correctionnel de Montauban.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/20/1335219-castelsarrasin-une-ado-de-15-ans-frappe-a-coups-de-lattes-par-sa-mere.html

19 ans, proxénète, et en prison pour 3 ans

Le jeune Roumain, qui a été conduit hier matin par les policiers du commissariat de Béziers à la barre du tribunal de la présidente Ougier, est tout juste âgé de 19 ans. Il est arrivé en France au mois de décembre dernier et dès le mois de janvier, s’est lancé dans les affaires. Il a mis sa petite copine, 18 ans, sur le trottoir, "parce qu’elle est très belle et pouvait gagner beaucoup d’argent", et l’a prostitué.
Interdiction définitive du territoire

Il a été condamné pour cela à trois ans de prison, mais aussi à une interdiction définitive du territoire Français.
Claudia, la victime, a fait appel aux policiers pour lui venir en aide. Depuis quelque temps, elle avait appris que son “ami” avait l’intention de la vendre pour la somme de 1 000 €.
Depuis son arrivée en France au mois de janvier, l’idylle avait tourné court. C’est sur la route de Vendres et ou de Narbonne que la lune de miel entre les deux amoureux se déroulait sous la contrainte et les coups. La jeune victime gagnait tous les jours entre 250 et 300 € quelle devait remettre à son souteneur.
Tous les deux vivaient dans une caravane au camp de Bayssan. Le prévenu a assuré pour sa défense ne pas connaître la victime et vivre de la collecte de la ferraille.
"Elle rêvait d'autres relations"
Me Cagnès, pour la victime, revient très brièvement sur les faits. Puis assure : "Elle rêvait d’autres relations que celles que lui a imposées cet homme. Je ne le nommerais pas tant je trouve qu’il est abject. J’espère que vous ferez passer un message à tous ces salauds qui profitent de ces filles."
Il demandera et obtiendra 800 € de préjudice moral et 800 € de frais de justice.
Le procureur Puig ne sera guère plus tendre avec cet individu pourtant primo-délinquant. "La prostitution prend à Béziers des proportions importantes. Il avait promis beaucoup, elle a vite déchanté et a été contrainte tous les jours à se prostituer. Quand elle résistait, il frappait. Il assure ne pas la connaître et pourtant, lors d’un contrôle de la police, ils vivaient ensemble dans la même caravane. Cet homme vit de la prostitution."
L’avocate de la défense, Me Bialeck, malgré toutes ses tentatives ne parviendra pas à influencer le tribunal. "Elle indique qu’elle est violentée. Elle ne porte pas la moindre trace, même très ancienne. Il est le souteneur le plus idiot du monde s’il vole de la ferraille pour vivre alors que la prostitution peut lui assurer de confortables revenus. Je ne suis pas sûre qu’elle soit victime de celui-ci." Elle demandera la relaxe. En vain.

http://www.midilibre.fr/2012/04/19/19-ans-proxenete-et-en-prison-pour-3-ans,488781.php

Un homme retrouvé mort dans un chalet

Décédé depuis plusieurs jours, le corps sans vie d'Alain Pruvot, 60 ans, a été découvert lundi, en fin d'après-midi, par son ex-amie, dans le chalet en bois, qu'il occupait depuis peu à Vadencourt.
Il était sans domicile à la suite de la vente de sa maison de Bohain-en-Vermandois, et avait alors trouvé refuge dans ce petit chalet en bois situé rue Charles-Machin à Vadencourt donc.
Lundi, vers 17 heures, les pompiers de Guise sont appelés. L'ex-amie d'Alain Pruvot, venue lui rendre visite, l'a ainsi découvert sans vie. A leur arrivée, les secours n'ont pu que constater le décès.
Les gendarmes de la communauté de brigades de Guise se sont rendus sur les lieux. Un médecin a été appelé, il a conclu à une mort naturelle. Aucune autopsie n'a été demandée. Après enquête de gendarmerie, il semble que la mort remonterait à deux jours. Le maire adjoint de la commune, prévenu, s'était aussi rendu sur place. Hier c'est la famille du défunt qui était sur lieux.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-homme-retrouve-mort-dans-un-chalet

jeudi 19 avril 2012

Leur maison menace de s'effondrer et ils ne savent toujours pas où loger

« Obligés de partir comme ça, à 70 ans... », observait Danielle Deprez au moment de quitter sa maison, rue du Château, où elle vit depuis plus de 35 ans. Vendredi dernier, dans la soirée, elle et son concubin, Roger Pelletier, ont dû évacuer leur domicile, qui menace de s'effondrer.


Sur la façade, des fissures sont apparues. Contre le mur porteur droit, sur lequel s'appuyaient il y a encore un mois des maisons mitoyennes, des étais ont été posés. Mais c'est à l'intérieur qu'on prend conscience de la situation : le plafond de la cave, et donc le plancher du rez-de-chaussée, ne tiennent plus que grâce aux étais. Le mur de soutainement s'est affaissé d'une vingtaine de centimètres, entraînant une rupture des canalisations d'eaux usées. Au rez-de-chaussée, des fissures sur le carrelage, le plafond, la cheminée. Au premier, portes et fenêtres se ferment difficilement.
Depuis que les ouvriers du chantier de construction d'appartements et de garages, juste à côté, forent, le couple n'osait plus manger dans sa cuisine : « les casseroles s'entrechoquaient, tout tremblait ». Les vibrations, le voisin, qui habite deux maisons plus loin, les a aussi ressenties. Les experts devront déterminer si elles sont la cause des dégâts.


