mardi 31 juillet 2012

Ger (64) : deux routiers arrêtés pour des vols de gazole

Deux ressortissants Roumains, routiers affectés à des transports réguliers de marchandises entre la Roumanie et l'Espagne ont été arrêtés samedi sur l'aire de Ger, sur l'A64.
C'est en flagrant délit que les gendarmes du peloton autoroutier de Tarbes les ont surpris en train de siphonner du gazole dans le camion d'un autre routier stationné là. Le préjudice du vol est estimé à 300 €. Depuis le début juillet, plusieurs vols de carburant avaient en effet été signalés sur l'A64, et les militaires avaient établi une surveillance à cet effet.

Les deux routiers ont reconnu qu'ils avaient volé le carburant pour améliorer leur ordinaire. Car, comme cela se pratique beaucoup dans les entreprises de transport des pays de l'Est, les deux routiers reçoivent pour chaque voyage une enveloppe d'argent, qui doit leur permettre de payer les péages, mais aussi l'essence et les repas lors de leurs allers-retours.
Les gendarmes ont aussi établi que les deux hommes s'étaient fait une spécialité dans la filouterie des autoroutes (souvent repérée via des caméras), en collant à des véhicules pour passer le péage sans payer. Selon l'enquête, les deux chauffeurs auraient ainsi « économisé » 1 200 € pour des péages. Leur camion est immobilisé le temps de payer les amendes afférentes à d'autres infractions routières. Quant aux deux hommes, ils sont convoqués en octobre devant le tribunal de Pau pour le vol de carburant.

http://www.sudouest.fr/2012/07/30/deux-routiers-arretes-pour-des-vols-de-gazole-782268-4148.php

lundi 30 juillet 2012

Galgon (33) : les agresseurs avaient séquestré et roué de coups leur victime

Trois jeunes de 16 et 17 ans habitant Libourne et un autre de 18 ans, venu des Yvelines, ont fait vivre un sale moment à un jeune homme de Galgon.
Le week-end dernier, ils l'ont séquestré pendant plus de 24 heures à son domicile alors qu'ils s'étaient retrouvés lors d'une soirée arrosée où le cannabis a également circulé.

Roué de coups de pied et de poing, de coups de bâton, le jeune homme a vécu un calvaire. Bilan : 2 mois d'interruption totale de travail (ITT).
Les gendarmes de la brigade de Villegouge ont interpellé les auteurs de cette agression en milieu de semaine. Tous ont été déférés au parquet et présentés à un juge. Deux d'entre eux ont été placés sous contrôle judiciaire, dont le majeur.
Deux adolescents libournais ont été conduits dans un centre éducatif fermé.

http://www.sudouest.fr/2012/07/29/faits-divers-781974-4584.php

dimanche 29 juillet 2012

Un jeune homme transporté en hélicoptère

L'accident est survenu, samedi matin, peu après 11 h 30. Sur la D 966, un jeune homme a perdu le contrôle de son véhicule entre Dizy-le-Gros et Montcornet. Après avoir quitté la route, la voiture a effectué plusieurs tonneaux avant de s'immobiliser sur le toit.
Dans cet accident, le jeune homme a été éjecté de l'habitacle de la voiture. Les pompiers de Sissonne ainsi que ceux de Montcornet plus les hommes du Samu, ont dû travailler longtemps sur le jeune homme, habitant de Montcornet, avant qu'il ne soit transporté dans un état jugé sérieux, sur l'hôpital de Reims par hélicoptère.
Hier, les gendarmes essayaient de comprendre qu'elle avait été la raison de cette sortie de route dans un endroit qui ne présente pas de dangers particuliers.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-jeune-homme-transporte-en-helicoptere

Les gendarmes attendaient au tournant

Les forces de l'ordre sont présentes sur le terrain. Pour le faire savoir aux délinquants et malfaiteurs, elles organisent des opérations de contrôle. Comme jeudi au niveau de Fontaine-les-Vervins.

ILS n'ont pas choisi l'endroit par hasard. Un rond-point à la croisée de la RN2 et de la route de la Belgique. Là où peuvent transiter toutes sortes de marchandises plus ou moins légales, d'objets volés, mais aussi des personnes recherchées.
En ce jeudi soir, s'y tiennent pas moins d'une dizaine d'hommes : de la communauté de brigade de Vervins-Montcornet, du PSIG d'Hirson, et un maître-chien de la brigade cynophile de Saint-Quentin avec son animal.


Drogue
Le capitaine Girard, commandant de la compagnie de Vervins supervise cette opération « anti-délinquance » : « Une opération de ce type a lieu par semaine dans chacune de nos trois communautés de brigade. Le but est de mettre la pression sur les délinquants, de faire sentir notre présence et d'avoir un effet dissuasif .. Ces contrôles sont, bien sûr, inopinés tant en termes d'horaires que de secteurs. Les gendarmes agissent sur réquisition du procureur de la République de Laon, ce qui leur permet d'effectuer des contrôles systématiques et non motivés.
Au signal, un véhicule venant de Belgique s'immobilise. Trois jeunes gens en sortent, qui disent se rendre en Espagne. Guidé par le gendarme Bleuse, du groupe d'investigation cynophile, Mani, le chien, commence sa ronde… et se dirige spontanément vers l'un des deux passagers, lui reniflant les poches. « Si mon animal s'intéresse à vous, ce n'est pas parce qu'il vous aime bien », commente le gendarme ! Le pantalon ne contient que des résidus de cannabis, mais bientôt est découverte une boîte contenant de petits sachets… Le groupe a gagné un aller pour la gendarmerie. « Nous trouvons régulièrement des stupéfiants, ce ne sont pas de grosses quantités, mais cela peut permettre de remonter une filière. »


Coopération internationale
L'un des véhicules des forces de l'ordre est équipé d'un appareil embarqué permettant de consulter une série de fichiers nationaux et internationaux : fichier national des permis de conduire, système de vérification des cartes grises, fichiers des véhicules volés, des objets volés, et des personnes recherchées au niveau de l'espace Schengen.
C'est sur la foi de dernier fichier, que plus tard dans la soirée, deux personnes descendant de Hollande vers le Maroc sont retenues. Il s'agit d'un homme de nationalité marocaine et de sa fille. « Une fiche a été émise au niveau Schengen sur l'enfant. Elle fait probablement l'objet d'une décision de justice. C'est peut-être une personne disparue ou enlevée. Avec les mineurs, il y a beaucoup d'affaires d'enlèvements et de gardes d'enfants », détaille un gendarme.
L'affaire sera transmise à des magistrats, qui se mettront en relation avec le pays d'origine des deux personnes.
« On trouve de tout sur ces contrôles », lance le commandant.


http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/les-gendarmes-attendaient-au-tournant

samedi 28 juillet 2012

Béarn : il prévient les gendarmes qu'il veut tuer sa femme

En fin de semaine dernière, les gendarmes cantonnés dans une brigade près de Pau ont été appelés par un homme qui leur a dit vouloir tuer sa compagne.
Interpellé, il a été placé en garde à vue, puis interné à l'hôpital psychiatrique de Pau.

Jeudi, il a été déféré devant le parquet, qui l'a placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d'entrer en contact avec sa compagne.
Il s'expliquera devant le tribunal correctionnel de Pau le 6 août.

http://www.sudouest.fr/2012/07/27/bearn-il-previent-les-gendarmes-qu-il-veut-tuer-sa-femme-780864-3.php

vendredi 27 juillet 2012

Blessé après un saut de 16 m dans une rivière

Un adolescent originaire du Nord s'est blessé mercredi après avoir sauté d’une hauteur de 16 mètres dans la rivière Ardèche, rapporte Le Dauphiné Libéré. Le jeune vacancier s’était élancé de la roche située en contrebas de la RD 208, en face des anciennes brasseries à Ruoms, précise le site du quotidien.
Arrivés sur place, les sapeurs-pompiers ont sorti le garçon de l’eau. Sérieusement blessé, il a été conduit au centre hospitalier d’Aubenas assisté par médecin et infirmière.

Angoulême : ivre, il percute l'ambulance des pompiers

Cette nuit, à 1h30, un automobiliste ivre a emboutit l'ambulance des pompiers stationnée sur le pont Saint-Cybard, à Angoulême.
Les secours étaient affairés autour d'un piéton, lui-même en état d'ivresse lorsqu'est arrivée une Peugeot 406. Son conducteur n'a pu éviter le fourgon des pompiers.

