jeudi 28 février 2013

Angers. Une voiture explose, deux blessés

Grosse frayeur pour les passants qui circulaient mercredi après-midi rue d’Orgemont, à Angers.
Une voiture stationnée a explosé, peu avant 18 h.
« Jamais vu ça »
Un homme de 24 ans et un garçon de 9 ans ont été transportés à l’hôpital.
Une bombe aérosol, utilisée dans la voiture, pour rénover les plastiques, serait à l’origine de cette explosion.
Sur les lieux, un pompier indique qu’il n’a « jamais vu ça ».
 

Cahors. Une famille cambriolée en plein jour

Mercredi 20 février entre 13 h 30 et 15 heures, vidée de ses occupants, la maison de la famille Assuncao a été cambriolée en plein jour. Anabela témoigne son désarroi.
Encore sous le coup de l'émotion, Anabela Assuncao a eu mercredi la désagréable surprise de constater que sa maison avait été cambriolée. Une maison sur l'avenue très fréquentée de la route de Toulouse, avenue Anatole-de Monzie. «J'étais sortie faire des courses avec ma fille. En revenant j'ai trouvé l'armoire de la salle à manger ouverte, la lumière de la salle de bain aussi. Sur le coup, j'ai pensé que mon mari où mon fils étaient passés en toute hâte pour chercher quelque chose», indique- t-elle. En ouvrant la chambre, sens dessus dessous, elle comprend sur le champ qu'il s'agit d'un cambriolage. Sa filles âgée de 12 ans est en larmes. «Savoir que quelqu'un a visité sa maison ça fait mal. Nous résidons à Cahors depuis 22 ans, c'est la première fois que ça arrive. Ils sont passé par-derrière et ont ouvert la porte qui conduisait à l'étage», confie-t-elle. «On m'a volé mon alliance, ma bague de fiançailles, des bijoux fantaisie. Le collier en or de mon fils. Ils ont aussi pris ses bonbons, du gel» déplore-t-elle. Dans le voisinage personne n' a rien remarqué de suspect, juste le fait que le chien aboyait. Un chien que le ou les voleurs ont semble t-il drogué. «Dans l'après-midi, il a vomi deux fois, il semblait endormi», souligne Anabela. La famille a porté plainte au commissariat. «Entre le 1er janvier et le 27 février, il y a eu 15 cambriolages, dont 13 dans des résidences principales, contre 11 en 2012 sur la même période»,déclare Nicolas Canouet, directeur départemental de la sécurité publique. «Sur la totalité des cambriolages, les chiffres sont à la hausse avec une série de vols dans les associations caritatives, ce qui n'existait pas avant poursuit Nicolas Canouet. La plupart sont en cours d'être élucidés» .

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/28/1571766-cahors-une-famille-cambriolee-en-plein-jour.html

Val d'Oise : une nonagénaire violemment agressée par deux cambrioleurs

Une femme de 95 ans a été violemment agressée, mercredi, par deux cambrioleurs qui se sont introduits chez elle à Bezons. Choquée et souffrant de contusions, elle a été hospitalisée.
Ils se sont fait passer pour des représentants de commerce avant d'entrer de force dans l'appartement. Une femme de 95 ans a été violemment agressée par deux cambrioleurs qui se sont introduits chez elle, mercredi matin vers 8 heures.
"Ils ont bousculé la vieille femme pour l'empêcher de crier et ont arraché des colliers qu'elle portait au cou", a précisé une source policière. Plusieurs autres bijoux auraient été volés par les malfaiteurs, qui ont pris la fuite avant que leur victime ne prévienne les voisins.
Choquée et souffrant de contusions, notamment au niveau du cou, la nonagénaire a été hospitalisée à Argenteuil.
 

Talence (33) : un homme interpellé après une quinzaine de vols dans des voitures

Même mode opératoire dans un court laps de temps : il n’en fallait pas davantage aux enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine de Pessac pour faire le rapprochement.
Les 30 et 31 décembre dernier, une quinzaine de vols à la roulotte avaient été commis dans trois parkings souterrains de résidences différentes à Talence.

Divers objets avaient été dérobés dans les habitacles. Dont des clés de moto. Le deux-roues, garés non loin avait ainsi disparu.
L’enquête des policiers et les prélèvements de police technique et scientifique ont permis d’attester la présence sur les lieux d’un Talençais de 20 ans déjà bien connu des services de police.
Interpellé la semaine passée, il a été placé en garde à vue et a reconnu les faits, indiquant avoir revendu les objets de valeur mais... s’être fait dérober la moto volée.
Il a tenu le même discours vendredi devant le tribunal correctionnel de Bordeaux qui le jugeait dans le cadre d’une procédure de comparution immédiate.
Il a été condamné à huit mois de prison dont six avec sursis et mise à l’épreuve et à un mandat de dépôt. Un sursis antérieur de quatre mois a également été révoqué ce jour-là.

http://www.sudouest.fr/2013/02/27/talence-33-un-homme-interpelle-apres-une-quinzaine-de-vols-dans-des-voitures-979469-3200.php

mercredi 27 février 2013

Agen : le sandwich lui aurait déplu, il sort le fusil

C’est parce que le sandwich était mauvais, a justifié l’Agenais qui devra s’expliquer au tribunal le 13 juin. Cela aurait suffi pour qu’il menace le patron de l’établissement, dans le quartier de la gare, avec un fusil de chasse, dimanche vers 22 heures.
Lorsque les policiers sont arrivés sur les lieux, tout le monde, sauf le patron, était déjà parti. Avec le fusil.

L’arme a été retrouvée chez un tiers, ami du convoqué au tribunal qui était présent.
Au domicile du principal intéressé, la police a trouvé des cartouches et une arme semi-automatique.

http://www.sudouest.fr/2013/02/27/faits-divers-979275-4584.php

Un incendie criminel ravage une discothèque dans le Nord

Un incendie probablement d'origine criminelle a ravagé ce mercredi matin une discothèque de Villeneuve-d'Ascq, dans le Nord. Le sinistre n'a fait aucune victime.
C'est peu avant 5 heures matin qu'une soixantaine de pompiers sont intervenus pour éteindre le feu à La Fabrik, un bâtiement de 2 800 m². Aucune victime n'est à déplorer, la discothèque étant fermée en ce début de semaine.
Selon les premiers éléments de l'enquête, une voiture bélier a été utilisée contre la façade de l'établissement, laissant à penser qu'il s'agit d'un incendie d'origine criminelle, selon une source proche du dossier. Le propriétaire Franck Duquesne, grand nom des nuits lilloises, s'est rendu sur place. Il a estimé, devant les journalistes, que quelqu'un "lui en voulait". A la mi-janvier, une autre de ses discothèques, L'Atelier, également située à Villeneuve-d'Ascq, avait été visée par un incendie.
La Fabrik, elle, avait été touchée en novembre 2010 par l'explosion d'origine criminelle d'une bonbonne de gaz, qui n'avait pas fait de blessé. Ce mercredi, l'important dégagement de fumée résultant de l'incendie a gêné la circulation et provoqué un bouchon d'environ 3 km.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/27/1571047-un-incendie-criminel-ravage-une-discotheque-dans-le-nord.html

Lacanau (33) : des fûts de produits toxiques retrouvés sur la plage

Avec les grandes marées et les tempêtes hivernales, les plages du littoral sont recouvertes de déchets. Il s'agit d'une triste « exposition » qui ne laisse pas les promeneurs insensibles. Mardi 19 février, sur la plage sud de Lacanau, un de ces promeneurs est tombé sur deux fûts contenant des produits toxiques. Selon son témoignage, un bidon fuyait. À l'intérieur, du xylenol et du dichlorotoluène.
La fiche technique de ces produits indique qu'ils peuvent provoquer des irritations de la peau, des muqueuses et être très nocifs par inhalation. Le dichlorotulène a aussi la particularité d'être un liquide combustible et pouvant être toxique pour les organismes aquatiques. Dans son témoignage, le riverain, qui a alerté « Sud Ouest », regrette le manque d'information concernant les organismes à alerter en cas de découverte. « Sur les plages affichant Pavillon bleu, il y a bien des panneaux invitant à alerter les autorités compétentes en cas de découverte d'une pollution de l'environnement. Mais qui sont ces autorités ? Qui alerter ? » écrit-il. Dans son message, ce même promeneur précise quand même avoir alerté quatre organismes, appels restés sans réponse

http://www.sudouest.fr/2013/02/26/lacanau-33-des-futs-de-produits-toxiques-retrouves-sur-la-plage-978408-2921.php

mardi 26 février 2013

Violente agression à domicile cette nuit à Grasse

Une famille a été victime d'une violent home-hacking, lundi soir, dans sa villa de Grasse.
Plusieurs malfaiteurs, visage masqué et munis d'armes de poing, les ont attaqués et frappés à coups de crosse, pour s'enfuir avec un butin qui serait très modeste.
Les victimes ont été hospitalisées.
La PJ de Nice est chargée de l'enquête.

http://www.nicematin.com/grasse/violente-agression-a-domicile-cette-nuit-a-grasse.1157873.html

Un adolescent de 14 ans meurt au collège

Un élève de 14 ans a fait une chute mortelle la semaine dernière dans son collège de Quimper, dans le Finistère, rapporte Ouest-France. L'adolescent a glissé jeudi après-midi sur une rambarde et est tombé dans la cage d'escalier depuis le quatrième étage.
Pris en charge par les pompiers, il a été hospitalisé. Mais son état s'est aggravé. Il est décédé dans la nuit de samedi à dimanche.
 

