lundi 31 décembre 2012

VIVE LE VENT - Bonne Année 2013


VIVE LE VENT - Bonne Année 2013 par candide41200

Carcassonne. Laëtitia privée de ses gains chez Nagui

Laëtitia Aribaud, la pharmacienne carcassonnaise la plus télévisée de l'année écoulée, ne verra pas la couleur de ses gains dans l'émission de télé de Nagui «Tout le monde veut prendre sa place». La production l'en a informée par un coup de fil voici quelques jours. Elle devra donc s'asseoir sur plus de 3 000 € gagnés en devenant championne de l'émission.
Laëtitia paye son ubiquité au prix fort… Souvenez-vous, mi- novembre, elle s'était retrouvée simultanément sur «TF1» dans l'émission «Les douze coups de midi» de Jean-Luc Reichmann et sur «France 2», donc, chez Nagui. Le tout, pile à la même heure. Un hasard de la programmation. Une coïncidence dont elle n'est en rien responsable. Mais qui est donc, indirectement, reprochée à la candidate, spoliée de ses gains par la production qui fait valoir une clause du contrat signé par tous les candidats.
Laëtitia est forcément un peu déçue. Mais elle prend bien les choses. «Je me doutais que ça arriverait. Tant pis pour moi. Et puis de toute façon, c'est pour le plaisir et pour m'amuser que je suis allée à ces jeux. Et puis, je conserve quand même les cadeaux», dit-elle. Un ordinateur portable, un jeu de société, et deux ou trois bricoles… Rien de comparable avec la somme gagnée. «Bah, si j'avais gagné 20 000 ou 30 000 € je l'aurais amère. Là, c'est un mauvais hasard», dit-elle.
Décidément, Laëtitia est très bonne joueuse. Et il y a espoir de la revoir, en 2013, à la télévision.
Elle compte bien, en effet, passer plusieurs castings en tant que candidate. Le fait est que c'est une bonne cliente, et surtout qu'elle est très «sport».

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/31/1526239-carcassonne-laetitia-privee-de-ses-gains-chez-nagui.html

Un bébé naît sur l'autoroute en Isère

Un bébé est né dimanche matin sur l'autoroute A48 en Isère, rapporte lundi Le Parisien. Alors qu'il se rendait à la maternité de Voiron, un jeune couple a dû s'arrêter sur la bande d'arrêt d'urgence de l'autoroute, constatant les prémices d'un accouchement.
Le conducteur n'a pas perdu son sang-froid et a fait les gestes qu'il fallait pour accueillir son nouveau-né. Ilan, qui pèse 4,1 kg et mesure 52 cm, a ensuite été amené par ses parents à la maternité. Une sage-femme est alors venue couper le cordon ombilical...toujours dans la voiture.
 

Auch. Braquage à main armée chez Orange

Samedi soir, peu après la fermeture de la boutique Orange, avenue d'Yser, deux cambrioleurs armés, dont on ne connaît pas encore l'identité, ont menacé le personnel. Ils ont dérobé près de 300 €. Ce nouveau braquage éclair rappelle celui de la boutique Bouygues, qui avait eu lieu rue Alsace, un samedi soir également. En un mois, c'est le troisième vol de ce type à Auch, avec celui de la boulangerie, rue du 8-Mai. Un record dans une ville où, traditionnellement, il n'y avait pas plus d'un braquage par an. La brigade de sûreté urbaine poursuit son enquête, essayant de voir si ces faits sont liés.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/31/1526258-auch-braquage-a-main-armee-chez-orange.html

Rhône. Un violent incendie ravage le foyer d’urgence Saint-Irénée

À quelques heures près, le bilan de cet incendie aurait pu être dramatique. Peu avant 20 heures, hier soir, un feu violent s’est déclaré dans un appartement du foyer Saint-Irénée, situé sur les hauteurs de Lyon, dans le 5 e arrondissement.
Un foyer d’urgence qui abritait près d’une centaine de personnes en situation de grande précarité, parmi lesquelles une trentaine d’enfants. Immédiatement évacués, les pensionnaires du centre ont été mis en sécurité. Un bus a été rapidement mis à leur disposition pour les abriter du froid.
Sur place, les services de l’État, en concertation avec la Ville de Lyon, ont décidé d’ouvrir un gymnase pour accueillir les pensionnaires du foyer : le gymnase Charcot, également situé dans le 5 e arrondissement. Une solution provisoire qui devrait perdurer au moins huit jours. « Nous avons déjà de nouvelles pistes d’hébergement, indiquait hier soir le directeur de cabinet du préfet de Région, Bruno André. Nous ne sommes pas dans une situation tendue. »

Relogés dans un gymnase

Le feu a pris au deuxième étage du bâtiment, la Maison Diocésaine, propriété du diocèse de Lyon, et en partie mise à disposition pour les sans-abri dans le cadre du plan grand froid. Le Cardinal Philippe Barbarin est venu en personne hier soir sur les lieux du sinistre.
Un feu, dont l’origine n’était hier, pas déterminée, qui s’est d’abord propagé horizontalement à d’autres pièces, dans la mesure où les portes étaient restées ouvertes. « La propagation a touché la moitié de l’étage avec une intensité importante », a indiqué hier soir le colonel Serge Delaigue, patron des pompiers du Rhône.
Les sapeurs-pompiers mobilisés sur place sont restés toute la nuit, pour éviter toute reprise des flammes et venir à bout de foyers qui auraient pu se trouver dans les planchers du bâtiment. Ils devraient encore être présents toute la journée.
Il était hier trop tôt pour évaluer les dégâts causés par cet incendie, mais ils devraient être conséquents. Outre les dommages causés par les flammes, l’eau a également investi le rez-de-chaussée, et les fumées, l’ensemble du bâtiment. Une enquête devrait être ouverte pour en déterminer les circonstances exactes.

http://www.leprogres.fr/faits-divers/2012/12/31/un-violent-incendie-ravage-le-foyer-d-urgence-saint-irenee

Charente-Maritime : une jument percutée par une fourgonnette trouve la mort

Les chevaux se sont échappés de leur haras de Sainte-Radegonde, tenu par Bertrand Rivière, le président de la société de course de Châtelaillon. Les bêtes sont sorties de leur enclos avant de croiser une fourgonette, sur la D 733, à Saint-Jean-d'Angle.
Une jument de 10 ans a trouvé la mort ; elle était pleine et devait donner naissance à de futurs champions des hippodromes. Une autre, plus jeune, est quant à elle gravement blessée à la patte. Elle a été rapidement confiée à un vétérinaire.

Les dix autres animaux étaient tous de retour chez leur propriétaire avant midi.

http://www.sudouest.fr/2012/12/30/charente-maritime-une-jument-percutee-par-une-fourgonnette-trouve-la-mort-921736-7.php

Trois morts dans les Pyrénées : les dangers de la montagne

Alors que la fréquentation des stations de ski connaît un boom depuis une dizaine d'années, le nombre d'accidents suit-il cette courbe ascendante ? La série noire de ces derniers jours pourrait le laisser croire.
- Lundi, un Béarnais de 18 ans est décédé, deux jours après une chute rarissime et encore inexpliquée d'un télésiège, à Gourette, dans les Pyrénées-Atlantiques.

- Mercredi, deux jeunes surfeurs de 26 et 14 ans succombaient au Grand-Tourmalet (65) et à Saint-Pierre-dels-Forcats (66) : le premier s'est brisé les vertèbres cervicales en tentant d'effectuer un saut périlleux sur une piste bleue ; le second est sorti d'une piste rouge et a foncé dans un arbre.
- Vendredi, un surfeur russe d'une vingtaine d'années s'est tué en heurtant un rocher dans le domaine skiable d'Orelle, en Savoie, après avoir quitté une piste balisée.
Ces drames, pour lesquels des enquêtes ont été ouvertes, viennent cruellement rappeler les dangers de la pratique du ski. Mais ne doivent pas occulter le fait que le nombre d'accidents dans les stations françaises est stable depuis dix ans et tourne autour d'une intervention de secours pour 12 000 passages en remontées mécaniques, selon le Système national d'observation et de la sécurité en montagne, un service créé en 1996 par les ministères de l'Intérieur, de la Défense et des Sports pour collecter, traiter et analyser les accidents liés aux pratiques sportives et ludiques en montagne.
En 2011, 13 personnes ont péri dans les domaines skiables de l'Hexagone et 50 000 opérations de secours y ont été réalisées. La même année, entre 5 000 et 8 000 opérations ont été effectuées en montagne, où 181 personnes, des alpinistes, des randonneurs, des skieurs de rando, etc., sont mortes dans cet espace de liberté totale.
Réglementation drastique
Ce que ne sont plus les stations de ski depuis la fin des années 1990, point de départ d'un renforcement de la réglementation et de la sécurité. « Aujourd'hui, les contrôles sont drastiques. Si vous prenez les remontées mécaniques, qui sont en France un service public de transport, elles doivent toutes faire l'objet d'inspections quotidiennes, hebdomadaires, mensuelles et annuelles, qui sont vérifiées par l'État, comme les métros ou les tramways. À cela s'ajoute un règlement de police pour chaque machine qui fixe les consignes d'usage. Pour les pistes, c'est un peu comme sur la route : les exploitants ont l'obligation de proposer un espace damé et sûr », explique Laurent Reynaud, le délégué général de Domaines skiables de France, qui représente les professionnels du secteur.
C'est ainsi que des matelas ont fleuri sur à peu près tous les poteaux que comptent les pistes de ski de France, ou encore que se sont multipliés les filets pour empêcher les sorties de piste dangereuses.
Pression judiciaire
Car dans le même temps, la pression judiciaire s'est accrue. Et de lourdes peines ont été prononcées. Celle, en décembre dernier, de la commune de Font-Romeu, condamnée à payer 1 million d'euros à une jeune femme devenue tétraplégique à la suite d'un accident de ski, il y a quinze ans, est encore dans tous les esprits. Quelques mois plus tard, Domaines skiables de France a d'ailleurs lancé un chantier de réflexions intitulé « Améliorer le sentiment de sécurité et réduire l'accidentologie », sur lequel planche Jean-Yves Salle, le directeur général des Deux-Alpes Loisirs et de Serre-Chevalier Valley.
« La sécurité est notre priorité. Malheureusement, il y a toujours une accidentologie résiduelle et on fait tout pour lutter contre ça », assure Laurent Reynaud. Et ce dernier de rappeler que, sur la vingtaine d'accidents déplorés chaque année sur les 700 millions de passage en remontées mécaniques, 97 % sont dus à l'usager lui-même ou à un tiers, et 3 % viennent d'un problème sur le matériel. Sur pistes, contrairement aux idées reçues, les collisions entre skieurs sont loin d'arriver en tête des causes d'accident (6 %), même si elles s'avèrent souvent graves. La plupart du temps, le pratiquant chute seul.
Éduquer les skieurs
« Beaucoup d'incidents ont pour origine un comportement inadapté du skieur. Ce qui est le plus difficile à maîtriser et à prévoir », confie Laurent Dourrieu, le directeur de l'Epsa, l'Établissement public des stations d'altitude qui gère Gourette et la Pierre-Saint-Martin pour le compte du Conseil général des Pyrénées-Atlantiques.
Impossible de mettre un pisteur derrière chaque pratiquant. Alors les stations, qui n'ont longtemps communiqué que sur l'aspect ludique, ont fini par se mettre à la sensibilisation. Les Pyrénées ont d'ailleurs été pionnières en la matière, avec l'opération « Glisse pas perso », lancée en 1997. Les Alpes, elles, développent depuis trois ans des « villages prévention », dont le but est de rappeler aux skieurs les règles de bonne conduite. Mais pour l'heure, ces initiatives n'ont pas fait baisser le nombre d'accidents.
« Car la prévention ne doit pas se faire que dans les stations, il faut qu'elle se développe en dehors, notamment par le biais des médecins. Et là-dessus, il y a encore du boulot. Peu de gens s'y intéressent », se désole Éric Duaso, kinésithérapeute à Bizanos, en Béarn, et membre de l'association des Médecins de montagne. Qui préconise d'avoir une bonne préparation physique avant de s'élancer sur les pistes pour « éviter la casse », de porter le casque et de faire très attention au réglage de ses fixations, « source potentielle d'entorses du genou », l'une des principales blessures au ski.