En attendant, Danielle Deprez et Roger Pelletier ne savent plus où aller. Ils ont été hébergés chez le fils de Danielle vendredi soir, puis ont pris une chambre d'hôtel à leurs frais à Tourcoing samedi et dimanche pour laisser leur chambre aux petits-enfants et être près de leur maison, qu'ils tiennent à surveiller.
« Ça ne va pas pouvoir durer »

Depuis lundi et jusqu'à demain, leurs nuitées sont prises en charge par l'assurance. « Et après ? », s'inquiète la retraitée.
« Tout le monde se démène pour nous, les services de la Ville cherchent un endroit où nous reloger, reconnaît-elle. Mais pour l'instant rien n'avance. » Leur avocat a demandé à l'assurance qu'elle débloque une réserve financière. « C'est bien beau l'hôtel, mais comment on fait pour se nourrir ? Entre les nuitées du week end et les repas, on en est déjà à 300 E. » Pour l'instant, avec leur petite retraite, ils s'en sortent, « mais ça ne va pas pouvoir durer. Comment ils font ceux qui n'ont rien du tout ? », se demande Danielle. Ils ont commencé à prospecter pour un meublé. « Mais on ne sait même pas à quel plafond de remboursement on a droit pour le loyer. » Tant que l'expertise et la contre-expertise n'ont pas été effectuées, ils ne savent même pas pour combien de temps ils doivent trouver un autre logement. « Ça peut être des mois, un an, deux ans, ça dépend s'ils décident de faire des travaux ou de la détruire complètement. » « Avoir travaillé toute sa vie pour acheter une maison et ne plus avoir à payer de loyers une fois à la retraite et se retrouver dans une situation pareille... », elle n'y croit toujours pas. « Le problème est tellement flagrant : j'ai cru qu'on allait pouvoir nous aider plus facilement », déplore-t-elle.

http://www.nordeclair.fr/Locales/Tourcoing/2012/04/19/leur-maison-menace-de-s-effondrer-et-ils.shtml

Policier tué à Vitrolles : les suspects devant le juge

Six des onze personnes placées en garde à vue dans le cadre de l'enquête sur le meurtre d'un policier à Vitrolles fin 2011, étaient en cours de présentation devant un juge d'Aix-en-Provence jeudi matin.

Ces personnes devraient être mises en examen pour, entre autres, "association de malfaiteurs", "assassinat sur personne dépositaire de l'autorité publique" et "tentative d'assassinat". Les cinq autres ont été libérées sans qu'aucune charge n'ait été retenue contre elles.

Un adolescent grièvement blessé par une moto

Hier, vers 19 heures, une moto qui circulait sur l’avenue de Romans, à Sassenage, à violemment percuté un garçon âgé de 14 ans. Selon nos informations, la moto remontait par la gauche une file de voitures quand elle a percuté à une vitesse modérée le jeune Sassengeois qui traversait l’avenue avec un groupe d’amis. Le conducteur de la moto, un homme originaire de la région parisienne en vacances dans le Vercors, a été légèrement blessé. Il n’a pas été hospitalisé. Le jeune piéton a en revanche été plus sérieusement touché. Pris en charge par les sapeurs-pompiers et médicalisé par une équipe du Samu, il a été transporté au CHU Michallon de Grenoble-La Tronche où il a été admis dans le service de déchocage dans un état jugé grave. L’avenue de Romans a été totalement coupée durant une partie des opérations de secours avant d’être rouverte sur une voie puis sur les deux voies de circulation. Une enquête a été ouverte par les gendarmes de la brigade de Sassenage afin de déterminer les circonstances exactes de cet accident.
Selon nos informations, le dépistage d’alcoolémie effectué sur le conducteur de la moto s’est révélé négatif.
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2012/04/18/un-adolescent-percute-par-une-moto

Le client filmait sous les jupes

Il y a quelques jours, le service de surveillance de l'hypermarché Carrefour de Tinqueux a repéré l'étrange manège d'un client qui semblait moins s'intéresser aux articles dans les rayons qu'aux dessous des dames en jupe. Se déplaçant avec une minicaméra fixée à son panier, l'homme se débrouillait pour filmer leurs jambes et entrejambe.
Interpellé en flagrant délit, il n'a pu contester les faits, d'autant que les policiers ont pu consulter sur la minicaméra trois séquences vidéo (dont deux tournées dans le magasin de Tinqueux). Six vidéos supplémentaires ont été découvertes sur une autre carte.


Le voyeur a parcouru beaucoup de kilomètres pour venir se rincer l'œil dans l'agglomération rémoise, car cet homme né en 1969 habite dans le département du Rhône. Sur décision du parquet, il a été sanctionné par une composition pénale comprenant l'obligation de payer une amende de 600 euros.
Sa minicaméra a été confisquée, les deux cartes numériques également.


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/le-client-filmait-sous-les-jupes

mercredi 18 avril 2012

HLM de Marseille: la femme du député UMP Renaud Muselier mise en examen

L'épouse du député (UMP) Renaud Muselier, qui a été entendue mardi après-midi par un juge marseillais dans le cadre d'une affaire de marchés publics présumés frauduleux au sein de l'office HLM de la ville, a été mise en examen, a-t-on appris auprès de son avocat.

Stéphanie Clément, avocate, a été mise en examen pour "recel d'atteinte à la liberté et l'égalité d'accès aux marchés publics" et "recel de prise illégale d'intérêt" dans ses prestations pour Habitat Marseille Provence (HMP), l'office HLM municipal, a précisé Me Erick Campana. A l'origine de l'affaire, un rapport de la Mission interministérielle d'inspection du logement social (Miilos) sur HMP avait relevé des "irrégularités" en matière de commande publique, "réalisée sans mise en concurrence", pour des prestations juridiques - d'un montant de 735.000 euros de 2005 à 2009 - ainsi que de recouvrement de loyers ou de communication.

Malaise au volant, il n'a pas survécu

Mardi dernier, un homme avait été victime d'un malaise au volant, rampe d'Ardon à Laon. Peu avant midi, il avait perdu le contrôle de son véhicule, qui a fini sa course sur le toit.
Le Smur, intervenu sur place, avait réussi à le réanimer in extremis. Il avait ensuite été transféré sur un centre hospitalier d'Amiens, son état inspirant néanmoins de vives inquiétudes.
Malheureusement, Francis Klepak, âgé de 58 ans et demeurant à Cessières, n'a pas survécu. Il est décédé vendredi dernier.
L'homme avait travaillé comme infirmier à l'hôpital de Prémontré. Il était à la retraite, avec comme passion notamment la mécanique et son jardin.
Ses obsèques auront lieu à Pinon jeudi. En attendant, les personnes qui auraient été témoin de l'accident sont invitées à prendre contact avec le commissariat de Laon (tél. 03.23.27.79.79).