Gers : ivre, il s'engage sur la voie express... en tracteur

Vendredi, en début de soirée, les gendarmes de la brigade motorisée de L'Isle-Jourdain repèrent un drôle de véhicule sur la RN 124. Il s'agit d'un tracteur agricole, de marque Fendt, conduit par un quadragénaire domicilié à Auradé.
Les gendarmes n'ayant pas le temps de l'intercepter, il a alors été pris en charge et escorté par les deux motocyclistes de la BMO jusqu'à l'échangeur sis à Pont Peyrin. Là, le dépistage de l'alcoolémie s'est révélé positif ; 0.67 mg/l d'air expiré.

L'homme conserve son permis de conduire, mais il sera convoqué bientôt pour entendre la décision du procureur de la République à son encontre.

http://www.sudouest.fr/2013/02/25/gers-ivre-il-s-engage-sur-la-voie-express-en-tracteur-977410-2277.php

lundi 25 février 2013

L'Isle-Jourdain. Ivre et en tracteur sur la voie express

Un agriculteur gersois âgé de 48 ans a eu la mauvaise idée de boire avant de prendre son tracteur, vendredi à 18 heures. Résultat, il s'est engagé sur la voie express de L'Isle-Jourdain avec 1,34 gramme d'alcool par litre de sang. La deux fois deux voies étant évidemment interdite aux tracteurs, l'homme originaire de Auradé a été vite repéré par les gendarmes. Il a été escorté par deux motards de la brigade motorisé de L'Isle-Jourdain jusqu'à l'échangeur du Pont Peyrin, où l'alcootest s'est révélé positif. L'individu sera convoqué ultérieurement pour la décision du procureur de la République.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/25/1569030-ivre-et-en-tracteur-sur-la-voie-expresse.html

La voiture saute dans un ruisseau à Lantriac : son conducteur s’en sort indemne

Un Quinquagénaire de Polignac s’est fait une peur bleue ce dimanche sur la RD36 à la sortie de Lantriac (en direction de Laussonne). Sur la route enneigée, il a perdu le contrôle de son 4x4 qui a dévalé un ravin d’une quinzaine de mètres avant de s’immobiliser en travers du lit d’un ruisseau.

 
Le conducteur est indemne. Il a cependant dû être remonté jusqu’à la route par les sapeurs-pompiers renforcés par le Groupe d'intervention en milieu périlleux.
La chance a voulu que d’autres automobilistes soient témoins de cette sortie de route et donnent l’alerte… Là où il s’est immobilisé, le 4x4 était effectivement invisible depuis la route.


http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/02/24/la-voiture-saute-dans-un-ruisseau-a-lantriac-son-conducteur-s-en-sort-indemne

Bordeaux : des motos et scooters volontairement jetés à terre

Ce n'est pas l'effet d'un coup de vent.
Dans la nuit, des motos et scooters ont été jetés à terre cours Victor Hugo à Bordeaux. Jeu d'après boire ? Acte militant anti-deux roues ? Une enquête est en cours.

Rien que du marché parking à la place Bir-Hakeim, une dizaine de deux roues ont subi le même sort. Des dégradations incontestablement volontaires puisque les scooters ou deux roues attachés et solidement arrimés sur les béquilles centrales se retrouvent sur le flanc et ont parfois dégradé des véhicules en stationnement dans leur chute.
Une enquête est en cours
http://www.sudouest.fr/2013/02/24/bordeaux-des-motos-et-scooters-volontairement-jetes-a-terre-976392-2780.php

dimanche 24 février 2013

Fin de soirée agitée en discothèque : il mord le vigile et lui sectionne le doigt

Un jeune homme né en 1990 a été interpellé vers 4h40 dans la nuit de vendredi à samedi après une nuit très agitée dans une discothèque de la rue des Rancy dans le 3e arrondissement de Lyon.
Fortement alcoolisé, l’individu a d’abord commencé par causer des troubles à l’intérieur de l’établissement. Au moment où les vigiles ont tenté de le mettre à la porte, celui-ci a violemment mordu le responsable de la sécurité jusqu’à lui sectionner la dernière phalange d’un doigt de la main. La victime a été transportée en urgence à l’hôpital Édouard Herriot. Quant à l’agresseur, il a été placé en garde à vue en passant d’abord en cellule de dégrisement.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/02/23/lyon-il-mord-le-vigile-et-lui-sectionne-le-doigt

Sainte-Eulalie (33) : une bijouterie braquée à coup de machette

Il y a eu beaucoup d'agitation, hier, en milieu d'après-midi, dans la galerie marchande du centre commercial Grand-Tour, à Sainte-Eulalie. Deux hommes ont fait irruption dans une bijouterie et ont brisé la vitrine d'un présentoir à coups de machette pour s'emparer de plusieurs pièces exposées. Le vol s'est déroulé en quelques secondes devant le personnel et des clients du centre commercial, effrayés.
L'alerte a cependant été rapidement donnée. Les gendarmes sont arrivés très vite sur place et, grâce à la description qui leur a été fournie, ont interpellé, vers 17 h 30, l'un des deux auteurs présumés, qui s'était réfugié dans la cité des Acacias, située à proximité. Il a été aussitôt placé en garde à vue. Les recherches se sont poursuivies pour identifier et arrêter son complice.

http://www.sudouest.fr/2013/02/23/sainte-eulalie-33-une-bijouterie-braquee-a-coup-de-machette-976013-7.php

samedi 23 février 2013

3 chevaux à la phénylbutazone en France

Trois des six carcasses de cheval envoyées du Royaume-Uni vers la France et qui contenaient des traces de phénylbutazone ont été écoulées sur le marché de la viande et sont "probablement" entrées dans la chaîne alimentaire, selon le ministère de l'Agriculture.

L'alerte britannique étant intervenue trop tard, ces carcasses arrivées en janvier "avaient été transformées", a indiqué un porte-parole samedi. Les produits concernés qui pouvaient encore être retirés l'ont été mais certains avaient déjà été probablement consommés, a-t-il ajouté en soulignant que le "risque" était "mineur pour la santé".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/23/97001-20130223FILWWW00347-3-chevaux-a-la-phenylbutazone-en-france.php

Elle chasse les voleurs avec une serpillère

Hier soir, la patronne d’un bar-tabac de Corbeil-Essonnes (Essonne) a chassé deux braqueurs armés à l’aide de son balai serpillère, selon le Parisien, qui diffuse la vidéo de la scène.

Pris au dépourvus, les deux hommes ont pris la fuite, sans rien avoir pu voler. La police judiciaire d’Evry a été saisie de l’enquête


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/22/97001-20130222FILWWW00687-elle-chasse-les-voleurs-avec-une-serpillere.php

Saintes : casse à la voiture bélier au Leclerc

Les clients du grand Leclerc de Saintes, dans la zone commerciale de Parc les Coteaux, ont eu la surprise, ce vendredi matin, de voir des panneaux de contreplaqué posés à la place d'une baie vitrée, au niveau de la seconde entrée de la grande surface, et à l'intérieur de la galerie commerciale sur la devanture de l'espace technologie.
Un casse à la voiture bélier a en effet eu lieu dans la nuit, autour de 2 heures du matin. Plusieurs individus ont foncé avec un petit véhicule dans une des baies vitrées de l'entrée qui donne sur l'espace restauration du centre Leclerc. Une fois à l'intérieur, toujours avec la même voiture, ils sont rentrés dans la façade vitrée de l'espace technologie où ils ont dérobé du matériel informatique et des tablettes tactiles. Ils ont également pu rentrer au Photostore.