http://www.sudouest.fr/2012/12/30/plus-de-securite-mais-autant-d-accidents-921519-7.php

dimanche 30 décembre 2012

Faux pompiers et faux calendriers : attention !

Le président de l'amicale des sapeurs pompiers de Charleville-Mézières, le lieutenant Jacques Hallali, met en garde la population et notamment les personnes âgées de la présence d'individus en tenue de pompiers proposant des calendriers qui ne correspondent pas au « vrai » calendrier distribué par les sapeurs pompiers exerçant leur activité au centre de secours principal de Charleville-Mézières.
La direction de l'amicale a déposé une plainte au commissariat de police. « Ce sont des habitants de Prix-lès-Mézières qui nous ont alertés de cette supercherie », indique le lieutenant Jacques Hallali qui informe : « Les recettes tirées de la vente des calendriers sont destinées en faveur de l'œuvre des papilles. L'association l'œuvre des Pupilles des sapeurs-pompiers a pour mission de venir en aide aux orphelins de sapeurs-pompiers dont un parent est décédé en service commandé ou hors service, et aux familles de sapeurs-pompiers dans le besoin. L'association a été créée le 27 mars 1926 par le commandant Guesnet. Il s'agit d'une œuvre à but non lucratif reconnue d'utilité publique par le décret du 28 janvier 1928, elle est placée sous le haut patronage du président de la République ».
Les responsables de l'amicale demandent aux personnes sollicitées de réclamer une carte professionnelle. Mais, ils indiquent que dans tous les cas, le sapeur-pompier doit obligatoirement remettre à la personne qui achète le « vrai » calendrier des pompiers, un ticket souche de couleur rose portant le nom de l'amicale, indiquant l'année du calendrier 2012 et un numéro.
Si vous avez un doute, ou si le calendrier proposé et le ticket de couleur rose ne correspondent pas à la photo (ci-contre), il faut téléphoner aussitôt à la caserne des pompiers de Charleville-Mézières au 03.24.57.67.30. et un responsable se rendra immédiatement chez vous.

http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/faux-pompiers-et-faux-calendriers-attention

Deux blessés placés en détention

Ce soir-là, quatre individus cambriolent trois stations-service sur le secteur du Thillot. Pris sur le fait, les cambrioleurs sont pris en chasse par les forces de l’ordre. Policiers de la BAC (brigade anti-criminalité) et gendarmes se sont relayés afin d’interpeller ce quatuor embarqué dans une Peugeot. Lors de cette poursuite, un policier aurait failli être renversé par le véhicule pris en chasse.
Après avoir roulé à tombeau ouvert jusqu’à Épinal, les cambrioleurs ont terminé leur périple contre un arbre du côté de Razimont. Quelques minutes plus tard, les policiers ont interpellé deux hommes blessés. Le premier est touché au poignet. Quant au second, il souffre d’une fracture du fémur.
Placés en garde à vue à l’hôpital d’Épinal, les deux hommes blessés ont donc été interrogés longuement par le juge d’instruction. Peu d’éléments transpirent des auditions. L’homme blessé au poignet, qui serait âgé de 18 ans et originaire du département, aurait expliqué qu’il n’avait pas réellement pris part à ces cambriolages. Cet homme aurait visiblement bien fêté Noël en avalant une bouteille de whisky. Il serait ensuite monté dans le véhicule qui a servi aux cambriolages en compagnie d’un de ses proches. Au moment des faits, l’homme serait resté dans le véhicule, complètement ivre.
Quant au second individu, victime de la fracture du fémur, il serait âgé de 19 ans. Face au juge d’instruction, ses déclarations auraient beaucoup varié. Il aurait même affirmé ne pas être en état pour répondre aux questions.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/12/30/deux-blesses-places-en-detention

Sauvée après s'être jetée dans la Garonne

Une femme de 62 ans a été sortie d'une position très inconfortable hier vers 18 h 15, à Toulouse. Cette femme avait, quelques minutes auparavant, sauté dans la Garonne depuis le pont Saint-Pierre. Elle a nagé quelques secondes avant de s'accrocher à une pile du pont. Les plongeurs sapeurs-pompiers sont intervenus rapidement pour l'aider à quitter les eaux froides du fleuve. Choquée, psychologiquement perturbée, cette femme a été évacuée par les pompiers vers l'hôpital Purpan où elle a été hospitalisée.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/30/1525842-sauvee-apres-s-etre-jetee-dans-la-garonne.html

Assas : Il vient voler des truffes chez son concurrent la nuit de Noël

Arrivé tous feux éteints avec son chien truffier, le soir de Noël, chez son concurrent, il se met à voler des truffes. Repéré par un témoin qui donne l'alerte il est interpellé par les gendarmes.Remis en liberté, il devra s'acquitter d'une amende de 600 €.
Cet individu n’avait visiblement rien d’autre à faire, le soir de Noël, que d’aller tenter de voler des truffes chez l’un de ses concurrents. Alors, il s’est rendu à Assas, sur un terrain privé où un grand-père a planté des chênes verts pour y faire pousser des truffes.
Le voleur de Noël a été remis en liberté

Il est arrivé tous feux éteints et a commencé à chercher à l’aide de son chien truffier, puisque lui-même a un terrain dédié à ce précieux champignon du côté de Castries. Mais il n’a pas poussé ses investigations bien longtemps. Un témoin, surpris de voir un véhicule à cet endroit (et alors qu’il y avait déjà eu des vols à cette même période, l’an dernier), a donné l’alerte et les gendarmes de Clapiers-Jacou ont procédé à son interpellation.
Le voleur de Noël a été remis en liberté et, à défaut de gagner de l’argent avec les truffes des autres, il devra s’acquitter d’une amende de 600 €.

http://www.midilibre.fr/2012/12/29/assas-il-vient-voler-les-truffes-chez-son-concurrent-la-nuit-de-noel,619404.php

Ardèche : le chasseur blessé à la tête par son collègue est décédé

Un chasseur de 57 ans blessé accidentellement à la tête par un tir de son collègue à Prades (Ardèche) est mort jeudi à l'hôpital de Montpellier.
Les deux hommes tentaient d'achever un sanglier blessé mercredi lorsque l'un d'eux a tiré sur l'autre.

Un autopsie sera pratiquée lundi, a indiqué au Dauphiné libéré le procureur de la République de Privas, Dominique Sénéchal.
L'auteur du coup de feu, dont la garde à vue a été levée jeudi, n'a pour l'instant pas été mis en examen et sera réentendu ultérieurement.

http://www.sudouest.fr/2012/12/29/ardeche-le-chasseur-blesse-a-la-tete-par-son-collegue-est-decede-921365-7.php

samedi 29 décembre 2012

18 mois de prison ferme pour le braqueur des postes

Bien que son pistolet soit un jouet, le braqueur des bureaux de Poste a été condamné hier à une peine de prison ferme.
David M., 37 ans, a été reconnu coupable hier par le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières (devant lequel il était traduit en comparution immédiate) d'avoir braqué quatre agences postales situées dans le Sedanais.
Le premier fait remonte à plus d'un an, le 20 juillet 2011 à Floing. David M. avait alors « raflé » 3.700 euros puis était resté 18 mois sans faire parler de lui.