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/malaise-au-volant-il-na-pas-survecu

mardi 17 avril 2012

Un SDF vandalise une résidence au Cannet

Dimanche soir, un sdf logeant sur un terrain vague a vandalisé la résidence St-Andrew dans la rue de l'Ouest au Cannet.
L'éclairage extérieur, l'interphone et la porte d'entrée ont été détériorés.
L'homme âgé de 37 ans, qui s'abrite sous une tente, a été interpellé dans un état d'ébriété alors qu'il menaçait les policiers avec un hachoir rouillé et une pince.
Durant son audition, le suspect a reconnu avoir commis les actes de vandalisme.
Motif : le robinet d'eau extérieur sur lequel il s'alimentait lui avait été coupé.
Sa garde à vue a été prolongée jusqu'à demain, et les investigations se poursuivent.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-sdf-vandalise-une-residence-au-cannet.846026.html

Cinquante véhicules dérobés en trois mois

De par sa situation géographique, son réseau routier et autoroutier, le Tarn-et-Garonne est ce que l'on appelle un département passant. Le sud entre Lomagne et Monclar est en fait la quatrième couronne de l'agglomération toulousaine. Et cette particularité rejaillit aussi dans le domaine de la délinquance. Même si depuis plusieurs années les chiffres sont à la baisse, les vols de voitures se poursuivent. Pour le premier trimestre 2 012 ils sont à l'identique de ceux de 2 011 avec cinquante véhicules dérobés. Souvent parce que le voleur a trouvé les clés sur le tableau de bord ou pas loin, ou parce que ce sont des vieux modèles que l'on fait démarrer avec les fils.
En Tarn-et-Garonne toujours dans ce secteur on retrouve brûlé ou dans des lacs parfois des voitures ayant servi à faire des casses ailleurs. Si pour l'heure les vols sont faits de façon classique il n'est pas inutile de recenser ici ce qui se pratique dans les agglomérations voisines ou parfois Montauban.
La fausse pub. La victime est garée sur un parking, par exemple celui d'un centre commercial. Pour sortir de son stationnement, elle doit reculer. Elle monte dans sa voiture. Pendant ce temps, le voleur lui appose une énorme publicité sur le pare-brise arrière ou un papier qui obstrue la vision. La victime sort alors de sa voiture, sans prendre le temps d'enlever les clés voire de couper le contact. À ce moment, le voleur prend sa place et part rapidement (parfois au risque de renverser sa victime).
Le carjacking. Plus connu, le carjacking est de plus en plus répandu. « Le voleur vous rentre dedans, une petite touchette pas bien méchante, observe un policier. Par réflexe, la victime sort pour constater les dégâts. » Là encore, les clés sont sur le contact et un complice part avec la voiture de la victime tandis que le chauffard file avec la sienne.
La surveillance. Les voleurs repèrent la voiture qu'ils veulent dérober. Ils surveillent les déplacements et les horaires habituels… Et agissent quand il sort de la voiture pour aller ouvrir son portail ou son garage.
Fausse détresse. Une personne est allongée sur le bord ou au milieu de la route. Elle semble avoir été victime d'un malaise ou d'un accident. Le conducteur s'arrête et sort précipitamment. Le blessé se relève et profite de l'effet de surprise pour partir avec la voiture.
Vol à l'Italienne. Il ne s'agit pas là de voler la voiture mais ce qu'elle contient. On détourne l'attention du conducteur en lui faisant croire, par exemple, que son pneu est crevé et on s'empare du sac à main.La semaine dernière en région toulousainne on eut droit aussi aux crevaisons de roues… pour dérober ce qui se trouve à l'intérieur du véhicule pendant que le conducteur répare son ou ses pneus.
Faux accrochage. L'escroquerie au rétroviseur se répand. L'escroc choisi une victime vulnérable, souvent une personne âgée. Il lui explique qu'en manœuvrant il a accroché son rétroviseur et lui propose un arrangement à l'amiable. La victime paye alors. Autre déclinaison : l'escroc simule une rayure sur sa carrosserie avec de la craie noire identique à la couleur d'un pare-chocs. Il dit à sa victime qu'il l'a éraflé et propose là encore un règlement à l'amiable.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/17/1332803-cinquante-vehicules-derobes-en-trois-mois.html

L’homme repêché samedi dans le canal est mort par noyade

Samedi matin, le cadavre d’un homme a été découvert, flottant entre deux bateaux, dans le canal royal, près du pont de la Civette. Son repêchage n’est pas passé inaperçu.
L’autopsie pratiquée ce lundi à Montpellier a conclu à un décès par noyade. Ce Sétois de 56 ans souffrait de dépression et d’alcoolisme. Mais pour les enquêteurs, il n’y a pas de certitude absolue quant à un suicide

http://www.midilibre.fr/2012/04/16/dma-l-homme-repeche-samedi-dans-le-canal-est-mort-par-noyade,487276.php

Quatre villages victimes de vols et vandalisme

«C'est un habitant qui est venu nous voir, en nous signalant que la porte de la mairie avait été vandalisée et qu'il devait y avoir eu un cambriolage. » Bingo, car lorsque l'équipe municipale de Condé-sur-Suippe est arrivée à la mairie dimanche matin, elle a découvert une porte d'entrée visiblement dégradée au niveau de la serrure à coups de marteau et à l'intérieur de cette mairie isolée, un véritable saccage. Tiroirs renversés, papiers jetés à terre, certains meubles renversés, les élus de ce petit village en limite de l'Aisne et de la Marne, ont vite compris que les visiteurs n'étaient pas à la recherche de procuration pour les prochaines élections.
« Nous avons constaté qu'un vidéo-projecteur, tout neuf puisqu'acheté récemment, avait aussi disparu, explique un des adjoints, soit une perte de plusieurs centaines d'euros. Il y a aussi de la monnaie qui a été dérobée. Heureusement, l'argent de la cantine scolaire avait été mis à l'écart, et n'a pas été volé. »