Le casse a été très rapide. Alertés par la société de surveillance qui gère les alarmes, les policiers sont intervenus tout de suite. Lorsqu'ils sont arrivés sur les lieux, les cambrioleurs étaient déjà repartis en abandonnant sur place le véhicule qui avait servi au casse.
La police judiciaire de La Rochelle s'est saisie de l'enquête.

 http://www.sudouest.fr/2013/02/22/saintes-casse-a-la-voiture-belier-au-leclerc-975025-1531.php

vendredi 22 février 2013

200 g d'herbe caché dans le faux plafond d'un internat scolaire

Parfois, il se cache de drôles de choses dans les faux plafonds d'un internat scolaire. En l'occurrence plus de 200 g «d'herbe» qui ont été découverts mardi par l'encadrement du lycée Gallieni, à Toulouse. La volonté d'un lycéen de se glisser dans l'internat en milieu de journée avait éveillé les soupçons. Après la découverte de la drogue, le proviseur de cet établissement réputé pour la qualité de ses enseignements a «invité» la police à venir arrêter le suspect.
Les policiers ont interpellé un garçon de 19 ans, soupçonné d'être le propriétaire des «petits» sachets d'herbe «prêt à vendre». Une quarantaine de doses qui était sans doute destinées à alimenter les amateurs de fumettes de l'établissement. Ce lycéen au physique de sportif, plutôt bien noté en terminale jure qu'il voulait les détruire pour éviter des ennuis supplémentaires. Selon ses explications, cette drogue constituait un reliquat d'une «vieille» affaire. De l'herbe que ce garçon, jugé vendredi dernier devant le tribunal correctionnel de Foix (!), voulait détruire. Mais il n'aurait pas eu le temps.
Cette version n'a pas convaincu les policiers de la brigade territoriale du Mirail qui l'ont auditionné mercredi. Ni le parquet d'ailleurs puisque hier, Ayoub a été jugé en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Toulouse après une nuit en prison. Le procureur a réclamé huit mois de détention, convaincu que ces 210 grammes ne constituait pas un reste. Bien au contraire. Bien soutenu par son avocat Me Dedieu, Ayoub a réussi à convaincre le tribunal de ne pas l'envoyer en prison, Il a été condamné à deux mois mais sans maintien en détention. Il a donc désormais 16 mois de prison à purger.En effet vendredi dernier, à Foix, ce jeune Ariégeois a écopé de 14 mois de prison pour son implication dans un trafic dont il semblait être la tête de pont. L'enquête de la police avait débuté en octobre avec la découverte par un agent d'ERDF de 6800 € cachés dans un coffret EDF (notre édition de samedi). Le lycéen va pouvoir poursuivre ses études à Toulouse mais il passera ses week-ends, et sans doute ses vacances, en prison.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/22/1567233-200-g-d-herbe-dans-le-faux-plafond.html

Saint-Etienne: spectaculaire carambolage sur la RN88, un blessé grave

Ce jeudi, vers 15h30, un accident s’est produit sur la RN88, à la sortie du tunnel du Rond-point, dans le sens Saint-Etienne/Firminy. Trois véhicules sont entrés en collision. Bilan: un blessé grave
Trois véhicules sont entrés en collision et les pompiers ont dû désincarcérer une personne, qui a été transportée sur l’hôpital Nord. Sérieusement blessée, ses jours ne sont toutefois pas en danger. Les secours ont dû dévier provisoirement la circulation, le temps de l’intervention. Conséquence: de gros bouchons se sont formés sur la RN88, mais aussi en ville, sur le chemin de la déviation.

http://www.leprogres.fr/loire/2013/02/21/saint-etienne-spectaculaire-carambolage-sur-la-rn88-un-blesse-grave

 

Lège-Cap-Ferret (33) : une villa entièrement détruite par le feu

Le moins que l'on puisse dire c'est que ce sinistre n'est pas passé inaperçu. En effet, de très nombreux habitants du sud de la presqu'île de Lège-Cap-Ferret ont été réveillés par de fortes explosions aux environs de 2 h 30 dans la nuit de mardi à mercredi.
À l'arrivée des premiers secours, la belle villa située au fond d'une impasse du lotissement Morava, à la sortie du village de La Vigne, était entièrement embrasée.

Les sapeurs-pompiers ont dû lutter pendant de longues heures contre le sinistre, afin de tenter de sauver le plus possible la villa en proie aux flammes mais aussi de protéger les habitations environnantes et la forêt toute proche.
Ainsi, des soldats du feu sont restés sur les lieux du sinistre jusqu'aux environs de 7 heures mercredi matin.
La gendarmerie a ouvert une enquête afin de déterminer les causes de cet incendie qui n'a fort heureusement fait aucune victime, son propriétaire résidant en Ile de France. De son côté, la police municipale a assuré la sécurité des lieux.

http://www.sudouest.fr/2013/02/21/une-villa-entierement-detruite-par-le-feu-973385-2733.php

jeudi 21 février 2013

Condamnée pour vol de 70.000 € à une malade

Une auxiliaire de vie a été condamnée à trois ans de prison dont 18 mois avec sursis mercredi par le tribunal correctionnel de Toulon pour avoir volé 70.000 euros à une octogénaire souffrant de la maladie d'Alzheimer, chez qui elle travaillait, en falsifiant des chèques. Cette femme de 44 ans a écopé de trois ans de prison dont 18 mois de sursis avec mise à l'épreuve de 24 mois. Le tribunal a décerné un mandat de dépôt à son encontre

http://www.lejdd.fr/Societe/Depeches/Condamnee-pour-vol-de-70-000-a-une-malade-592690

Mérignac (33) : un étudiant frappé dans un bus pour un casque

Le 14 février peu avant midi, un étudiant de Listrac-Médoc de 20 ans avait été frappé de plusieurs coups de poing au visage dans un bus de la ligne 35 à Mérignac. L'agresseur voulait en fait lui arracher son casque de baladeur numérique. S'apercevant de la situation dans un rétroviseur, le chauffeur du bus avait réussi à se garer, mais le jeune voleur en avait profité pour prendre la fuite. Bredouille.
L'enquête, confiée aux policiers de la brigade de sûreté urbaine de Mérignac n'a pas tardé à aboutir. Un Mérignacais de 19 ans a été interpellé et placé en garde à vue. Il devait être jugé hier pour vol aggravé.

http://www.sudouest.fr/2013/02/20/faits-divers-972256-4584.php

mercredi 20 février 2013

Carcassonne. Alerte à l'intoxication à la cantine du collège


Six élèves au moins se sont plaints de maux de ventre au cours du repas de lundi servi à la cantine du collège de Grazailles. L'ensemble des parents a été prévenu d'une éventuelle intoxication et des prélèvements ont été effectués hier.
Selon une élève du collège, ce sont les crêpes, ou plus précisément les pancakes, qui sentaient «bizarre» : le plastique ou le pétrole, selon les versions. En tout cas, à la fin du repas de lundi à la cantine du collège de Grazailles, plusieurs élèves, six au moins, se sont plaints de fortes douleurs au niveau de l'abdomen. Et l'incident a été pris au sérieux, au point que la direction de l'établissement a adressé un message texte par téléphone à l'ensemble des parents des 770 élèves du collège (650 repas ont été servis lundi), en leur demandant d'observer une vigilance particulière quant à l'état de santé de leurs enfants.
Hier, les services départementaux de la Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations (ex DSV) se sont rendus dans les locaux de la cantine et ont prélevé des échantillons de «plats témoins» servis la veille (des asperges, du chou, de la viande de volaille et des crêpes au chocolat), aux fins d'analyses. Les résultats seront connus d'ici la fin de la semaine.
Selon la préfecture, aucune mesure particulière n'a été prise concernant le fonctionnement de la cantine. Et pour cause : les symptômes présentés étaient d'une moindre gravité. Pour autant, les services de l'état, dans le contexte actuel, ne prennent pas l'incident à la légère. Par ailleurs, le conseil général indiquait hier soir que «des gâteaux emballés sous vide» étaient incriminés.

L'emballage, peut-être...