Et ce, malgré l'ADN qui avait été prélevé à l'époque sur la casquette et le pansement que portait le malfrat ce jour-là et qu'il avait oubliés en route… Les policiers du SRPJ de Reims en charge de l'enquête n'avaient pas pu remonter jusqu'au braqueur.
C'est bien plus tard, grâce au sang-froid d'une guichetière de la poste de Givonne et à une belle enquête de la section de recherche de la compagnie de gendarmerie de Sedan que le malfaiteur spécialisé dans les bureaux de poste du Sedanais a été confondu. Un élément qui a été mis en exergue par Mme Mutiloa, substitut du procureur dans son réquisitoire : « Lors de votre braquage à la poste de Givonne, l'employée qui était seule à son poste, a profité d'un moment d'inattention de votre part pour récupérer l'arme et votre gant que vous aviez déposés sur le comptoir. Elle a été courageuse car cette dame avait déjà fait l'objet d'un braquage dans le passé ».
Et de poursuivre : « Je pense que vous n'aviez pas pris conscience des faits car même si l'arme était un jouet, les victimes ont été traumatisées avec des ITT de 15 jours. Avec l'arme, les gendarmes sont remontés jusqu'au magasin où vous l'avez achetée, le 5 décembre, ce qui a permis d'avoir une photo de vous. La suite vous la connaissez, je réclame à votre encontre quatre ans de prison dont 2 ans avec sursis et mise à l'épreuve ».
La sévérité de la peine demandée a fait bondir le prévenu qui avait déjà été malmené par l'avocat des parties civiles : « Je demande un renvoi de l'affaire sur intérêt civil… car il a une guichetière qui a développé une leucémie à cause de vous ».
Lors de l'audience, David M. qui a un passé de toxicomane (du cannabis a même été trouvé à son domicile lors de la perquisition), s'est excusé auprès des victimes. L'autre raison qui a justifié la clémence relative des juges, c'est la grave maladie dont souffre le prévenu.
Jugement : 36 mois d'emprisonnement dont 18 mois ferme. Et accessoirement, une interdiction de fréquenter désormais… les bureaux de poste. N'en déplaise à la défense quelque peu… décalée de Me Marie Callegher, qui avait demandé tout bonnement de ne pas tenir compte des réquisitions !

http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/18-mois-de-prison-ferme-pour-le-braqueur-des-postes

Montech. Un mineur arrêté au lendemain de son vol à main armée

Il n'a guère fallu plus de quinze heures aux gendarmes de la compagnie de Montauban pour boucler une affaire concernant un nouveau vol à main armée. Qui avait encore eu pour cadre la boulangerie «Secrets de pains» boulevard Lagal en face de la salle des fêtes. Un commerce où déjà le 26 octobre dernier un individu armé d'un couteau avait menacé la commerçante propriétaire de cette franchise pour tenter - mais en vain - de se faire remettre la caisse.

D'autres personnes interpellées

Tout débute jeudi soir aux alentours de 19 h 50 dans ce commerce. La jeune vendeuse travaille à l'arrière du magasin, quand la sonnette de la porte d'entrée l'avertit de l'entrée d'un client. Mais un second entre à son tour ce qui a pour effet de faire repartir le premier individu. Cinq minutes plus tard après l'acte d'achat du deuxième client et alors que la vendeuse est repartie dans l'arrière-boutique la porte d'entrée actionne encore la sonnette. L'individu entré et ressorti précipitamment quelques minutes plus tôt revient, le visage camouflé par une écharpe, ganté et brandissant une arme de poing. En menaçant la vendeuse par deux fois il lui demande :«La caisse, la caisse». Mais la jeune femme sans paniquer abandonne le comptoir et va s'enfermer dans un local technique ainsi que le lui avaient conseillé ses employeurs de façon préventive en faisant référence au braquage avorté d'octobre dernier. Seul dans le commerce, le braqueur arrache la caisse enregistreuse et s'enfuit à pied. Aussitôt l'alerte est donnée et les militaires de la COB de Montech-Verdun sont sur place dans les minutes qui suivent . Arrive aussi rapidement sur les lieux le capitaine Claude Vergnes adjoint au chef d'escadron Bareigts commandant la compagnie de Montauban. Et à sa suite les militaires du PSIG, ceux de la BR et de l'ITC (identité criminelle). Les gendarmes recueillent les premiers témoignages, visionnent les bandes de la caméra de vidéosurveillance de la boulangerie. Dans la soirée ils multiplient les contrôles d'identité sur Montech et hier matin accumulent assez d'indices pour localiser l'auteur de ce vol - un mineur (il ferait 18 ans dans les premiers mois de 2 013) domicilié à Montech - mais qui est allé se réfugier chez un copain à Montauban. C'est là, dans le secteur entre quartier Doumerc et caserne Guibert que le duo est cueilli hier matin est placé en garde à vue. Comme un copain de Montech chez qui le braqueur est passé après son forfait. Hier soir l'auteur de ce vol à main armée était toujours interrogé sur la motivation des faits pour un maigre butin (presque retrouvé) de quelques centaines d'euros. Un acte qui avec menaces et une arme de poing véritable devraient lui valoir une comparution future devant une cour d'assises des mineurs .

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/29/1524922-montech-un-mineur-arrete-au-lendemain-de-son-vol-a-main-armee.html

Gignac : le braqueur s’était payé Disneyland(TM) pour Noël

Le braqueur avait sévi le 20 décembre dernier vers 8 h 45, une employée rechargerait le distributeur contigu à l’Intermarché. Un individu armé déboule lui demandant la caisse. Il s’enfuit avec 7 500 € en petites coupures. Malgré ses dénégations, le prévenu a été condamné à cinq ans de prison ferme.
Ces faits de braquage, vous les avez niés jusqu’à présent. Est-ce que vous avez le bon goût, aujourd’hui, de les reconnaître ?" L’heure est tardive devant le tribunal correctionnel et la présidente Claudine Laporte aborde le copieux dossier du braquage commis à l’Intermarché de Gignac, voilà tout juste un an. En espérant aller à l’essentiel. Raté.
Au risque d’agacer le tribunal

"Pas du tout, madame", répond d’un ton appliqué Faysel Salmi, 26 ans, cheveux courts et lunettes lui conférant un air sérieux. Le problème pour le prévenu, c’est que tout, vraiment tout, l’accuse. Mais il n’en démord pas, au risque d’agacer le tribunal et de se voir lourdement sanctionné.
Ce 20 décembre 2011, vers 8 h 45, une employée est en train de recharger le distributeur contigu à l’Intermarché en billets de 10 et 20 €, lorsqu’un individu déboule, veste bleue, bonnet sur la tête, gants blancs, brandissant un pistolet tout en lui demandant la caisse. Il s’enfuit avec 7 500 € en petites coupures.
Le chef de rayon du magasin le reconnaît formellement
Deux semaines plus tard, les gendarmes coffrent Salmi et sa copine, à leur domicile de Saint-André-de-Sangonis. Leurs preuves ? Dignes d’un inventaire à la Prévert... Un témoin, chef de rayon du magasin, qui l’a poursuivi le reconnaît formellement. La vidéosurveillance capte l’image d’une Clio qui s’en va avec le bout d’immatriculation “79” et un autocollant qui correspondent au véhicule du prévenu. Au domicile du couple, des billets de 20 et 10 € sont retrouvés.
"Je le dis haut et fort : je n’ai rien à voir avec cette histoire !"
Le prévenu

L’étude de leurs relevés bancaires et de leur activité après le braquage révèle un séjour d’un coût de 1 500 € à DisneylandTM, des restos, l’achat d’un ordinateur à 500 € payé en petites coupures et ce, alors qu’il n’a pas d’activité professionnelle... Sa compagne elle-même finit par reconnaître que le bonnet, les gants et la veste correspondent à ceux qu’il avait. Et que le jour des faits, alors qu’il n’était pas dans ses habitudes de se lever tôt, il était revenu "essoufflé" à la maison.
"Elle a subi les pressions des enquêteurs"
Le prévenu

"Je suis allé faire des courses et jouer au loto. J’étais essoufflé parce que je devais lui rendre la voiture et je ne voulais pas qu’elle soit en retard", se justifie le mis en cause. Qui persiste et trouve une parade face aux accusations accablantes de son ex-compagne. "Toutes ces allégations, je les réfute entièrement. Elle a subi les pressions des enquêteurs, lance-t-il, très théâtral. Ce matin-là, je devais aller à l’Intermarché, j’ai crevé. C’est impossible qu’on m’ait vu sur le parking !"
Pas de quoi convaincre le tribunal
Quant à l’argent en liquide et son train de vie, il l’explique par ses gains au loto sportif et sa vente de parfums à des particuliers, des flacons qu’il récupère auprès d’un fournisseur croisé dans une boîte de nuit montpelliéraine... "Je continuerai jusqu’au bout à le dire haut et fort : je n’ai rien à voir avec cette histoire !" Pas de quoi convaincre le tribunal.

http://www.midilibre.fr/2012/12/28/le-braqueur-s-etait-paye-disneylandtm-pour-noel,618981.php

Meschers-sur-Gironde : accusée de meurtre, elle reste en liberté

C'est une bien curieuse affaire sur laquelle se sont penchés, hier matin, les magistrats de la chambre de l'instruction, à la cour d'appel de Poitiers. Une affaire de meurtre, survenue en mars dernier, mais pour laquelle une information judiciaire n'a été ouverte que le 5 décembre dernier. Dans cette affaire, de lourds soupçons pèsent sur une Royannaise de 43 ans, que le parquet souhaiterait voir incarcérée mais que les juges s'ingénient à maintenir en liberté.
Les faits remontent au 31 mars dernier. Ce jour-là, plusieurs résidents d'un camping de la ville, connus pour leurs abus d'alcool, ont donné rendez-vous à des connaissances. Le but est de s'adonner à la boisson. La discussion dégénère en dispute.

Baignant dans l'essence
L'un des participants à la beuverie, Bruno Clain, 41 ans, est transporté ivre mort dans son mobile home. Quelques heures plus tard, deux de ses amis, venant s'enquérir de son état de santé, découvrent l'homme inconscient, baignant dans l'essence. Malgré l'intervention des pompiers, le malheureux ne se réveille pas. Une autopsie et des expertises toxicologiques sont ordonnées par le parquet. Les experts concluent à une probable intoxication au propane. Sous les effets de l'alcool (3,39 g par litre de sang) et des vapeurs d'essence qui ont envahi le mobile home, la victime aurait pu ne pas réagir.
L'ensemble des participants à la beuverie sont placés en garde à vue. Tous sont remis en liberté. Aucune information judiciaire n'est ouverte bien que l'homicide volontaire reste la thèse la plus vraisemblable.
Parmi les gardés à vue laissés libres, figure une Royannaise de 43 ans, Nathalie Jacquaud. Deux des participants à la fête, eux-mêmes bien avinés, affirment l'avoir vue accompagnée de son compagnon, Jérôme Dumouly, se diriger vers le mobile home de la victime. Là, expliquent-ils, la femme aurait versé de l'essence sur le corps de Clain, puis ouvert le gaz avant de tenter de mettre le feu à l'aide d'un briquet. Entendus à nouveau, le couple dément ces accusations. Il est vrai que, sur les robinets de gaz, aucune trace d'ADN autre que celui de Bruno Clain n'a été trouvée et que les enquêteurs ont semble-t-il omis de saisir le jerrycan d'essence.
Ce n'est que le 5 décembre que le parquet de Saintes décide d'ouvrir une information pour homicide volontaire, visant nommément Nathalie Jacquaud. Elle est présentée au doyen des juges d'instruction de la ville qui la met en examen pour homicide volontaire et la place sous contrôle judiciaire. Le parquet, avant de transmettre le dossier au pôle de l'instruction de La Rochelle, saisit alors le juge de la liberté et de la détention, qui refuse le placement en détention.
C'est cette décision que vient de confirmer la cour d'appel, saisie d'un appel du parquet, estimant sans doute que, neuf mois après les faits, l'incarcération provisoire de Nathalie Jacquaud ne signifierait plus grand-chose.

http://www.sudouest.fr/2012/12/28/accusee-de-meurtre-elle-reste-en-liberte-920433-1531.php

vendredi 28 décembre 2012

Intempéries: dégâts dans le Nord

Des inondations ont touché quelques communes du Nord ces derniers jours en raison des fortes pluies et provoqué des dégâts matériels, rendant par ailleurs quelques routes impraticables, selon la préfecture du Nord.

