jeudi 31 mai 2012

Collision de poids-lourds la nuit dernière sur l'A36

Un accrochage entre trois poids-lourds a fortement pertubé la circulation sur l'A36 la nuit dernière. L'accident s'est produit vers 22 h 30 dans des conditions qui restent à préciser, dans le sens Mulhouse-Belfort, après le péage de Larivière. Les services de secours ont du désincarcérer un des conducteurs, un homme de 22 ans. Il est légèrement blessé et a été hospitalisé.
L'accident a entraîné la coupure de l'autoroute, un important bouchons et des perturbations pendant de nombreuses heures

http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2012/05/31/collision-de-poids-lourds-la-nuit-derniere-sur-l-a36

Accident Elle perd le contrôle

Lundi, en début de soirée, peu avant 21 heures, les policiers du commissariat de Saint-Quentin se rendent à Gauchy pour un accident. A la sortie de la commune de Gauchy, une conductrice seule en cause et seule à bord de sa voiture a fait une sortie de route.
La voiture a terminé sa course au milieu d'un champ, sur le côté droit de la route, sens Chauny/Saint-Quentin.
Les sapeurs-pompiers se sont également déplacés car la conductrice souffre d'une plaie superficielle au cuir chevelu.
Les policiers la soumettent à un éthylotest. Le contrôle se révèle positif. Elle a d'abord été transportée par les pompiers au centre hospitalier, le médecin qui l'a examiné n'a pas décidé que son état de santé nécessitait une hospitalisation, elle a alors été amenée au commissariat.
Et là, l'éthylomètre a montré qu'elle avait 1,24 gramme d'alcool dans le sang. Confiée à des membres de sa famille, cette Saint-Quentinoise de 39 ans est reconvoquée prochainement afin de s'expliquer sur sa conduite en état d'ivresse.
 

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/gauchy-accident-elle-perd-le-controle

mercredi 30 mai 2012

Il casse une dent à sa concubine

Un homme de 34 ans a été interpellé samedi matin et mis en garde à vue, à la suite de la plainte de sa compagne, victime de sa violence. Il a été entendu par les enquêteurs puis remis en liberté, dans la journée. Les blessures de sa compagne doivent faire l'objet d'une expertise. L'homme comparaîtra tout prochainement devant les juges du tribunal correctionnel.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/30/1365475-pamiers-il-casse-une-dent-a-sa-concubine.html

Sauvée de la noyade par son fils

Dimanche vers 8 h 30, une dame âgée de 74 ans se promène sur les bords du canal de la Sambre à l'Oise, au niveau du site de l'Ormois.
Soudain elle s'arrête, se tourne vers l'eau et se jette dans le canal.
Non loin de là, son fils âgé de 50 ans est témoin de la scène, il se précipite, saute et avec l'aide de pêcheurs, alertés par le bruit, ils parviennent à sauver la personne.
Selon son fils, sa mère est dépressive et il ne croit pas à une chute accidentelle.
Les secours sont prévenus, ils viendront de la caserne de La-Fère. La victime sera transportée au centre hospitalier de Saint-Quentin.
Les gendarmes de la communauté de brigades de Ribemont sont intervenus sur les lieux, l'acte volontaire serait privilégié


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/brissy-hamegicourt-sauvee-de-la-noyade-par-son-fils

mardi 29 mai 2012

La main coupée par une ensileuse

Provenchères-lès-Darney. Dimanche, vers midi les pompiers de Darney ont été appelés pour un accident agricole qui s’est déroulé à Provenchères-lès-Darney., dans les Vosges.
Un homme de 39 ans, employé agricole, travaillait avec d’autres collègues dans un champ lorsqu’il a glissé sa main dans une ensileuse. Sa main a alors été sectionnée au niveau du poignet par le couteau de la machine. L’agriculteur a été stabilisé sur place en attendant l’arrivée d’un hélicoptère du SAMU Lorraine qui s’est chargé de transporter la victime vers le centre chirurgical Emile-Gallé de Nancy, un établissement spécialisé dans la traumatologie et plus particulièrement la chirurgie de la main.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/05/29/la-main-coupee-par-une-ensileuse

Collision entre une voiture et deux cyclos : un cycliste tué

Vers 9 h 30 ce mardi matin, une dizaine de cyclistes circulait sur la route de Meslin à Trégenestre. A la hauteur du terrain de football, deux d'entre eux sont entrés en collision avec une voiture circulant en sens inverse. Malheureusement, l'accident a coûté la vie à l'un des deux cyclistes. L'autre a été transporté à l'hôpital de Saint-Brieuc, ainsi que le conducteur de la voiture. Une enquête de gendarmerie est en cours pour déterminer les circonstances du drame. 

http://www.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/rostrenen-loudeac/lamballe/meslin/meslin-22-collision-entre-une-voiture-et-deux-cyclos-un-cycliste-tue-29-05-2012-1719357.php

Un cadavre de femme dans le canal

Suicide, crime ou accident ? Pour le moment, on n'en sait rien. L'autopsie le dira peut-être
Ce qui est sûr, c'est qu'un corps sans vie a été repéré hier matin à Reims, dans les eaux du canal de la Marne à l'Aisne.
Ce sont des promeneurs qui ont donné l'alerte aux environs de 10 heures.
Les hommes-grenouilles des pompiers se sont rendus sur place pour repêcher le corps, à hauteur de l'avenue Brébant.
Qui est la personne retrouvée ? Hier on avait peu d'éléments à son sujet : on peut affirmer qu'il s'agit d'une femme, et puis c'est à peu près tout : impossible de donner une idée de son âge, ni de son type ethnique, ni même de dire depuis combien de temps le corps se trouvait dans l'eau. C'est la PJ qui est chargée par le parquet d'apporter les réponses à toutes ces questions, ainsi qu'à celle de la cause du décès.
L'autopsie doit être effectuée demain mardi, elle permettra probablement d'y voir un peu plus clair


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-cadavre-de-femme-dans-le-canal

lundi 28 mai 2012

10 supporters palois blessés dans un accident de bus

Mauvaise journée pour les supporters de la Section paloise dimanche. Outre la défaite de leur équipe l'après-midi contre Mont-de-Marsan en finale d'accession en Top 14, 10 d'entre eux ont été légèrement blessé dans la soirée dans un accident de bus dans la banlieue de Pau.
Selon les pompiers, l'accident a eu lieu dimanche vers 20 heures au niveau de Lescar, dans les Pyrénées-Atlantiques, alors que deux bus de supporters béarnais revenaient de Bordeaux, lieu de la rencontre. Les deux bus, qui roulaient l'un derrière l'autre sur l'autoroute A64 et empruntaient une bretelle, sont entrés en collision pour une raison encore inconnue, a ajouté cette même source. Sous le choc, 10 personnes ont été légèrement blessées. Elles ont été dirigées vers l'hôpital de Pau et vers une clinique pour des examens de contrôle.
Dans l'après-midi, Pau, deuxième de la saison régulière, a été battu, par Mont-de-Marsan en finale d'accession en Top 14 29 à 22.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/28/1363763-lescar-10-supporters-palois-blesses-dans-un-accident-de-bus.html

Un jeune conducteur blessé au visage

Jeudi vers 21 h 30, un conducteur, seul à bord, âgé d'environ 25 ans et domicilié à Sains-Richaumont, a perdu le contrôle de sa voiture pour une raison indéterminée.
Il n'a pas réussi à maîtriser sa Renault Laguna qui s'est immobilisée sur le flanc, au milieu de la chaussée.
Prévenus, les secours sont venus de la caserne des sapeurs-pompiers de Guise.
Blessée au visage, la victime a reçu les premiers soins sur place avant d'être transportée au centre hospitalier de Saint-Quentin.
Les gendarmes de la communauté de brigades de La Capelle ont procédé aux constats d'usage et assuré la sécurité des autres usagers de la route.
Une circulation alternée a été mise en place le temps des secours.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-jeune-conducteur-blesse-au-visage

dimanche 27 mai 2012

Accident Le conducteur était ivre

Le 25 mai, vers 5 heures du matin, une collision entre deux voitures s'est produite rue Alexandre-Dumas à Saint-Quentin. Les policiers se rendent sur les lieux de l'accident. Il n'y a pas de blessé mais l'un des deux conducteurs présente des signes d'ébriété évidents.
Il est invité à souffler dans l'éthylotest. Le résultat étant positif, il est ramené au commissariat pour être soumis à l'éthylomètre afin de permettre aux fonctionnaires de police de mesurer son taux d'alcoolémie. Il roulait avec 1,84 gramme d'alcool dans le sang au moment où il a eu un accident.
Il a été placé en garde à vue. Il est ressorti du commissariat quelques heures plus tard.
Il devra s'expliquer le 7 septembre prochain lors d'une ordonnance pénale pour conduite sous l'empire d'un état alcoolique et défaut de maîtrise.
 

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/saint-quentin-accident-le-conducteur-etait-ivre

samedi 26 mai 2012

Encore des violences conjugales

Pas de temps mort pour les gendarmes de la communauté de brigades de Ribemont qui ont de nouveau traité deux affaires de violences conjugales en moins de 24 heures. Mercredi vers 21 heures, ils reçoivent un appel provenant de la commune de Vendeuil. Alors que les personnes âgées d'une quarantaine d'années sont tous deux alcoolisées, ils en viennent aux mains après une dispute. Le mari rentre à son domicile un peu tard, ce qui déplaît à son épouse. Elle se saisit de la table du salon et la retourne.
Les militaires interviennent, les deux sont entendus et reconnaissent les faits. L'épouse victime de coups, consultera un médecin, la justice se prononcera ultérieurement sur les suites à donner.
Ce matin, à 7 h 30, nouvel appel provenant du village de Parpeville, concernant un couple séparé. L'ex épouse demande à son compagnon de se rendre à son domicile pour régler un petit problème administratif rencontré par son épouse. Mais la discussion tourne vite au vinaigre. Le ton monte, les coups pleuvent. L'épouse âgée d'une quarantaine d'années, sort de son domicile et va briser la fenêtre arrière du véhicule de son ex, lui aussi âgé d'une quarantaine d'années et actuellement domicilié à Saint-Quentin. Les militaires interviennent, la situation redevient calme.
Interrogés, ils reconnaîtront, eux aussi, les faits. La justice ne prendra pas partie, il s'agit de violences mutuelles. En revanche, l'épouse devra régler la facture de remplacement du carreau cassé sur la voiture.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/encore-des-violences-conjugales

vendredi 25 mai 2012

C’est un petit miracle qui s’est produit hier en fin de matinée, dans le quartier Saint-Assiscle. Peu avant midi, une fillette de 6 ans a brusquement chuté depuis le 2e étage d’un immeuble, et s’est immobilisée sur la chaussée.
Par chance, elle ne souffrait que de plaies superficielles à l’arrivée des sapeurs-pompiers appelés de toute urgence. La fillette a été conduite au centre hospitalier pour des examens approfondis.

Les braqueurs présumés du tabac-presse interpellés

Après dix-huit mois d'enquête, les gendarmes ont arrêté les trois auteurs présumés du braquage commis en novembre 2010 au tabac-presse de Warmeriville. Tous Rémois, deux sont en prison, le troisième a été remis en liberté sous contrôle judiciaire.