Sur fond de drogue ?
Un énième fait qui vient perturber ce sentiment de tranquillité dont jouissait cette petite commune jusqu'à présent. « Mais depuis quelque temps, nous avons des jeunes, consommateurs et sans doute fournisseurs de drogue qui sévissent dans le secteur. Nous avons fait plusieurs signalements mais pour l'instant, il n'y a pas eu d'effet. Là, on a vraiment l'impression que ce sont des consommateurs qui recherchaient de quoi se faire de l'argent rapidement. » Si l'acte de Condé-sur-Suippe est le summum, il y a plusieurs autres faits dans les villages des alentours pendant ce week-end.
Selon les premières informations, la mairie de Variscourt aurait, elle aussi, subi une tentative de cambriolage. Des traces ont été repérées sur les issues de ce bâtiment, qui ne se trouve qu'à 2 km de la précédente mairie.
Dans le même secteur, un home jacking a été perpétré dans la nuit de vendredi à samedi à Juvincourt-et-Damary. Enfin, plusieurs voitures ont été vandalisées à des degrés divers à Orainville. Des rétroviseurs ont été la cible d'acte purement gratuits. Sauf pour les propriétaires malheureusement

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/quatre-villages-victimes-de-vols-et-vandalisme

lundi 16 avril 2012

L'altercation familiale tourne à l'échauffourée nocturne

Il n'y a pas que les riverains de la place Sainte-Anne, à Rennes, qui subissent les désagréments nocturnes d'un voisinage tonitruant. Du côté de la rue de Vincennes, à 500 m de là, les habitants se plaignent d'échauffourées qui ont tendance à se répéter autour du "Flirt Café".

Des habitants du quartier racontent avoir assisté à une "véritable scène d'émeute opposant une centaine d'olibrius aux forces de police", de minuit à 1 h, au cours de la nuit de samedi à dimanche. Selon ces témoins, il s'agissait de la "confrontation de bandes avinées réunies au bar "Le Flirt Café"".
"Il semble que les forces de police, après avoir dispersé les voyous, n'aient pas pu pénétrer dans l'établissement, les tenanciers s'y étant enfermés", poursuivent-ils en comptant que cet incident, qui n'est pas le premier du genre, "entraînera enfin la fermeture de ce bar".

Querelle de famille
Les services de police confirment qu'il y a bien eu une bagarre sur la voie publique, devant le café où venait de se tenir une réunion familiale. Il s'agit d'une grande famille de
gens du voyage, déjà bien connue des policiers pour être assez turbulente, dont les membres se battaient entre eux pour des raisons inconnues.
L'opération de rétablissement de l'ordre n'a pas été aisée et les maîtres-chiens de la police ont été appelés à la rescousse pour pacifier la situation. Quant à l'attitude des gérants de l'établissement, on suppose qu'ils ont cherché à se protéger des protagonistes de l'altercation.

La manif' anti-fasciste avait dégénéré
C'est la deuxième fois en moins d'un an que "Le Flirt Café" fait l'objet de débordements. Le 2 mai, alors que s'y rassemblaient quelques militants et sympathisants proches du Front national, un groupe d'extrême-gauche mobilisé par un collectif anti-fasciste était venu empêcher la tenue de la réunion. L'affaire semblait devoir dégénérer en affrontement lorsque les deux tenanciers du café étaient intervenus munis de flash-balls, tandis qu'un de leurs amis fonçait sur l'attroupement au volant de sa voiture, blessant légèrement un manifestant.
Les cafetiers devaient être condamnés à une légère amende et l'automobiliste, à une peine de prison ferme. L'établissement avait, par ailleurs, fait l'objet d'une fermeture administrative temporaire. L'épisode du week-end pourrait bien lui valoir une autre mesure du même genre.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/ille-et-vilaine/rennes-l-altercation-familiale-tourne-a-l-echauffouree-nocturne-16-04-2012-1671728.php

Il tente d’échapper aux gendarmes sur l'A43

C'est la foi et une force intérieure qui m’ont poussé à continuer à rouler » : voilà ce qu’a déclaré hier aux gendarmes du peloton autoroutier de La Verpillière, l’individu qu’ils venaient d’interpeller à l’entrée du tunnel de Dullin, sur l’A 43, après une poursuite sur une quarantaine de kilomètres.
Les faits se sont produits hier. Les gendarmes ont été alertés : un véhicule circulant dans le sens Lyon-Chambéry a renversé des plots sur l’autoroute. La conduite est suspecte. Un équipage se porte immédiatement sur place et identifie rapidement le véhicule car facilement repérable. Il s’agit d’un clip-car, qui circule à fable allure, avec une particularité : l’ensemble routier comprend un pick-up et une caravane qui vient s’imbriquer dessus.

Conduit au centre psychothérapique Nord-Dauphiné, à Bourgoin-Jallieu

À la vue des gendarmes, le conducteur semble refuser de s’arrêter, il tente même de s’approcher du véhicule des forces de l’ordre qui tente de le doubler.
Pour éviter l’accrochage, les gendarmes optent pour la méthode douce : ils décident de le suivre. Le conducteur ne pourra pas aller bien loin. Le tunnel de Dullin a été momentanément fermé.
C’est à l’entrée de celui-ci que, finalement, les gendarmes interceptent l’individu.
Âgé de 30 ans, il déclare résider à Diemoz (Isère).
Après avoir été entendu, l’homme a été remis à son père qui devait le conduire hier au centre psychothérapique Nord-Dauphiné, au Médipôle, à Bourgoin-Jallieu.
La circulation, perturbée par cette intervention sur l’A 43 est revenue ensuite à la normale peu après midi.
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2012/04/15/il-tente-d-echapper-aux-gendarmes

Vitry-le-François Le scooter zigzaguait : direction la prison

Hier vers 18 heures, les gendarmes de la brigade territoriale de Vitry-le-François aperçoivent un scooter zigzaguer dans la rue du Chêne-Vert, à Vitry-le-François.
Ils arrêtent le conducteur et contrôlent son alcoolémie. Celui-ci roulait avec un taux d'alcool de 0,52 mg/l d'air expiré, la limite légale étant fixée à 0,25 mg/l. Ce n'est pas la première fois que le cyclomotoriste - un Vitryat de 44 ans - est arrêté en état d'ivresse. Le 9 avril dernier, il avait été contrôlé avec un taux d'alcool de 0,62 mg/l d'air expiré.
Placé en garde à vue, il a été incarcéré à la maison d'arrêt de Châlons-en-Champagne en attendant sa comparution devant le juge mardi prochain.