Si les dégâts se limitent aux pare-chocs des deux véhicules, les policiers ont été appelés en renfort, invitant l'automobiliste à souffler dans l'éthylotest. Résultat : 2,26 grammes d'alcool dans le sang.
Agé de 55 ans, l'homme est récidiviste en la matière et circulait sans permis ni assurance. Après avoir passé la nuit en cellule de dégrisement, il se trouve toujours en garde à vue au commissariat de police d'Angoulême.

http://www.sudouest.fr/2012/07/26/angouleme-ivre-il-percute-l-ambulance-des-pompiers-779935-813.php

jeudi 26 juillet 2012

Saint-Georges-de-Didonne : chute mortelle pour le cyclo randonneur

Un cyclo randonneur âgé de 66 ans a trouvé la mort, samedi. L'homme, originaire de Nancras, circulait seul avenue de Suzac, à l'entrée de Saint-Georges-de-Didonne, en direction du centre-ville, lorsqu'il a chuté, pour une raison indéterminée. Il était environ 10 h 45. Sa tête a violemment heurté la chaussée.

Traumatisme crânien

Pompiers et service médical d'urgence et de réanimation se sont immédiatement porté à son secours. Le cyclotouriste, grièvement blessé, souffrait d'un important traumatisme crânien. Il a été transféré au centre hospitalier de Royan-Vaux, où il est malheureusement décédé l'après-midi même.

http://www.sudouest.fr/2012/07/25/chute-mortelle-pour-le-cyclo-randonneur-778597-1538.php

mercredi 25 juillet 2012

Abidos (64) : un employé happé par une machine industrielle

Un accident du travail a eu lieu vers 4h20 dans la nuit de mercredi à jeudi dans l'entreprise Régéfilms, à Abidos entre Pau et Orthez.
Des employés venaient de procéder à l'entretien d'une machine de production lorsque l'accident s'est produit.

En remettant en marche l'engin, le chef d'équipe a détecté une anomalie de fonctionnement qu'il a voulu résoudre. Mais il a alors été happé sur le tapis roulant, a été emporté dans le mécanisme qui lui a fait faire le tour du circuit à très vive allure avant d'être éjecté.
La victime a alors basculé dans un espace d'une vingtaine de centimètres entre le tapis roulant et une poutre métallique.
Par miracle, l'homme, qui est âgé de 48 ans, s'en sort avec une simple fracture de la jambe. Il a été évacué par les pompiers au centre hospitalier de Pau.
Une enquête a été ouverte et confiée aux gendarmes de Mourenx.
L'inspection du travail pourrait se rendre sur place ce jeudi.

http://www.sudouest.fr/

mardi 24 juillet 2012

Lacrymo contre son ex

Il n'arrive pas à admettre la rupture, c'est une certitude. Apparemment après une énième dispute, l'ex-femme d'un Marmandais de 38 ans est partie en voiture samedi matin, à 5 h 40, avec trois autres personnes à bord. Mais au feu rouge du boulevard Gambetta, elle s'aperçoit que son ex-mari l'a suivi en voiture, et qu'il descend de son véhicule, une bombe lacrymogène à la main, avant d'en faire usage dans l'habitacle de sa voiture. Le conducteur, un Bazeillais de 26 ans, est aussi aspergé. Au même moment, des hommes du Psig, dans une voiture banalisée, voient la scène, et l'homme est interpellé en flagrant délit, puis placé en garde à vue.
Déferré hier, il sera jugé ce matin en comparution immédiate pour violence avec arme en récidive, conduite sous l'empire d'un état alcoolique et défaut d'assurance.

http://www.sudouest.fr/2012/07/23/lacrymo-contre-son-ex-776707-3755.php

lundi 23 juillet 2012

Lacanau (33) : il prend la fuite au volant d'une voiture volée... et se cache dans un arbre

Jeudi soir, les gendarmes ont été intrigués par le comportement suspect d'un automobiliste sur un parking de Lacanau-plage. Contrôlé, l'homme a décliné son identité mais il a été embarrassé au moment de présenter les papiers du véhicule. Et pour cause : il avait volé la magnifique Audi A6 deux jours auparavant à Trélissac.
Découvert, il a donc pris la fuite sur les chapeaux de roues. Les gendarmes ont déclenché le plan Épervier et l'hélicoptère a permis de repérer la voiture du fuyard sur le parking du golf de Lacanau. Le pilote de l'hélicoptère a ensuite aperçu le conducteur, caché dans un arbre, dans le jardin d'un particulier.

Interpellé par les unités venues à sa rencontre, il a été aussitôt placé en garde à vue. Écroué, samedi, il sera déféré lundi devant le tribunal correctionnel dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate.

http://www.sudouest.fr/2012/07/22/faits-divers-776251-4584.php

dimanche 22 juillet 2012

Le marché de Foix aiguise l'appétit des voleurs

Depuis ces dernières années, le nombre de vols de caisse à la fin des marchés a augmenté. Un phénomène constaté par les professionnels du secteur.
«Deux mille euros ça m'a coûté !», s'exclame Ernest, présent sur le marché de Foix depuis 1958. En deux ans, le commerçant sous la halle de Saint-Volusien a subi quatre vols. «Deux fois, ils m'ont piqué la caisse et deux autres fois le portefeuille». Les vols de caisses à la fin des marchés, voilà un phénomène qui n'est pas nouveau. Pourtant, à entendre les professionnels du secteur, il aurait tendance à s'accentuer ces dernières années.
Les voisins d'Ernest n'ont pas non plus échappé à l'appétit des larrons. Martine, qui vend ses fruits et légumes près de l'abbatiale depuis plus de vingt ans, a aussi été spoliée de ses recettes. «Je me souviens qu'on a retrouvé la caisse vide un an après, confie sa fille. Il y avait des papiers à l'intérieur. La personne qui l'a trouvée nous a contactés». À chaque fois le scénario se ressemble. «Quand on charge le camion, qu'on plie tout, poursuit Ernest, on met parfois la caisse sur le siège avant. Avec les nouveaux véhicules, on ne peut pas fermer seulement une porte». Résultat, un homme se faufile, vole le sésame et s'évanouit dans la nature. Fin de l'histoire. «À chaque fois, j'ai porté plainte, poursuit le commerçant. Mais cela reste lettre morte…» «Nous faisons des patrouilles», explique-t-on du côté du commissariat de Foix. Pourtant, difficile de surveiller un marché qui brasse des centaines de personnes et qui se déploie en trois endroits : les allées de Villote, la halle aux grains et la halle Saint-Volusien. Alors, de leur côté, les producteurs locaux présents sur le marché ont l'œil aiguisé et repèrent facilement les personnes «louches». «Après, c'est compliqué d'aller toper un gars simplement sur des soupçons», confie l'un d'entre eux. Par contre, Gérard Esquirol prévient : «Il y a un mois et demi, un homme m'a volé mon portefeuille directement dans ma poche. Je n'ai rien vu, rien senti. Mais je me souviens très bien de qui c'était. Le lendemain, on a retrouvé mon portefeuille vidé des 700 euros en espèces…»
À Villote, Tony Devisme, vendeur de vêtements, raconte : «On m'a volé ma sacoche. Le lendemain, quelqu'un m'a appelé. Il l'avait retrouvée près d'une carrière. Les gendarmes m'avaient prévenu que cela se passerait comme ça. Aujourd'hui, je porte la caisse autour de la taille, pour me la piquer, il faudra me prendre avec !»

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/21/1404564-le-marche-de-foix-aiguise-l-appetit-des-voleurs.html

samedi 21 juillet 2012

Son tracteur verbalisé dans le... XVIIe

Son tracteur roule à peine, mais se serait retrouvé mal garé en plein Paris. Un agriculteur du Sud de l'Aisne vient de recevoir une contravention. Ubuesque.

«MON tracteur ne va même pas sur la route. C'est trop dangereux ! » Jacques Gandon s'interroge. Pourtant, son Massey Ferguson de 1969 se serait retrouvé mal garé… en plein XVIIe arrondissement ! En début de semaine, cet agriculteur de Chézy-sur-Marne a reçu une « prune » pour « stationnement irrégulier ».
L'immatriculation mentionnée est celle de son tracteur hors d'âge. Vu l'état de la machine, l'erreur administrative ne fait aucun doute.
« Le tracteur n'a même pas de gyrophare arrière, ni de plaque d'immatriculation. Il ne sort jamais de notre propriété, il sert juste pour le jardin », explique Jacques Gandon. Difficile alors de croire que le jeudi 5 juillet dernier à 11 h 37, l'engin se trouvait mal garé, rue du Docteur-Heulin, à deux pas du cimetière de Montmartre. De surcroît, le véhicule mentionné sur la contravention est de marque Renault.