LA ténacité des enquêteurs a fini par payer. Dix-huit mois après le vol à main armée commis en novembre 2010 au tabac-presse de Warmeriville, les trois auteurs présumés du forfait sont désormais entre les mains de la justice. Une opération menée lundi matin par les gendarmes de la compagnie de Reims a permis d'interpeller le dernier suspect encore en liberté, les deux autres se trouvant déjà à l'ombre.
Il était 19 h 30, ce 19 novembre 2010. L'heure de la fermeture approchait au tabac-presse de la rue du 8-Mai-1945, près du monument aux morts. Le commerçant faisait du rangement dans ses rayons lorsque deux hommes encagoulés ont surgi.

Le braquage en cache deux autres

L'un des malfaiteurs avait un pistolet. Il a visé le buraliste à la tête en lui intimant l'ordre de revenir à la caisse et de l'ouvrir, le maintenant en joue pendant que son complice raflait 1 400 €. Le butin empoché, les braqueurs se sont engouffrés dans une voiture à bord de laquelle attendait un 3e individu. Ils ont démarré pour disparaître en direction de Reims par la RD20.
Le lendemain, une Nissan Micra était repêchée dans les eaux du canal, près du pont de Saint-Léonard, dans la zone industrielle de la Pompelle. Elle provenait d'un vol commis une semaine plus tôt à Vrigne-aux-Bois, près de Sedan (Ardennes).
Chargés de l'enquête avec l'appui de la brigade de recherches, les gendarmes de la communauté de brigades de Witry-lès-Reims ont pu déterminer qu'il s'agissait du véhicule utilisé pour le braquage.
De là, un patient travail a permis d'orienter les investigations vers un premier suspect, Damien Lens, toxicomane de 32 ans que le tribunal correctionnel de Reims connaît déjà pour l'avoir notamment condamné en avril 2009 à dix-huit mois de prison ferme.
Motif : deux vols avec arme, le premier à la sandwicherie « l'Étape gourmande » de la rue de l'Étape à Reims, le second dès le lendemain au magasin « Marché plus » de la rue de Vesle.

Vingt ans pour 1 400 euros

Le pistolet exhibé à l'époque était un jouet ne tirant que des billes. Mais les victimes n'étaient pas censées le savoir, tandis qu'à Warmeriville, l'arme utilisée n'était pas inoffensive car il s'agissait d'un pistelet à grenaille.
Après l'arrestation de Damien Lens, écroué le 28 décembre 2011, les gendarmes ont identifié ses complices présumés, Brice Dié, 27 ans, actuellement incarcéré à Châlons pour une affaire de viol en réunion, et son frère Axel, 20 ans, interpellé lundi matin sur Reims.
Leurs gardes à vue ont permis de confirmer les soupçons pesant sur eux. Au terme des auditions, Brice Dié est reparti en prison tandis qu'Axel a bénéficié d'une remise en liberté sous contrôle judiciaire strict (il semble avoir subi l'influence des deux autres).
Poursuivi pour vol à main armée, le trio risque les assises avec une peine de vingt ans encourue. Pour un butin de 1 400 € qu'il a fallu partager à trois.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/les-braqueurs-presumes-du-tabac-presse-interpelles

jeudi 24 mai 2012

Nantes. Deux hommes blessés à Bellevue après des échanges de coups de feu

Deux hommes ont été blessés, mercredi soir dans le quartier Bellevue, à Nantes, après des échanges de tirs. Les agresseurs n’ont pas été interpellés.
C’est à 20 h que les deux appels sont tombés au 17 de police-secours, mercredi soir. Alerte rouge : à Bellevue, square des Rossignols, les habitants, paniqués, décrivent des échanges de coups de feu. Et perçoivent des tirs à l’arme automatique.
La scène, telle que décrite par les victimes aux policiers, plus tard dans la soirée, est de fait très inquiétante. Elle a tout du règlement de comptes ultra-violent, en pleine rue, et au mépris de la population du quartier.
Bande armée
Tout s’est passé en un éclair : alors qu’une dizaine de jeunes gens prenaient le frais dans le square, à la faveur de l’atmosphère estivale, une bande armée, encagoulée, a brutalement fait irruption. Sans sommation, les agresseurs ont tiré.
Ils sont repartis aussi vite qu’ils étaient venus. À leur arrivée, les patrouilles sont tombées sur deux hommes, blessés, mais conscients, réfugié dans leur voiture. Le premier était touché à la cuisse, l’autre au pied. Tous deux ont été conduits au CHU.
Agresseurs en fuite
Mercredi soir, les auteurs des coups de feu n’avaient pas été interpellés. Et la police judiciaire, chargée de l’enquête, cherchait à comprendre le mobile de cette effrayante confrontation.

Une maison cernée pour l’interpeller

Le déploiement de gendarmes n’est pas passé inaperçu, hier à l’heure du déjeuner, route de Vienne à Beaurepaire.
En effet, les gendarmes de Beaurepaire/La Côte-Saint-André, avec le renfort des hommes du Psig de Vienne, avaient pour mission d’interpeller un homme de 28 ans qui, bénéficiant la veille d’une permission de sortie, n’avait pas réintégré sa cellule de Saint-Quentin-Fallavier où il purge une peine de prison.

Reconduit dans la cellule

Les grands moyens ont donc été employés pour l’interpeller. À raison puisque l’individu a tenté de se dissimuler dans différentes pièces de cette vaste maison, espérant ainsi s’enfuir. Mais finalement, il a été interpellé vers 13 heures. Avant d’être reconduit dans sa cellule de Saint-Quentin-Fallavier.

http://www.ledauphine.com/isere-nord/2012/05/23/une-maison-cernee-pour-l-interpeller

Agressés en famille par une trentaine d'individus

Pour une simple remontrance, cinq membres d'une même famille ont été agressés par une trentaine de jeunes sur un parking du quartier Croix-Rouge à Reims. Les victimes cherchaient une pharmacie de garde quand les faits se sont produits.

ILS cherchaient une pharmacie de garde, ils ont fini aux urgences. Cinq membres d'une même famille se souviendront longtemps de leur passage au quartier Croix-Rouge à Reims, où une trentaine d'individus leur sont tombés dessus à la suite d'une simple remontrance en voiture.
« Les faits se sont produits vendredi soir », témoigne le conducteur du véhicule, un agent pénitentiaire de 25 ans domicilié à Metz mais en visite chez sa belle-famille à Reims. « Comme mon amie se plaignait de maux de ventre, nous avons cherché une pharmacie de garde en emmenant mes beaux-parents et ma belle-sœur enceinte de neuf mois. »


Ceintures et bâtons
Après avoir tourné dans la ville, la famille arrive vers 21 heures au centre commercial de l'Hippodrome, rue Pierre-Taittinger. « Alors que je me dirigeais vers le parking, cinq jeunes ont traversé la route devant moi n'importe comment. J'ai dû m'arrêter. Machinalement, j'en ai regardé un. Il m'a défié du regard et m'a dit : « Nique ta mère ! » Je suis quelqu'un de droit, d'honnête. Je n'accepte pas qu'on puisse insulter les gens comme ça. Arrivé sur le parking, je suis descendu et j'ai demandé à ce jeune pourquoi il m'avait insulté. Et alors là, en quelques secondes, le groupe des cinq s'est retrouvé à une trentaine. Des copains sont arrivés de partout. Un jeune a collé sa tête contre moi en hurlant. Je l'ai repoussé. J'ai commencé à me prendre des coups dans tous les sens. J'en ai vu avec des bâtons, d'autres avec des ceintures. Mon beau-père est descendu pour s'interposer. Lui aussi a été frappé. Nous étions encerclés. »
Les violences n'ont même pas épargné la jeune femme enceinte, frappée au ventre d'un coup de ceinture puis poussée à terre. La bande s'en est également prise à la concubine. « J'ai voulu défendre mon ami. Trois jeunes me sont tombés dessus. J'ai reçu des coups. J'ai été tirée par les cheveux. Je suis tombée et ils ont continué à me frapper. »
Pendant ce temps-là, un quatrième individu s'est engouffré dans la voiture pour voler le sac à main de la jeune femme. « Il a pris la fuite vers les grands blocs qui se trouvent de l'autre côté de la rue Pierre-Taittinger. Quand tout le monde s'est éparpillé, j'ai couru derrière lui avec ma mère mais nous n'avons pas pu le rattraper. »


Agression à 21 heures, accouchement à midi
Bilan : 70 € disparus avec le sac ; blessures au bras, à la tête, au dos et aux jambes pour le concubin (deux jours d'incapacité totale de travail) ; douleurs aux jambes pour la concubine ; crise d'angoisse de sa sœur enceinte prise de contractions juste après l'agression. « Le travail a démarré dès notre arrivée à l'hôpital. Elle a été admise à la maternité où elle a accouché le lendemain midi. Heureusement, il n'y a pas de séquelles. Le bébé se porte bien. »
Plainte a été déposée. « Il y en a un que j'ai formellement reconnu sur photo », indique le concubin. « Je sais également qu'un témoin s'est manifesté pour dire qu'il pouvait en reconnaître certains. J'espère qu'avec tous ces éléments, l'enquête des policiers va aboutir car on ne peut pas accepter des choses pareilles. J'ai quand même le droit, avec ma famille, de me rendre où je veux, surtout pour chercher une pharmacie de garde, sans me faire insulter ou agresser ! »
Il est reparti à Metz avec une bien triste image de Reims.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/agresses-en-famille-par-une-trentaine-dindividus

mercredi 23 mai 2012

Un des braqueurs de la bijouterie interpellé

L’information devrait susciter un certain soulagement auprès des commerçants et habitants de la Côte-Saint-André. Après l’arrestation et l’incarcération de l’incendiaire qui avait fait plus de 20 victimes dans la cité de Berlioz, l’un des braqueurs des bijouteries a été interpellé à son tour. Et ce moins de 15 jours après son forfait qui avait été le prélude d’une semaine de peur et de colère à La Côte-Saint-André.
Ce mercredi 9 mai, aux alentours de 11 heures, deux individus avaient fait irruption dans la bijouterie Monnin, rue de la République. L’un tenait une arme de poing, l’autre une bombe lacrymogène. Le duo avait raflé des bijoux et couvert sa fuite en gazant deux clientes et une employée.
Très rapidement sur place, les gendarmes de Beaurepaire/La Côte-Saint-André avaient alors suivi la fuite des deux braqueurs. Braqueurs qui avaient dû abandonner précipitamment leur Renault Mégane en raison de l’encombrement des ruelles de la cité. Les gendarmes avaient alors découvert dans la voiture la totalité du butin.
Depuis, les hommes de la BR de Vienne multipliaient les investigations. Investigations qui ont abouti à l’identification et à l’interpellation de l’un des braqueurs, ce lundi matin, au domicile de ses parents au Village Olympique à Grenoble. « Les enquêteurs de la BR de Vienne ont mené un travail de qualité, des investigations très rapides et très approfondies », se félicitait hier Matthieu Bourrette, procureur de la République de Vienne.
Un jeune homme de 19 ans déjà fiché
Selon nos informations, plusieurs éléments de police technique et scientifique ont permis aux enquêteurs d’identifier ce jeune homme d’à peine 19 ans, déjà fiché car condamné durant sa minorité pour des outrages et des vols aggravés par le tribunal pour enfants de Grenoble. Notamment une trace d’ADN que les enquêteurs ont découverte dans la Renault Mégane volée. Toujours selon nos informations, les images captées par les caméras de vidéo-protection de la bijouterie ont également permis de détailler la tenue vestimentaire du jeune homme. Vêtements qui ont été justement découverts lors de la perquisition du domicile de ses parents.
Lors de ses premières heures de garde à vue, le jeune Grenoblois a reconnu sa participation, livrant toutefois aux enquêteurs des explications quelque peu confuses. Probablement pour couvrir l’identité de son complice.
Dès ce matin, il devrait être déféré au pôle criminel de Grenoble. Le parquet de Vienne s’étant dessaisi au profit de Grenoble en raison de la nature criminelle des faits. Une information judiciaire devrait être ouverte.
Quant au second braquage, à la hache, survenu le 12 mai au matin, l’enquête, confiée à la SR de Grenoble, s’annonce plus difficile.
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2012/05/22/un-des-braqueurs-interpelle

Choquées, les caissières racontent leur nuit d'angoisse

Depuis hier et jusqu'à demain, Laurent Allemann et Alexis Pernet, deux jeunes Marnais, comparaissent devant la cour d'assises de la Marne pour répondre du double braquage commis au Lidl de Montmirail les 20 et 23 février 2009.