Les dates de péremption étaient conformes, voire très loin d'être dépassées. Quant à la fameuse odeur, selon le conseil général, elle pourrait être liée à l'emballage en question. À vérifier. Le fait est que la DDASS et le Samu, saisis dès l'instant du problème, n'ont pas considéré qu'il fallait déclencher de plan particulier quant à cette affaire.
Le collège de Grazailles est fourni en repas par la cuisine «centrale» du collège Varsovie, situé en centre ville de Carcassonne, et les plats n'y sont que réchauffés. Après vérification, aucun problème n'a été signalé dans les autres collèges de Carcassonne. Parents, élèves, enseignants… sont impatients de connaître les conclusions des analyses de la nourriture servie ce lundi. Et les raisons de ces maux de ventre soudains.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/20/1565358-carcassonne-cantine-alerte-a-l-intoxication.html

Charente : le plan Epervier déployé pour retrouver un véhicule volé

Depuis ce mardi matin, les gendarmes surveillent toutes les routes du département. Le plan Epervier a été déployé en milieu de matinée après qu'un homme a volé un 4X4, un Volkswagen Touareg, directement chez un concessionnaire.
Prétextant vouloir essayer le véhicule, l'individu s'est évaporé dans la nature au volant du 4X4.

C'est le propriétaire du garage automobile, inquiet de ne pas voir revenir ce client potentiel, qui a alerté les gendarmes. Les autorités ont décidé de ratisser large. Elles sont notamment en position au rond-point de la Trâche, à Cognac.

http://www.sudouest.fr/2013/02/19/charente-le-plan-epervier-deploye-pour-retrouver-un-vehicule-vole-971553-882.php

mardi 19 février 2013

Besançon : « Pris de panique », il fonce sur les policiers

Il n’y a pas une semaine où l’on n’enregistre pas des violences vis-à-vis des forces de l’ordre, lors d’un contrôle ou une interpellation. Dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 1 h 30 du matin, à Besançon, un automobiliste, lors d’un contrôle d’alcoolémie, a redémarré et foncé sur deux policiers qui lui barraient le passage. Identifié, l’homme a été interpellé, samedi après-midi à Pontarlier. Après avoir nié, il a fini par reconnaître l’évidence, expliquant avoir paniqué en raison d’un défaut d’assurance. Il sera jugé en comparution immédiate aujourd’hui. Cet homme de 25 ans, risque de ne pas être seul dans le box. Samedi soir, à Pontarlier, une scène identique s’est produite. À la différence près que le conducteur a été plus facile à interpeller puisqu’il a eu un accident un peu plus loin. Ce qui inquiète le plus les policiers est qu’ils n’ont pas à faire à de dangereux délinquants mais le plus souvent à des jeunes, inconnus de leurs services, et qui, fortement alcoolisés, font n’importe quoi, mettant leur vie et celle des fonctionnaires en péril.
Récemment, c’est un étudiant, qui poussait sa voiture, pneu crevé, à contresens dans une rue de Besançon qui en est venu aux mains avec les policiers qui voulaient le remettre dans le droit chemin.

http://www.leprogres.fr/jura/2013/02/19/besancon-pris-de-panique-il-fonce-sur-les-policiers

Nay (64) : les toxicomanes volaient pour payer leur stupéfiants

Le 12 février, à l’aube, sept personnes, connues pour être toxicomanes et qui commettaient de nombreux vols dans l’est du département et dans les Hautes-Pyrénées, ont été interpellées dans la région nayaise.
Ces arrestations résultent d’un long travail d’investigation effectué depuis plusieurs mois par les militaires de la communauté de brigades de Nay, du groupe d’enquête anti-cambriolages et de la brigade de recherches de Lescar. Ces enquêteurs ont reçu, pour la phase d’interpellations, l’appui d’unités spécialisées, à savoir les pelotons de surveillance et d’intervention de Pau et d’Oloron-Sainte-Marie, ainsi que des gendarmes des Hautes-Pyrénées.

C’est une organisation appelée en tiroirs qui a été démantelée. En effet, plusieurs malfaiteurs constituant une même équipe permutaient entre eux au gré des besoins. Pas de préparation, pas d’élaboration particulière, une simple virée nocturne pouvait se transformer en expédition délictueuse.
La revente d’objets volés leur permettait d’assouvir leur addiction aux stupéfiants.
Ainsi, voleurs et receleurs ont pu être mis en cause dans une dizaine de cambriolages. Parmi ces derniers, l’un faisait l’objet d’une fiche de recherche, il a été incarcéré à la maison d’arrêt de Pau. Un autre a été conduit au centre de rétention administrative d’Hendaye pour séjour irrégulier et un dernier a été incarcéré au vu de son incapacité à respecter les obligations liées au port du bracelet électronique.

http://www.sudouest.fr/2013/02/18/toxicomanes-mais-aussi-voleurs-969523-4344.php

lundi 18 février 2013

Un garçon de 8 ans chute d'un télésiège

Un garçon de 8 ans a été blessé après avoir chuté de six mètres d'un télésiège de la station du Grand-Bornand, en Haute-Savoie, a-t-on appris dimanche auprès de la gendarmerie. Le jeune garçon, qui prenait un cours de ski, était assis sur le télésiège en compagnie de son moniteur lorsqu'il a glissé sous la barrière de sécurité de l'équipement.
"Le moniteur a réussi à le retenir quelques instants à bout de bras, mais il n'a pu éviter la chute de l'enfant, qui a été réceptionné par des skieurs qui passaient en dessous", a précisé la gendarmerie. Souffrant de douleurs dorsales et abdominales, le jeune garçon a été transporté à l'hôpital d'Annecy. Ses jours ne sont toutefois pas en danger.
 

Cambriolage / Un témoin alerte la gendarmerie

Les propriétaires d'une résidence secondaire ont été victimes d'un cambriolage. Vers 20 h 30, vendredi, un véhicule suspect se gare devant la maison. Un témoin observe la scène. Il voit des inconnus descendre de la voiture et pénétrer à l'intérieur de la propriété. Il comprend tout de suite que cette situation n'est pas normale. Il relève un maximum d'indices et compose le 17, le numéro d'appel de la gendarmerie. Lorsque l'appel est parvenu au centre opérationnel de la gendarmerie, une patrouille du peloton autoroutier se trouvait à proximité et s'est immédiatement rendue sur place. Il semblerait que grâce au réflexe citoyen et au sang-froid du témoin, les malfrats soient repartis quasi bredouilles. Après avoir forcé une fenêtre à l'arrière de la demeure, ils ont juste eu le temps de fouillé quelques pièces avant de partir précipitamment. De précieux renseignements ont été communiqués aux enquêteurs qui sont sur une piste jugée très sérieuse. Les gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Quentin et la brigade de recherche enquêtent, aidés par un technicien en identification criminelle.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/cambriolage-un-temoin-alerte-la-gendarmerie

dimanche 17 février 2013

Castelnaudary. Les cambrioleurs passent leur victime à tabac

Le cambriolage a eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi au Ségala. Un jeune homme avait reçu des amis qui étaient repartis vers les 1 h 15. Il s'installe devant sa télévision et, vers 3 heures du matin, deux personnes surgissent dans son salon et lui demandent de l'argent. N'ayant aucune liquidité, les cambrioleurs ont commencé à le tabasser. Cela a duré jusqu'à 6 heures où la personne a pu s'enfuir à l'extérieur. Elle s'est cachée et les voleurs sont partis en voiture tellement vite qu'ils ont failli percuter un camion qui venait en face. La victime s'est alors mise à crier si fort qu'elle a réveillé les voisins qui sont venus aussitôt à son secours. L'un des voisins raconte : «Vers 6 h 20, j'ai entendu un hurlement, quelque chose de pas normal, ce qui m'a réveillé, je suis vite sorti ainsi que mes voisins. On l'a vu dans la rue qui chancelait en caleçon et pieds nus, le visage tuméfié. On l'a soutenu et on a appelé les pompiers et le Samu. Il a été hospitalisé à Castelnaudary». L'élément technique d'investigation criminelle et la gendarmerie sont arrivés rapidement sur les lieux qu'ils n'ont quittés que vers 16 h 30.
Le taxi des voisins garé dans la cour à côté a aussi été visité. Les cambrioleurs ont pris l'argent qui était dans le véhicule. Certains avaient remarqué, vers les 1 h 15, des mouvements suspects de deux personnes en voiture et à pied.
Samedi vers 17 heures, la victime était revenue chez elle avec un traumatisme crânien, des points de suture à la tête et des ecchymoses. Traumatisé, le jeune homme n'a pas compris ce qui lui arrivait et ne cessait de répéter : «Pourquoi moi. Je suis une personne tranquille. Ils ont voulu me couper les doigts avec un couteau. Je me suis dégagé et j'ai pu m'enfuir».
Les habitants sont aussi traumatisés et espèrent que l'enquête de la gendarmerie permettra d'arrêter rapidement ces deux tristes individus.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/17/1562929-castelnaudary-les-cambrioleurs-passent-leur-victime-a-tabac.html

Saint-Jean-de-Luz : ces pneus crevés qui leur pompent l’air

Quand il faut racheter un jeu de pneus pour la quatrième ou cinquième fois en un an, et ce sur plusieurs véhicules, il y a de quoi avoir le moral à plat. C’est pourtant ce qui est arrivé à plusieurs Luziens qui ont eu la désagréable surprise de retrouver, dès potron-minet, leurs véhicules sur les jantes.
« Même les roues de secours sont lacérées ! » fulminent les intéressés. Depuis un an, une cinquantaine de propriétaires de voitures garées dans les rues auraient été victimes d’un ou de plusieurscreveurs de pneus en série. De quoi relancer l’industrie des pneumatiques en France ? « C’est vrai qu’on remplace beaucoup de pneus ces derniers temps », confirme-t-on au garage Lamerain à l’entrée de Saint-Jean-de-Luz.