De nombreux cas

L'histoire pourrait paraître drôle, si l'agriculteur ne devait pas régler la contravention afin de la remettre en cause ! Ce qui est la procédure « classique » en cas de contestation de PV. D'autre part, le cas de Jacques Gandon est loin d'être isolé. Partout en France, des erreurs de ce type ont lieu. Très récemment, un agriculteur du secteur de Vic-sur-Aisne a été victime de ce genre d'erreur. Son tracteur de 3,5 mètres de haut s'était soi-disant retrouvé…
en stationnement gênant devant la porte C de l'aéroport d'Orly !
« Je ne comprends pas, s'indigne le sud-axonais Jacques Gandon. Ça coûte quoi à ceux qui verbalisent de vérifier l'immatriculation avant. En plus, ils pourraient arrêter ceux qui ont de fausses plaques. »
La mésaventure des propriétaires malchanceux peut s'expliquer de deux manières. Soit il s'agit d'une erreur d'écriture, soit d'une « doublette », autrement dit d'une usurpation de plaque d'immatriculation. Des centaines d'automobilistes sont victimes d'escrocs qui ne signalent pas l'acquisition d'un véhicule ou copient des plaques existantes ou non.
Ces cas se multiplient d'ailleurs depuis la mise en place du nouveau système d'immatriculation des véhicules (SIV) en 2009. Selon les chiffres annoncés par le ministère de l'Intérieur en début d'année, près de 5 000 personnes ont été victimes de « doublettes » en 2010, soit une progression de… 40 % par rapport à 2009.
« Là, ce n'est qu'un PV pour stationnement… Mais imaginons que l'usurpateur se soit fait flasher à 200 km/h ou qu'il ait eu un accident grave. Les conséquences ne seraient pas les mêmes », commente l'exploitant agricole du sud de l'Aisne. Tout cela pour une négligence, lors de la verbalisation…

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/son-tracteur-verbalise-dans-le-xviie

vendredi 20 juillet 2012

Deux mineurs retrouvés en coma éthylique

Hier en fin de matinée, deux jeunes se trouvent rue du Sergen-Faglin. L'un à pied, l'autre à vélo. Ce dernier attire l'attention d'un riverain. Il zigzague sur la route, puis tombe, visiblement ivre. Alors que son camarade (qui n'a pas l'air d'aller vraiment mieux) se réfugie difficilement chez lui, l'adolescent, âgé de 15 ans et domicilié au village voisin de Neuvillette, ne se relève pas. Le maire est prévenu ainsi que les gendarmes et sapeurs-pompiers.
« Connus pour leur conduite »
Les secours arrivent : ils sont tous deux en coma éthylique. Les parents sont également sur place et ne s'expliquent pas comment ils ont pu boire. « Ils n'ont pas d'argent sur eux alors, où ont-ils eu de la boisson ? », s'interrogent les mères (un des mineurs n'a que treize ans). Une réponse qui fait sourire le maire : « Ces deux jeunes sont connus pour leur conduite. Dès 5 heures, ce matin, ils étaient dans les rues de la commune et on me dit que les parents ne sont pas au courant ! Il est temps qu'ils prennent conscience que l'éducation de leurs enfants est une obligation parentale. Dire ne pas savoir que son enfant n'a pas dormi chez soi, c'est un comble ! »
Appelés, les sapeurs-pompiers de Guise se sont rendus sur place, les deux jeunes ont été transportés au centre hospitalier de Saint-Quentin. Ils seront convoqués à la gendarmerie et devront s'expliquer sur la provenance de la boisson.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/deux-mineurs-retrouves-en-coma-ethylique

Carcassonne. 85 plants de cannabis dans le jardin

Brandissant une photo à bout de bras, le directeur départemental de la sécurité publique n'en revient pas. Il était 7h15, hier matin, lorsque les policiers du commissariat ont découvert dans le jardin d'une maison de ville, allée d'Iéna, une plantation de cannabis bien entretenue. À l'heure où les jardiniers de bon aloi surveillent la pousse des haricots et des pommes de terre nouvelles, le propriétaire de ce «potager», à l'abri derrière sa demeure, un Carcassonnais âgé de 61 ans, retraité, cultivait consciencieusement quatre-vingt-cinq plants de cannabis. En tout bien tout honneur, puisque l'homme a soutenu que cette exploitation était strictement réservée à son usage personnel. Les policiers, qui ont également mis la main sur une collection de graines dans ce jardin extraordinaire, n'ont pas réussi à prouver le contraire. Le sexagénaire a fait l'objet d'une convocation devant la justice le 6 août.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/20/1403933-carcassonne-85-plants-de-cannabis-dans-le-jardin.html

Cognac (16) : Un homme se sert dans le tiroir caisse

Ce jeudi vers 14h45, un homme est entré dans un magasin de vêtements pour enfants, Orchestra, rue du Canton à Cognac, et a profité de l'occupation des vendeuses pour ouvrir le tiroir caisse et prendre tout l'argent à l'intérieur.
La vendeuse, encore sous le choc, raconte s'être absentée dans l'arrière boutique avec sa collègue, juste après avoir ouvert la boutique. « J'ai entendu le tiroir caisse s'ouvrir, j'ai jeté un oeil et j'ai vu un homme chauve, vêtu d'un blouson noir s'enfuir ».

Des clients étaient également à l'intérieur du magasin au moment du vol. Le préjudice s'élève à environ 150 euros. Dans la précipitation, l'homme a fait tomber un billet de 5 euros par terre. C'est tout ce qui reste du fonds de caisse.
Alertés, les policiers sont actuellement à la recherche de cet homme, parti en direction de la rue Aristide-Briand.

http://www.sudouest.fr/2012/07/19/cognac-16-un-homme-se-sert-dans-le-tiroir-caisse-774215-882.php

jeudi 19 juillet 2012

Le père violent interpellé

Les faits remontent au 13 juin dernier. A cette date dans une rue non loin du centre-ville, une altercation violente oppose un père et son fils de 14 ans. Le papa s'acharne sur sa progéniture en le frappant et en l'attrapant notamment au cou, laissant au passage plusieurs marques. Les jours suivant l'affrontement un médecin confirme bien que les traces sur le corps de l'enfant correspondent à des violences. les gendarmes de Chauny ouvrent alors une enquête.
Des investigations qui ont abouti à l'interpellation du père de famille en milieu de semaine. Placé en garde à vue il a partiellement reconnu les faits. Il est de plus apparu que les violences envers l'adolescent étaient régulières. Laissé en liberté à l'issue de son audition il a été convoqué devant le tribunal correctionnel de laon le 4 octobre prochain pour répondre des faits de violences sur mineur.
L'homme comparaîtra dans le cadre d'une récidive légale puisqu'il a déjà eu à faire avec la justice pour des faits similaires.


http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/le-pere-violent-interpelle

Dordogne : Mattéo, 5 ans et demi, sauve sa famille

De la chance, la famille Joseph en a eu beaucoup, ce samedi 14 juillet. Et c'est grâce au garçon de la famille, 6 ans dans un mois, que tout le monde est sain et sauf. En pleine nuit, le poste de télévision, posé à côté du lit de Mattéo Joseph, a pris feu pour une raison inexpliquée, alors qu'il dormait chez sa grand-mère Yvonne, rue Frédéric Mistral, en compagnie de son papa et de sa jeune sœur Noéline. « J'ai voulu réveiller papa qui dormait à l'étage dans la chambre voisine, mais la fumée m'empêchait d'y voir », se souvient-il.
Alerté par son fils, le père des deux enfants les a entraînés au rez-de-chaussée. Là, ils ont réveillé la grand-mère et ont attendu les secours à l'extérieur de la maison. Depuis, un élan de solidarité s'est créé pour aider la famille. Aline, la maman, remercie tous les gens qui se sont mobilisés. Les enfants n'ont pas besoin de grand chose à part des vêtements. En revanche, la grand-mère et son fils ont encore besoin d'aide.

Quant à Mattéo, il rêve de passer une journée dans la caserne des pompiers qui lui sont venus en aide. Une vocation est sans doute née de cette aventure.

http://www.sudouest.fr/2012/07/18/matteo-sauve-sa-famille-772503-1969.php

mercredi 18 juillet 2012

Il fonce sur un barrage de gendarmerie le jour de sa sortie de prison

Ruddy B., un Revinois de 27 ans commet plusieurs infractions, le jour même de sa sortie de prison. En effet, après avoir effectué un séjour de plusieurs mois en prison à cause d'une conduite sans permis et un refus d'obtempérer, il bénéficie d'une mesure d'aménagement de peine et quitte sa cellule le 2 juillet dernier. Dans la matinée, bien qu'il n'ait pas de permis de conduite, il achète une voiture pour la modique somme de 150 euros. Le comble, cette voiture n'a pas de plaque minéralogique. Le Revinois « acheteur » ne cherche passe pas par quatre chemins. Il récupère une plaque d'immatriculation sur une voiture garée à côté du domicile de son cousin à Vireux-Molhain.
C'est à bord de sa nouvelle acquisition que le Revinois se rend, dans l'après-midi, chez deux autres camarades pour fêter sa sortie de prison. En début de soirée, vers 20 heures, bien qu'ils aient déjà ingurgité beaucoup de bières, les trois comparses se rendent dans un bar de la commune pour poursuivre. Suite à une altercation avec un client, le patron leur demande de quitter son établissement.
Lorsque les gendarmes arrivent sur place, les trois fauteurs de troubles sont déjà partis. Pour les intercepter, les militaires mettent en place, durant la nuit, plusieurs contrôles routiers.
Sur l'un des barrages, le conducteur avec deux autres personnes à bord de son véhicule refuse d'obtempérer aux injonctions des gendarmes et prend la fuite.
Ruddy B. sera interpellé le lendemain, sur les indications du « vrai » titulaire de la plaque d'immatriculation. À l'issue de sa garde à vue, il a reconnu les faits commis en récidive. Il a été déféré au parquet qui l'a envoyé devant les juges du tribunal correctionnel en procédure de comparution immédiate. Les juges lui reprochent quatre infractions : conduite sans permis, refus d'obtempérer à une sommation de s'arrêter, circulation avec un véhicule sans assurance, usurpation de plaque d'immatriculation.
Le prévenu a demandé un délai pour préparer sa défense. Il sera donc jugé le 26 juillet. En attendant, les juges l'ont placé en détention provisoire.