ILS avaient le code du coffre : 1 234. Ils avaient les plans du Lidl. Leur complice, une ancienne caissière du magasin, contrainte sous la menace - c'est du moins ce qu'elle affirme - par son petit ami, Laurent Allemann, de lui fournir un maximum d'informations sur le magasin, avait néanmoins omis de leur dire que le coffre ne s'ouvrait pas après 20 heures… Ce 20 février 2009, ils sont donc repartis bredouilles. La tentative a tourné court.
Ils vont donc revenir trois jours plus tard. Le code n'avait pas changé. La sécurité n'avait pas été renforcée… Ni vigile, ni caméra. Seulement deux jeunes femmes pour fermer le magasin.
Ce 23 février 2009, Isabelle (*), 23 ans, caissière, avait cru les reconnaître dans le fond du magasin. « Il y avait un grand mince et un plus petit avec de gros sourcils. Ils ressemblaient à la description faite par ma collègue ». Isabelle a aussitôt alerté les gendarmes…
À peine de retour dans le magasin, deux hommes encagoulés les ont braquées, elle et sa collègue, les ont sommées de les conduire au coffre.
« On a obéi, on les a conduits au coffre. Le plus petit a demandé de mettre l'argent dans un sac plastique. Le sac a craqué. Je lui ai dit de prendre une poubelle blanche… Ils ne voulaient que le liquide. Ça faisait environ 3 000 euros. »

Ils braquent une caissière enceinte

Avec un sang-froid impressionnant pour une jeune femme de son âge, Isabelle va gérer la situation au mieux. Lorsque les gendarmes vont frapper à la porte du magasin, elle va faire croire aux cambrioleurs qu'il s'agit de livreurs.
« Ils étaient nerveux, mais déterminés. Je ne voulais pas les stresser. Je voulais que ça se passe au mieux. Je savais que les gendarmes allaient arriver. »
Les gendarmes vont alors pénétrer dans le bureau et sommer les deux braqueurs de se rendre. L'un d'eux, « le plus petit », avait fait mettre à genoux l'autre employée, Sophie (*), 24 ans, enceinte de deux mois. Il lui avait mis le pistolet sur la tempe. « J'avais peur. Il m'avait mis l'arme sur la tempe. Je leur ai dit que j'étais enceinte, de me relâcher, que je n'avais rien fait… ».
Hier, deux ans après les faits, Sophie n'a pu faire face aux deux braqueurs. Visiblement encore éprouvée, elle a livré avec ses mots cette terrible soirée qu'elle aurait aimé oublier. « J'avais la tête baissée, je tremblais… » Après une courte scène qui va lui sembler des heures, Sophie sera finalement relâchée et les malfaiteurs maîtrisés.
Les cagoules levées, les gendarmes vont identifier deux Marnais : Laurent Allemann, 24 ans, déjà cinq mentions au casier, et Alexis Pernet, 23 ans.
Hier, alors que s'ouvrait leur procès aux assises, tous deux ont reconnu les faits.

« Je regrette »

Face aux caissières, Alexis Pernet, « le plus grand », s'est platement excusé. « Je regrette, je n'avais pas la notion de ce que ça pouvait entraîner… Je ne m'attendais pas du tout à ça… C'était pas dans le but de faire mal. Pour nous, le but c'était de repartir avec l'argent. »
Renfermé dans sa coquille, Laurent Allemann, « le plus petit », a refusé de s'expliquer plus avant « pour le moment ». Sur son passé, il s'est également montré peu loquace évoquant un père inconnu, une mère absente, des maltraitances, la privation de nourriture, la violence, la drogue à 13 ans, l'alcool à 23 ans, une scolarité chaotique…
Des réponses fermées, des bribes de mots… Il a juste confirmé qu'il avait mis la pression à sa petite amie pour qu'elle lui donne le code du coffre.
Après l'audition des témoins de personnalité hier soir, le procès reprendra ce matin à 9 heures avec les experts (psychologue et psychiatre) et des enquêteurs.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/choquees-les-caissieres-racontent-leur-nuit-dangoisse

mardi 22 mai 2012

Une conductrice de 19 ans grièvement blessée

Un nouvel accident de la route s'est produit hier matin, non loin du Val d'Adour, à Lamayou. Une jeune automobiliste béarnaise a violemment heurté une buse après avoir perdu le contrôle de son véhicule.
Est-ce la pluie diluvienne qui inondait les coteaux de Lamayou ? Est-ce une erreur d'inattention, la présence éventuelle d'un animal ou un dysfonctionnement mécanique ? Hier matin, peu après 9heures, une jeune automobiliste de 19 ans a été victime d'un violent accident de la route à Lamayou, alors qu'elle circulait sur la RD 7, en direction de Vic-en-Bigorre. Sur une chaussée détrempée, balayée par un vent glacial, Charlotte Marquet, originaire de Saint-Castin, un village proche de Morlaàs (64) mais qui étudiait sur Pau, a subitement quitté sa voie de circulation, au sommet d'une bosse, circulant sur plus d'une trentaine de mètres sur le bas-côté gauche de la route. Cette folle embardée s'est terminée lorsque la Saxo blanche a heurté une buse qui jonchait le fossé. Sous la violence du choc, l'ensemble du moteur a reculé, emprisonnant la jeune conductrice dans l'habitacle. C'est la première voisine, dont la maison se situe juste en face du lieu de l'accident, qui a alerté les secours. Dans le même temps, les premiers automobilistes venaient au secours de la victime. Ainsi, une aide-soignante vicquoise qui se rendait à Pau a maintenu le dialogue avec la jeune femme. Un agriculteur de la commune a, lui, tenté de gérer au mieux le trafic routier sur cet axe particulièrement fréquenté, avant que les gendarmes de Morlaàs ne prennent le relais. « Personne n'a vu ce qui s'est passé, explique l'agriculteur. On a entendu un grand bruit. C'est sûr qu'avec ce temps, la route est particulièrement mauvaise. » Heureusement, aucun autre véhicule n'a été impliqué dans l'accident.

Évacuée vers Pau

Rapidement présents sur les lieux, les médecins du Samu 65 et les pompiers de Vic-en-Bigorre, placés sous le commandement de Gilbert Clément, de Rives-Adour, ont pris en charge la victime. Il leur a fallu découper en quasi-totalité le véhicule afin de pouvoir extraire le corps de la jeune femme de l'amas de tôles, tout en la préservant au maximum du froid et de la pluie. L'étudiante a été évacuée vers le centre hospitalier de Pau, plus en pointe sur le traitement des traumatismes neurologiques. Les médecins craignaient en effet une fracture du crâne.
Pendant ce temps, les gendarmes de Morlaàs ont procédé aux différents relevés. Leur enquête devra permettre de déterminer les causes de cet accident.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/22/1358909-une-conductrice-de-19-ans-grievement-blessee.html

Il prend des risques pour semer la police

Pour semer les policiers, le conducteur a traversé le village de Vauxbuin à plus de 100 kilomètres à l'heure. Il a ainsi aggravé son cas, puisqu'il conduisait déjà sans assurance.
Les faits se sont produits dimanche vers 17 h 30. Les forces de l'ordre effectuent des contrôles routiers au niveau du rond-point du parc d'activités zone de Chevreux. Ils repèrent une Renault Mégane qui ne met pas son clignotant. Lorsqu'ils font signe à l'automobiliste de s'arrêter, celui-ci prend la fuite.
Il prend la direction de Vauxbuin, par la D 913, puis traverse la commune à fond de cale. Il n'ira heureusement pas loin. Peu après la sortie du village, les fonctionnaires parviennent à l'intercepter. En vérifiant ses papiers, ils s'aperçoivent que ce quadragénaire de Soissons conduit sans assurance un véhicule qui n'est pas à lui. Il devrait faire l'objet de poursuites pénales.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/il-prend-des-risques-pour-semer-la-police

lundi 21 mai 2012

Octogénaire ligoté en pleine nuit sur son lit

Un octogénaire, vivant seul à Berthelming, près de Sarrebourg, a eu la peur de sa vie dans la nuit de samedi à dimanche. Entre minuit et demi et une heure, des individus cagoulés ont pénétré dans sa maison. Ils l’ont ligoté sur son lit avant de fouiller l’habitation. Ils sont finalement repartis avec un maigre butin : une centaine d’euros et quelques pièces en argent. Le retraité a réussi à se libérer de ses liens et a appelé sa fille résidant dans le village. Celle-ci a immédiatement alerté les gendarmes. L’octogénaire, fortement choqué mais pas blessé, a été hospitalisé.
Les hommes de la brigade de Fénétrange sont intervenus dans la nuit à son domicile, ainsi que les techniciens d’investigation criminelle de la brigade de recherches de Metz afin d’effectuer des prélèvements. L’enquête suit son cours.

http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers

Violemment agressé pendant son sommeil

Un jeune homme de 20 ans a été agressé dans son sommeil, vers 4 heures dans la nuit de samedi à dimanche.
Ses parents étaient absents et le jeune homme dormait paisiblement dans la maison familiale de cette zone pavillonnaire de Villemoirieu, habituellement calme.
Réveillé brutalement, il a été malmené par plusieurs individus encagoulés et gantés qui l’ont frappé sans ménagement. Puis ses agresseurs l’ont séquestré dans une pièce de la maison, qu’ils ont fouillée de fond en comble à la recherche d’objets de valeur.

Le temps a dû paraître interminable pour le jeune homme, qui a réussi à sortir de la pièce après une heure d’angoisse, vers 5 heures, pour donner l’alerte.