A Merville (Nord), 15 rues étaient coupées vendredi. Les pompiers ne sont pas intervenus pour des opérations de secours, mais un habitant de Merville a dû quitter sa maison inondée. La commune est située près de la Lys, rivière qui subit "les conséquences les plus importantes des intempéries" de ces derniers jours, selon la préfecture. Le canal à grand gabarit entre Dunkerque et l'Escaut est impraticable pour les péniches depuis le 24 décembre. "Une amélioration est attendue dans les jours à venir" en raison de pluies plus faibles, souligne la préfecture. "La situation de la Lys Plaine reste délicate malgré une amorce de stabilisation", mais "la décrue continue à se généraliser sur l'ensemble des bassins du Nord/Pas-de-Calais", selon le site de surveillance des crues Vigicrues, qui fait part de prévisions "assez optimistes jusqu'à samedi matin".

En mars, une centaine de maisons du hameau de Caudescure, situé dans la commune de Merville, s'étaient retrouvées complètement isolées après de graves inondations.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/28/97001-20121228FILWWW00550-intemperies-degats-dans-le-nord.php

Pont d’Ain : les gendarmes donnent l’assaut pour déloger un forcené

A Pont d'Ain, un individu a commencé ce vendredi matin à importuner les passants en les arrosant du 2e étage de son immeuble avant de se retrancher dans son appartement. N'ayant pu le ramener à la raison, les gendarmes ont donné l’assaut à 13h30 et l’homme a été emmené au centre psychothérapique de l’Ain, à Bourg.
C’est vers 9 heures du matin ce vendredi qu’un homme a commencé à arroser les passants et les véhicules en stationnement avec des cannettes du haut du deuxième étage d’un immeuble. Voyant que l’homme ne tenait pas compte de leurs remarques, les riverains ont appelé les gendarmes. L’individu s’est alors retranché dans son appartement et les gendarmes ont dû faire appel à un « négociateur de crise ».
N’ayant pu le ramener à la raison, les gendarmes ont donné l’assaut à 13h30 et l’homme a été emmené au centre psychothérapique de l’Ain, à Bourg.


http://www.leprogres.fr/ain/2012/12/28/pont-d-ain-les-gendarmes-donnent-l-assaut-pour-deloger-un-forcene

Bordeaux : accident entre un tram et une voiture sur la ligne B

Un accident dont les circonstances restent à éclaircir s'est produit ce vendredi après-midi entre un tram et une voiture sur la ligne B, entre les arrêts Barrière-Saint-Genès et Roustaing.
Aucun blessé n'est à déplorer.

Le trafic a été interrompu sur la ligne B entre les stations Saint-Nicolas et Peixotto, le temps que les secours puissent intervenir et que les rails soient dégagés.
La circulation a pu reprendre un peu avant 16 heures.

http://www.sudouest.fr/2012/12/28/bordeaux-accident-entre-un-tram-et-une-voiture-sur-la-ligne-b-920663-2780.php

Cugnaux. Ivre, il tabasse les gendarmes

Les gendarmes de Cugnaux ont eu fort à faire, mercredi soir, vers 22 heures, avec un individu aviné et excité qui s'en est pris à eux. L'homme âgé de 45 ans a d'abord été repéré par un témoin qui s'est inquiété de sa façon de conduire. Il a naturellement contacté la gendarmerie.
Le conducteur a d'abord essayé de se soustraire au contrôle de la patrouille. Il a fini par s'arrêter un peu plus loin mais il a refusé de souffler. Il a été interpellé et conduit à la gendarmerie de Cugnaux. Là, il a encore refusé de se soumettre au test d'alcoolémie. Les gendarmes l'ont donc placé en garde à vue, ce qui a provoqué un déferlement de violences. Il a insulté les deux militaires qui s'occupaient de lui. Il leur a porté des coups de poing et de pied avant d'être maîtrisé par un troisième gendarme.

Nez cassé

Ses victimes souffraient pour l'un d'une fracture au niveau du nez, tandis que l'autre s'en tire avec une entorse du pouce.
L'excité a été conduit à l'hôpital pour y subir une prise de sang afin de déterminer son taux d'alcoolémie. Là encore, il s'est énervé et a dû être maîtrisé par un vigile. Des plaintes ont été déposées.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/28/1524441-cugnaux-ivre-il-tabasse-les-gendarmes.html

Albi. Mystérieuse agression d'une jeune femme

Qu'est-il arrivé à cette jeune femme de 25 ans, secourue dans la nuit de mercredi à jeudi, rue de Jarlard ? Peu avant 1 heure du matin, les pompiers d'Albi ont pris en charge une femme blessée et visiblement très choquée, sur la voie publique, dans ce quartier résidentiel situé derrière le Stadium d'Albi, tout près de la rocade. Vraisemblablement victime d'une agression, elle a été évacuée sur le centre hospitalier d'Albi. Certaines sources évoquent une suspicion de viol. Une information non confirmée par le parquet d'Albi précisant juste que la jeune femme avait été «retrouvée en état de choc».
De fait, la victime présumée n'a pas pu être longuement auditionnée par les policiers de la brigade de sûreté urbaine. Dans l'attente d'éléments matériels ou de témoignages qui pourraient orienter l'enquête, le commissariat d'Albi observe le plus grand mutisme sur cette affaire. Une prudence de mise tant que la matérialité des faits n'a pas été établie de façon certaine. On sait juste que la jeune femme rentrait de chez une amie. Deux personnes, qui l'auraient vue plus tôt dans la soirée, ont aussi été questionnées par la police mais leur témoignage n'apporterait rien de tangible. Rue de Jarlard, les riverains n'étaient pas au courant de cette agression. «On n'a rien entendu, mais nos chambres ne donnent pas sur la rue», confie une retraitée. Aujourd'hui la victime présumée doit être conduite à l'hôpital Rangueil de Toulouse pour être vue par un médecin légiste. Aucun praticien n'était disponible hier dans le Tarn

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/28/1524376-albi-mysterieuse-agression-d-une-jeune-femme.html

Blocage du port de Fort-de-France

La Cour d’Appel de Fort-de-France a levé l’obstacle soulevé par l’intersyndicale des marins-pêcheurs en grève à l’assignation en référé déposée par la chambre de commerce et d’industrie de Martinique (CCIM) pour obtenir la liberté d’accès au port, au 8ème jour de blocage du Terminal portuaire de la pointe des Grives (Martinique).

La Cour a considéré que la récusation du magistrat saisie de cette assignation n’avait pas lieu d’être et a condamné jeudi le leader de l’intersyndicale Bertrand Cambusy à une amende de 2000 euros.

Le Tribunal de Grande d’Instance de Fort-de-France devra décider d’une nouvelle audience pour examiner l’assignation déposée par la CCIM contre l’intersyndicale.
Par ailleurs, la réunion du groupe de travail consacrée aux mesures à prendre pour sortir du conflit des marins pêcheurs a débuté jeudi en milieu d’après-midi à la préfecture de Fort-de-France. Les marins pêcheurs attendent des mesures d’urgence et concrètes de l’Etat pour sortir de la crise actuelle du secteur.

En raison du blocage du port, l’arrivée du PCRP de la CMA-CGM et sa cargaison de produits frais prévue jeudi a dû être reportée à vendredi, selon Alex Alivon, le secrétaire général du syndicat de la grande distribution et des grossistes alimentaires de Martinique.

"C’est une catastrophe de plus pour notre secteur d’activité car ce sont déjà entre 6 et 7 millions de marchandises périssables qui sont bloquées sur le port à l’heure actuelle et qui risquent d’aller à la poubelle", a-t-il indiqué à l’AFP.

" Cela représenterait l’équivalent" d’un mois de salaire (charges sociales comprises) versés aux 3200 employés au SMIC du secteur ", a-t-il encore ajouté. Selon lui, ce mode d’action de l’intersyndicale n’est pas acceptable même s’il comprend la crise actuelle des professionnels de la mer.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/28/97001-20121228FILWWW00245-blocage-du-port-de-fort-de-france.php

Charente-Maritime : il se blesse en percutant un pylône

Un homme de 19 ans, originaire de Bourcefranc-le-Chapus, a percuté un poteau électrique hier, vers 15 heures, au lieu-dit le Mauzac. Le jeune homme, en provenance de Marennes, prenait la direction de Saint-Just-Luzac, avant de perdre le contrôle de son véhicule et de dévier sur le bord de la route.
Grièvement blessé, ses jours ne sont pas en danger. Il a été transporté par l'hélicoptère Dragon 17 au centre hospitalier de Poitiers, après avoir été désincarcéré par les pompiers.

http://www.sudouest.fr/2012/12/27/il-se-blesse-en-percutant-un-pylone-919294-1675.php

jeudi 27 décembre 2012

Bretagne : 5 personnes hélitreuillées, les liaisons avec les îles perturbées

Les liaisons maritimes avec les îles bretonnes ont été perturbées ou supprimées jeudi et cinq personnes ont été hélitreuillées en raison des mauvaises conditions météo.
Journée houleuse en Bretagne ce jeudi... Dans le Finistère, la liaison maritime avec l'île de Sein a été annulée en raison des mauvaises conditions météo. Celles reliant le continent à Ouessant et Molène ont été assurées mais les retours ont été anticipés, selon la compagnie Penn ar Bed. Dans le Morbihan, les liaisons avec Belle-Ile, Houat et Hoedic ont également vu leurs horaires perturbés.