http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/il-fonce-sur-un-barrage-de-gendarmerie-le-jour-de-sa-sortie-de-prison

Saint-Estèphe (24) : Un jeune de 19 ans fait un malaise dans l'eau

Un jeune de 19 ans, originaire de Bergerac, a fait un malaise au grand étang de Saint-Estèphe, aux alentours de 15 heures ce mardi, alors qu'il jouait dans l'eau.
Il passait la journée avec des proches. Peu de temps après avoir disparu sous l'eau, il a été secouru par une personne. Il a ensuite été pris en charge par le Samu.

Le jeune homme est actuellement sous assistance respiratoire et n'aurait pas d'eau dans ses poumons. Un hélicoptère l'a amené à l'hôpital de Périgueux.

http://www.sudouest.fr/2012/07/17/saint-estephe-24-un-jeune-de-19-ans-fait-un-malaise-dans-l-eau-772311-1980.php

Un jeune homme retrouvé mort

Le corps sans vie d’un jeune homme de 18 ans a été découvert ce matin vers 7 heures.

La victime, Johnny Téperlé, habitait à Thenelles, il demeurait depuis trois mois chez son beau-père, c’est d’ailleurs lui qui a fait cette macabre découverte.
Une enquête est ouverte pour établir les circonstances du décès de ce jeune homme. Aucune piste n'est écartée.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-jeune-homme-retrouve-mort

mardi 17 juillet 2012

Villeneuve-sur-Lot (47) : le feu détruit un immeuble dans la rue commerçante

Dimanche soir, un violent incendie a ravagé un immeuble de l'hypercentre villeneuvois, au croisement de la rue de Paris et de la rue des Frères Clavet. Il s'agit du bâtiment accueillant la boutique Burton. L'alerte a été donnée à 23 h 10. 35 pompiers ont été mobilisés sur cette intervention. Ils provenaient des casernes de Villeneuve, Sainte-Livrade, Fumel et Vallée du Lot.
Le feu n'a fait aucune victime. Mais, outre le magasin de vêtements situé au rez-de-chaussée et occupant 150 m², le sinistre a entièrement détruit l'étage accueillant des bureaux et les combles dans lesquelles se trouvaient des archives.

Si les flammes ont pu être maîtrisées, la structure, elle, a particulièrement souffert. Craignant un risque d'effondrement, deux arrêtés ont dû être pris par la municipalité : un interdisant de pénétrer dans le bâtiment, un autre interdisant la circulation à son abord. L'entrée de l'immeuble donne sur la rue de Paris, la rue piétonne la plus commerçante de la bastide.
Les bâtiments voisins ont fait l'objet de contrôles par les pompiers. La première adjointe, Marie-Françoise Béghin, se trouvait sur place

http://www.sudouest.fr/2012/07/16/villeneuve-sur-lot-47-le-feu-detruit-un-immeuble-dans-la-rue-commercante-771204-3900.php

lundi 16 juillet 2012

Collision au carrefour : une femme et sa fille blessées

Jeudi vers 18 heures, sur l'agglomération de Moy-de-l'Aisne, une collision s'est produite au carrefour de la D 34 avec la D 1044, au lieu-dit Le Vert Chasseur. Venant du village voisin de Ly-Fontaine, un minibus, conduit par un moniteur du centre de loisirs, avec six enfants à bord, s'est engagé sur la départementale 1044 au moment même où une Audi break arrivait de Laon.
La voiture a été percutée par l'arrière. À son bord, une mère et sa fille, domiciliées à Vendeuil. Blessées, elles ont été transportées au centre hospitalier de Saint-Quentin. Par chance, aucun blessé n'est à déplorer, dans le bus qui transportait les enfants de la structure d'accueil.
Les secours sont venus des casernes de Saint-Quentin et de La Fère. Les gendarmes de la communauté de brigades de Ribemont ont assuré, le temps des secours, la sécurité des autres usagers de cet axe routier à grand trafic. La circulation est revenue à la normale après l'intervention des services de la voirie


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dimanche 15 juillet 2012

Une voiture percute un deux-roues

Hier, peu après 13 heures, au village de Lesquielles-Saint-Germain, au lieu-dit « La Maison-Rouge », une voiture a violemment percuté un scooter piloté par un homme âgé de 28 ans et domicilié dans la commune d'Hannapes. Celui-ci circulait sur la départementale 946 entre Etreux et Guise lorsqu'à une intersection avec la départementale 699, la voiture n'a pas marqué le stop. Le choc avec le deux-roues était devenu inévitable.
La conductrice de la Citroën Picasso dit avoir été surprise par la chaussée humide et victime d'un aquaplaning. Âgée de 24 ans, et domiciliée à Vaux-Andigny, elle est sortie indemne de la collision. Le pilote du scooter était en revanche blessé à la main. Vraisemblablement une fracture, selon les secouristes.
Il a été transporté à l'hôpital de Guise. Les gendarmes de la communauté de brigades de Guise ont procédé aux constatations d'usage.


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samedi 14 juillet 2012

De lourdes peines de prison pour les deux braqueurs menteurs

Deux « pieds nickelés » ont été condamnés à de la prison ferme pour avoir braqué une employée du Greta, à Laon, en août 2010. Malgré des mensonges vite découverts par l'enquête, ils n'ont jamais avoué leur rôle respectif.

Si la légende de Pinocchio existait réellement, le duo présenté hier à la barre du tribunal correctionnel de Laon, serait ressorti avec un nez long comme un cortège de gens du voyage se rendant à un rassemblement évangélique…
Que ce soit Carlos De Almeida Alvès ou Grégory Pierrel, le maçon portugais un peu paumé ou l'ancien militaire aujourd'hui sans emploi, les deux se sont enferrés à ne pas avouer que c'était le second nommé qui avait braqué une salariée du Greta, rue du Cloître, le 30 août 2010, vers 13 heures. Malgré tous les indices, en raison, comme l'a souligné Laurent Favre, le président de l'audience, « d'un travail méticuleux des enquêteurs ».
En toute logique, le tribunal a suivi les réquisitions de la substitut du procureur, en infligeant 2 ans de prison ferme plus un avec sursis à Grégory Pierrel, et 9 mois ferme plus 9 avec sursis à Carlos de Almeida.


Histoire invraisemblable
Le tribunal reconnaissait ainsi que c'était bien Grégory Pierrel, encagoulé et vêtu de noir, qui s'est fait remettre un porte-monnaie contenant plus de 90 euros, en menaçant d'un pistolet à bille, l'employée du Greta. Un porte-monnaie ne contenant plus que 3,20 euros, lorsque le second prévenu, avoue l'avoir retrouvé dans la cour de son appartement, le soir même ! Une cour commune avec le… Greta.
La police n'avait pas cru longtemps à cette version, et s'est tout de suite concentrée sur le second protagoniste, l'ex-militaire de Mourmelon. Car dans la première excuse fournie pour la découverte du porte-monnaie, le jeune Portugais indique qu'il se rendait à un rendez-vous avec son « ami » rencontré dans un bar. Une histoire invraisemblable qui conduira rapidement les deux loustics, sortes de pieds nickelés du XXIe siècle, en détention préventive (6 mois pour Pierrel, 11 jours pour De Almeida Alvès).