Appareils multimédias et informatiques dérobés

Entre-temps, les individus avaient pu fouiller la maison à leur aise, dérobant du matériel multimédia et informatique selon les premières constatations.
Hier matin, le jeune homme portait encore la trace d’hématomes et a été examiné par un médecin. Alertés, les gendarmes de la brigade de Crémieu et de la brigade de recherches de Bourgoin-Jallieu s’étaient rendus au plus vite sur place et, après avoir prévenu les parents, ils poursuivaient leur enquête hier.

http://www.ledauphine.com/isere-nord/2012/05/20/agresse-pendant-son-sommeil

Brebis tuées / Capture du chien : un espoir pour l'éleveur

Le chien tueur de moutons capturé a Saint-Pierre-lès-Franqueville redonne espoir à un éleveur de Wiège-Faty.
Le 25 avril dernier, un chien qui correspondrait à celui capturé, avait été vu sur le territoire de Wiège-Faty. L'animal, à plusieurs reprises, s'en était pris à un troupeau de mouton. En employant toujours la même méthode : le berger allemand faisait courir le troupeau, sans doute pour épuiser les bêtes et semer la panique, puis égorgeait une brebis, voire plusieurs.


12 000 euros de préjudice
Au total pour cet éleveur, dix brebis de mortes, dont certaines partiellement dévorées, et plusieurs blessées. Le préjudice, selon le propriétaire du cheptel, est évalué à plus de 12 000 euros.
Une plainte avait déjà été déposée à la gendarmerie et, en compagnie d'amis chasseurs, des tours de garde avaient été organisés. À deux reprises, des coups de feu ont été tirés en direction du chien pour lui faire peur. En vain, l'animal était de nouveau revenu. Hélas pour ce propriétaire de moutons, rien ne permet d'affirmer que le chien dernièrement capturé est bien le bon. La commune de Wiège-Faty est en effet éloignée d'une quinzaine de kilomètres de celle du lieu de capture, Saint-Pierre- Franqueville.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/brebis-tuees-capture-du-chien-un-espoir-pour-leleveur

dimanche 20 mai 2012

A 16 ans, au volant d'une voiture volée

Les gendarmes ont mis fin hier aux dérives dangereuses d'un adolescent de 16 ans qui s'était échappé d'un foyer pour mineurs, à Cornebarrieu. Hier matin, c'est à Longages que les gendarmes de l'escadron départemental de sécurité routière et de la brigade motorisée de Muret ont interpellé le jeune garçon. Peu de temps auparavant, l'adolescent était au volant d'une Citroën noire C2, volée à Toulouse, et avec laquelle il a multiplié les manœuvres périlleuses. Sur l'A64, il a perdu le contrôle de la voiture. Lors de la sortie de route, le véhicule a été littéralement pulvérisé. La veille, ce garçon avait été repéré par les gendarmes de Beauzelle en train de faire un rodéo avec ce même véhicule. L'apprenti conducteur a été placé en garde à vue à la gendarmerie.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/20/1357770-cornebarrieu-a-16-ans-au-volant-d-une-voiture-volee.html

Loto : un seul joueur remporte 17 millions d'euros

Après une série de 15 tirages de la cagnotte sans gagnant, un joueur a remporté samedi soir la très coquette somme de 17 millions d'euros au Loto, lors du tirage retransmis sur 2. Le bulletin a été validé dans le département du Vaucluse. Le gagnant dispose de 60 jours pour toucher son gain.

Cette série de 15 tirages sans gagnant était la seconde depuis le lancement du nouveau Loto en octobre 2008. La première série de quinze tirages sans gagnant s'était terminée le 21 mars 2012 avec un premier gain de 17 millions d'euros pour un joueur.

Le record n'est pas battu

Le record des gains au Loto est détenu depuis le 6 juin 2011 par un joueur anonyme du Val-d'Oise qui a empoché 24 millions d'euros. Il avait été le seul à à cocher les six bons numéros du premier rang nécessaires pour décrocher cette cagnotte record.


http://www.leparisien.fr/societe/loto-un-seul-joueur-remporte-17-millions-d-euros-19-05-2012-2007153.php

Outrages Il insulte par courriel le personnel de la Caf

En voilà un qui ne porte pas dans son cœur le personnel de la Caisse d'allocations familiales ! Début 2012, ce Rémois de 53 ans dépose une demande de RSA auprès de la Caf qui transmet le dossier au service médiation.
Mécontent du traitement de sa demande, le quinquagénaire commence à envoyer des courriels plutôt gratinés envers le directeur de la caisse et ses collaborateurs.
Une fois, ça va, plusieurs fois… Pour mettre un terme aux insultes, le directeur de la Caf décide de porter plainte le 6 avril pour « outrages à personne chargée d'une mission de service public ».
Convoqué cette semaine au commissariat de Reims, l'homme a reconnu ses écrits tout en contestant leur caractère outrageant. Selon lui, ses propos épicés ne sauraient être assimilés à des insultes. Il aura l'occasion de s'en expliquer le 21 août, date de sa convocation devant le tribunal correctionnel.


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/reims-outrages-il-insulte-par-courriel-le-personnel-de-la-caf

samedi 19 mai 2012

Sauvé, le jeune faucon rescapé reprend son envol

La ligue pour la protection des oiseaux a reposé hier sur les balcons de Sainte-Cécile le fauconneau victime d'un atterrissage difficile jeudi, après un passage à la clinique.
« C'est une histoire d'animal qui finit bien », sourit le Dr Majida Chamas, jeune praticienne à la clinique vétérinaire Ferlat-Teyssèdre de Villefranche-d'Albigeois. À côté des toutous gémissant à fendre l'âme avant l'opération, elle avait un pensionnaire d'une tout autre nature, hier. Terré au fond de sa cage, ce patient à plumes est un des quatre fauconneaux de la cathédrale. Victime d'un rude atterrissage, le jeune rapace a fini en rade boulevard Sibille, jeudi après-midi. Les témoins qui l'ont vu tomber ont appelé les sapeurs-pompiers d'Albi, qui ont attrapé l'oiseau et l'ont transporté à la clinique villefranchoise, avec qui ils ont une convention, de même que le chenil pour ce qui est des bêtes blessées.
On suspectait des dégâts à l'aile droite. Plus de peur que de mal, comme l'a diagnostiqué hier matin Christophe Maurel, directeur de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) du Tarn, venu récupéré le faucon pèlerin à Villefranche. « La période la plus critique est l'envol des jeunes, qui ne savent pas voler d'instinct. Celui-ci est un jeune mâle âgé d'une quarantaine de jours. La portée est née les 6 et 7 avril. Depuis 12 ans que les faucons pèlerins sont installés sur Sainte-Cécile, nous en avions déjà un qui s'était posé sur la toiture de l'auberge Saint-Loup au Castelviel. Il avait appelé les parents qui étaient venus l'alimenter. Après avoir voleté sur place, au bout de 8-10 jours, l'oiseau s'est envolé pour de bon. Cette fois, les gens ont appelé les pompiers, croyant bien faire. » Ce fut l'occasion pour les heureux envoyés spéciaux de « La Dépêche du Midi » d'observer de près les merveilleux plumages et ramage de cet oiseau vigoureux aux cris aussi strident qu'une sirène d'alarme, avant que la LPO ne le replace sur les balcons de la cathédrale. Une autre qui était contente, c'est une scientifique australienne, débarquée hier à Albi pour le faucon pèlerin ! La visiteuse est servie !

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/19/1356966-sauve-le-jeune-faucon-rescape-reprend-son-envol.html

700 litres de carburant déversés sur la route

C'est l'accident bête. Hier à midi, un véhicule file sur le CD 1043, en direction d'Hirson. Au volant, de l'engin un Hirsonnais de 23 ans. Peu de temps après, la voiture fini sa course contre un poids lourd. L'accident a lieu à Aubenton et il est 12 h 31.
Le choc n'est pas tout à fait frontal. En réalité, le véhicule érafle sur toute sa longueur le côté gauche du camion. De bout en bout. C'est un détail important : en fin de course, il y a le réservoir du poids lourd. Il ne tiendra pas le choc.
Éventré, le réservoir laisse échapper en quelques minutes plusieurs centaines de litres de carburant. Sept cents exactement. Le réservoir ne peut en contenir plus de 1 200 litres. C'est donc plus de la moitié du volume de gasoil de l'ensemble routier qui se répand sur l'axe.
La route est alors noyée et la circulation coupée. Il faut faire vite et endiguer la fuite, selon les pompiers hirsonnais. Éviter que le carburant ne se propage au-delà de la route, dans les champs environnants.
Puis, il s'agit de traiter la chaussée. Aux côtés des gendarmes et des soldats du feu, il y a aussi l'équipe de la voirie départementale. Il faudra près de deux heures trente à tout ce monde pour rétablir la circulation.
Le conducteur du plus petit des véhicules n'est pas mal en point. Ses blessures sont légères, mais il sera tout de même acheminé vers le centre hospitalier d'Hirson.
Le chauffeur du poids lourd, lui, va bien. Ou à peu près. Ce mercredi, il venait d'Espagne pour livrer une usine à Hirson, entre autres. Hier soir, il n'était toujours pas reparti.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/700-litres-de-carburant-deverses-sur-la-route

vendredi 18 mai 2012

Un motard décède au col de la Faucille

Un peu après 18 heures, en ce jeudi de l’Ascension, un grave accident s’est produit en contrebas du col de la Faucille. Un motard qui descendait en direction de Gex est sorti de sa trajectoire dans un virage.
Une voiture arrivait en face et l’a percuté de plein fouet. Le pilote de la moto, âgé de 62 ans, est tombé de sa machine et a alors heurté une glissière de sécurité. Il est décédé peu après, malgré l’arrivée des pompiers de Gex, Divonne-les-Bains, ainsi que du Smur de Saint-Julien-en-Genevois. La victime était originaire de la région parisienne et faisait partie d’un groupe de motards venus rouler quelques jours dans le Jura.
De son côté, le conducteur de la voiture est choqué, mais indemne.
Les gendarmes de la communauté de brigades de Gex ont mis en place un alternat de circulation, le temps de procéder aux opérations de secours.

http://www.leprogres.fr/ain/2012/05/18/un-motard-decede-au-col-de-la-faucille

Un vol plané inexplicable

Un accident aussi spectacluaire que grave a eu pour cadre le prestigieux site de la pointe Saint-Mathieu, à Plougonvelin, mercredi soir vers 22 h. Pour une raison inexpliquée, la conductrice d'une Peugeot 307 a perdu le contrôle de sa voiture, juste à l'entrée du hameau. Le véhicule est d'abord monté sur un terre-plain fleuri avant de s'envoler dans les airs sur une vingtaine de mètres. Il a ensuite rebondi sur trois voitures en stationnement, avant de terminer sa course contre une quatrième. Signe de la violence du choc : le moteur du véhicule a été projeté hors de l'habitacle. Désincarcérée, la conductrice, âgée d'une trentaine d'années, a été transportée aux urgences de la Cavale Blanche à Brest. Les gendarmes de Plouzané, en charge de l'enquête, n'ont apparemment relevé aucune trace de freinage.

http://www.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/strenanouess/plougonvelin/pointe-saint-mathieu-un-vol-plane-inexplicable-17-05-2012-1706511.php