Par ailleurs, cinq personnes ont été hélitreuillées par un appareil de la Marine nationale, a indiqué la préfecture maritime à Brest. Ces personnes, dont l'armateur, s'étaient rendues à marée basse à bord d'un fileyeur qui s'était échoué après avoir largué ses amarres à Plouguerneau, avec l'objectif de le déséchouer. Mais, avec la marée montante et des vents forcissants, les cinq personnes ont dû faire appel aux secours et elles ont été ramenées à terre saines et sauves. La mer était agitée et les vents de nord-nord ouest soufflaient à 25/30 noeuds, a précisé la préfecture maritime.

Recherchée en Italie, arrêtée à Paris

Une Croate de 44 ans, condamnée à plus de 3 ans de prison en Italie pour vols, et inconnue des services de police en France, a été interpellée lundi soir dans le XVIe arrondissement de Paris après un cambriolage. Les policiers ont été prévenus par la gardienne de l'immeuble, elle-même avertie par un voisin qui avait remarqué des traces d'effraction et était parvenu à retenir l'une des deux cambrioleuses qui tentaient de prendre la fuite.

Les enquêteurs ont établi que cette femme avait été arrêtée à de nombreuses reprises depuis 1991 pour des fais similaires en Italie. Elle était recherchée par la justice italienne après avoir été condamnée à 3 ans et demi de prison par le tribunal de Palerme, a expliqué la source policière.

Lors de sa garde à vue, la femme a avoué avoir joué le rôle de guetteuse, assurant que sa complice était partie avec le butin, environ 10.000 euros de bijoux, selon cette source. Jugée en comparution immédiate, elle a été condamné à 8 mois de prison, dont 4 ferme, et incarcérée à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essone).


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/27/97001-20121227FILWWW00397-recherchee-en-italie-arretee-a-paris.php

Bordeaux : il fonce sur le portier d'une boîte de nuit

Un homme qui s'était vu refuser l'entrée d'une boîte de nuit du quai de Paludate, est revenu un peu plus tard au volant de sa voiture
Il a alors tenté de foncer sur l'employé de l'établissement qui ne lui avait pas permis d'entrer. Il n'a pas atteint sa cible mais a percuté une barrière. Il a rapidement été interpellé par une patrouille de police du Groupe de sécurité de proximité (GSP) arrivée sur place. Il a alors tenté de se rebeller mais a pu être maîtrisé.
Déféré mercredi matin devant le parquet, il a été jugé hier après-midi en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel et a été condamné à une peine de douze mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve.

http://www.sudouest.fr/2012/12/27/faits-divers-919493-4584.php

Chambéry : le chauffeur de bus fait un malaise au volant

Un conducteur d’autobus a été victime d’un malaise hier matin vers 8 heures, à Chambéry (Savoie), alors que son véhicule, avec une quinzaine de passagers à bord, se trouvait dans une descente. Le véhicule a zigzagué sur la route. Il est allé heurter cinq voitures en stationnement, ce qui a finalement stoppé sa course folle. Deux des véhicules percutés ont été littéralement broyés. Heureusement, ils étaient vides. Miraculeusement, aucun des passagers du bus n’a été blessé, mais tous ont eu une belle frayeur. Hospitalisé, le chauffeur s’est remis de son malaise

http://www.leparisien.fr/faits-divers/chambery-le-chauffeur-de-bus-fait-un-malaise-au-volant-27-12-2012-2437501.php

Disparition de Camille et Geneviève : le cri du cœur du père

Toujours pas de nouvelles de Camille et Geneviève, qui sont en fugue depuis le 4 décembre dernier. Du côté du parquet du Puy-en-Velay, on indique que tout est mis en œuvre pour retrouver les jeunes filles, qui seraient hébergées à Toulouse. Mais les parents veulent qu'on aille plus loin.
L'angoisse. Elle ne quitte plus les parents de Geneviève et Camille depuis le 4 décembre. Depuis que ces deux jeunes filles de 16 et 17 ans ont prétexté une visite à l'infirmerie de leur lycée du Puy-en-Velay, vers 9 heures et ont disparu.
Hier, les parents ont demandé une diffusion au niveau national des photos des deux adolescentes. Le parquet de Riom (Puy de Dôme) ne les a pas suivis : «Au vu des éléments recueillis, s'agissant de faits qui n'entrent pas dans le cadre du dispositif «alerte enlèvement «et pour protéger leur anonymat, s'agissant de mineurs, le parquet du Puy-en-Velay n'a pas pris l'initiative de cette diffusion», précise le communiqué. «La Dépêche du Midi», à la demande des parents, a décidé, elle, de publier les portraits de Camille et Geneviève.
Car après 23 jours, les familles sont particulièrement inquiètes. Certes, la mère de Geneviève, Sylvie Euvrard a bien reçu un courrier le 11 décembre dernier. Une lettre postée de Toulouse où sa fille déclare «être en sécurité et au chaud tous les soirs.» Des indications trop laconiques pour rassurer cette maman. Il lui semble que cela peut signifier que sa fille est hébergée chez quelqu'un. Mais qui, pourquoi, et pour combien de temps ? Elle a bien reconnu l'écriture de sa fille, mais «elle a pu écrire cette lettre sous la contrainte» estime Sylvie Euvrard.
Les familles ont donc déposé plainte pour soustraction de mineures. Et souhaitent que désormais la police et la justice passent à la vitesse supérieure dans cette affaire qui a débuté il y a déjà trois semaines.
Selon la police, plus une disparition dure dans le temps, plus elle est inquiétante. La plupart des fugues se terminent très rapidement et de manière heureuse. Mais quand l'absence se prolonge, on peut légitimement se faire du souci. D'un autre côté, il se peut aussi que les deux jeunes filles profitent, tout à fait de leur plein gré, d'une escapade dont elles ne mesurent pas l'impact sur le moral de leurs parents. Les autorités judiciaires doivent donc agir, mais ne peuvent pas, dans le cas de ces jeunes filles qui ne sont pas loin de la majorité, agir comme lors des alertes enlèvement pour des enfants, où les très grands moyens sont déployés.
Il n'en demeure pas moins que des recherches sont menées tous azimuts. Ainsi, on a «fermé» la piste de «Notre Dame des Landes». La mère de Geneviève a raconté que la semaine précédant la fugue, sa fille lui avait expliqué qu'elle voulait rejoindre les opposants au projet d'aéroport nantais «pendant les vacances de Pâques». «Je n'avais pas pris ça au sérieux, car elle n'est pas du tout politisée», explique la maman.
Néanmoins, les parents comme les gendarmes ont mené l'enquête sur place : «Cette piste n'est plus d'actualité», assure Sylvie Euvrard.
On va sans doute désormais tenter, peut-être sur les réseaux sociaux, de repérer qui les jeunes filles pouvaient connaître à Toulouse. Un travail de fourmi qui pourrait prendre encore du temps

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/27/1523966-disparition-de-camille-et-genevieve-le-cri-du-c-ur-du-pere.html

Après l'incident du métro fou : de troublantes révélations

L'association Next-up se bat pour faire baisser le rayonnement électromagnétique auquel nous serions soumis. Elle affirme qu'il est la cause de bugs avérés sur des avions, des autos et le métro toulousain.
Farfelu? Les accusations de l'association Next-up sont-elles aussi peu sérieuses qu'Orange et Tisséo ont semblé l'indiquer dans notre édition d'hier.
Le métro a oublié de s'arrêter dans deux stations, Argoulets et Roseraie, vendredi 21 décembre, jour de la «fin du monde» supposée. En réaction à nos articles des 22 et 24 décembre évoquant ce dysfonctionnement et la possibilité d'un bug dû à un pic électromagnétique, Orange a démenti toute saturation de son réseau ce jour-là et donc tout pic électromagnétique. Olivier Poitrenaud, directeur général de Tisséo a trouvé «farfelue» la possibilité qu'un éventuel pic électromagnétique ait pu faire dysfonctionner la rame.
Reste que Tisséo ne donne pas vraiment d'explication au décalage de quelques centimètres qui a empêché la rame de s'arrêter normalement en face des portes palières des Argoulets et Roseaie, ce qui a provoqué le redémarrage du métro sans ouverture des portes. Pas d'explication non plus aux deux arrêts d'urgence enregistrés sur la même rame entre Balma-Gramont et Argoulets.
Serge Sargentini, porte-parole de l'association Next-up, ONG qui milite pour un abaissement généralisé du rayonnement électromécanique, affirme: «Un rayonnement supérieur au seuil électromagnétique de certains appareils a déjà provoqué des bugs avérés sur des avions ou des limiteurs de vitesse auto. La compagnie aérienne Quantas a arrêté le wifi à cause de ça. Boeing fait des essais avec des pommes de terre à la place d'humains. Le rayonnement du pylône de la route d'Agde a été amplifié par les volets métalliques du parking des Argoulets et a provoqué le double arrêt intempestif de la rame qui circulait en aérien à cet endroit», affirme l'ex-spécialiste militaire des champs électromagnétiques de radars, aujourd'hui retraité et militant très organisé.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/26/1523196-big-bug-du-metro-de-troublantes-revelations.html

Un triple accident spectaculaire sur l'A64

Un carambolage spectaculaire impliquant trois voitures s'est produit mardi matin sur l'A 64, dans le sens Toulouse-Bayonne, à hauteur de la commune d'Artix, vers 7 h 45.
Le conducteur d'une première voiture s'est endormi au volant. Son auto a percuté la glissière de sécurité, a fait des tonneaux et a fini sur le toit avant de s'immobiliser au milieu de la chaussée.