Pourtant, pendant toute l'enquête, les indices indiquaient clairement que Grégory Pierrel était celui qui avait braqué un pistolet à bille face. « La victime a parfaitement décrit un homme qui correspond à vous, notamment des yeux bleus, soit votre couleur », martèlent tour à tour le président de l'audience et la substitut du procureur. Que nenni ! « C'est moi qui ai fait ce coup, mais je ne sais pas vraiment ce qui m'y a poussé », rétorque Carlos De Almeida, l'homme aux yeux… marron. Risible…
Ce qui a amené le commentaire suivant de Me Vignon, l'avocat de la victime : « Il y a deux certitudes dans cette affaire : un, ma cliente, deux ans après, n'a toujours pas évacué ce traumatisme. Deux, qu'il existe un lien entre nos prévenus pour cette affaire. Qui n'a échappé aux assises, simplement parce que ma cliente a accepté que l'affaire passe en correctionnel ! ».
Quant aux deux avocats des prévenus, il a été délicat pour eux de plaider la cause de leurs clients : « On ne saura jamais ce qui s'est passé pour arriver à ce braquage loupé par deux imbéciles », glisse Me Moreau, défenseur de Carlos De Almeida. « Il n'y a pas de mobile réel », tente d'avancer Me Gioanni. Le public avait compati à leur sacerdoce.


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vendredi 13 juillet 2012

Bordeaux : Ils volent une voiture juste pour rire

Mardi, vers 4 heures, deux jeunes Bordelais de 21 ans ont été interpellés alors qu'ils venaient de voler une voiture rue Sem à Bordeaux, au niveau du Pont de Pierre. Ils n'avaient pourtant pas besoin de véhicule pour rentrer chez eux.
Ces deux serveurs qui avaient terminé leur service dans l'après-midi avaient en fait écumé les bars. Au terme de cette soirée arrosée, ils avaient longé les quais et traversé la Garonne. Pris d'une envie soudaine et inexplicable, "le grand frisson" de voler une voiture, il avaient jeté leur dévolu sur le discret parking de la rue Sem.

Au bout de la troisième tentative
La première fois, ils n'ont pas réussi à tordre la porte, à la deuxième une poignée leur est restée dans les mains. Ils sont parvenus à s'introduire dans l'habitacle d'un véhicule. Forçant le neiman (dispositif antivol), arrachant des fils et les mettant en contact, ils ont fait démarrer la voiture.
Mais ils ont été repérés par des policiers qui, alertés, ont soudain vu depuis le pont le tableau de bord s'allumer et le véhicule bouger. Interceptés, les deux jeunes n'ont pu que plaider coupable.

http://www.sudouest.fr/2012/07/11/bordeaux-ils-volent-une-voiture-juste-pour-rire-767287-7.php

jeudi 12 juillet 2012

Le Mas d'Agenais (47) : un septuagénaire victime de l'arnaque au rétroviseur

Il s'est fait voler 1500 euros

Un automobiliste né en 1933 et domicilié au Mas-d'Agenais a été mardi matin le jouet d'individus peu scrupuleux.
Alors qu'il circulait sur la commune du Mas d'Agenais, il a été abordé par une grosse berline noire allemande dont les occupants lui ont signalé qu'il venait de leur endommager un rétroviseur.
Un appel à un vrai complice faux agent d'assurances plus tard, la somme de 1 500 euros était demandée au septuagénaire en guise d'arrangement à l'amiable.
Celui-ci se rendait donc au guichet de banque le plus proche en compagnie des escrocs et leur remettait l'argent.
Ce n'est que plus tard dans la journée que le monsieur, imaginant qu'il avait pu être roulé, se signalait aux gendarmes. Ce que ceux-ci lui confirmaient.
Mardi, deux autres personnes ont appelé les forces de l'ordre avant de bourse délier. À Castelnaud-de-Gratecambe et à Cancon. À chaque fois les voleurs ont pris la fuite.

mercredi 11 juillet 2012

Grèce : un Français meurt en fuyant la police

Un ressortissant français de 28 ans est mort mercredi en tombant d'un immeuble du centre d'Athènes, d'où il tentait d'échapper à la police qui le conduisait au consulat français, a indiqué une source policière. L'homme s'est échappé d'une voiture de police dans le quartier central d'Ambelokipi, s'est rué dans un immeuble, a gagné le toit en terrasse de l'immeuble, puis est tombé en tentant de sauter sur un toit voisin.
La victime, dont l'identité n'a pas été rendue publique, avait été interpellé dans la nuit de mardi à mercredi dans le bourg de Paiania, à l'est d'Athènes, où il sonnait aux portes pour demander de l'argent, selon la même source. Des médias grecs ont affirmé que l'homme avait quitté un hôtel athénien mardi sans payer sa note.

Cambrioleur porté sur la bouteille

« J'ai rien à voir là-dedans ! Tout le monde a un pied-de-biche ! » L'aplomb d'un homme de 47 ans n'a pas suffi à convaincre le tribunal correctionnel lors des comparutions immédiates. Il était soupçonné d'un cambriolage rue Papus à Toulouse. Une femme, dont la porte avait été fracturée et la maison fouillée, avait donné l'alerte. Pas loin, les policiers avaient contrôlé cet homme, alcoolisé.
La victime a immédiatement reconnu les cartons d'emballage des bouteilles qui lui avaient été dérobées. Le prévenu a affirmé les avoir achetées quelques heures plus tôt… « On peut se ressembler comme deux gouttes d'eau ou deux bouteilles de porto. On peut voir le verre à moitié plein ou à moitié vide. Il était à proximité comme d'autres passants. Peut-être les voleurs se sont-ils débarrassés rapidement du butin. Les choses les plus évidentes ne sont pas forcément la réalité », a argumenté Me Raynaud de Lage. Avec 19 condamnations inscrites au casier judiciaire, le procureur, qui « ne croit pas au hasard » a requis la peine plancher : deux ans de prison ferme. Mustapha Sebaa a finalement été condamné à 12 mois ferme et placé en détention.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/11/1398149-cambrioleur-porte-sur-la-bouteille.html

Rochefort : deux voleurs de cuivres vont en prison

Décontractés en début d'audience dans le box des prévenus, les trois jeunes hommes qui avaient, hier après-midi, à répondre du vol de plus de 350 kilos de câbles de cuivre au sein d'un chantier rochefortais, marquaient le coup dès lors que la procureure de la Républiques, Hélène Tizon, demandait un mandat de dépôt pour chacun.
Auparavant, la magistrate, à la suite de l'interrogatoire précis de la présidente Katherine Cornier, avait réaffirmé la fermeté du parquet pour ce type de délit. Dressant le portrait des trois jeunes majeurs, deux Rochefortais et un domicilié à Tonnay-Charente, elle insistait sur le fait que deux d'entre eux se trouvaient en situation de récidive lorsqu'ils s'en étaient pris, durant la nuit du 7 au 8 juillet et après une reconnaissance, à un chantier situé près de l'hôpital de Rochefort. Elle rappelait que la police était intervenue avant que tous les matériaux fussent emmenés. La seule partie civile constituée à l'audience avait fait valoir un préjudice de 10 531,98 €.

Peine plancher requise
La magistrate requérait la peine plancher : trois ans, dont une partie avec sursis à l'encontre de ces deux jeunes récidivistes également poursuivis pour détention de produits stupéfiants. De l'herbe qu'ils faisaient pousser dans leur appartement et qu'ils cédaient, à leurs dires, gratuitement aux copains. Enfin, un des deux était aussi poursuivi pour conduite sans permis, la voiture, appartenant à l'autre, ayant servi à transporter une partie du butin jusqu'à la cave du troisième.
Ce dernier, sans casier judiciaire mais sans travail comme les deux autres prévenus, avait tout autant considéré que le chantier était une aubaine et qu'il se trouverait toujours des ferrailleurs pour acheter les câbles électriques riches en cuivre. Vu la situation de primo délinquant de ce jeune, la procureure requérait douze mois de prison, dont neuf mois avec sursis mise à l'épreuve mais demandait donc aussi le placement en détention.
Peine plancher combattue
Me Karine Prévost, avocate des trois prévenus, s'insurgeait sur le fait qu'il s'agissait de faire payer aux trois jeunes en difficulté tous les vols de cuivre. Elle dénonçait aussi l'existence des peines plancher, prenant comme alliée la garde des Sceaux Christiane Taubira qui en souhaitait la suppression.
À la suite de son délibéré, le tribunal écartait la peine plancher et condamnait les deux récidivistes respectivement à dix-huit mois de prison, dont six mois avec sursis mise à l'épreuve (SME) pendant deux ans, plus révocation d'un sursis de trois mois et à seize mois de prison dont six mois avec SME de deux ans. Ils partaient en prison, ce qu'évitait le troisième voleur en écopant de six mois de prison avec sursis. Les trois jeunes devront indemniser solidairement la victime.

http://www.sudouest.fr/2012/07/10/deux-des-trois-jeunes-voleurs-vont-en-prison-765702-1640.php

mardi 10 juillet 2012

Sa moto l'emmène en prison

Il n'était pas agressif, pas menaçant… C'est à peine s'il a bousculé l'agent de la tranquillité, une jeune femme, venue lui demander de bien vouloir enlever la moto qu'il avait garée sur le palier de l'appartement de son amie au 7e étage d'un immeuble de l'esplanade Eisenhower, dans le quartier Croix-Rouge à Reims. L'agent a pourtant été bousculée, plaquée contre le mur et attrapée par le col de sa veste. Bilan des courses : 3 jours d'ITT. Sans l'intervention de son collègue, qui sait ce qu'il en serait advenu. Tous deux ont d'ailleurs trouvé refuge chez un locataire du 5e étage.
Ecroué début juillet après ces violences, Stéphane Guillo, 42 ans, déjà 19 mentions à son casier, avait demandé un délai pour préparer sa défense. Hier, à la barre du tribunal correctionnel, il a simplement déclaré avoir bu ce jour-là, être fatigué… mais il a nié avoir bousculé la jeune femme. Sous l'effet de l'alcool, il n'aurait pas compris ce qu'on lui voulait. Il ne voyait pas où était le mal d'avoir garé sa moto sur le palier. Il voulait simplement éviter qu'on lui dérobe son seul moyen de locomotion.
Au regard de sa situation professionnelle et de sa volonté d'insertion, le prévenu a évité la peine plancher. Il a écopé de six mois ferme avec maintien en détention.