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/vitry-le-francois-le-scooter-zigzaguait-direction-la-prison

dimanche 15 avril 2012

4 blessés dans l' embardée

Un accident de la circulation survenu vendredi vers 23h10 après le sommet de la côté du Renfort, dans la descente de la RD 621, a fait quatre blessés. Une Opel corsa , après un tête à queue sur la chaussée rendue glissante par la pluie, a fini sa course contre une arbre, de l'autre côté de la route, blessant les quatre jeunes occupants du véhicule. Rapidement sur les lieux, les pompiers de Mazamet, Labastide -Rouairoux et Anglès ont pris en charge les occupants, un Mazamétain de 22 ans, légèrement blessé et trois Saint-amantais de 18 à 19 ans. Les secours sont intervenus sous les directives du major Jean-Marc Dorligh, médecin, et les urgentistes du SMUR. Le conducteur et l'un des passagers présentaient de multiples contusions. Le dernier passager, un jeune de 18 ans situé à l'arrière, a du être désincarcéré et médicalisé sur place. Il souffre d'une fracture de la hanche, d'un traumatisme cranien et de diverses blessures. Les quatre jeunes ont été transportés au centre hospitalier du Pays d'Autan. Une enquête de gendarmerie a été ouverte par les militaires de la COB de Saint-Amans. L' alcoolémie était positive pour le conducteur de 19 ans.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/15/1331331-sauveterre-4-blesses-dans-l-embardee.html

Corse: un homme blessé par balle

Un homme a été légèrement blessé par balle à Corte (Haute-Corse) lors d'une rixe dans la nuit d'hier à ce matin, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. La rixe aurait éclaté à la sortie d'un établissement de nuit entre deux groupes de personnes, dont un serait originaire du sud-est de la France, selon les médias locaux.

Deux personnes ont été interpellées en fin de soirée à Corte, a précisé la gendarmerie. Les enquêteurs cherchaient à savoir samedi soir si le coup de feu était parti de façon accidentelle ou intentionnelle.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/14/97001-20120414FILWWW00460-corse-un-homme-blesse-par-balle.php

Quatorze années de réclusion criminelle pour Mourad Boutahar

Assises. Mourad Boutahar, 32 ans, a été condamné hier par la cour d'assises de l'Aisne à une peine de quatorze ans de détention pour violences mortelles. Les faits s'étaient déroulés à Soissons, dans la nuit du 11 au 12 septembre 2009.

ELLE était sa lumière et il l'appelait « ma petite princesse ». Sid-Ali Zouaoui, la victime âgée de 39 ans, avait obtenu la garde de sa fille après le départ de son épouse en Algérie.
C'était une figure de Soissons, une personnalité simple, à l'aise avec toutes les couches de la société. Un bavard curieux du monde et des autres.
Il n'était pas impressionné par la richesse, seulement par les buts de son club de football préféré, le PSG. Il le défendait, coûte que coûte, sensible aux beaux gestes, malgré les coups du sort. Fidèle, comme un grognard, droit et digne lors des jours de victoire et de défaite. Ou plutôt comme son père, revenu d'Indochine, la poitrine couverte de médailles, la bouche cousue sur ses blessures de guerre et la peur dans les rizières.
En 2002, Sid-Ali Zouaoui avait obtenu le statut de handicapé en raison de la défaillance d'un œil depuis son enfance. Il voulait surtout être comme tout le monde. Il est mort à Soissons dans la rue du Pot d'Etain, vers 2 heures, un soir où il était plus gai que les autres. Il fêtait son anniversaire.
Son agonie a duré près d'une quinzaine de minutes.

Des vies brisées
Son corps a été retrouvé en partie dissimulé sous une voiture en plein centre-ville. Sa tête était méconnaissable, heurtée avec la violence d'un ouvrier qui veut briser une pierre avec un outil. Cette fois, ce sont des pieds et des poings qui servent de massue. « Il n'y a eu aucune humanité. Sans raison et sans motif », relève Me Lefèvre-Franquet, avocat de la famille.
« Si Sid-Ali s'était senti en danger, jamais il ne se serait éloigné du bar », estime Ludovic Manteufel, avocat général, qui décrit un guet-apens.
Aujourd'hui, la fille de la victime, âgée de 7 ans, veut comprendre pourquoi. Absente de la cour d'assises en raison de son âge, elle a interrogé tous les soirs sa grand-mère sur le déroulement des débats. Sa petite voix se gonfle d'autorité lorsqu'elle combat tous les stratagèmes destinés à la laisser sur le sentier de l'insouciance. Il n'y a pas de miracle face aux vraies injustices. « Les autres ont un papa et moi, je n'en ai pas », se désole-t-elle.
Après le déluge de coups assénés pour quelques mots peu à son goût, Mourad Boutahar se rend en discothèque. Une preuve de cynisme ?
Son avocat, Me Bouchaillou s'en défend. Il insiste : « Depuis le début, il clame sa culpabilité. » L'avocat de l'accusé évoque un contexte : « Il y a un démon qui danse à l'intérieur de chacun, c'est l'alcool, tout le monde est excité. »
Mais d'autres éléments pèsent défavorablement.
L'avocat général énumère douze condamnations au casier judiciaire de l'accusé et requiert une peine de quinze ans de réclusion criminelle en remarquant ceci : « Je retiens surtout dans sa personnalité une extrême violence. »
L'accusé ne cherche en rien à dissimuler sa responsabilité. Il tient un petit carré blanc sur lequel il a jeté quelques mots. Mais il s'affranchit de ce texte pour déclarer : « Cela m'a coupé du monde ce que j'ai fait. Je n'ai pas supprimé une vie, j'en ai gâché deux, celle de la victime et la mienne. »
Hier, après trois heures de délibéré, Mourad Boutahar a été condamné à quatorze ans de détention. A cet instant, ses traits restent inexpressifs, mais son frère se plaque les mains sur le visage. Il les retire et son regard est baigné de larmes.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/quatorze-annees-de-reclusion-criminelle-pour-mourad-boutahar

samedi 14 avril 2012

"J'ai caché le corps. Et maintenant qu'est-ce que je fais ?"