Trois incendiaires interpellés

Dans la soirée du 9 mai, vers 20 h 30, un container de poubelles, situé dans le parc du Millénaire à Gauchy était en feu. Un incendie criminel qui avait nécessité la présence des sapeurs-pompiers et des policiers du commissariat de Saint-Quentin.
Peu après les faits, un individu avait été repéré par les fonctionnaires, tandis que deux autres jeunes prenaient la fuite. Le jeune majeur soupçonné être l'auteur de cet acte criminel était interrogé et reconnaissait les dégradations, ce qui lui a valu une convocation en justice. L'intéressé doit se présenter en septembre prochain dans le cadre d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité.
Non satisfaits, les policiers ont continué l'enquête, ce qui a permis d'identifier les deux autres incendiaires. L'un des comparses est un mineur âgé d'à peine 14 ans.
Convoqués, les deux larrons ont reconnu les faits et devront en répondre en juin prochain. Tous trois sont domiciliés dans la ville de Gauchy.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/trois-incendiaires-interpelles

jeudi 17 mai 2012

Deux surveillants agressés Le détenu sera rejugé

Lundi après-midi, un détenu de la prison de Laon a agressé deux surveillants de cet établissement. Présenté hier devant la justice en comparution immédiate, il a préféré demander un délai pour préparer sa défense. Le tribunal a donc prononcé sans surprise, un mandat de dépôt à son encontre, en attendant le 5 juin, date de ce renvoi.
La situation avait dégénéré lorsque ce jeune détenu (23 ans), avait souhaité ne pas aller en soins à la prison. Il avait alors obligé les surveillants à ouvrir sa cellule puisqu'il commençait à s'auto-mutiler en se cognant avec insistance contre la porte. Là, il a ensuite frappé un surveillant, puis il a pris un second par la gorge. Tout en les insultant et en les menaçant de mort. D'où ce passage express devant la justice.



 http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/laon-deux-surveillants-agresses-le-detenu-sera-rejuge

mercredi 16 mai 2012

Sauvée du feu par la grande échelle des pompiers

La locataire d’un appartement situé au 7e étage d’un immeuble de la rue de Vannes, dans le quartier de Bellevue, à Brest, a été sauvée in extremis par les sapeurs-pompiers ce matin, vers 8 h 30.
Cette dame d’une cinquantaine d’années a été évacuée de son appartement par la grande échelle déployée au pied de l’immeuble de dix étages. L’incendie a été rapidement maîtrisé.
Le feu a pris dans la chambre où la locataire avait semble-t-il l’habitude d’allumer des bougies. La dame, intoxiquée par les fumées, a été transportée au centre hospitalier de la Cavale-Blanche. Il n’y a pas de dégâts dans les appartements voisins. Seule une dame âgée, une voisine de palier, a été évacuée par les pompiers qui l’ont aidée à descendre les sept étages, les ascenseurs étant condamnés en cas d’incendie

Garée au cimetière, on lui vole son sac à main

Les policiers du commissariat de Laon ont interpellé deux hommes suspectés d'avoir dérobé un sac à main dans une voiture garée près d'un cimetière à Samoussy, samedi. La victime aurait tout juste eu le temps d'apercevoir une voiture Renault s'en aller, avant de porter plainte à la gendarmerie. L'information est relayée, conduisant les policiers à se rendre chez le propriétaire présumé de la Renault à Laon. Chez lui, ils tombent sur une autre personne qui est en possession de chèques vacances appartenant à la victime.

Les deux sont placés en garde à vue. Le propriétaire du véhicule aurait indiqué avait prêté sa voiture à un ami. Pendant ce temps, ce dernier aurait commis son vol, en présence du détenteur de chèques vacances âgé de 39 ans. Le troisième homme a été interpellé, dimanche soir, par la brigade anticriminalité. Âgé de 50 ans, il aurait reconnu les faits. Lui et son comparse sont convoqués pour vol en réunion et dégradations en réunion, le 28 juin, devant le tribunal.
Le propriétaire de la Renault a été mis hors de cause. Et les policiers ont retrouvé le sac à main qui avait été jeté au fond des bois par les voleurs à Laval-en-Laonnois.
Les forces profitent de cette affaire pour de nouveau inciter les personnes à la plus grande vigilance, en ne laissant pas d'objets en vue dans les véhicules quand ils se promènent, dans la nature notamment. De nombreux vols à la roulotte dans des véhicules garés dans les chemins ont encore eu lieu la semaine dernière


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/garee-au-cimetiere-on-lui-vole-son-sac-a-main

mardi 15 mai 2012

Auxonne : un homme sauvé de la mort par les gendarmes

Ils ont eu le bon réflexe, les gendarmes d’Auxonne, vendredi, et ils ont sauvé la vie d’un homme âgé d’une quarantaine d’années, domicilié à Mirebeau-sur-Bèze.
L’affaire a débuté dans l’après-midi, lorsqu’une habitante du canton s’est présentée à leur brigade pour leur a fait part de son inquiétude : elle avait reçu un appel de l’employeur de son ex-mari, une entreprise de Dijon, qui s’étonnait de n’avoir plus de nouvelles de son salarié, réputé extrêmement sérieux. Elle avait tenté de le joindre. En vain.
Les gendarmes ont immédiatement débuté des investigations dans le cadre d’une disparition inquiétante de personne majeure. Ils ont confirmé auprès de l’employeur que le quadragénaire n’avait donné aucune nouvelle, ce qui n’était pas dans ses habitudes. Ils ont également appris qu’il n’avait pas honoré un rendez-vous médical qu’il devait avoir le 24 avril. Et qu’il n’avait pas donné de nouvelles au médecin.

Géolocalisation

Et ils se sont aperçus que l’homme n’avait pas payé sa pension alimentaire, qu’il réglait pourtant depuis son divorce avec une régularité de métronome.
Ils ont donc poussé un peu plus loin l’enquête, en effectuant une géolocalisation grâce à son appareil téléphonique. Et la géolocalisation a indiqué que le téléphone se trouvait dans un périmètre de dix kilomètres autour de Mirebeau-sur-Bèze, le lieu de domicile du disparu. Les gendarmes ont décidé de s’y rendre directement, avec leurs collègues de Mirebeau-sur-Bèze ; personne n’avait vu le quadragénaire, et la porte de la maison était fermée.
Ils l’ont défoncée et ont découvert l’homme allongé sur son lit, en état de faiblesse extrême, au bord de la mort. Il n’avait même plus la force de bouger. Il a été évacué sur le service des urgences du CHU de Dijon par une ambulance des pompiers.
Malaise ? Dépression profonde ? L’histoire ne dira pas comment la victime a pu se retrouver dans un tel état. Mais elle retiendra sans doute – avec lui – qu’il a été sauvé grâce à une forme de chaîne de personnes qui se sont préoccupées de son absence.

http://www.bienpublic.com/region-dijonnaise/2012/05/15/auxonne-un-homme-sauve-de-la-mort-par-les-gendarmes

Bagarre à coups de casques à la Cavayère

Une bagarre entre trois hommes qui jouaient à la pétanque et six jeunes pilotes de motos et de quads a fait deux blessés légers dimanche soir à la Cavayère. Trois des six agresseurs ont été identifiés et une plainte a été déposée.
Sale histoire, à l'aube de la belle saison et qui pourrait ternir la réputation du lac de la Cavayère, censé être un havre de paix à deux pas de Carcassonne.Vers 18 heures ce dimanche, une bagarre impliquant six pilotes de quads et de motos et trois hommes a fait deux blessés. Et ce, comme le dit l'une des victimes : « gratuitement ».
« Nous jouions avec deux amis à la pétanque sur le terrain de boules tandis que les enfants s'amusaient sur l'aire en sable située en contre bas. Deux quads et quatre motos ont débarqué et ont commencé un gymkhana autour de l'espace de loisirs. L'un des quads a pris la direction de l'endroit où jouaient les enfants et s'est mis à tourner autour. Mon fils a eu très peur et a crié», raconte l'une des victimes. Avec ses deux amis, le bouliste a couru en direction des enfants et le pilote du quad s'en est allé, tout en proférant des insultes en langue étrangère et en adressant un doigt d'honneur aux trois hommes.

Trois suspects connus

«Nous avons repris la partie de pétanque, et eux leur rodéo. Ils étaient sur le parking en train de faire des roues arrière et des acrobaties, au beau milieu des gens. Nous sommes donc remontés dans leur direction pour leur expliquer qu'ils pouvaient aller s'amuser plus loin. Et là, ça a dégénéré». Selon le récit de cette victime, les jeunes sont descendus de leurs engins et ont ôté leurs casques avec lesquels ils ont frappé les trois hommes. Deux ont été blessés. «Mon copain a reçu deux coups sur la tête et a perdu connaissance. Il a dû aller aux urgences. Heureusement, il n'y a pas de fracture ni de traumatisme», dit notre témoin.
Dès dimanche soir, plaintes ont été déposées au commissariat de police. Un premier suspect a été arrêté, juste après les faits, sur le site de la Cavayère. Un peu plus tard, un second (frère de l'autre) s'est présenté spontanément au poste de police. Un troisième individu a, par ailleurs, été formellement identifié comme ayant participé à cette bagarre idiote. Mais il n'a pas encore été interpellé.
Selon les autorités judiciaires, «l'enquête est en cours» et toute la lumière sera rapidement faite sur cette bagarre dont les versions sur l'origine divergent forcément. Le fait est que l'une des victimes se réjouit aujourd'hui du métier qu'elle exerce et d'avoir pu se défendre et défendre ses amis au cours d'une rixe qui aurait pu prendre une tournure dramatique.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/15/1353563-bagarre-a-coups-de-casques-a-la-cavayere.html

L’enlèvement d’une jeune femme n’en était pas un...