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/sa-moto-lemmene-en-prison

En état d'ébriété, il renverse un cycliste

La victime de neuf ans souffre de blessures à la tête

Un homme dont l'alcoolémie s'est révélée positive a renversé un jeune garçon de 9 ans qui circulait à vélo hier dimanche vers 19h30 au lieu-dit Lasnauzettes sur la commune du Lédat.
La jeune victime quittait une piste cyclable par un passage protégé quand elle a été happée. L'enfant souffre de blessures à la tête pour lesquelles il a été transporté vers le centre hospitalier.

http://www.sudouest.fr/2012/07/09/le-ledat-47-en-alcoolemie-positive-il-renverse-un-cycliste-765201-3.php

lundi 9 juillet 2012

Cameroun : un enseignant français assassiné dimanche

Un volontaire français de 31 ans a été assassiné dimanche soir à son domicile à Yaoundé, la capitale camerounaise, a appris l'AFP lundi, notamment auprès d'un organisme religieux français, qui précise qu'une "enquête de police a immédiatement été ouverte".

Vire : les accouchements suspendus au CH faute de personnel médical

L'Agence régionale de santé (ARS) de Basse-Normandie a suspendu jusqu'au 1er novembre les accouchements à la maternité du centre hospitalier de Vire, après des incidents et faute de personnel médical suffisant, selon un communiqué publié lundi. Une inspection a été menée à la demande de l'ARS après un accident grave survenu récemment lors d'une césarienne et après un décès dans cette même maternité en 2011, a précisé l'ARS. Après ce décès, "deux praticiens de garde avaient été renvoyés et de nouveaux recrutements avaient eu lieu", rappelle l'ARS dans son communiqué.

"Le rapport d'inspection a mis en évidence les risques liés à l'organisation et au fonctionnement actuels de la maternité" et, pour des raisons de sécurité, l'ARS a décidé de fermer temporairement l'activité d'accouchement jusqu'au 1er novembre. "Ce délai est donné à l'établissement pour recruter le personnel doté des compétences médicales et chirurgicales réglementaires afin que l'activité d'accouchement puisse reprendre dans de parfaites conditions de sécurité et de qualité", selon cette même source.

Les patientes vont êtres contactées pour être dirigées vers les autres maternités de la région, ajoute l'ARS de Basse-Normandie.

Les policiers saisissent de la résine de cannabis

 Tout démarre d'un contrôle des policiers de l'unité départementale d'intervention à Laon. Ils découvrent que deux personnes, âgées de 29 ans, sont porteuses de quelques grammes de cannabis.
Le duo est amené au commissariat où ils sont placés en garde à vue, le temps de pousser les investigations plus avant. Des perquisitions notamment sont menées aux domiciles des suspects, sur Laon et à proximité de la ville préfecture.
Chez le premier, seuls quelques grammes d'herbe de cannabis sont trouvés. L'homme reconnaît alors un usage depuis l'âge de 12 ans… Il en est quitte pour une ordonnance pénale.
Chez le second, la pêche est plus fructueuse. Les fonctionnaires découvrent environ quarante grammes de résine de cannabis ainsi que 230 euros en liquide. Cette fois, la personne aurait admis céder à quelques clients, dans un cercle assez restreint, de la drogue pour financer sa propre consommation de stupéfiants. Il devra à ce sujet s'expliquer devant le tribunal dans le cadre d'une audience en reconnaissance préalable de culpabilité le 27 septembre.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-policiers-saisissent-de-la-resine-de-cannabis

dimanche 8 juillet 2012

Des boucles d’oreille à 120 000 € dérobées dans un hôtel

Une touriste, descendue dans un de l’avenue de Suffren dans le XVe arrondissement à , situé à deux pas de la Tour Eiffel, a été victime du d’une paire de boucles d’oreille d’une valeur de 120 000 €. Selon ses déclarations aux policiers, elle avait déposé les précieuses boucles dans sa chambre, vendredi 6 juillet, avant de sortir.
A son retour, vers 1 heure du matin, le samedi 7 juillet, son bijou avait disparu. Aucune trace d’effraction n’aurait été relevée sur la porte de la chambre occupée par la victime. Les policiers du 3e district de police judiciaire (DPJ) ont été chargés des investigations.

http://www.leparisien.fr/paris-75/des-boucles-d-oreille-a-120-000-eur-derobees-dans-un-hotel-08-07-2012-2081975.php

Les faux policiers emportent les bijoux

Deux hommes en civil, casquette sur la tête et lunette de soleil sur le nez, se sont présentés, vendredi en soirée, au domicile d'un couple de retraités résidant route de Compiègne, à Villers-Cotterêts. Ils ont expliqué être policiers et ont montré de fausses cartes professionnelles, floquées des trois couleurs bleu blanc rouge.
Ils ont expliqué avoir interpellé des voleurs de bijoux tout près de leur domicile et vouloir vérifier s'il ne s'agissait pas des effets personnels du couple. Pris au dépourvu, les septuagénaires ont fait entrer les individus.
Ils leur ont présenté leurs bijoux. Les faux policiers les ont pris dans leurs mains pour les regarder. Le retraité a commencé à trouver cela suspect et alors qu'il téléphonait à la police pour vérifier si une équipe avait bien été envoyée chez eux, les deux hommes avaient filé avec les bijoux. Les victimes les ont juste vus quitter le quartier à bord d'une berline blanche.
Très choqués, les seniors ont contacté les secours. Le plan de recherche mis en place par les gendarmes de Villers-Cotterêts n'a rien donné. Des investigations sont en cours.
Rappelons qu'en général, en zone rurale, ce sont les gendarmes qui interviennent.
Lorsque les policiers sont amenés à enquêter en zone gendarmerie, ils sont assistés par les gendarmes. En cas de doute, faire le 17 immédiatement, avant même de faire entrer les personnes. Ce genre d'arnaque est courant et connu des forces de l'ordre. Les retraités, personnes malades et/ou affaiblies sont des proies faciles pour ces voleurs sans scrupule.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/les-faux-policiers-emportent-les-bijoux

Le pilote d’un deux-roues grièvement blessé dans une collision avec un véhicule

Il était aux environs de 22 h 50 lorsque l’alerte a été donnée. Dans des circonstances indéterminées, une moto circulant cours de Verdun en direction du centre-ville d’Oyonnax a été percutée par une voiture qui arrivait en sens inverse et qui s’apprêtait à tourner sur sa gauche. Les faits se sont déroulés à hauteur du stade Charles-Mathon.
Dans le choc particulièrement violent, le pilote du deux-roues a été sérieusement blessé. Pris en charge par les sapeurs-pompiers, le motard, un homme domicilié à Oyonnax dont l’identité et l’âge n’ont pas été communiqués, a été évacué par l’hélicoptère en direction d’un hôpital genevois. Les policiers du commissariat d’Oyonnax se sont rendus sur les lieux afin de procéder aux constatations d’usage.

http://www.leprogres.fr/ain/2012/07/08/le-pilote-d-un-deux-roues-grievement-blesse-dans-une-collision-avec-un-vehicule
 

Un mineur carolo s'évade avec le fourgon du directeur

Un mineur carolo de 17 ans s'évade du centre éducatif fermé de Sainte-Ménehould dans la Marne, pour se rendre à Charleville-Mézières, au volant du fourgon du directeur du centre. Il a commis de nombreux délits avant d'être interpellé par les policiers ardennais.