« J'ai caché le corps. Et maintenant qu'est-ce que je fais ? » Tel est le SMS angoissant qui est arrivé dernièrement un matin sur le téléphone portable d'un couple près de Versailles. Ils ont aussitôt alerté la gendarmerie. Les enquêteurs ont remonté l'appel jusqu'à une famille de Saussines au nord de Montpellier (Hérault) où ils sont intervenus tôt le matin.
C'est la fille, 12 ans, qui avait envoyé ce texto pour rigoler sur le chemin du collège. « Nous prenions l'affaire très au sérieux, avant de découvrir que c'était une farce de gamine. Un homme avait disparu dans le secteur », explique le commandant Dalverny du groupement de l'Hérault.
L'acte n'est pas isolé. Le week-end dernier, c'est un couple de Mèze qui a reçu la même confidence. Avant le mois dernier, des Carcassonnais avaient aussi reçu ce message depuis Limoux. « Les auteurs de ces blagues peuvent être poursuivis pour appel malveillant ou dénonciation de crime imaginaire » poursuit le commandant Dalverny.
Visiblement, un buzz sur un réseau social a déclenché cette vague de SMS d'un goût plutôt douteux
http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/14/1330896-montpellier-j-ai-cache-le-corps-et-maintenant-qu-est-ce-que-je-fais.html

Les déboires du retraité propriétaire après la tornade

Près de six mois après le passage de la mini-tornade à Anduze et Générargues, toutes les plaies sont loin d’être pansées. "J’ai tout perdu, je suis nu et cru", souffle avec un pincement au cœur Philippe Roussel, propriétaire des murs de l’ancienne auberge de Zangra à Générargues. Retraité depuis 2004, "les 1100 € mensuels de loyer de cet immobilier, explique-t-il, représentaient pour mon épouse et moi-même, un complément indispensable de pension".
Une procédure entamée contre son locataire
Un bail établi par un notaire alésien en 2002, poursuit-il, "mettait à la charge du locataire tous les frais de cette location, taxes foncières, assurances sur l’ensemble du bien, etc. Dans de telles conditions et pour des raisons d’économies je n’ai pas cru bon de m’assurer".
Philippe Roussel, qui a fait toute sa carrière à Saint-Christol, Alès, puis Générargues où il a exploité pendant plus de 30 ans le restaurant L’Aire du Roucan, et qui vit aujourd’hui à Auribeau dans les Alpes Maritimes, a entamé une procédure contre son locataire à qui il reproche de l’avoir sous informé, et d’avoir rompu abusivement le contrat de bail. "J’ai appris dimanche dernier par Midi Libre qu’elle s’était installée à Cardet. Après une visite sur les lieux le lendemain, j’ai constaté l’ampleur des dégâts et le pillage du peu qui reste. Je me retrouve avec un immobilier invendable en l’état et des difficultés financières sans avoir reçu une aide quelconque."
"Quand j’aurai deux minutes, je verserai une larme sur son sort."
Gérante de la SARL Le Paradis cévenol, ancienne locataire, Sandrine Castellino qui, après bien des déboires, a déménagé son restaurant à Cardet, où elle repart de zéro, considère "qu’on ne peut pas encaisser 13 000 € de loyer par an, et ne pas assurer son patrimoine. Il voudrait que je sois responsable, mais ma garantie civile ne peut être engagée, puisqu’il s’agit d’un cas fortuit. Les différents experts ont chiffré à 180 000 € les frais pour remettre en état le bâtiment. Le propriétaire m’a indiqué qu’il ne voulait pas mettre un sou. Il est victime de ne pas avoir payé un contrat d’assurance". La gérante du Paradis cévenol qui a traversé "un enfer" et a eu son lot d’embarras de conclure : "Quand j’aurai deux minutes, je verserai une larme sur son sort."

http://www.midilibre.fr/2012/04/13/un-retraite-sinistre-dans-l-oeil-du-cyclone,485903.php

Voitures dérobées La série de vols continue

La nuit de mardi à mercredi avait été agitée avec une série de méfaits, dans la commune de Lesquielles-Saint-Germain. Il semblerait que les malfaiteurs avaient commencé leur périple, auparavant sur Buironfosse et Le-Nouvion. Une plainte a été déposée auprès de la gendarmerie pour un vol de carburant. Un camion, stationné à Buironfosse, a vu son réservoir vidé de ses trois cents litres de gasoil.
Au Nouvion-En-Thiérache, une Audi A3 a été volée dans cette même nuit et retrouvée le matin dans un chemin de terre sur la commune de Boué. La voiture avait été fortement dégradée et dépouillée de plusieurs accessoires.
A Boué, une tentative de vol aurait été commise sur une voiture en stationnement, aux environs de 3 heures. Le propriétaire du véhicule a retrouvé sa voiture, une Sirocco, avec une vitre brisée et les fils électriques sectionnés au niveau du démarreur. Les individus auraient été mis en fuite par un témoin, un proche voisin qui, entendant du bruit, aurait ouvert ses volets.
Enfin, la Citroën XZ, volée rue de Guise à Lesqueilles-Saint-Germain, a été retrouvée entièrement calcinée sur le territoire de la commune de Marly-Gomont.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/thierache-voitures-derobees-la-serie-de-vols-continue