La dernière salve de crevaisons date du 24 janvier, dans les rues adjacentes aux Halles. La goutte d’eau pour plusieurs victimes qui ont décidé de monter un collectif. Les Luziens en colère ont tapé à la porte du maire cette semaine pour exprimer leur ras-le-bol et demander une aide financière.
Car si certaines assurances prennent en charge le vandalisme des pneus, d’autres refusent de payer la facture, même dans le cadre de contrats tous risques. « Et de toute façon, les assurances qui remboursent le remplacement des pneus appliquent un malus en cas de réitération des faits. Dans les deux cas, nous sommes perdants », grommelle le collectif.
Aide du CCAS
La note est salée pour certains conducteurs qui ont déboursé plus de 2 000 euros de pneumatiques en quelques mois. Les plus démunis ont été invités à pousser la porte du Centre communal d’action sociale (CCAS), qui pourrait apporter une aide financière.
Quartier des Halles, cimetière, Sagardian, Ichaca, rue Sopite, Urdazuri, etc. Le ou les auteurs des coups de lame dans les pneus sévissent de nuit mais jamais au même endroit. Et surtout de façon très irrégulière. Vengeance personnelle ? Acte gratuit ? Impossible de comprendre les motivations exactes des auteurs des coups de couteau. Dans ces conditions, il semble difficile pour les policiers de tomber sur les malfaiteurs, même si les forces de l’ordre sont beaucoup plus vigilantes ces derniers mois. « Que les habitants qui repèrent des passants suspects dans les rues au milieu de la nuit n’hésitent pas à nous contacter », prévient le commissaire Thibault Roux.
De la vidéosurveillance ?
Certaines victimes sont ulcérées par de tels actes de vandalisme. Mais à moins de posséder un garage privatif ou de prendre une carte dans un parking payant de la ville, les solutions pour lutter contre ce phénomène sont quasi inexistantes. Le collectif qui a sollicité le maire a évoqué la possibilité d’installer un dispositif de vidéosurveillance, un système qui n’a pour l’instant jamais convaincu les élus. Quand Michèle Alliot-Marie était ministre de l’Intérieur, la première adjointe avait déjà proposé des aides financières pour équiper la ville de caméras. Mais le dossier n’a jamais été validé. « C’est un système très coûteux, qui implique le recrutement d’opérateurs formés et qui doit répondre à une réelle demande. Même si je ne suis pas contre la vidéosurveillance, le niveau de délinquance au centre-ville de Saint-Jean-de-Luz ne nécessite pas forcément un tel dispositif. »
Désirée par les victimes et considérée comme une solution miracle par de nombreux élus partout en France, la vidéosurveillance n’apporte pas toujours les résultats attendus. Et à moins d’équiper toutes les rues d’une cité - chose quasi impossible financièrement -, les caméras ne font souvent que déplacer le problème. Le collectif des victimes espère simplement que le creveur de pneus en série cesse ses agissements. Ou qu’il finisse par être arrêté par la police.
http://www.sudouest.fr/2013/02/16/ces-pneus-creves-qui-leur-pompent-l-air-968035-7.php

samedi 16 février 2013

Vingt ans après sa violente agression, Me Bergon est encore traumatisé

L'avocat Me Bergon, aujourd'hui à la retraite, est encore traumatisé par une affaire qui a mis en son temps la France en émoi. Il y a vingt ans, des membres du CDCA l'avaient laissé pour mort.
Avocat d'affaires, notamment de dossiers épineux comme les saisies, le Narbonnais Me Georges Bergon possédait un excellent portefeuille. Dans les années «90», il était notamment le défenseur pour l'Aude de Cancava, la caisse de retraite des commerçants, artisans et agriculteurs. «Les cotisations étaient assez lourdes. Ils avaient alors imaginé leur propre système de couverture, que la loi n'autorisait pas. Ils ont créé le CDCA et étaient très actifs quand il fallait défendre l'un des leurs», commente Me Bergon. «Ce n'étaient pas des enfants de chœur».
En janvier 1992, requis par la caisse de retraite, Me Bergon est chargé du dossier de la maison d'un plombier narbonnais qui ne payait pas ses cotisations obligatoires. «Loin de moi l'idée à ce moment-là que tout allait basculer pour moi»…
Le 30 janvier 1992 à 19 heures, alors qu'il reçoit des clients à son cabinet et que d'autres personnes sont dans la salle d'attente, la sonnette d'entrée retentit. «Le temps d'ouvrir la porte, on m'a plaqué contre le mur, une main sur la bouche pour que je ne crie pas. Quatre hommes cagoulés m'ont neutralisé. Ils m'ont saucissonné. Ils ont mis mon bureau à sac. Je n'ai pas souvenance qu'ils m'aient parlé mais ils m'ont mis un coup de crosse sur la tête».
Et le pire est à venir. «Ils m'ont mis un sac-poubelle en plastique sur la tête. J'ai cru alors que ma dernière heure était venue. Mon cœur suffoquait».
L'action allait être signée par un groupe du CDCA. «Tout d'un coup, on m'a tout enlevé. J'ai alors vu des hommes en uniforme. C'était des policiers. Une cliente qui attendait dans la salle d'attente était partie les prévenir». Le groupe est interpellé en flagrant délit. «J'ai été libéré et toujours en vie. Mais sans l'intervention rapide des policiers, je serais mort. Pourtant je n'ai pas compris que ma vie venait de basculer. Car j'ai eu par la suite un syndrome : mon stress post-traumatique a été énorme. Pourtant j'ai cru que cela passerait rapidement».
L'affaire du plombier rebondit. «J'avais repris mon activité. Mais en 1992, la France est très agitée avec des désordres dans plusieurs activités. Personnellement, je recevais des coups de téléphone anonymes. J'ai pris peur». La procédure contre le plombier mauvais payeur se poursuit au tribunal. Mais surprise à l'audience, le plombier concède à donner un acompte substantiel. De sorte que la caisse de retraite stoppe immédiatement la vente. Dehors, un cordon de CRS empêche de passer la foule immense invitée par le CDCA à vociférer. On criait : «A mort Bergon !».

«J'étais un pestiféré»

Il appelle alors le maire, Me Hubert Mouly, pour obtenir de l'aide. «En me demandant de me mettre au vert, il m'a fragilisé. J'ai eu un problème de santé, une névrose, la peur, le stress. Une expertise médicale me met en arrêt de maladie pour trois ans». Me Bergon ne reprendra jamais son métier d'avocat. «Je pensais avoir défendu mon métier. Mais mes confrères m'ont conseillé de quitter le barreau. Ils m'ont poussé à la porte au lieu de me soutenir. Ils m'ont mis la tête au fond du seau. Pour eux, j'étais un pestiféré. Je n'ai pas trouvé de compassion mais des portes fermées». Aujourd'hui encore, Me Bergon est fatigué par cette noire affaire. «Pendant douze ans, je ne suis plus sorti. Je rasais les murs. Je vivais reclus. Aujourd'hui encore, je ne passe pas une nuit sans que cette histoire ne me revienne à l'esprit».