C'est alors qu'une deuxième voiture est arrivée et n'a pu éviter le choc avant de s'arrêter sur la bande d'arrêt d'urgence.
Un sur-accident suivi d'un autre : une troisième voiture a à son tour foncé dans la première.
Par chance, le bilan humain n'est pas grave : le conducteur de la première voiture et la conductrice de la troisième ont été légèrement blessés et transportés par les pompiers à l'hôpital de Pau. La circulation sur l'A 64 a été perturbée le temps de l'intervention des secours.

http://www.sudouest.fr/2012/12/26/un-triple-accident-spectaculaire-sur-l-a64-918886-3979.php

mercredi 26 décembre 2012

Seine-et-Marne: Trois femmes agressées en trois jours devant une Poste

Trois femmes ont été violemment agressés samedi, dimanche et lundi par un groupe d’hommes cagoulés et gantés à proximité de la Poste de Brou-sur-Chantereine, en Seine-et-Marne, rapporte Le Parisien. Menacées par ces hommes armés d’un couteau, elles ont été forcées à retirer le montant maximum et à communiquer leur code de carte bancaire. Les incidents ont été signalés et La Poste envisagerait d’avoir recours aux services d’un vigile ou un maître-chien.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1070239/seine-et-marne-trois-femmes-agressees-trois-jours-devant-poste

Excédé par le bruit des pétards, il menace ses voisins avec un fusil

Dans la nuit de lundi à mardi, aux alentours de minuit le soir de Noël, un septuagénaire a menacé ses voisins de Peymeinade avec un vieux fusil de chasse.
Excédé par le bruit des pétards et des feux d'artifices provenant du jardin de ses voisins, l'homme de 70 ans a tiré un coup de feu en l'air.
Une dizaine de personnes se trouvaient alors dans le jardin, dont six enfants. Personne n'a été touché.
Ce mardi matin, une plainte a été déposée à la gendarmerie de Saint-Vallier qui a ensuite entendu le tireur avant de le relâcher plus tard dans la matinée et de lui confisquer son arme

http://www.nicematin.com/grasse/excede-par-le-bruit-des-petards-il-menace-ses-voisins-avec-un-fusil.1093084.html

Montauban. Un homme de 32 ans blessé à l'arme blanche

Hier, vers 14 heures, un homme de 32 ans été blessé par une arme blanche. L'agression a été commise sur la voie publique, dans la rue Ursule Devals, à Montauban. Alertés par un témoin de la scène, les sapeurs-pompiers ainsi que le SAMU sont aussitôt intervenus sur les lieux. Evacuée vers le centre hospitalier, la victime souffrait de plaies au niveau du thorax et d'un bras. Mais ses jours n'étaient pas en danger. Quant à l'auteur des coups, il avait pris la fuite. Une enquête a été ouverte au commissariat de police de Montauban pour éclaircir cette agression mystérieuse commise le jour de Noël dans les rues de la ville.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/26/1522946-montauban-l-homme-de-32-ans-blesse-a-l-arme-blanche.html

Lyon : un élément décoratif se décroche et cause des dégâts dans l’église Saint-Georges

Lundi 24 décembre, l’église Saint-Georges classée Monument historique est encore peu fréquentée en ce milieu d’après-midi quand soudain un bruit retentit Sur la gauche, un élément décoratif en pierre calcaire d’une vingtaine de kilos s'est détaché tout en haut d’une colonne pour atterrir dans un nuage de poussières, au fond de l’église. Heureusement personne n'a été blessé.
La chute de ce bloc de pierre a causé quelques dégâts matériels : il a détruit dans sa chute des sièges et des bancs de bois situés au fond de l’église Le secteur a été rapidement sécurisé, les éléments transportés dans une chapelle latérale fermée au public.
Les célébrations de Noël ont pu se dérouler normalement.


http://www.leprogres.fr/rhone/2012/12/25/lyon-un-element-decoratif-se-decroche-et-cause-des-degats-dans-l-eglise-saint-georges

Momas (64) : un automobiliste blessé après avoir foncé dans une maison

Un automobiliste a été blessé hier soir dans un accident de la route survenu dans la quartier La Carrère, à Momas. Il était 20h30 lorsque le conducteur, qui se trouvait seul dans sa voiture et circulait sur le CD201, a perdu le contrôle de son véhicule qui a fini sa course contre une maison.
La victime, un homme de 58 ans originaire de Monein, a dû être désincarcérée de son véhicule par les pompiers. Il souffre de plusieurs fractures aux jambes et s'est fait perforer un pied par un morceau de métal.

Il a été transporté à l'hôpital de Pau.

http://www.sudouest.fr/2012/12/25/momas-64-un-automobiliste-blesse-apres-avoir-fonce-dans-une-maison-918206-4344.php

mardi 25 décembre 2012

Un adjoint de sécurité sauvagement agressé à Nice

Un adjoint de sécurité a été hospitalisé à la suite d'une sauvage agression survenue lundi soir, alors qu'il venait de quitter son travail, dans une station-service de Nice.
Pour un motif encore indéterminé, il aurait été pris à partie et roué de coups par une dizaine d'individus. Cinq suspects ont été interpellés. Ils étaient toujours entendus, ce mardi, en garde à vue.
Selon nos informations, il aurait préalablement indiqué être de la police. Son scooter aurait en outre été volé lors de cette agression.

http://www.nicematin.com/nice/un-adjoint-de-securite-sauvagement-agresse-a-nice.1093005.html

Un beau dénouement pour le combat d'une mère

En juillet dernier, la maman de Julien, handicapé, se battait pour obtenir des aides. Son combat (très médiatisé) gagné, elle tient à remercier tous ses soutiens.
C'était il y a cinq mois. Fabienne Lagnier, habitante de Vaux-lès-Mouron, montait au créneau pour obtenir d'être rétablie dans ses droits.
Ayant cessé de travailler pour s'occuper de son fils handicapé, Julien, 17 ans, Fabienne ne percevait plus l'aide de sixième catégorie dont elle bénéficiait jusqu'alors. Une invraisemblance, d'autant que l'état de santé de l'ado se dégrade.
« La maladie de Julien (Ndlr : une amyotrophie spinale infantile de type II, dont les conséquences sont proches d'une tétraplégie) est dégénérative ! Ça n'ira jamais en s'améliorant », protestait la maman, lassée de toute la paperasse exigée.
La Maison départementale des personnes handicapées (MDPH), qui gère l'aide demandée, avait notifié un refus pour « conditions médico-sociales non satisfaites ».
Contacté, Claudy Warin, directeur adjoint de la MDPH, admettait alors envisageable que la commission ait pu « avoir mal évalué la situation », mais confirmait une rigueur renforcée dans la vérification des situations exposées.
Fabienne Lagnier nous a récemment appris que son dossier avait évolué favorablement. « J'ai emmené Julien à la rencontre de membres de la commission, pour qu'ils comprennent que je ne peux pas me dégager de temps libre. Ils ont compris mes contraintes et ont reconnu que ça n'aurait pas dû se passer comme ça. »
« Épuisée »
Conséquence : le recours a abouti et Fabienne a récupéré l'aide de sixième catégorie avec effet rétroactif. Autre bonne nouvelle : la commission pourrait accéder à la demande de prise en charge d'un reliquat de 11 000 euros concernant l'achat d'un fauteuil pour Julien.
Alors, tout va bien ? « On respire, mais ça m'a énormément épuisée, physiquement et moralement, avoue Fabienne. J'ai été arrêté deux mois après un malaise cardiaque. » Jean-Marc Thiéry, qui veille également sur Julien, doit prendre le relais.
Nous avons évoqué récemment la solidarité de ses collègues, employés communaux à Vouziers, qui ont renoncé à des heures de repos pour que Jean-Marc puisse se rendre disponible.
« Nous avons été très touchés, affirment les habitants de Vaux-lès-Mouron. On ne s'y attendait pas et on les remercie du fond du cœur. Mes anciennes collègues étaient prêtes à faire pareil. La directrice des services, Catherine Lemoine, a téléphoné plusieurs fois pour prendre des nouvelles. Les services techniques sont parfois décriés, souvent pour une personne qui a fait une erreur, mais, là, on voit que ce sont des gens solidaires, pleins d'humanité, de générosité. »
Contactés par Sophie Davant
Concernant la décision initiale de la MDPH, Fabienne n'en rajoute pas. « L'erreur est humaine et c'est bien qu'ils aient reconnu la leur. Par contre, ça a été très long, on a l'impression de mendier. Et on n'est pas la seule famille des Ardennes concernée… »
La mère de famille remercie l'AFM (Association française contre les myopathies) et les politiques Jean-Luc Warsmann, Bérengère Poletti et Claude Ancelme, qui l'ont soutenue. Elle sait aussi que la médiatisation de son problème a joué un rôle essentiel.
« Mon histoire a fait le tour de France. Des présidents d'associations du sud l'ont relayée sur internet, des journalistes de Maxi sont venus faire un reportage et l'équipe de Sophie Davant nous a contactés. »
Et maintenant ? « On est encore dans les dossiers. Et il nous reste à changer de camion, celui que nous avons, a 19 ans. Si l'heureux gagnant des 12 millions d'euros veut faire un geste… »
On ne sait pas si l'appel, lancé avec humour, sera entendu, mais souhaitons de très belles fêtes à cette famille dont la ténacité a été récompensée.

http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/un-beau-denouement-pour-le-combat-dune-mere

L'automobiliste accidenté finit sa soirée de réveillon en cellule de dégrisement

C’est une histoire plutôt rocambolesque qui s’est produite, lundi soir à partir de 18h30, sur le secteur de Chamalières-sur-Loire. Suite à un accident de la circulation survenu sur une portion de la RD35, les sapeurs-pompiers de Retournac et les gendarmes de la COB de Rosières se rendent sur les lieux.
Dans des circonstances indéterminées, une voiture avait effectué une sortie de route, sectionné un poteau EDF et était tombée dans un jardin. Première surprise pour les gendarmes : le conducteur ne se trouve pas dans la voiture. Une équipe cynophile est alors appelée en renfort : les hommes et les chiens entament alors des recherches. Puis l’homme sera finalement retrouvé vers 20h30 légèrement blessé.
Evacué à l’hôpital Emile-Roux, au Puy-en-Velay, son épouse est alors prévenue par les gendarmes de la mésaventure. Surprise pour elle : son mari n’est plus à l’hôpital quand elle arrive sur place. L’individu s’était montré tellement excité que les responsables de l’établissement avait dû faire appel aux services de Police pour le maîtriser.
Ces derniers lors de leur intervention l’ont pris en charge avant de le placer en chambre de dégrisement, le temps qu’il retrouve ses esprits.