UN adolescent de 17 ans, originaire de Charleville-Mézières, placé dans le centre éducatif fermé de Sainte-Ménehould (Marne) s'est évadé le 16 mai. Depuis son départ de la structure, il en a fait voir des vertes et des pas mûres aux services de police commettant délit sur délit. C'est ce genre de comportement désinvolte et stupide qui l'a conduit, il y a quelques mois, dans une structure éducative fermée. Son interpellation mercredi et son placement en garde à vue ont été interprétés comme une victoire contre la bêtise pour les policiers ardennais.
Son premier délit, qu'il a réalisé avec une certaine audace, a été de voler le fourgon du directeur du centre pour se rendre dans sa ville natale de Charleville-Mézières.
Un véhicule que les forces de l'ordre ont retrouvé dans un parking du quartier de la Ronde Couture.
L'engin a été récupéré par un garage agréé et remis à son propriétaire le directeur du centre éducatif fermé de Sainte-Ménehould.
Suite à l'évasion et sachant que l'évadé du centre marnais était dans le chef-lieu des Ardennes, le parquet de Charleville-Mézières a délivré un mandat d'arrêt. L'enquête pour retrouver l'adolescent a trouvé son épilogue, mercredi, son arrestation sur un scooter qu'il avait, préalablement volé dans le secteur du chef-lieu.
Son interpellation a permis d'élucider trois vols à l'arraché de téléphone portable qu'il avait effectué durant son évasion au centre-ville de Charleville-Mézières.
Dans ce dossier, les policiers lui reprochent aussi le vol par effraction dans un commerce et une infraction à la législation sur les stupéfiants pour avoir, durant sa sortie illégale de la structure où il était admis, acheté, consommé et effectué du trafic de drogue.
La conduite sans permis fait aussi partie des délits qui lui sont attribués car il est mineur.
Après sa garde à vue, le mineur de 17 ans a été présenté au juge des enfants. Ce dernier l'a aussitôt mis en examen en demandant l'ouverture d'une instruction pour savoir si l'adolescent n'était pas impliqué dans d'autres affaires délictuelles durant son évasion. En attendant, l'adolescent a été écroué dans l'établissement Pénitentiaire pour Mineurs (EPM) de Quiévrechain.
Il s'agit d'une prison construite sur la commune de Vanneaux, à 45 minutes de la métropole lilloise et à moins de 20 km de Valenciennes.
L'établissement pénitentiaire pour mineurs, d'une capacité de 60 places, offre des conditions de détention adaptées aux détenus âgés de 13 à 18 ans.
Le directeur de cet établissement a plutôt intérêt de bien cacher ses clefs de voiture.


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-mineur-carolo-sevade-avec-le-fourgon-du-directeur

samedi 7 juillet 2012

Mont-de-Marsan : paniqué, il s'encastre dans la vitrine d'un traiteur chinois

Une sortie de route spectaculaire a été déplorée ce vendredi midi dans le centre-ville de Mont-de-Marsan. Une personne âgée qui s'était engagée à contre-sens dans la rue Armand Dulamon a conduit sa voiture tout droit dans la vitrine d'un traiteur chinois ("Nhuc & Chi", ndlr) en tentant d'éviter un autre véhicule.
Plus choqué que blessé, l'octogénaire a été pris en charge par les pompiers et conduit vers le centre hospitalier Layné de Mont-de-Marsan pour des examens de contrôle. Les policiers ont sécurisé le périmètre afin d'évacuer le véhicule accidenté et de permettre aux agents d'ERDF de s'assurer qu'aucune fuite de gaz n'était en cours.

http://www.sudouest.fr/2012/07/06/mont-de-marsan-panique-il-s-encastre-dans-la-vitrine-d-un-traiteur-chinois-763089-3452.php

vendredi 6 juillet 2012

« Sa vie est foutue… »

Le 31 juillet 2009, à Verdun, des ouvriers se trouvent sur un toit, pour réparer une charpente. L’un d’entre eux, âgé de 36 ans, chute » de 7 m de haut… À l’arrivée des secours, son pronostic vital est engagé. Héliporté au CHU de Nancy, il passera alors 22 jours dans le coma. « Les blessures sont impressionnantes. Une fracture du crâne, un hématome sous-dural, des côtes cassées, un éclatement de la vertèbre thoracique… », souligne le président Thomas Grégoire. Aujourd’hui, il est reconnu handicapé à 80 % et ne pourra plus jamais reprendre une activité professionnelle. Devant le juge, le responsable de l’entreprise pour laquelle travaillait la victime, n’est autre que son propre frère, Patrick. Poursuivi, hier, devant le tribunal correctionnel de Verdun pour blessures involontaires, il l’admet : les mesures de sécurité n’ont pas été respectées. À savoir des filets au pied des façades et des harnais pour les ouvriers lorsqu’ils travaillent en hauteur : « Tout le matériel est resté dans le camion », admet Patrick.
Pourtant, il y avait déjà eu des chutes dans le passé. Et l’inspection du travail a envoyé plusieurs courriers au patron de l’entreprise. Pire, le beau-frère du prévenu, un an après les faits, a lui aussi chuté d’un toit, également parce que les règles de sécurité n’avaient pas été respectées. « Ce jour-là, il avait bu. Ce n’est pas bien de se rendre sur un chantier en état d’ivresse », explique le prévenu. « Et se trouver à 7 m de hauteur sans harnais, c’est bien ? », rétorque le juge Grégoire.

« On est revenu 150 ans en arrière ! »

Le jour du drame, la victime voulait en fait enlever des plaques sur le toit, pour pouvoir atteindre la charpente. « Cela devait être fait par une entreprise spécialisée car les plaques contenaient de l’amiante », souligne le juge.
Pour le prévenu, il était difficile d’exiger à des membres de sa famille de respecter les consignes de sécurité. « Il faut que vous compreniez qu’avant d’être votre frère ou votre beau-frère, ce sont des ouvriers sous votre responsabilité », lance le président.
Le procureur Yves Le clair est effaré. « On se croirait revenu 150 ans en arrière ! Si on a progressé point de vue qualité du matériel, certaines mentalités n’ont visiblement pas évolué… » Avant de requérir 1 an de prison avec sursis et mise à l’épreuve et 10.000 € d’amende en insistant sur l’état de la victime : « Sa vie est foutue ! »
C’est aussi le point de vue de la partie civile, représentée par Me Démarés : « Il a perdu le goût, l’odorat. Il n’est pas en fauteuil roulant mais marche difficilement avec des cannes. » Avant de parler de l’épouse de la victime et de ses enfants : « Ma cliente a 37 ans. La vie est devenue insupportable aux côtés de son mari car il est très irritable. S’il était décédé, ça n’aurait pas été pire… »
Il demande 15.000€ de préjudice pour chacun des quatre enfants du couple et 56.000 € pour l’épouse de la victime. Pour la défense, les faits sont constitués. Mais Me Perceval rappelle que l’infraction est « involontaire ». Le tribunal est allé au-delà des réquisitions du procureur en condamnant Patrick Papillier à quatre mois de prison ferme et six avec sursis et mise à l’épreuve. Et 5.000 € d’amende.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2012/07/04/sa-vie-est-foutue

jeudi 5 juillet 2012

Gers : un distributeur de billets arraché à Cologne

Le distributeur de billets de l'agence du Crédit Agricole de Cologne (32) a été arraché dans la nuit de mardi à mercredi. L'appareil a été tiré sur une centaine de mètres, endommageant ainsi deux voitures, et a été détruit sur place, au coin de la bastide.
Les auteurs ont utilisé un camion de la coopérative agricole Terre de Gascogne voisine. Auparavant, ils avaient fracturé trois bureaux de coopératives agricoles, à Encausse, Gimont, puis Cologne, à la recherche de clefs de camions.

Ils sembleraient que les auteurs étaient expérimentés: ils ont choisi un camion dont la benne était bien plein, afin de bénéficier du maximum d'adhérence, pour pouvoir arracher et trainer le distributeur. Le camion a été abandonné route de Cadours. La grosseur et le poids de l'élingue utilisée (une centaine de kilos), qui a apporté par le commando, prouvent bien que les auteurs étaient nombreux et avaient préparé leur expédition.
Aucune indication pour le moment sur le montant du butin, ni si les auteurs ont commis d'autres méfaits du même type dans le département ou les départements limitrophes de Haute-Garonne ou de Tarn-et-Garonne.

http://www.sudouest.fr/2012/07/04/gers-un-distributeur-de-billets-arrache-a-cologne-761465-2277.php

mercredi 4 juillet 2012

Un train de voyageurs percute un engin de maintenance

Un train de voyageurs en provenance de Toulouse a heurté, ce mercredi matin, un engin de maintenance de la SNCF, à proximité de Souillac, dans le Lot.
L'accident n'a pas fait de blessé chez les passagers mais le trafic de la ligne Paris-Toulouse risque d'être perturbé pendant une grande partie de la journée. Un agent de la SNCF aurait néanmoins été blessé à un pied, ont déclaré les pompiers.
Le train transportait une centaine de passagers quand celui-ci a percuté l'engin, peu avant 10 heures. Selon les pompiers et gendarmes, la prise en charge des passagers est en cours. Ces derniers ont marché le long de la voie et ont été pris en charge par des autocars au point d'accès routier le plus proche. Ils ont ensuite été conduits à Brive.
Bien que les circonstances de la collision ne soient pas encore totalement définies, la direction générale de la SNCF confirme qu'un « train de travaux » effectuait des tâches de maintenance près de Souillac, dans le nord du Lot.
La circulation a été interrompue dans les deux sens entre Toulouse et Brive pour une durée indéterminée.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/07/04/1393803-souillac-un-train-de-voyageurs-percute-un-engin-de-maintenance.html