« Un homme vient de charger de force une jeune fille dans sa voiture ». Il était 18 h 50, ce dimanche, quand cette alerte parvient au centre opérationnel et de renseignement de la gendarmerie de l’Isère. Circulant route de Sablons à Péage-de-Roussillon, une femme vient d’assister à ce qu’elle qualifie d’enlèvement, évoquant une victime âgée de 16-17 ans.
Immédiatement, la compagnie de gendarmerie de Vienne déclenche un plan Milan, permettant de déployer sur le terrain les patrouilles de toutes les unités de l’Isère rhodanienne. Engagé sur une affaire d’agression à Villette-de-Vienne, l’hélicoptère de la Section aérienne de gendarmerie de Bron est détourné de son objectif initial. Leur mission : retrouver une Opel Vectra aux vitres teintées, dont le témoin a relevé la plaque minéralogique.
Quelques minutes plus tard, des gendarmes circulant sur la RN 7 croisent, à l’entrée d’Auberives-sur-Varèze, l’Opel en question. La patrouille effectue un demi-tour pour suivre le véhicule qui s’engage sur la route de Vienne avant de stopper devant une maison de la zone d’activités de Louze. Alors que le conducteur sort de son véhicule, il est intercepté par les gendarmes. Dans l’habitacle, aucune trace d’une quelconque jeune femme, si ce n’est un sac à main féminin.
Alors que l’hélicoptère tournoie au-dessus de la maison, l’homme est invité à s’expliquer. Ce dernier raconte alors qu’il revient de Péage-de-Roussillon où lui et son épouse ont passé une soirée arrosée. Ne tenant plus sur ses jambes, la jeune femme était incapable de monter seule dans la voiture. Aussi, il explique qu’il a été contraint de la porter pour la déposer sur la banquette arrière. Regagnant leur domicile d’Auberives-sur-Varèze, le mari, s’apercevant que son épouse avait oublié son sac à main, a déposé la jeune femme avant d’effectuer l’aller-retour à Péage-de-Roussillon pour récupérer le sac oublié.
Les gendarmes ont vérifié ses dires en pénétrant dans la maison. Ils ont trouvé effectivement la jeune femme en peignoir de bain. Cette dernière confirmant les propos de son mari. Pièce d’identité à l’appui, la jeune femme, qui paraît avoir effectivement 17 ans, en a 29 à l’état civil ! L’épouse est invitée à souffler dans l’éthylotest, son taux d’alcoolémie reflète effectivement une nuit arrosée.

http://www.ledauphine.com/isere-nord/2012/05/15/l-enlevement-d-une-jeune-femme-n-en-etait-pas-un-muxw

Stupéfiants : « T'as de la beuh ? »

Une patrouille de gardiens de la paix en tenue qui procédaient à un contrôle dans un immeuble du centre ancien de Sedan à la recherche d'un vélo volé, a entendu dans les étages une voix qui disait : « T'as de la beuh ? »
Visiblement une transaction était en train de se dérouler juste au-dessus d'eux. Les policiers ont alors fait preuve de patience et quelques minutes après, le dealer est redescendu et a été interpellé.
Il s'agit donc d'un Sedanais de 23 ans, inconnu des services de police jusqu'alors, retrouvé en possession de 70 grammes de cannabis - de quoi peser les produits - et d'une centaine d'euros.
L'auteur de la phrase entendue un peu plus tôt était un locataire de l'immeuble qui, lui, passait commande. Ce dernier n'a pas été inquiété par les services de police.
L'individu interpellé est donc poursuivi pour détention, usage et revente de produits stupéfiants et sera convoqué ultérieurement à la barre du tribunal pour répondre de ses actes.


http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/stupefiants-tas-de-la-beuh

lundi 14 mai 2012

Doubs : vingt minutes d’enfer avec la police

Ivresse, vitesse, détresse. Trois mots qui illustrent le fol épisode qui a eu pour cadre Montbéliard et Bethoncourt, samedi soir. Il est 22 h 45 quand un équipage de la BAC amorce un tour de ville. À hauteur du parking de la Lizaine, les fonctionnaires voient une Peugeot 205 blanche qui se présente face à eux. À contresens. Les policiers agitent leurs puissantes lampes torches. Sans effet. Ou plutôt si, le conducteur appuie sur le champignon.
C’est le début d’une course-poursuite échevelée. La 205 file, à contresens, pour deux tours de ville et un gymkhana, manquant au passage de percuter plusieurs véhicules qui arrivent en face. Les policiers suivent mais sans se montrer trop pressants. « On ne voulait pas mettre en danger la vie des autres usagers ni même ceux de la voiture en fuite » insiste le capitaine Peroni. À distance donc, les policiers mènent la chasse, consignant une kyrielle d’infractions au code de la route comme ce feu rouge grillé, rue Gambetta, près de la prison. « Selon les collègues, la 205 roulait entre 80 et 90 km/h », poursuit l’officier. Cap sur Bethoncourt. La Peugeot fonce et son conducteur, qui est accompagné, a bien du mal à maîtriser les chevaux sous le capot.

Drame évité devant la mosquée

Face à la caserne des pompiers, il déglingue un panneau dans une embardée avec le cul de sa berline. Avenue Lavoisier, il emprunte un rond-point à contresens, tape un trottoir rue Léonard-de-Vinci avant de frôler le drame en manquant de renverser de nombreux fidèles qui sortaient de la mosquée, rue des Frères-Lumières.
Le chauffeur poursuit et entrevoit une échappatoire en s’engouffrant dans un chemin de terre qui mène à la forêt. Mais policiers et gendarmes (appelés à la rescousse sur un territoire de leur ressort) sont à la parade. La 205 s’enlise. Le passager a, à peine de temps de sortir, qu’il trébuche et s’affale, face contre terre. Le conducteur n’ira guère plus loin. Il est vrai qu’il ne disposait pas de la plénitude de ses moyens physiques comme la suite des événements le démontrera. Il est alors 23 h 05. L’interpellation ne se déroule cependant pas sans heurt. Un groupe de personnes, le visage dissimulé sous des écharpes, sans doute alerté par le binz, déboule et balance des projectiles sur les forces de l’ordre.
Le tout se soldant finalement par quelques dégâts sur les véhicules de police et de gendarmerie. Les deux fuyards sont finalement ramenés au commissariat de police de Montbéliard. Le passager, un Bethoncourtois de 28 ans, est laconique : « Je n’ai rien vu, je faisais dodo (sic) ». Le conducteur, un Bethoncourtois de 27 ans, est plus prolixe. Il explique avoir fait la fête avec des copains et en avoir raccompagné un à Montbéliard. D’où le point de départ… Il estime sa consommation à « une bouteille de vodka » ; il avait 1,40 g d’alcool par litre de sang. Il a reconnu avoir vu les gyrophares et entendu les sirènes mais dit avoir pris peur car il savait son véhicule non assuré. Au regard du florilège de délits engrangés et des mises en danger à gogo, la comparution immédiate semblait inéluctable. Le parquet en a décidé autrement. Sorti libre, le Bethoncourtois comparaîtra le 25 juin prochain devant le tribunal.

http://www.estrepublicain.fr/territoire-de-belfort/2012/05/14/vingt-minutes-d-enfer

Un duo de braqueurs rafle les caisses d'une supérette

Le Carrefour City de l'avenue Saint-Exupéry, installé en face de la place des Ormeaux à Toulouse, est une supérette très fréquentée le dimanche matin. L'établissement a reçu la visite de deux clients très particuliers hier matin. Il était en effet 9 h 30 quand ces individus, grands et costauds, les visages plus ou moins dissimulés, ont fait irruption dans le magasin. L'un des braqueurs portait une arme de poing alors que son complice exhibait un fusil de chasse. Très menaçants mais pas violent selon les premiers témoignages, le duo a vidé deux caisses avant de prendre la fuite. A priori à pied selon les informations recueillies sur place par les policiers.
L'alerte a été rapidement donnée aux services de police et plusieurs patrouilles ont réalisé des recherches dans le quartier de l'Ormeau et de la Côte Pavé sans retrouver la trace des braqueurs. Ils ont réussi à prendre la fuite avec un butin dont les premières estimations portaient sur environ 1 500 €, pas forcement en argent liquide.
Les enquêteurs de permanence à la sûreté départementale se sont rendus sur place pour réaliser une enquête de voisinage et essayer de glaner des informations importantes pour la suite de l'enquête. Des investigations qui devraient être reprises et poursuivies par les enquêteurs de la brigade criminelle à partir d'aujourd'hui. Ces dernières semaines, aucun « duo » n'avait été signalé lors d'attaque de commerce

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/14/1352506-un-duo-rafle-les-caisses-d-une-superette.html

Stains : 10 kilos de cannabis saisis

Des policiers en patrouille dans la cité Jean-Moulin à Stains (Seine-Saint-Denis) ont interpellé, en fin de semaine dernière, un dealer et son client. Les deux suspects venaient de procéder à une vente de cannabis au moment de leur arrestation. Les ont découvert sur le vendeur de drogue, un trousseau de clefs permettant d'ouvrir la porte d'un appartement situé au 3ème étage d'un immeuble de la cité. Au de la perquisition de ce logement, les policiers ont mis la main sur 10 kilos de résine de cannabis, conditionnés sous forme de boulettes, de plaquettes et de barrettes. Dealer et client ont été placés en garde à vue.

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/stains-10-kilos-de-cannabis-saisis-13-05-2012-1998096.php

Le passager du bus irascible devant la justice

Hier matin, une conductrice d'un bus des transports urbains laonnois (TUL) a été la victime du comportement pour le moins indésirable d'un retraité de l'Éducation nationale.
Cet homme a refusé de payer son titre de transport malgré l'insistance de la conductrice, puis des agents des transports appelés au secours de cette femme. L'homme, visiblement connu pour des fréquentes sautes d'humeur, a poursuivi dans son comportement, en crachant à l'intérieur du bus, et ceci devant les clients et le personnel des TUL.
Devant un tel comportement, l'homme a été conduit au commissariat pour y être entendu. Il a reconnu les faits, tout en continuant à être assez « réactionnaire » dans son comportement, même vis-à-vis de l'officier de police judiciaire. Il sera donc convoqué devant la justice laonnoise, pour un outrage à un agent des réseaux de transports publics. Une première sur le secteur de Laon depuis de nombreuses années.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/le-passager-du-bus-irascible-devant-la-justice

dimanche 13 mai 2012

La bagarre tourne mal : un adolescent tombe dans le coma

Un jeune de 17 ans, domicilié à Sillans, lutte contre la mort à l’hôpital Michallon de Grenoble-La Tronche, victime d’une bagarre imbécile à la sortie d’une boîte de nuit dans la nuit de samedi à dimanche.
Dans le quartier Europole à Grenoble, une altercation a éclaté à l’heure de la fermeture, vers 5 heures. Des insultes, des coups de pied et des coups de poing ont fusé… jusqu’à ce que l’un des protagonistes, particulièrement excité, ne fracasse la lunette arrière de deux voitures et ne s’empare d’un outil métallique qui se trouvait dans l’une d’elles et ne le lance en direction de ses rivaux. L’adolescent de 17 ans a reçu l’objet en pleine tête. Sous-estimé la violence du choc, une fois la rixe terminée, il est rentré dormir. Plus tard, il a ressenti un malaise. Transporté à l’hôpital, il a reçu des soins et des points de suture lui ont été posés. Il a été autorisé à quitter l’hôpital.
Mais dans la nuit de dimanche à lundi, il a ressenti de violents maux de tête accompagnés de vertiges et de vomissements. Transféré au CHU, le garçon a subi une intervention chirurgicale avant d’être plongé dans le coma.
Par ailleurs, un Grenoblois de 21 ans a depuis été placé en garde à vue.

http://www.ledauphine.com/isere-sud/2012/05/12/drame-a-la-sortie-d-une-boite-de-nuit

Prison ferme pour l'agresseur du tramway

Les services de police ont retrouvé l'auteur d'une double agression perpétrée le 26 avril sur le réseau du tramway de Reims, au préjudice d'une passagère et du chauffeur de la rame (nos éditions du 27 avril).
Ce jour-là, vers 11 h 45, la voyageuse âgée de 51 ans attend le tram à l'arrêt Danton, avenue de Laon, lorsqu'un homme commence à faire les cent pas devant elle. Il va, il vient, puis se précipite soudain sur la dame pour lui taper dessus sans raison.
Une rame arrive. La victime se déplace sur le quai, autant pour se préparer à monter qu'échapper à son agresseur… qui la suit tout en continuant de la molester. C'est alors qu'il la projette contre la rame. La vidéo est formelle : à une dizaine de secondes près, la passagère serait tombée devant le tram !
Le chauffeur descend pour lui porter secours. Il se prend un coup de poing au visage. Des voyageurs interviennent, provoquant la fuite de l'individu. Plusieurs patrouilles de police se lancent à sa recherche, sans succès, tandis que les deux victimes examinées par les sapeurs-pompiers n'ont finalement pas besoin d'être transportées au centre hospitalier.