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/16/1561934-vingt-ans-apres-me-bergon-est-encore-traumatise.html

Un homme de 62 ans a été contrôlé par les gendarmes de Montbrison dans le centre de Saint-Just Saint-Rambert. Il conduisait sans permis depuis l'âge de 18 ans

Un homme de 62 ans a été contrôlé par les gendarmes de Montbrison dans le centre de Saint-Just Saint-Rambert. Il conduisait sans permis depuis l'âge de 18 ans

C'est au cours d'un contrôle préventif de l'alcoolémie que le sexagénaire, au volant d'un fourgon tôlé prêté par un membre de sa famille, a été pris en défaut de permis de conduire. Spontanément, il a avoué aux gendarmes qu'il n'avait jamais passé l'examen.
Il avait déjà été verbalisé pour des faits similaires il y a quelques années. Il devra répondre de ce délit devant la justice très prochainement.
http://www.leprogres.fr/loire/2013/02/15/saint-just-saint-rambert-il-conduisait-depuis-44-ans-sans-permis

Biscarrosse (40) : un professeur de sport accusé de violences aggravées

Voici un dossier sur lequel il convient pour l'heure de rester extrêmement modéré. Une enquête préliminaire portant sur des faits de violences physiques et verbales - qui auraient pu être exercées sur des élèves par un professeur d'éducation physique et sportive (EPS) du collège départemental de Biscarrosse - est actuellement suivie par le parquet de Mont-de-Marsan. Celle-ci a été ouverte dès vendredi dernier, suite à la transmission par le rectorat de Bordeaux d'une plainte d'un collectif d'une trentaine de parents d'élèves qui dénoncent d'une voix « des brimades, des humiliations et des violences », en l'espèce des gifles.
Jusqu'à présent, les investigations étaient menées dans le calme. Mais les choses ont pris une autre tournure jeudi matin avec l'arrivée dans l'établissement du directeur académique des services départementaux des Landes (ex-inspecteur d'académie), Jean-Jacques Lacombe.

Certains des parents du collectif ont été avisés par leurs protégés d'« un ramdam » particulier sur les coups de 11 heures. D'après l'un des plaignants, « ils nous disaient qu'ils subissaient trop de pression et qu'ils ne souhaitaient pas rester au collège ». À l'arrivée de l'adulte, sur les coups de 12 heures, « les cours avaient été suspendus pour la journée et les enfants étaient quadrillés dans le hall du collège ». « Nous avons tenté de les calmer mais ils se sont mis à taper sur les vitres en criant "Nous ne sommes pas des menteurs, nous ne sommes pas des menteurs !"…»
La FCPE « prudente »
Joint dans l'après-midi, le représentant local de la Fédération des conseils de parents d'élèves FCPE et élu d'opposition de Biscarrosse, Patrick Dorville, préférait se montrer « prudent ». En tant que destinataire de la pétition puis des 31 plaintes envoyées au rectorat de l'académie de Bordeaux par le collectif de parents d'élèves, ce dernier avait lui-même été entendu par les gendarmes. Alors que les éléments s'accéléraient et qu'une rencontre est prévue demain avec le directeur académique des services départementaux, ce relais de la communauté des parents des quelque 380 élèves de Biscarrosse (1) fondait cette « réserve » sur deux raisons principales. D'abord l'homme n'avait « jamais reçu d'échos dans ce sens avant ces pétitions et ces courriers ». Mais surtout, Patrick Dorville avait « du mal à créditer le contenu de ces plaintes ».
D'après nos informations, celles-ci ne concerneraient pas uniquement le professeur de sport expressément visé. D'autres accusations, certes moins graves, seraient dirigées vers plusieurs autres professeurs du collège jugés « incapables » ou « incompétents ». La direction de l'établissement ne serait pas non plus épargnée, loin s'en faut. Le collectif ne comprend pas en effet pourquoi celle-ci a continué à soutenir les enseignants en question en dépit des observations répétées de certains parents d'élèves.
« Que certains parents estiment qu'il y a un manque de considération des difficultés de leurs enfants, je peux le comprendre. Mais je ne peux évidemment pas adhérer à ces accusations graves qui visent l'ensemble de la communauté éducative, jugeait le représentant de la FCPE. Ce que je trouve d'autant plus regrettable, c'est que nous n'avons pas été informés avant, cela nous aurait sans doute permis d'anticiper cette crise », concluait-il en confiant recevoir « beaucoup d'appels de parents qui ne comprennent pas l'action qui est menée par ce collectif ».
Devant le collège départemental, seuls les deux autres professeurs de sport du collège semblaient en réalité comprendre et soutenir pleinement la plainte du collectif des parents d'élèves. Les faits dénoncés duraient, selon eux, depuis trop longtemps. Et eux-mêmes confiaient en avoir « marre de voir le défilé des parents qui venaient se plaindre ».
Deux profs avec les parents
Les « faits » dont ils font état en aparté sont accablants. Ils évoquent en effet des élèves laissés tout nus ou presque à l'extérieur des vestiaires, d'autres oubliés à la piscine ou giflés dans le car scolaire. Pour Thierry Carrère, le coordinateur de l'EPS au sein du collège, il ne faut toutefois « pas se tromper de cible ». « C'est malheureux, j'ai de la peine pour ce professeur, mais on aurait pu éviter tout ça. Les difficultés rencontrées par ce collègue avaient été signalées à différentes reprises et le problème, c'est qu'au lieu de lui venir en aide, la direction de l'établissement a préféré couvrir ses agissements. »
Hier soir, le parquet de Mont-de-Marsan a confirmé qu'une enquête pénale portant sur des violences aggravées exercées par une personne chargée d'une mission de service public avait bien été confiée vendredi au commandement de la compagnie de gendarmerie de Parentis-en-Born et que sept mineurs et leurs représentants avaient déjà été auditionnés.
À noter que le professeur d'EPS visé par ces plaintes est en arrêt maladie depuis lundi. Il est âgé de 59 ans et exerçait les mêmes fonctions il y a trois ans au collège de Parentis-en-Born.
(1) La Fédération des parents d'élèves de l'enseignement public (PEEP) n'a pas donné suite à nos sollicitations

http://www.sudouest.fr/2013/02/15/ramdam-au-colle-ge-departemental-966938-3307.php

vendredi 15 février 2013

Leynes : une fillette de 2 ans très gravement blessée dans un accident de la route

Un grave accident de la circulation s'est produit ce vendredi matin à Leynes, sur la route entre Crêches-sur-Saône et Leynes. La conductrice a perdu le contrôle de sa voiture. Si cette dernière a été légèrement blessée, la petite fille âgée de 2 ans qu'elle transportait était inconsciente à l'arrivée des sapeurs-pompiers et du SMUR. Après avoir été médicalisée sur les lieux, elle a été stabilisée avant d'être transportée par hélicoptère sur Lyon mais heureusement, selon les secours, le pronostic vital n'était pas engagé.

http://www.bienpublic.com/actualite/2013/02/15/leynes-une-fillette-de-2-ans-tres-gravement-blessee-dans-un-accident-de-la-route

Prison ferme pour le chef du clan des sept "voleurs"

Cinq hommes et deux mineurs, soit un clan des sept version «voleurs», bien loin des héros des enquêtes policières pour enfants signées Enid Blyton, s'étaient spécialisés, à Figeac, dans des cambriolages d'établissements tels un restaurant, un bar, une boulangerie, une pizzeria, un garage, un lycée…
Ce clan relativement désorganisé, que certains Figeacois surnommaient «la bande de Montviguier», en référence à leur quartier et cité d'habitation, compte dans ses rangs deux mineurs de moins de 17 ans et cinq jeunes adultes entre 20 et 25 ans.
Trois de ceux-ci comparaissaient hier au tribunal correctionnel de Cahors pour des faits de cambriolages, tentatives de vols et recel (pour l'un d'eux) commis durant l'été 2009. L'examen des responsabilités des deux mineurs relève de la compétence du juge des enfants.
Le chef du groupe comparaissait quant à lui sous escorte. Il est en effet détenu pour d'autres faits. Le butin de la bande se composait essentiellement de téléviseurs, de matériel informatique, des consoles de jeux et parfois de caisses enregistreuses.
Surpris par un riverain le clan n'avait parfois guère d'autres recours que la fuite à toutes jambes ou en voiture. Mais ces jeunes récidivaient quelques jours plus tard.
Le mode opératoire a été détaillé par Béatrice Alemendros, présidente du tribunal : «Vous aviez un chauffeur, un guetteur et vous opériez toujours à l'aide d'un pied-de-biche bleu. Des traces ont été retrouvées en divers endroits où l'on vous reproche des vols ou des tentatives», signale-t-elle en s'adressant au chef de bande.
Celui-ci réfute sa participation aux seize cambriolages imputés. Il en reconnaît cinq.
Autre élément de l'enquête : «des emballages vides ont été découverts dans un squat de la cité Montviguier. Une cave», indique la présidente. Le leader a écopé d'une peine de sept mois de prison ferme, le chauffeur du clan s'en sort avec une peine de six mois de prison avec sursis, les deux absents jugés par défaut devront passer cinq et trois mois derrière les barreaux.
Enfin le receleur présumé devra s'acquitter de 45 jours d'amendes à 10 €.
La lecture des aventures plus flatteuses du clan des sept (le vrai) n'a pas été requise, ni ordonnée à l'encontre des prévenus.
Une saine lecture pourtant où les jeunes figurent toujours du bon côté de la barre.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/15/1561658-prison-ferme-pour-le-chef-du-clan-des-sept-voleurs.html