vendredi 13 avril 2012

Arrestation de deux mineurs violents

Important déploiement de forces de l'ordre hier matin à l'entrée de la cité chapelière. À la fin de la nuit les gendarmes de la COB de Caussade-Molières-Montpezat appuyés par leurs collègues de la compagnie, des éléments du PSIG de Montauban, les enquêteurs de la BR de Montauban et un peloton de gendarmes - mobiles de Bellac (Haute-Vienne) qui sont en renfort au groupement départemental jusqu'à la fin du mois, sont intervenus dans le camp des gens du voyage. Le chef d'escadron Jean-Paul Bareigts commandant la compagnie de Montauban assisté de son adjoint le capitaine Didier Romieu dirigeait les opérations. Qui consistaient à interpeller deux mineurs de 17 et 16 ans. Ils avaient été identifiés depuis dimanche et étaient localisés depuis la veille. C'est ce duo qui est au centre d'une rixe. Qui eut pour cadre dans la nuit de samedi à dimanche la rue de Versailles vers deux heures du matin. Rixe dans laquelle un troisième individu de 17 ans fut gravement blessé et hospitalisé.un coup de couteau porté presque à hauteur de son genou gauche se soldant par une plaie de 10 centimètres de long sur 2,5 cm de large. Ce qui lui valut en plus une ITT de 5 jours. L'auteur du coup de couteau et son complice (déjà défavorablement connus des services de police) lors de la garde à vue et l'interrogatoire affirmant que le troisième larron avait tenté de les racketter et qu'il s'était défendu. Il est évident que les gendarmes n'eurent pas la même version des faits dimanche quand ils interrogèrent le blessé et prirent sa plainte avant de le faire hospitaliser. Les deux arrêtés d'hier matin ont été déférés sur la lancée au parquet. Celui qui avait le couteau expliquera son geste prochainement devant le juge des enfants. Son complice a été écroué au centre fermé de Lavaur. Car il faisait l'objet d'une fiche de recherche mentionnant une exécution de peines récoltée antérieurement
http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/13/1330141-caussade-arrestation-de-deux-mineurs-violents.html

Le cadavre d’un homme de 65 ans retrouvé dans l’eau

Un cadavre a été retrouvé ce jeudi à 14 h, flottant entre deux bateaux, dans les eaux de Port-Suttel.
Selon les gendarmes de la compagnie de Pézenas, il s’agit d’un homme de 65 ans qui vivait sur un voilier amarré dans le petit port de plaisance balarucois de l’étang de Thau.

Un témoin affirme l’avoir vu vivant la veille au soir. La cause du décès n’est pas encore connue.
Une autopsie devrait être pratiquée vendredi ou lundi.

http://www.midilibre.fr/2012/04/12/dma-le-cadavre-d-un-homme-de-65-ans-retrouve-dans-l-eau,485416.php

Policier belge tué : les trois fuyards incarcérés

Les trois membres d'une même famille qui s'étaient rendus, mardi, chez leur avocat à Charleville-Mézières, après la mort d'un policier belge survenue lors d'une course-poursuite, début avril, en Belgique, ont été incarcérés hier à Reims. Le 16 avril, la chambre de l'instruction statuera sur leur extradition.

IL était 9 h 35 quand les deux frères et leur oncle sont parvenus sous escorte policière à la cour d'appel de Reims. Après leur interpellation par les hommes du SRPJ de Reims, mardi matin, au cabinet de leur avocat, à Charleville-Mézières (l'union du 11 avril), Anthony, Jean-Claude et Davio D. ont été déférés, hier, en présence de leur conseil ardennais Me Ahmed Harir, devant l'avocat général Pascale Reitzel qui leur a signifié le mandat d'arrêt délivré à leur encontre le 4 avril, après la mort d'un policier belge de 25 ans, près d'Arlon, percuté par la Clio dans laquelle se trouvaient les trois hommes de cette même famille de gens du voyage sédentarisée dans le Rethélois, de même que deux autres membres, dont un mineur, interpellés en Belgique peu après les faits.
Incarcérés à la maison d'arrêt de Reims

Les deux frères et leur oncle avaient, quant à eux, pris la fuite en direction de la France et se trouvaient depuis activement recherchés ainsi que leur véhicule à la marque au losange de couleur grise, immatriculé dans la Meuse.
Hier matin, tous trois ont ensuite été présentés au juge des libertés et de la détention qui a statué en faveur de leur incarcération dans l'attente de leur comparution, le 16 avril, à 11 h 30, devant la chambre de l'instruction qui devra d'une part examiner la validité du mandat d'arrêt européen et, d'autre part obtenir l'accord des prévenus pour leur extradition vers la Belgique.
Il était environ 13 heures quand deux d'entre eux ont enfin quitté la cour d'appel par l'entrée principale, tandis que le troisième sortait par l'arrière afin de rejoindre, tous trois, la maison d'arrêt de Reims sous les yeux de plusieurs membres de leur famille.
Le 16 avril, les trois hommes pourront cependant refuser d'être extradés vers la Belgique. Ce qui, toutefois, n'empêcherait pas le président de la Chambre de l'instruction, s'il le souhaitait, de rendre malgré cela son arrêt d'extradition. Les prévenus pourraient alors user d'un recours en cassation qui ne manquerait pas, le cas échéant, de leur faire gagner du temps. « Cela pourrait durer longtemps », confirme en effet Me Harir. Pour autant, « conciliants et coopératifs » devant l'avocat général Pascale Reitzel, les prénommés Jean-Claude, son frère Anthony - qui a reconnu avoir été au volant au moment de forcer le passage de police - et leur oncle Davio, respectivement âgés de 21, 23 et 27 ans, devraient accepter leur extradition, indique leur avocat, Me Ahmed Harir.
« Ils souhaitent s'expliquer le plus rapidement possible et réserver la primeure au juge d'instruction belge, souligne-t-il. Pour eux, il s'agit d'un fait divers qui a dérapé. Ils sont en état de choc depuis qu'ils ont appris, en lisant la presse, la mort de ce policier. » Reste à savoir comment l'entendra de l'autre côté de la frontière, la procureure du Roi, Patricia Devaux, et le juge d'instruction Philippe Nazé, chargé de faire toute la lumière sur les faits qui, le 3 avril, ont entraîné la mort du policier Damien Henryon à la suite d'une série de cambriolages dont les auteurs avaient été pris en chasse par la police belge.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/policier-belge-tue-les-trois-fuyards-incarceres

jeudi 12 avril 2012

Sainte-Geneviève : le toit de la synagogue s'effondre

Le toit de la synagogue de Sainte-Geneviève-des- Bois (Essonne), rue Léo-Ferré, s'est effondré ce jeudi vers 17 heures sans faire de victimes, le bâtiment étant vide à ce moment-là. Il s'agirait d'un accident. Environ 200 personnes auraient du s'y trouver ce soir pour célébrer la fin de Pessah, la Pâques juive.