Il cogne sans savoir pourquoi

Saisis de l'enquête, les policiers de la brigade de répression des violences ont pu obtenir un signalement assez précis de l'agresseur, corroboré par la vidéosurveillance. Les témoins décrivaient une personne dont l'allure évoquait celle d'un « clochard ».
Impression confirmée avec l'identification de l'auteur, Terry Didier, SDF de 24 ans. Une patrouille de la brigade anticriminalité l'a interpellé mardi soir lors d'un contrôle boulevard Wilson.
Placé en garde à vue, Terry Didier a reconnu la double agression, mais sans être capable de l'expliquer, ce qui rend son comportement encore plus inquiétant. Un psychiatre est venu l'examiner. Il l'a déclaré totalement responsable de ses actes.
Natif de Reims, le SDF est déjà connu de la justice avec trois condamnations à son casier, dont deux pour des violences volontaires. L'audience des comparutions immédiates lui pendait au nez, ce qui n'a pas loupé. Déféré devant le tribunal jeudi soir, Teddy Tellier a écopé d'un an de prison dont huit mois assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve. Il a été remis en liberté et purgera ses quatre mois ferme ultérieurement.
Dans le cadre de la mise à l'épreuve, il a l'obligation - si un jour il le peut - de verser 500 € de dommages-intérêts au chauffeur de la rame, 750 € à la passagère, plus 400 € chacun au titre des frais de justice


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/prison-ferme-pour-lagresseur-du-tramway

samedi 12 mai 2012

Il s'endort au volant sur la Prom' et manque de tuer un homme

Une nuit quasi blanche, l'accumulation de la fatigue, sûrement un peu (beaucoup) d'alcool... et soudain l'accident. Le réveil fut fracassant ce samedi matin pour trois jeunes gens sur la promenade des Anglais à Nice.
Le conducteur d'un Renault Clio de couleur grise, qui s'était endormi au volant, a défoncé un feu rouge et plusieurs barrières de sécurité, à hauteur de Magnan en direction de Saint-Laurent-du Var.
Pas de blessé mais...
L'accident s'est produit à 7h du matin et n'a fait aucun blessé. Mais il aurait pu coûter la vie à une personne. A un homme qui a vu la mort de près ce samedi matin. Il s'agit d'Abdel, la trentaine. Il avait choisi de finir sa nuit trop arrosée sur un banc de la Prom'. La voiture folle lui a offert un réveil plus que brutal.
"Le bruit de la voiture qui s'est encastré dans le feu rouge m'a réveillé. Je dormais mais je suis levé d'un coup pour me réfugier de l'autre côté de la palissade. Heureusement, car la voiture a fini sa course sur le banc que j'utlisais comme lit...", témoigne-t-il, encore sous le choc.
Quant aux deux occupants de la voiture accidentée, ils ont préféré prendre la fuite. Abandonnant leur véhicule à quelques mètres de là...

http://www.nicematin.com/derniere-minute/il-sendort-au-volant-sur-la-prom-et-manque-de-tuer-un-homme.869271.html

Déjà incarcéré, un braqueur écope de huit ans de prison

Un jeune homme de 20 ans a été condamné à huit ans de prison jeudi soir par le tribunal correctionnel de Grenoble pour un braquage de bureau de tabac commis à Fontaine en janvier 2011. Le ministère public avait requis quatre ans d’emprisonnement.
L’homme a été extrait mercredi de la maison d‘arrêt de Varces où il attendait d’être jugé dans le cadre d’une autre affaire de braquage. Le 8 janvier 2011, il avait attaqué en compagnie d’un complice, le responsable du tabac-presse « le Totem », situé avenue Aristide-Briand à Fontaine. Le commerçant avait été frappé très violemment par les deux braqueurs armés de pistolets, qui s’étaient enfuis à l’arrivée de la police.


http://www.ledauphine.com/isere-sud/2012/05/12/deja-incarcere-un-braqueur-ecope-de-huit-ans-de-prison

Roger, déboires à volonté

Entre Françoise et Roger, c'était une dispute de plus sur fond d'alcool. En récidive, il a écopé de treize mois de prison.

IL était une fois la misère sociale… Chômage, alcool et violences : là, c'est au tour de Roger d'incarner cette figure récurrente des prétoires. Au domicile de Bogny-sur-Meuse qu'il partageait avec son épouse, les gendarmes ont retrouvé « des centaines de bouteilles vides de rosé ».
Le 2 avril, Françoise, l'épouse, dit avoir subi une tentative d'agression sexuelle de la part de son mari. Ce qui est avéré : à l'aide d'un couteau de boucher, Roger a largement déchiré, de bas en haut, le pull de Françoise, également coupée à un doigt.
Chez ces deux-là, l'alcool est un cancer. Retrouvée rôtie et allongée par terre dans une station-service, Françoise a été condamnée deux semaines plus tôt pour conduite en état d'ivresse.

« On s'entend bien. À merveille ! »

Cette femme est une miraculée : en 2008, elle avait reçu une balle dans le ventre tirée par Roger à la carabine. Celui-ci avait écopé d'un an ferme et d'un an avec sursis, le caractère intentionnel n'ayant pas été retenu. Mercredi, cet épisode lui valait de comparaître en récidive pour « violences sans incapacité ».
« Je suis un peu désespérée », résume la présidente face au prévenu. Elle ne l'est pas moins quand Roger, accoudé à la barre comme au comptoir, tente d'abréger : « Oh, là, c'est vraiment le trou noir ». Cet ancien forgeron, désormais sans emploi, regrette ce dont il ne se rappelle pas. Il dit : « Franchement, depuis, je remonte bien la pente […] J'aurais bien voulu voir mon épouse pour me faire pardonner ». Et clame vainement : « Quand on n'a pas bu, on s'entend bien. A merveille ! ». Grondé par la présidente, Roger ronchonne : « C'est moi, c'est moi, c'est toujours moi. Mais c'est 50/50, moi, je vous le dis !
- Ah, pour l'alcool, ça, c'est sûr ! Mais pour les pulls découpés au couteau, par contre, c'est vous !
- Oh mais vous savez, j'en ai marre, moi…
- Oh moi aussi, j'en ai marre de vous voir, monsieur ! »
Le substitut du procureur, quelque peu désabusée par l'attitude du prévenu, requiert la peine plancher pour cette récidive : un an ferme. Et réclame la révocation partielle du sursis d'un an à hauteur de trois mois et le mandat de dépôt. L'avocate de Roger évoque un « couple infernal », ose un parallèle avec le film « Un crime au paradis » - Josiane Balasko et Jacques Villeret y incarnent un couple conflictuel - et propose un compromis : « Il ne faudrait pas que (Roger) aille encore avec sa femme mais il faudrait lui éviter la détention ».
Roger est condamné à treize mois de prison - un an de peine plancher et un mois de sursis révoqué - avec mandat de dépôt à Charleville-Mézières. Le coupable s'affaisse imperceptiblement : « Laissez-moi encore une chance, s'il vous plaît ». « La chance, elle vous avait été donnée la dernière fois, monsieur », ne peut que rétorquer la présidente.


http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/roger-deboires-a-volonte

vendredi 11 mai 2012

Il vole trois voitures… et des barres chocolatées

En deux jours, L. a volé trois voitures, saccagé la propriété d'un Auscitain, brûlé l'un des véhicules, est entré par effraction dans le local du Tennis club d'Auch, a volé 15€ et des barres de chocolat, et commis un délit de fuite. Un sacré périple qui l'a conduit tout droit devant le tribunal correctionnel hier après-midi.
Dans la nuit du 3 au 4 janvier, L. et un ami, encore mineur, se rendent à Aubiet. Ils repèrent une Peugeot 205 avec les clés sur le contact. Ils n'ont pas le permis mais qu'importe, ils pénètrent dans l'habitacle, enclenchent le contact et prennent la route… direction Barran, où vivrait la grand-mère du plus jeune. Sur le parking du village, ils s'amusent à faire quelques dérapages, avant de repérer une Renault 21, avec les clefs à l'intérieur. Ni une, ni deux, voilà que les deux graines de voleurs repartent chacun au volant d'une voiture !
La nuit ayant été agitée, L. va se coucher. Le lendemain matin, la Renault 21 a disparu. Qu'à cela ne tienne, il appelle son ami, toujours au volant de sa 205. Plus d'essence ? L. sait où en trouver : chez un ancien employeur… où une voiture de société les attend les clefs sur le contact. L'occasion est trop belle. Les deux jeunes abandonnent la 205 à la déchetterie de Pavie après l'avoir brûlé. L. rentre avec son tout nouveau véhicule. Alors qu'il la récupère, le lendemain matin, les policiers l'attendent. Mais il prend la fuite, saccageant au passage la propriété d'un Auscitain.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/11/1350178-il-vole-trois-voitures-et-des-barres-chocolatees.html

Disparus du lac : le deuxième corps retrouvé par 82m de fond

L’insoutenable attente s’est achevée pour la dernière famille endeuillée : le dernier disparu du lac du Bourget a été retrouvé ce jeudi par les gendarmes de la brigade nautique d’Aix-les-Bains.

Deux amis avaient en effet disparu dans la nuit du 22 au 23 mars. Sans doute alcoolisés, ils auraient dérobé un pédalo pour aller faire un tour sur le lac du Bourget, à hauteur de la plage de Brison-Saint-Innocent. Mais le lendemain, le pédalo était découvert à semi-immergé, vide, dérivant à quelques encablures de la plage.

D’intenses recherches étaient menées depuis à l’aide d’un puissant sonar suisse, le lac du Bourget étant de très grande profondeur. Le 19 avril, un premier corps, celui de Maxime Doualle, avait été retrouvé par 70m de fond. Ce jeudi, c’est celui de son ami, Rémi Susanne, que les militaires ont remonté à la surface. Il gisait par 82m de fond dans le lac.

http://www.ledauphine.com/savoie/2012/05/10/disparus-du-lac-le-deuxieme-corps-retrouve-par-82m-de-fond

Pas commode, il s'en prend à un policier

Ce sont les voisins qui ont prévenu les policiers, sans doute lassés, à minuit passé, d'entendre les vociférations de leurs voisins, rue Georges-Wrobel, à Laon. Quand les forces de l'ordre arrivent sur place, un homme ouvre la porte et ils lui demandent des explications sur ce remue-ménage. Quelle n'a pas été leur surprise de voir surgir presque de nulle part un deuxième homme qui a littéralement sauté à la gorge de l'un des policiers, tentant de l'étrangler. Fort heureusement, ses collègues sont venus à son secours immédiatement et ont maîtrisé l'agresseur.
Hier matin, avec le peu de souvenirs qu'il avait de sa soirée fortement alcoolisée, il a reconnu les faits, et simplement déclaré qu'il n'avait pas apprécié que les policiers viennent se mêler du différend qui l'opposait à sa tante. Il est convoqué en juin pour un plaider-coupable.



http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/pas-commode-il-sen-prend-a-un-policier

jeudi 10 mai 2012

Des cambrioleurs arrêtés juste après leur forfait à Charly-sur-Marne

Trois jeunes voleurs ont été interpellés dans les moments suivant l'effraction d'une habitation du sud de l'Aisne. La réactivité des témoins et des forces de l'ordre y sont pour beaucoup.