Vézénobres : une famille piégée par un permis de construire en pleine zone rouge

Une famille réclame 220 000 € à la municipalité de Vézénobres pour avoir ignoré le Plan de prévention du risque inondation. Le permis a été accordé en août 2008 et la famille emménage en janvier 2010. Mais le couple ne tarde pas à apprendre que la construction de leur maison aurait apparemment dû être interdite par la municipalité.
C’est une vaste et superbe maison contemporaine qu’un couple de Vézénobres d’une trentaine d’années - le mari est chef d’entreprise - s’est fait construire presque au bout du chemin de la Piole. Le quartier est situé dans la partie basse de la commune et est bordé par un ruisseau d’une apparence inoffensive extrêmement trompeuse.
Sinon, à quoi bon acheter
La maison elle-même est posée sur un terrain de 4 500 m2 acheté à cet effet à une conseillère municipale de Vézénobres. L’acquisition du terrain était suspendue, comme dans de nombreux compromis de vente, à la délivrance du permis de construire. Sinon, à quoi bon acheter. Le permis est accordé en août 2008 et le couple emménage avec ses trois enfants dès que la maison est terminée, en janvier 2010.
Presque tout son terrain est situé en zone d’aléas forts
Début 2011, la maman, Myriam, voit par le plus grand des hasards un géomètre qui fait des relevés près de son portail. Elle va au-devant de lui et s’aperçoit, abasourdie, dans les documents qu’il lui montre, que presque tout son terrain est situé en zone d’aléas forts du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du Gardon amont, c’est-à-dire qu’il est soumis au risque inondation maximum et que toute construction d’habitation y est interdite en raison du danger.
Dans la foulée, elle découvre que sa demeure, à l’exception d’un petit bout, est aussi située dans la zone rouge, ce qui lui fera perdre une grande partie de sa valeur, idem pour les 4 500 m2 du terrain, le jour où la propriété sera vendue.
"On a le sentiment de s’être fait avoir"
Myriam, la propriétaire

Plus surprenant : le couple ne tarde pas à apprendre que le permis de construire, qui leur a été délivré le 5 août 2008, est postérieur au PPRI Gardon amont (approuvé le 3 juillet 2008) selon lequel la construction de leur maison aurait apparemment dû être interdite par la municipalité de Vézénobres. "On est tombé des nues et on a vraiment le sentiment de s’être fait avoir. Je tremble chaque fois qu’il pleut beaucoup. On a posé une alarme pour être réveillés la nuit, en cas de soudaine montée des eaux.
On ne comprend pas que la mairie n’ait pas tenu compte du nouveau PPRI qui lui avait été adressé par la préfecture, un mois avant, et qu’elle nous ait quand même délivré un permis de construire, sachant que nous n’aurions jamais acheté ce terrain si elle avait fait son travail en disant que la construction posait problème. Elle a fait comme si elle n’avait jamais entendu parler du nouveau PPRI, à l’élaboration duquel elle a pourtant été associée et c’est pour ça qu’on a décidé de se retourner contre elle", explique Myriam.

http://www.midilibre.fr/2013/02/14/une-famille-piegee-par-un-permis-de-construire-en-pleine-zone-rouge,644554.php

Lot-et-Garonne : interpellé après le home-jacking

Un homme est actuellement entendu à la brigade de gendarmerie de Laroque-Timbaut dans le cadre de l’enquête sur un home-jacking commis dans la nuit de mardi à mercredi dans une maison située dans le quartier Pech de Mozac, sur la commune de Castelculier.
Un vol commis à l’insu du couple de propriétaires de cette habitation, pendant leur sommeil, au cours de laquelle une voiture BMW X3, ainsi que d’autres objets ont été volés. Pour s’introduire à l’intérieur de la maison, le ou les auteurs ont forcé un volet puis fouillé un moment avant de trouver les clefs de la BMW et repartir à son bord. Le bruit de l’effraction n’a pas perturbé le sommeil des victimes qui ont découvert le vol et l’ampleur du préjudice vers 6 heures hier alors que l’habitant s’apprêtait à partir au travail.

Rapidement, le signalement du véhicule dérobé était lancé et vers 11 h 30 hier matin, un plan Épervier était déclenché : la voiture recherchée venait d’être repérée dans le Néracais. Ce dispositif, appuyé par un hélicoptère, s’avérait fructueux puisque les militaires du peloton de surveillance et d’intervention appréhendaient un individu au volant de cette voiture, aux alentours de 13 heures, sur la commune de Lavardac.
Course avec une voiture volée
Celui-là, né en 1994 et domicilié à Lyon, connu pour des infractions commises ailleurs qu’en Lot-et-Garonne, a immédiatement été placé en garde à vue. Il aurait indiqué, lors de ses premières auditions ne pas être l’auteur du home-jacking. Il est donc entendu pour l’instant dans le cadre du recel de vol.
Après son arrestation, les militaires ont maintenu en vain le plan Épervier afin d’interpeller le conducteur d’une voiture volée, avec lequel le Lyonnais venait de faire une course de voitures un peu plus tôt. Son complice peut-être…

http://www.sudouest.fr/2013/02/14/interpelle-apres-le-home-jacking-966060-3741.php

jeudi 14 février 2013

Castelsarrasin. Il s'endort au volant de son camion et traverse l'A62

Ce matin vers 9 h 15, un chauffeur poids lourd qui roulait en direction de Toulouse sur l'autoroute A62, s'est vraisemblablement assoupi au volant. Son poids lourd qui venait approvisionner le centre Leclerc de Castelsarrasin a, dès lors, débuté une impressionnante embardée. Le camion arrachant plus de 50 mètres de barrières métalliques situés sur l'îlot central de l'A 62.

La circulation perturbée

Le chauffeur âgé de 20 ans terminait alors sa manœuvre dans le sens opposé de circulation de l'autoroute. Fort heureusement aucun autre véhicule n'arrivait en sens inverse. Aussitôt, une dizaine de sapeurs pompiers castelsarrasinois, sous la houlette du capitaine Bernard Chauderon, se sont portés sur les lieux pour lui prodiguer les premiers secours. Les agents de l'ASF fermaient les deux voies sans arrêter pour autant la circulation. Le trafic étant transférée sur la bande d'arrêt d'urgence. Légèrement blessé, le chauffeur poids lourd a été transféré au centre hospitalier de Moissac.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/14/1560588-castelsarrasin-il-s-endort-au-volant-de-son-camion-et-traverse-l-a62.html

Roche-la-Molière: une conductrice de bus agressée par trois individus

Cette ligne de transport, Firminy/Saint-Jean-Bonnefonds, est opérée par les transports Flouret de Roche-La-Molière. L'agression s'est produite à Roche-La-Molière au niveau de l'arrêt de bus La Varenne. Trois jeunes gens, vraisemblablement, sous l'emprise de l'alcool, importunaient des usagers. Une dispute aurait éclaté et un bouteille aurait été jetée, brisant une glace. C'est au moment où la conductrice a pris son téléphone pour alerter son entreprise qu'elle a été prise à partie. Ils ont tenté de lui arracher son téléphone et l'ont ensuite jetée au sol avant de lui assainir un coup de pied violent.
Les trois individus en cause, deux hommes et une femme, ont été interpellés quelques minutes plus tard par les policiers de la BAC et placés en garde à vue. La victime souffre notamment de douleurs à une jambe ainsi qu'à un bras. Ses collègues des transports Flouret attendent une réponse judiciaire ferme avant d’engager ou non d'un mouvement de protestation. L'entreprise assure une trentaine de liaisons sur le réseau de la STAS et compte une petite quarantaine de chauffeurs

http://www.leprogres.fr/loire/2013/02/13/roche-la-moliere-une-conductrice-de-la-stas-agressee