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2012/12/25/l-automobiliste-accidente-fini-sa-soiree-de-reveillon-en-cellule-de-degrisement

Un camion bloque la 21 à Lectoure

Hier, Vers 15 heures, un semi-remorque d'Agen transportant de l'équarrissage s'est renversé sur le côté droit de la chaussée dans le virage serré de la vieille côte sur la RN 21, à Lectoure. Une partie de la cargaison s'est répandue dans le fossé. Les gendarmes de Lectoure, Miradoux et Fleurance se sont rendus sur les lieux et ont été obligés de dévier la circulation montante par le chemin de la Boere, la circulation descendante par l'avenue de la Gare. Le personnel de la DIRSO a demandé à l'entreprise Troisel une grue pour relever le camion, ainsi qu'à Renault-Truck d'Auch et à l'entreprise Gourgues. Le conseiller général Georges Courtès était présent sur les lieux. À 17 h 30, le camion était relevé, il fallait encore ramasser les carcasses et dégager les engins avant de rendre la RN 21 à la circulation. Il n'y a pas eu de blessé

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/25/1522201-un-camion-bloque-la-21-a-lectoure.html

Essonne. Car jacking près de la gare de Massy-Verrières

Réveil plus que douloureux pour un habitant de Massy, dans l'Essonne. Samedi, vers 6 heures du matin, cet homme a été victime d’un car jacking, à deux pas de la gare de Massy-Verrières. Après avoir sorti sa voiture, il ferme la porte de son garage. Au moment où il revient vers son véhicule, un homme avec une capuche l’attrape par derrière et le menace d’un objet.
 
Arme de poing ou autre ? Impossible à savoir. Le malfaiteur s’empare des clés de la et s’enfuit.

L’enquête a été confiée à la sûreté départementale de l’Essonne.
 
 

Le chauffard blesse grièvement une famille et s'enfuit à pied

Hier en pleine nuit, un automobiliste a pris la fuite à pied après avoir grièvement blessé un couple et son bébé en percutant leur fourgon sur une avenue de Reims. Le chauffard s'est livré à la police en fin de matinée.
«D'habitude, un accident comme celui-là, on n'en voit que dans les manœuvres. » La remarque de ce pompier professionnel en dit long sur la nature particulière de l'accident survenu hier en pleine nuit sur l'avenue Henri-Farman à Reims : une BMW lancée à toute vitesse ; une camionnette percutée de plein fouet ; un couple et son bébé de huit mois éjectés sur la chaussée, tous grièvement blessés ; la voiture projetée contre un mur ; une quatrième personne incarcérée à l'intérieur.
Trois ambulances des pompiers et autant du Samu (avec des renforts venus d'Epernay et Châlons-en-Champagne) ont été mobilisées pour secourir toutes les victimes. Une cinquième aurait pu être déplorée, le chauffeur de la BMW, mais celui-ci se porte bien. Parvenu à s'extraire de la carcasse, il a pris la fuite à pied en abandonnant sa passagère, et après avoir jeté un œil sur le nourrisson et ses parents allongés au milieu de la route.
L'accident s'est produit vers 1 h 45, au carrefour de l'avenue Farman et de la rue Damide. A cet endroit, l'avenue est à deux fois deux voies, après 800 mètres de ligne droite depuis le rond-point de la RD944. Une véritable rampe de lancement pour le conducteur de la BMW, dont la vitesse démentielle est confirmée par le principal témoin, doublé quelques instants avant la collision (lire ci-dessous).
Une bombe au carrefour
Alors que la berline arrivait comme une bombe, un Citroën C25 est sorti de la rue Damide, sur sa droite. Le chauffard n'a pu l'éviter. Sous le choc, la BMW a été projetée contre le mur d'enceinte d'une habitation, au niveau de la porte d'entrée, tandis que le couple du C25 était éjecté avec le bébé.
Prisonnière des tôles, la passagère de la BMW a dû être désincarcérée par les sauveteurs, mais les examens pratiqués à l'hôpital n'ont finalement révélé aucune blessure sérieuse. Il en va différemment, hélas, du nourrisson et de ses parents, une famille des gens du voyage qui pourrait être stationnée sur les terrains du Moulin de la Housse.
La passagère de la BMW n'a aucun lien de parenté avec le conducteur, qu'elle ne connaîtrait que depuis tout récemment.
Dix heures de cavale
Apparemment domicilié hors du département - des attaches avec l'Aisne ne sont pas à exclure, car le véhicule, non signalé volé, est immatriculé en 02 -, l'homme a échappé aux recherches, mais sans doute se savait-il identifié. Il s'est constitué prisonnier en fin de matinée au commissariat de Reims, dix heures après l'accident (on ignore ce qu'il a fait dans l'intervalle).
D'après ses premières déclarations, il aurait pris la fuite sous l'effet de la panique. Alcool ? Drogue ? Défaut de permis ? Les investigations sont en cours pour vérifier s'il était en règle.
Une présentation au parquet semble probable à l'issue de sa garde à vue, au plus tard mardi matin.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/le-chauffard-blesse-grievement-une-famille-et-senfuit-a-pied

lundi 24 décembre 2012

Montpellier: le chauffard mis en examen

Un chômeur de 33 ans, soupçonné d'être le chauffard qui a percuté mortellement une jeune fille de 18 ans samedi matin à Montpellier avant de prendre la fuite, a été mis en examen aujourd'hui, a-t-on appris de sources judiciaire et policière.

Une information judiciaire a été ouverte pour "homicide involontaire avec plusieurs circonstances aggravantes" (alcoolémie, vitesse excessive, délit de fuite et conduite sans permis), a précisé à l'AFP le procureur de la République de Montpellier, Brice Robin.

L'homme, qui n'avait plus de point sur son permis depuis octobre 2010, a été écroué en fin d'après-midi, comme l'avait requis le parquet. Les faits se sont déroulés samedi à l'aube devant la faculté de pharmacie de Montpellier. La voiture, qui n'était pas déclarée volée, avait été retrouvée dans l'après-midi sur le parking de la cité ouest de La Pergola, à 2 km des lieux de l'accident, le pare-brise "explosé" et l'avant sérieusement endommagé, selon une source policière.

Interpellé dans la foulée, son propriétaire, en garde à vue depuis, a répété qu'il n'était pas au volant de son véhicule, qu'il avait prêté à un tiers pour aller acheter des croissants dans une boulangerie et qu'il a refusé de dénoncer. Lors de sa garde à vue, le trentenaire a expliqué avoir passé la nuit à jouer au poker avec des amis et qu'ils jouaient encore à 5H45 samedi, quand l'étudiante, qui sortait de discothèque et qui regagnait la cité U, a été fauchée et tuée par une voiture roulant à au moins 100 km/h, en faisant du "rodéo" sur l'avenue, selon des témoins.

Admise dans le coma au CHU, la jeune fille était décédée une heure plus tard.
Grâce au système de vidéosurveillance, le véhicule en cause, qui avait poursuivi sa route, a été localisé 2 km plus loin, stationné au pied de l'immeuble où réside le suspect.

Les images des caméras de la vidéosurveillance sont trop floues pour identifier formellement son conducteur, a précisé cette source policière. Selon une source policière, ses amis n'ont pas confirmé l'alibi de la partie de poker. Lorsqu'il a été interpellé, le trentenaire, déjà connu de la justice pour conduite en état d'ivresse sans permis, présentait un taux d'alcoolémie de 1 g/l. Un détail laissait pourtant perplexes les policiers lundi: lors de son interpellation, neuf heures après le violent choc, le propriétaire du véhicule ne présentait aucune blessure, même minime --telle une coupure consécutive au bris du pare-brise--, et pas un morceau de verre n'a été récupéré dans ses vêtements, ni dans ses cheveux.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/24/97001-20121224FILWWW00363-montpellier-le-chauffard-mis-en-examen.php

Suède: un Français devenu "héros local"

Un Franco-Suédois a gagné aujourd'hui le titre de "héros local" pour avoir retrouvé un retraité suédois qui avait oublié dans un distributeur automatique de billets 580 euros de pension.

David Roiseux, 37 ans, un DJ installé à Gävle (Est), a raconté au journal local Gefle Dagblad qu'il avait trouvé une liasse de 5.000 couronnes en se rendant dans un distributeur automatique.

Le ticket était toujours là lui aussi, montrant qu'il s'agissait du retrait d'une pension par un retraité. David Roiseux a alors contacté la banque à laquelle appartient le distributeur et "cela a pris deux jours avant qu'ils trouvent le client", a-t-il raconté.

Les billets ont été rendus vendredi au vieil homme, lequel a proposé une partie de la somme comme récompense. Après négociation, le bon samaritain a accepté un gâteau.
L'édition en anglais du site internet de la radio publique SR l'a qualifié de "héros local".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/24/97001-20121224FILWWW00308-suede-un-francais-devenu-heros-local.php

2 policiers blessés lors d'un contrôle routier

Un simple contrôle de routine s’est transformé en affrontement, vendredi dernier, à Mantes-la-Jolie (Yvelines). Les forces de l'ordre ont tenté d'interpeller un automobiliste qui roulait sans permis de conduire, et ce dernier s'est rebellé et a incité un groupe de jeunes à en découdre avec les policiers. L'un des fonctionnaires de police a reçu un coup de poing au visage et l'autre souffre de douleurs à deux doigts, a précisé une source policière. Les deux policiers ont finalement réussi à quitter les lieux avec le conducteur, âgé de 24 ans, en faisant usage de gaz lacrymogène, selon la source.

http://www.lejdd.fr/Societe/Depeches/2-policiers-blesses-lors-d-un-controle-routier-582625

Un tir d'arme à feu sur le train Paris-Toulouse

«Un tir d'arme à feu» sur un train. C'était hier, aux alentours de 10 h 10, sur le trajet Paris-Toulouse, dans le train Intercités numéroté 3613 et qui est arrivé avec 44 minutes de retard en gare de Matabiau. Le train est parti à 7 h 53 en gare d'Austerlitz (Paris) et dans la matinée, peu avant l'arrivée en gare de Châteauroux (Indre), il s'est arrêté sur la voie.
C'est une Toulousaine, qui revenait de Paris, qui a raconté que les voyageurs ont été contraints de changer de wagon. De plus, la jeune femme n'a pu se faire rembourser son billet au guichet de la gare SNCF de Toulouse, où on lui a répondu que le retard était imputable à «un acte de malveillance».
Selon un porte-parole de la communication à la SNCF, il s'agit bien «d'un tir d'arme à feu et on nous a signalé une vitre cassée». «Nous avons donc réparti les voyageurs dans les autres voitures, ajoute la SNCF. Nous ne savons pas combien de gens étaient dans la voiture car ils réservent très peu en Intercités. Heureusement, il n'y a aucun blessé. Dans un cas comme celui-là, l'entreprise porte plainte dans les 24 heures. Le train a été arrêté sur la voie, le temps qu'on vérifie aussi que le matériel n'est pas touché dans des endroits stratégiques et ça prend du temps».
Par ailleurs, d'autres voyageurs à l'arrivée de Toulouse ont été incommodés hier à cause d'une alerte au bagage oublié dans le TGV de 18 h 28. Une équipe de déminage est intervenue, impliquant un retard de 45 minutes pour le train en question.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/24/1521986-un-tir-d-arme-a-feu-sur-le-train-paris-toulouse.html