 Le maire de Sainte-Geneviève a indiqué qu'il prêtait la salle de la Chataigneraie pour les festivités de ce week-end.

http://www.leparisien.fr/sainte-genevieve-des-bois-91700/sainte-genevieve-le-toit-de-la-synagogue-s-effondre-12-04-2012-1951824.php

Psychoses, névroses... traiter ou plonger

Vendredi 2 mars 2012, à 7 heures. Un Gersois tue son frère avec un fusil de chasse avant de retourner l'arme contre lui. L'homme était suivi en psychiatrie. « Mais dès qu'il sortait de l'hôpital, il arrêtait son traitement pensant que les médicaments allaient le tuer. Et 4-5 mois après, il replongeait ; ça faisait trois semaines qu'il allait vraiment très mal », confie un voisin. Deux semaines avant à Auch, une jeune femme menace de sauter par la fenêtre. Un mois plus tôt, c'est son psychiatre qui a arrêté son traitement, considérant qu'elle allait mieux. Peu importe le coup du sort qu'il l'a faite replonger. Elle n'avait peut-être plus de béquille médicamenteuse, mais son appel à l'aide a été entendu. Ces deux événements interrogent sur le nécessaire suivi des personnes victimes de troubles psychiques dans un département où les moyens ne cessent de baisser. L'an dernier, 5 739 Gersois ont eu recours aux services du CHS ou de la clinique d'Embats à Auch. On peut imaginer qu'ils sont aussi plusieurs centaines à suivre une psychothérapie dans l'antre feutré d'un des rares cabinets en ville qui subsistent dans le Gers. Certains pour un état dépressif passager, d'autres pour des troubles psychiques plus graves. Risquent-ils tous le pire pour un arrêt de traitement mal contrôlé ? Pas forcément.
Les médecins le savent, tout le monde est susceptible de « péter les plombs » un jour, même les personnes qui n'ont jamais pris le moindre médicament. Quant au traitement, même bien suivi, il n'est pas une garantie absolue contre la rechute… à l'instar des traitements contre le cancer ou contre toute autre pathologie lourde. « Dans un contexte particulier, on peut passer à l'acte même sous médicaments, indique le docteur Le Quang, psychiatre à Auch. Le médicament, c'est une digue. Mais quand le tsunami est trop fort, ça peut passer par-dessus ! » Raison de plus pour comprendre comment travaillent les spécialistes de la santé mentale dans le Gers. État des lieux.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/12/1329360-auch-psychoses-nevroses-traiter-ou-plonger.html

Elle avoue qu’elle était bien au volant

Présentée hier au procureur de la République, la jeune femme a finalement reconnu les faits : c’est bien elle (et non son mari, qui s’était accusé sur le coup) qui conduisait la Citroën C5, lundi soir, lorsque le véhicule a fait une sortie de route, à l’angle des rues Édouard-Girerd et Jean-Moulin, et percuté un banc public. Banc sur lequel se trouvaient trois personnes dont une, un homme de 78 ans, est décédée. Les deux autres ont été légèrement blessées.
Le corps d’Abdulkdir Duzdusen a été autopsié hier matin. Autopsie qui a confirmé la cause de son décès : il est bien mort à la suite du choc subi dans l’accident.

Elle s’entraînait à la conduite avant de passer le permis

La conductrice, une Viennoise de 33 ans, est convoquée devant le tribunal correctionnel de Vienne le 5 juin. Elle est poursuivie par le parquet pour “blessures involontaires aggravées” et “homicide involontaire” aggravé par la circonstance qu’elle n’est pas détentrice du permis de conduire.
La jeune femme, lors de son audition d’hier, a en effet expliqué au procureur qu’elle venait juste de d’obtenir le code de la route et que ce jour-là, elle s’entraînait à la conduite avec son époux sur quelques centaines de mètres.
En attendant l’audience du tribunal, elle a été placée sous contrôle judiciaire avec l’obligation de pointer au commissariat de police et l’interdiction de conduire tout type de véhicules à moteur.
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2012/04/11/elle-avoue-qu-elle-etait-bien-au-volant

Une voiture « massacrée » à Fismes

Pare-brise défoncé, vitres éclatées, rétroviseur broyé… Dans la nuit de samedi à dimanche, entre minuit et 2 heures, un vandale s'est acharné avec une rage inouïe sur une Suzuki Swift garée chemin du Breuil à Fismes, devant le domicile des propriétaires.
L'auteur a tapé dessus à de multiples reprises, comme en témoignent les impacts relevés sur la carrosserie et la moitié du pare-brise. Il a dû frapper avec un instrument genre batte de base-ball, voire une masse, pour occasionner autant de dégâts. Les riverains ont le sommeil profond, ou étaient absents en ce week-end de Pâques, car personne n'a rien vu, rien entendu.
D'autres voitures étaient garées dans la rue, mais seule la Suzuki Swift s'est fait démolir. Aucun vol non plus alors qu'il y avait certains objets de valeur à l'intérieur.
L'auto est utilisée par un étudiant de 21 ans qui s'interroge sur les motivations du casseur. C'est un garçon sans histoires qui ne se connaît aucun contentieux.
La voiture avait été achetée d'occasion, il y a six mois. Vu les dégâts, elle semble plus près de la casse auto que de l'atelier réparation d'un garage.
Recherché par les gendarmes de Fismes, saisis de la plainte, le vandale s'expose à de lourds dommages et intérêts le jour où il va se faire prendre.

http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/une-voiture-massacree-a-fismes