MOINS d'une heure après leur vol, les trois jeunes Seine-et-Marnais se sont vus passer les menottes. Une interpellation réussie grâce aux informations fournies par des témoins aux forces de l'ordre.
Les faits se sont produits lundi matin, vers 10 heures. Trois individus, âgés de 17 à 29 ans, s'approchent d'une habitation située route de Villiers à Charly-sur-Marne. Le trio sonne à la porte. Personne. L'un d'eux reste faire le guet, tandis que les deux autres font le tour par-derrière. Ils brisent une vitre avec une pierre trouvée dans le jardin.
Une fois à l'intérieur, les deux maraudeurs fouillent la maison. Ils portent leur dévolu sur du matériel hi-fi. Ils rassemblent leur butin dans le jardin. Un voisin attentif les invective sur leur présence.
Les voleurs abandonnent leur « labeur » et « mettent les voiles » à bord d'un véhicule. Par chance, le signalement et la direction de fuite de la voiture, une Peugeot 406, ont pu être transmis aux forces de l'ordre. Les malfaiteurs s'étaient arrangés pour que les plaques d'immatriculations soient illisibles.
Alertés, les gendarmes de Château-Thierry se déploient aussitôt sur le terrain. Les axes routiers du secteur ont été surveillés par les brigades de Neuilly-Saint-Front, La Ferté-Milon, Charly-sur-Marne et Château-Thierry, avec le renfort du PSIG et de la brigade de recherche.

Présentés à la justice

En moins d'une heure, les malfrats sont tombés dans la nasse. A hauteur de la commune de Gandelu, sur la départementale 6, le véhicule est repéré par les militaires. Les trois cambrioleurs se trouvent à l'intérieur. Originaires de la ville de Meaux et des alentours, ils roulaient en direction de la Seine-et-Marne. Ils sont arrêtés sur le champ, puis emmenés dans les locaux des militaires pour être placés en garde à vue.
Le trio est resté quarante-huit heures avec les enquêteurs. À l'issue des auditions et des investigations, ils ont été présentés à la justice. Les deux majeurs ont été conduits devant le procureur de Soissons, le mineur devant le parquet de Meaux. Les deux adultes ont été incarcérés hier soir dans l'attente de leur procès ce jeudi. Le plus jeune fera quant à lui l'objet de poursuites pénales ultérieures. Le véhicule dans lequel se trouvaient les trois cambrioleurs a été saisi.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/des-cambrioleurs-arretes-juste-apres-leur-forfait-a-charly-sur-marne

Un voisin interpellé suite à la découverte du corps d’un homme dans une poubelle dans la Sarthe

Un homme a été interpellé mercredi après la découverte la veille du corps de l’un de ses voisins, tête en bas et le crâne contusionné dans une poubelle, à Bessé-en-Braye, un village de la Sarthe. La personne interpellée, déjà connue des services de gendarmerie pour des faits d’alcoolisme, avait été vue mardi vers 6 heures du matin en train de se battre avec la victime devant un bar, non loin du lieu de la découverte du corps. Un problème de garde de poissons rouges pourrait être à l’origine de l’altercation.
Lors des constatations sur les lieux du drame quelques heures plus tard, les enquêteurs ont aperçu le même voisin en train de récurer son appartement à l’aide d’eau de Javel qu’il venait d’acheter. Des traces de sang ont été découvertes dans son appartement ainsi que divers autres indices aux alentours.
Une enquête en flagrance avait été ouverte par les gendarmes.


http://www.leprogres.fr/faits-divers/2012/05/10/corps-d-un-homme-dans-une-poubelle-en-sarthe-un-voisin-interpelle

400 repas envolés dans la nuit

La présidente de l'association caritative appaméenne La Main sur le cœur a porté plainte contre X suite à un cambriolage. Des individus se sont introduits avec effraction dans le local et ont fait main basse sur toute l'alimentation destinée à 200 familles.
« On dirait que je suis Ken et toi tu seras Barbie » Effervescence printanière, hier matin, dans le petit local associatif de La Main sur le cœur, blotti tout contre la salle du Jeu-de-Mail à Pamiers. Le petit Jason joue au prince charmant avec sa copine Rose, sous le regard bienveillant de Denise Lumet. La présidente de l'association caritative affiche son inaltérable sourire. C'est sa manière à elle de souhaiter la bienvenue aux 200 familles qui en semaine viennent chercher gratuitement de quoi manger ou s'habiller parce que la vie, elle, ne leur fait pas de cadeau. La Main sur le cœur un lieu convivial où l'on fait aussi le plein de compassion et d'écoute en sirotant son café matutinal quand dehors, l'indifférence crie d'aller vous faire voir ailleurs. Malgré son sourire, Denise est triste depuis que de vrais enfoirés ont littéralement dévalisé les réserves de victuailles de l'association. « Ils ont fracturé au pied-de-biche la double porte située à l'arrière du local et ont fait main basse sur toute la nourriture. Conserves, café, jus de fruit, lait. Ils ont vidé les frigos, congélateurs, bref l'alimentation d'une semaine pour 400 personnes ! ». La petite dame en a la larme à l'œil. « J'étais sous le choc quand je l'ai découvert, un dimanche matin. Le vendredi on venait de se faire livrer par la banque alimentaire… ceux qui ont fait ça ne pouvait pas l'ignorer. J'ai pleuré… Je me suis sentie trahi. Je l'ai vraiment mal vécu. »
Du coup, faute de pouvoir fonctionner, le local est resté fermé une semaine. « Le symbole est lourd… » concède dépité un bénévole. Pour faire face et repartir, car Denise n'a « pas du tout l'intention de laisser tomber. », l'association a dû racheter en urgence de la marchandise et la petite dame de 70 printemps a pris sur ses propres deniers, pour in fine ne pas pénaliser les bénéficiaires. Mais « mamie Denise », comme l'interpellent affectueusement les enfants, s'interroge avec inquiétude : « J'espère qu'une chose, c'est que ce ne soit pas quelqu'un qui vient ici régulièrement qui a commis cet acte odieux. Je le prendrais très mal. Ce serait un sacré coup car je les aime tous ! »

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/10/1349947-pamiers-400-repas-envoles-dans-la-nuit.html

Crash d’un avion de tourisme au milieu d’un champ

Hier, en milieu d’après midi, un petit avion de tourisme biplace de type MCR a fait un atterrissage forcé au milieu d’un champ en bordure de l’autoroute à hauteur de la commune de Saint-Jeoire- Prieuré. À son bord, un couple de la région qui avait décollé de Pise pour la région lyonnaise. Tous deux s’en sortent sans aucune égratignure et ont même avoué ne pas avoir eu réellement peur.
C’est une panne subite du moteur qui à l’origine d’un posé qui n’a eu pour d’autres conséquences que des dégâts matériels. L’avion a roulé sur une petite centaine de mètres dans l’herbe haute et sur un sol meuble avant de piquer du nez le train d’atterrissage tordu.
Hier soir, les ailes étaient en cours de démontage pour évacuer plus facilement le fuselage de l’appareil. Présentes sur place, les forces de gendarmerie ont procédé aux constats d’usage. L’enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie des transports aériens.

http://www.ledauphine.com/savoie/2012/05/09/crash-d-un-avion-de-tourisme-au-milieu-d-un-champ

Il arrache le sac à main de la dame : le jeune voleur interpellé

Le jeune voleur à l'arraché ne sera pas resté dans la nature très longtemps. Le lendemain de son forfait, il a été retrouvé par la police soissonnaise.
Les faits remontent à dimanche après-midi. Une quinquagénaire marche tranquillement, rue Saint-Martin à Soissons.
Brusquement, une main chapardeuse attrape avec vigueur son sac. Deux jeunes prennent la fuite.
Les policiers arrêtent rapidement le plus jeune, âgé de 13 ans. Au fil de leurs investigations, ils ne tardent pas à identifier celui qui a arraché le sac des mains de sa propriétaire.
Il s'agit d'un jeune majeur, domicilié à Ambleny. Lundi, moins de vingt-quatre heures après les faits, les fonctionnaires parviennent à l'amener au poste. Placé en garde à vue, le garçon a été libéré, lundi, tard dans la soirée. Entre-temps, l'objet volé a été retrouvé.
Le voleur avait emporté l'argent contenu dans le portefeuille, avant de se débarrasser du « reste ».
Dans les semaines à venir, le jeune majeur devra répondre de ses actes devant le tribunal correctionnel de Soissons.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/il-arrache-le-sac-a-main-de-la-dame-le-jeune-voleur-interpelle

mercredi 9 mai 2012

Terrible accident à Pleucadeuc. Deux jeunes tués et deux blessés graves

Terrible accident dans la nuit de lundi à mardi, à Pleucadeuc. Selon les premiers témoignages, vers 4 h du matin, une voiture, avec quatre jeunes à son bord, a quitté la route départementale 5, qui relie Malestroit à Questembert.
L’accident s’est produit sur la commune de Pleucadeuc, entre le château de La Villeneuve et le lieu-dit La Granville.
Tués sur le coup
La voiture a percuté deux arbres avant de finir sa course sur le toit. Deux des passagers, un jeune homme, âgé de 21 ans, et une adolescente de 15 ans, ont été tués sur le coup.
La conductrice, âgée de 19 ans, et un troisième passager, âgé de 17 ans, ont réussi à s’extraire du véhicule. Ils ont atteint la route en rampant sur une quinzaine de mètres.
Découverts par un automobiliste
Vers 8 h, un automobiliste les a trouvés sur le bord de la route. Les secours sont arrivés sur les lieux peu de temps après et les ont transportés au centre hospitalier de Vannes.
Au total, dix-neuf sapeurs-pompiers de six centres de secours sont intervenus.

Leur chat les sauve d'une mort certaine dans l'incendie

Dans la nuit de lundi à mardi, l’incendie qui a ravagé une ancienne et belle maison de pierre située place de l’ancien four, au coeur de Paraza (Aude), aurait pu avoir des conséquences dramatiques.
Le chat a miaulé très fort

Fort heureusement le feu a éclaté dans la cuisine au premier étage alors que les deux occupants dormaient dans les chambres du rez-de-chaussée.
Autre chance : vers 1 h 30, la chatte de la maisonnette, Lili, a donné l’alerte en miaulant très fort, réveillant Françoise Durand, 64 ans, et son fils de 19 ans. Le petit animal leur a, sans doute, sauvé la vie !

http://www.midilibre.fr/2012/05/08/dma-sauves-grace-au-chat,498145.php