Une jeune femme grièvement blessée dans une collision

Les secours interviennent depuis ce matin, 8 h 30, sur la D102, au lieu-dit Touloupry, après une collision entre une camionnette de chantier et une voiture.
Incarcérée dans la voiture, une automobiliste de 18 ans a été grièvement blessée dans l'accident, nécessitant l'intervention du Smur de Pont-l'Abbé. Les deux occupants de la camionnette, choqués, ont également été pris en charge par les pompiers de Pont-l'Abbé,
Plobannalec-Lesconil et Loctudy.

http://www.letelegramme.com/local/finistere-sud/ouest-cornouaille/leguilvinec/plobannalecles/plobannalec-lesconil-29-une-jeune-femme-grievement-blessee-dans-une-collision-04-07-2012-1762610.php

Bordeaux : des voleurs perdus par leur téléphone

Deux ressortissants roumains ont été interpellés au cours du week-end par une patrouille de policiers de la Bac dans leur chambre d'hôtel, à Artigues-près-Bordeaux. Ils ont été perdus par le téléphone portable qu'ils venaient de voler à une touriste chinoise dans le tramway. Les policiers ont « tracé » le mobile qui les a conduits jusqu'à l'hôtel.
Les deux voleurs qui étaient accompagnés par quatre autres personnes, mises hors de cause, ont également été confondus pour le vol d'une carte bancaire commis au préjudice d'une septuagénaire en Loire-Atlantique. En possession du code confidentiel, ils avaient retiré 5 000 euros. Lors de leur garde à vue dans les locaux de la brigade des violences de la Sûreté départementale, ils ont également avoué avoir volé un téléphone portable à un touriste lors de la Fête du vin.

http://www.sudouest.fr/2012/07/03/faits-divers-760250-4584.php

mardi 3 juillet 2012

Cent cinquante tonnes de foin partent en fumée

Samedi vers 20 h 30, de la fumée, puis des flammes ont été aperçues dans un hangar de la ferme Lelong Vanacker, à Villequier-Aumont, au lieu-dit « Le Plessier », un endroit isolé. Le bâtiment était en feu et à l'intérieur, étaient stockées 150 tonnes de foin.
L'incendie s'est déclaré, alors que les propriétaires étaient absents depuis le début d'après-midi. Prévenus, les secours sont rapidement intervenus sur les lieux, mais trop tard : la paille n'était plus que cendre. Les gendarmes de la communauté de brigades de Chauny étaient présents, une enquête est ouverte.
L'origine du sinistre est pour l'heure inconnue, mais la thèse accidentelle est privilégiée. Il est fort probable que le foin récolté est entré seul en combustion par échauffement dû au soleil.
Hier soir, l'incendie était toujours en cours, il faudra vraisemblablement plusieurs jours pour que le foin finisse de se consumer. En attendant, des rondes, effectuées par les soldats du feu, sont régulièrement organisées. Le préjudice est en cours d'évaluation mais serait très important, d'autant plus que du matériel agricole était stocké dans le hangar.
Par ailleurs, dans la nuit de samedi à dimanche, quelques heures après leur intervention dans la ferme Lelong Vanacker, les militaires se sont rendus de nouveau sur le territoire de Villequier-Aumont, un deux-roues était en flamme sur la départementale reliant Chauny à Ham.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/cent-cinquante-tonnes-de-foin-partent-en-fumee

lundi 2 juillet 2012

Bordeaux : il ne voulait pas se mettre du bon côté de la barrière

D'une réprimande, il est passé à un délit. Vendredi soir, un habitant de Martignas âgé de 21 ans se trouvait sur les quais bordelais, assis sur le garde-corps longeant la Garonne. À la suite de nombreuses chutes accidentelles dans le fleuve, il est désormais interdit de franchir ces barrières ou de s'asseoir dessus.
Ce que les policiers ont rappelé au jeune homme, qui l'a pris comme une atteinte à sa liberté, a donné une fausse identité aux policiers et s'est rebellé tout en donnant des coups de pied dans leurs VTT. Il a été interpellé et placé en garde à vue.

http://www.sudouest.fr/2012/07/01/bordeaux-il-ne-voulait-pas-se-mettre-du-bon-cote-de-la-barriere-758782-2780.php

dimanche 1 juillet 2012

Ruiné, escroqué par les siens, le destin brisé du boxeur Fabrice Bénichou

Une enfance mouvementée autour du monde, un père qui empoche l’argent pendant que le fils n’encaisse que les coups. Histoire d’un K.-O
La boxe à la fois glorieuse et douloureuse, n’est jamais tendre avec ses champions. C’est l’histoire d’un K.-O. Debout ! L’histoire complexe d’un boxeur compliqué, marqué par les coups de la vie bien plus que ceux du ring. Fabrice Bénichou, ancien boxeur professionnel, trois fois champion du monde, cinq fois champion d’Europe entre 1984 et 1995, a mal à l’âme depuis que les cordes ne délimitent plus son destin.

Escroqué par les siens
Aujourd’hui, Fabrice Bénichou, 47 ans, ne prend plus de gants, mais il est nu de tout ! Il est ruiné, escroqué par les siens, marche sur un fil entre le suicide et la vie. Récemment interné dans l’infirmerie psychiatrique de la Préfecture de police de Paris, il en est ressorti seul avec ses douleurs à l’intérieur. Comme d’habitude. Sa femme est partie, elle aussi, lassée de tant de frayeurs.
Fabrice Bénichou, ce poids plume au style anarchique, aurait pu connaître une retraite paisible avec les gains de sa carrière. Mais il est criblé de dettes, par la faute d’un père, Patrick Bénichou, autoproclamé agent sportif mais aussi ex-fakir, ex-artiste de cirque, ex-parapsychologue aux États-Unis, au Mexique, au Liban, en Bulgarie, en Allemagne et Israël, en Espagne, en Côte d’Ivoire, au Sénégal, en Italie. Un parcours accidenté à peine attendri par les courbes d’une mère danseuse.
Une enfance passée d’hôtel en hôtel
Ce fils unique hésite entre la richesse des voyages et l’errance d’un saltimbanque. "Je n’ai jamais eu de véritable chez moi, écrivait-il dans son autobiographie en 1995. Toute ma jeunesse s’est passée d’hôtel en hôtel. Dès que je commençais à me faire des copains, il fallait repartir. On était vraiment des juifs errants."
"Mon père, qui s’est fâché avec tout le monde, sauf avec ma mère, a été inconscient et totalement irresponsable avec son fils. Il était rare de le voir sacrifier un peu de son temps pour simplement s’amuser avec son môme. Mais peut-être aussi que sans passer par tout cela, je ne serais jamais devenu boxeur..."
Aujourd’hui, Fabrice Bénichou aimerait redevenir quelqu’un dans la société. Il a fait un peu de ciné, un peu de télé-réalité mais il n’est plus assez solide pour encaisser l’oubli : "Je suis né dans les cabarets et j’ai grandi dans un cirque. Je suis monté très tôt sur la scène comme contorsionniste, puis sur un ring. Je suis avant tout un homme de spectacle. Si on ne se fait pas remarquer, on passe inaperçu..."
Fabrice Bénichou ne joue qu’avec sa vie. Isolé, dans l’indifférence

http://www.midilibre.fr/2012/07/01/fabrice-benichou-le-destin-brise-d-un-boxeur-atypique,526523.php

Prison ferme à la suite de violences conjugales

Un jeune Hirsonnais de 22 ans, vivant sous le régime du Pacs avec sa compagne, et bien connu de la gendarmerie locale, vient d'être condamné, par le biais de la procédure de la comparution immédiate au tribunal de Laon, à quatre ans de prison, dont trois ferme. Il a été également incarcéré à la suite de cette condamnation.
Mercredi vers 13 heures, il a été interpellé par les gendarmes locaux, après une série de violences assénées à sa compagne : violences au niveau du cou, menaces auprès de celle-ci avec un fusil alors qu'elle était réfugiée chez une amie à la suite de ces violences; elle fut ensuite traînée par les cheveux, etc.
L'homme a donc été interpellé par les militaires hirsonnais, puis placé en garde à vue. Celle-ci a été prolongée avant qu'il ne réponde de ses actes devant la justice.


http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/prison-ferme-a-la-suite-de-violences-conjugales