Pont-Saint-Esprit : ivre, il s’encastre entre un arbre et une maison

Samedi, aux alentours de 23 h, un Spiripontain résidant route d’Ardèche (D6086) sur la commune de Pont-Saint-Esprit a bien cru que sa salle à manger "avait explosé". "J’étais tranquillement devant mon ordinateur, mon épouse dormait, lorsque j’ai entendu un énorme “boum”. Par réflexe, j’ai tout de suite mis mes mains sur la tête de peur que le toit ne s’effondre", expliquait-il, hier, encore tout retourné.
C’est lorsqu’il passe le nez dehors qu’il découvre avec stupeur qu’un véhicule, immatriculé en Ardèche, vient de s’encastrer entre un platane et le mur de sa maison.

Visiblement, le conducteur qui circulait en direction de Bourg-Saint-Andéol, a perdu le contrôle de son véhicule à hauteur d’un feu rouge. Il a traversé la chaussée, percuté le compteur électrique du feu avant de heurté le mur de la maison, continuant sa course folle entre la parroi et les platanes. Le dernier arbre a arrêté le véhicule, coincé entre les deux obstacles.
Les pompiers et les gendarmes ont été immédiatement alertés
Alors que le riverain découvrait la scène, le conducteur avait réussi à sortir par lui-même de l’habitacle, blessé par des coupures au visage. Quant à sa passagère, elle était toujours bloquée sur le siège, situé côté platane. Apparemment mal en point. Les pompiers et les gendarmes ont été immédiatement alertés. "Le temps que j’aille chercher une lampe, le conducteur avait sorti la femme de la voiture", explique un voisin. Blessée, notamment à la tête et au poignet, la jeune femme ne parvenait pas à se lever.
Le conducteur était sous l'emprise de l'alcool
Rapidement sur les lieux, les pompiers de Pont-Saint-Esprit et du Vaucluse ont pris en charge les deux victimes, transportées au centre hospitalier de Bagnols. De leur côté, les gendarmes de Pont-Saint-Esprit ont fait en sorte de fluidifier la circulation et ont entamé les premiers relevés, afin d’établir les circonstances de l’accident. D’après les premiers éléments de l’enquête, le conducteur, un Ardéchois âgé de 22 ans, sous l’emprise de l’alcool, a perdu le contrôle de son auto alors qu’il roulait à une vitesse élevée.
La route de l’Ardèche a été rouverte, vers 0 h 30, dans les deux sens, une fois que le véhicule accidenté a été dégagé et que le service de la DDE a fini de nettoyer les débris.

http://www.midilibre.fr/2012/12/23/ivre-il-s-encastre-entre-un-arbre-et-une-maison,616814.php

Luchon (31) : le télécabine de Superbagnères en panne, 80 skieurs évacués

Quatre-vingts personnes ont été évacuées dimanche à la mi-journée de la télécabine reliant Luchon à Superbagnères (Haute-Garonne) bloqué depuis 10h45.
Pompiers et CRS du peloton de haute montagne évacuaient les touristes bloqués à l'aide de cordages leur permettant de rejoindre le sol en rappel sans danger, ont précisé les pompiers et la préfecture.

A la préfecture, le sous-préfet de permanence Vincent Roberti a indiqué vers 13h30 qu'une moitié des passagers présents dans "les oeufs" avaient déjà pu être redescendus sans encombre. "L'opération devrait s'achever dans un délai de deux heures environ", a-t-il ajouté.
Tous les passagers des cabines les plus proches du sommet où se trouve la station de ski, une vingtaine de personnes, avaient déjà pu être secourus.
C'est sur la partie centrale, qui surplombe le sol de plus haut, que les manoeuvres ont été les plus délicates.
A 14 heures, il restait une dizaine de personnes à évacuer. "Si des personnes répugnent à descendre en rappel avec un secouriste, il se pourrait que nous ayons recours à un hélitreuillage dans cette zone", a indiqué le sous-préfet.
La panne serait due à "la rupture d'une chaîne d'entraînement" des télécabines, ajoute-t-il. La réparation pourrait être effectuée dans la soirée.

http://www.sudouest.fr/2012/12/23/luchon-31-le-telecabine-de-superbagneres-en-panne-les-skieurs-evacues-916649-4344.php

dimanche 23 décembre 2012

Un postier jette 300 lettres à la poubelle

La direction de La Poste de Montélimar (Drôme) a annoncé son intention de porter plainte contre l'un de ses postiers après avoir découvert que ce dernier avait récemment jeté quelque 300 lettres dans une poubelle de la ville, a relaté aujourd'hui France Bleu Drôme-Ardèche.

Les plis auraient été retrouvés par un commerçant de la ville, qui a prévenu l'établissement postal, selon la radio. L'agent, un intérimaire, aurait décidé de mettre fin à son contrat en pleine tournée et aurait jeté à la poubelle les 60 kg de lettres restant encore à distribuer. La Poste a décidé de porter plainte pour faute grave et a assuré que l'ensemble du courrier retrouvé serait distribué.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/23/97001-20121223FILWWW00158-un-postier-jette-300-lettres-a-la-poubelle.php

Un chateau d'eau «visité» par cinq ados, le village privé d'eau

Se sont-ils crus dans une aventure du Club des cinq ? Un groupe de cinq adolescents s'est introduit dans la nuit de samedi à dimanche dans le chateau d'eau de la petite commune de Goyrans, au sud-est de Toulouse. Ce faisant, ils ont déclenché une procédure d'alerte et 900 habitants étaient privés d'eau dimanche matin, rapporte la Dépêche du Midi.

Quand les services des eaux et la gendarmerie nationale sont arrivés, alertés par une alarme, les intrus avaient pris la poudre d'escampette. Ils n'ont été retrouvés que plus tard dans la journée par les gendarmes.

Mais en attendant, le protocole de sécurité a nécessité de couper la distribution d'eau jusqu'à la mi-journée, le temps de procéder à des analyses et de s'assurer qu'aucun acte de malveillance n'avait été commis.


 http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-chateau-d-eau-visite-par-cinq-ados-le-village-prive-d-eau-23-12-2012-2430093.php

Bligny-sur-Ouche : une voiture prend feu sur l'A6

Pour une raison pour l'instant inconnue, un feu de voiture s'est déclaré ce dimanche vers 13 heures sur l'autoroute A6 dans le sens Lyon-Paris, à hauteur de Bligny-sur-Ouche. Le véhicule a été entièrement détruit par les flammes. Il n'y a pas de victime. En effet, la personne qui était au volant de la voiture a pu s'en extraire. A noter, notamment, l'intervention sur les lieux des sapeurs-pompiers de Pouilly-en-Auxois et de Beaune, ainsi que de la gendarmerie et de l'APRR. La circulation a été perturbée pendant plus d'une demie heure.

http://www.bienpublic.com/actualite/2012/12/23/a6-une-voiture-prend-feu

Six mois ferme pour avoir menacé une gendarmette

Nicolas Rigoulot se rend au à a gendarmerie de Pesmes, le 19 septembre dernier, en compagnie de sa femme.
Elle devait expliquer pourquoi elle avait prêté son véhicule à une personne qui n’était pas titulaire du permis de conduire. Alors qu’il attend sa femme, une gendarmette lui demande de s’approcher pour s’expliquer sur un dépôt d’immondices.
C’en est trop pour Nicolas Rigoulot, qui reproche aux gendarmes d’avoir verbalisé sa mère, alors qu’elle était au volant d’une voiture qui présentait de fausses plaques et qui possédait des pneus lisses.
Or la voiture était la propriété de son patron. L’homme âgé de 33 ans sort de ses gonds.
Il menace l’agent et précise qu’il ne fera aucune déclaration. Il ne s’est d’ailleurs pas présenté à son audience jeudi, au tribunal correctionnel de Vesoul.
Le procureur requiert à son encontre la peine maximale de six mois de prison ferme. Le juge Kato a suivi ses réquisitions.

  http://www.estrepublicain.fr/haute-saone/2012/12/23/six-mois-ferme-pour-avoir-menace-une-gendarmette

Ille-et-Vilaine. Meurtre de Val-d’Izé : le mari mis en examen et écroué

Un père de famille de 36 ans a été mis en examen pour meurtre sur conjoint, ce samedi après-midi, à Rennes, par un juge d’instruction. Il a été écroué.
Né en 1976, cet homme avait perdu son emploi. Avec son épouse âgée de 29 ans, il était en instance de divorce. Parents de trois enfants de 4, 8 et 10 ans, l’homme et la femme s’étaient séparés l’été dernier.
Les enfants découvrent leur mère tuée d’une balle dans la tête
On soupçonne le mari d’être venu au domicile de son épouse, jeudi matin, à Val-d’Izé, près de Vitré (Ille-et-Vilaine), et de l’avoir tuée d’une balle dans la tête.
Ce sont les enfants qui ont trouvé le corps sans vie de leur mère. Celle-ci était allongée à l’entrée de la maison.
L’autopsie a confirmé les premiers éléments de l’enquête, indiquant que la jeune femme était morte d’une blessure par arme à feu à la tête.
Le mari placé en détention provisoire
Après 48 heures de garde à vue, le mari a été déféré au parquet de Rennes ce samedi après-midi. Un juge d’instruction l’a mis en examen pour meurtre sur conjoint.
Conformément aux réquisitions du parquet, le mari a été placé en détention provisoire, sur décision du juge des libertés et de la détention.
L’homme ne reconnaît pas les faits et affirme être innocent, a-t-on précisé de source judiciaire.