Barbezieux (16) : l'alpaga fugueur est rentré à la maison

Branle-bas de combat, mardi après-midi, sur la route départementale de Barbezieux à Jonzac. A la sortie de Barbezieux-Saint-Hilaire, au lieu-dit Xandeville, errait un jeune alpaga (l'alpaga est plus petit que le lama, ndlr).
Totalement pris de panique, il courait dans tous les sens. Les sapeurs-pompiers ont été appelés à la rescousse. De même les gendarmes de la communauté de brigade locale sont intervenus pour régler la circulation.
Finalement, c'est son maître, Bernard Hourdeau, qui a pu lui repasser le licol : "Je connais sa gourmandise. Et dans ces cas-là, elle peut servir".
Du coup, au bout de quarante minutes, Jeff est rentré chez lui.
Jeff est un ado, en fait. Agé de deux ans, il n'a pas fini sa croissance. Il ne sera adulte que vers trois ans. Jeff a du mal à se contenter de la grande prairie qui lui est dévolue. "Et surtout, il a envie de jouer. Il a besoin de compagnie. L'autre jour, quand il a vu son image dans la véranda, il était fou de joie".
Du coup, Bernard Hourdeau, a pris une décision : "Je vois bien qu'il n'a pas envie de rester seul. Avec Michel Moulinier, mon voisin, nous partons ce matin, mercredi, acheter un mouton. Et je sais qu'il n'y aura plus de problème".
Bernard Hourdeau connaît bien les alpagas. "Jacques", son congénère qui l'a précédé dans l'enclos, a vécu vingt ans à Xandeville. Jeff pourra, maintenant, partager ses jeux.
http://www.sudouest.fr/2013/02/13/barbezieux-16-l-alpaga-fugueur-est-rentre-a-la-maison-965537-1179.php

mercredi 13 février 2013

Gironde : cinq colis mystérieux envoyés par des opposants à Notre-Dame-des-Landes

L'affaire est prise très au sérieux par le préfet de la Gironde, Michel Delpuech. Il a été le destinataire dans la nuit de lundi à mardi d'un colis contenant de vieux boulons oxydés d'un pylône électrique, accompagnés d'une lettre de soutien « aux inculpé(e) s de Notre-Dame-des-Landes ». Outre le représentant de l'État, les sous-préfectures d'Arcachon, de Langon et de Libourne, ainsi que le siège de « Sud Ouest », ont été destinataires d'envois similaires.
Le projet de Notre-Dame-des-Landes, qui prévoit le transfert de l'actuel aéroport de Nantes sur ce nouveau site à l'horizon 2017, suscite une vive opposition de la part de certains partis politiques comme Europe Écologie-Les Verts, le Parti de gauche ou le Modem. Il est soutenu, en revanche, par l'État, les collectivités locales, le PS et l'UMP.

Régulièrement, les opposants n'hésitent pas à mener des actions spectaculaires tandis que, sur place, le terrain est toujours occupé par plusieurs dizaines de contestataires. Un collectif de lutte a par ailleurs créé un blog, et une association citoyenne intercommunale des populations concernées a vu le jour et mène un combat sans relâche contre le projet.
Dans la nuit de lundi à mardi, entre minuit et 2 heures du matin, un ou plusieurs individus ont donc rendu visite au préfet de la Gironde en déposant au pied de l'immeuble du quartier Mériadeck, en plein cœur de Bordeaux, le fameux colis avec la missive de soutien et de « solidarité ».
Le texte précise : « Nddl, THT, LGV, les ZAD (1) sont partout. » Et : « La situation risque d'être grave, car si l'on peut protéger les centrales nucléaires par des barbelés et éventuellement des pelotons de CRS, ce n'est pas le cas des pylônes. » Ce ou ces mêmes personnes se sont également rendues dans trois sous-préfectures et quai des Queyries à Bordeaux, devant notre journal, où une enveloppe a été jetée sur le seuil de la porte à 0 h 35.
« Cela fait penser à Tarnac »
Le procureur de la République a été alerté sur ces faits en début de matinée et, en raison de la nature des menaces, a aussitôt saisi la Direction interrégionale de la police judiciaire. Des techniciens du Service régional de l'identité judiciaire ont examiné les boulons et les courriers, à la recherche de traces et d'indices. Mais ces pièces à conviction étaient déjà passées entre plusieurs mains, et il sera sans doute difficile aux policiers d'exploiter un élément. Des bandes vidéo ont aussi été saisies.
Cette action concertée des opposants à Notre-Dame-des-Landes n'est pas sans rappeler celle menée, un dimanche après-midi du mois de décembre dernier, par un petit groupe qui avait fait le siège du péage autoroutier de Saint-Selve, sur l'A 62, aux portes de Bordeaux. Quelques individus avaient distribué des tracts et ouvert les barrières aux usagers avant que la gendarmerie n'intervienne. Mais à l'arrivée des forces de l'ordre, les manifestants s'étaient évaporés dans la nature.
« Cela fait penser au village de Tarnac, en Corrèze, où de jeunes militants de l'ultra-gauche étaient soupçonnés, en 2008, d'être à l'origine de sabotages sur les lignes SNCF », commente un fonctionnaire du renseignement intérieur.
Hier, tandis que les investigations débutaient à Bordeaux, une trentaine d'opposants au projet manifestaient, dénudés, devant le palais de justice de Saint-Nazaire pour soutenir deux des leurs, poursuivis pour s'être promenés nus près des gendarmes lors d'une intervention sur le site en novembre 2012.
(1) NDDL : Notre-Dame-des-Landes ; THT : très haute tension ; LGV : ligne à grande vitesse ; ZAD : zone d'aménagement différé.

http://www.sudouest.fr/2013/02/13/cinq-colis-mysterieux-965145-7.php

Ségolène Royal poursuivie pour "séquestration" par un paparazzo

Le paparazzo Jean-Claude Elfassi s’est trouvé une nouvelle cible en la personne de Ségolène Royal. Celui-ci a porté plainte pour « séquestration » et « dénonciation d’une infraction imaginaire » à l’encontre de la présidente de la Région Poitou-Charentes. Le photographe assure que Ségolène Royal est à l’origine de son expulsion de l’Ile Maurice en décembre dernier où la socialiste passait quelques jours de vacances.
Jean-Claude Elfassi explique dans sa plainte que l’élue l’a pris à partie sur une plage, lui reprochant de n’être là que pour la prendre en photo avec son téléphone portable.
Le paparazzo assure qu’il était lui aussi en vacances en famille sur l’Ile Maurice, et que son téléphone ne contenait aucun cliché de Ségolène Royal. Mais selon lui, l’ancienne candidate à la Présidentielle est allée plus loin et Elfassi a été interpellé puis expulsé avec sa compagne et ses trois enfants.
« Mon client a été traité comme un vulgaire voyou alors qu'il était en vacances. A son arrivée à Paris, il a été accueilli par des policiers qui lui ont posé une multitude de questions », explique l’un des conseillers du paparazzo.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/13/1559992-segolene-royal-poursuivie-pour-sequestration-par-un-paparazzo.html

Le fonctionnaire monnayait des titres de séjours : trois ans ferme


L'homme a été reconnu coupable de "corruption passive" et avait été révoqué de son statut de fonctionnaire en 2011. Il a été condamné à cinq ans de prison, dont deux ans avec sursis et 25 000 euros d'amende.
De 2008 à 2010, alors qu'il était fonctionnaire du bureau d'immigration de la préfecture de la Loire, il avait monnayé plusieurs dizaines de titres de séjour d'une durée d'un an à dix ans, en échange de sommes allant de 1 000 à 3 000 euros.

Rejetant les motivations d'ordre humanitaire qui avaient été avancées par le prévenu, lequel avait par ailleurs eu des relations sexuelles avec deux bénéficiaires de faux titres de séjour, le représentant du parquet avait requis une peine conforme au jugement prononcé.
Son avocat a expliqué que "cet homme aujourd'hui âgé de 54 ans était alors en proie à une sévère dépression, ainsi qu'à une addiction au jeu et à l'alcool".
Quatre autres personnes, originaires d'Afrique et de Turquie, présentés comme des rabatteurs, ont été condamnées à des peines de prison avec sursis et à des amendes.
Deux autres prévenues de "corruptions active", dont Awa Feindouno, l'épouse d'un ancien joueur franco-guinéen de l'AS Saint-Etienne (L1), seront par ailleurs jugées le mois prochain dans le cadre d'un second volet de cette affaire de faux titres de séjour.

http://www.sudouest.fr/2013/02/12/le-fonctionnaire-monnayait-des-titres-de-sejours-trois-ans-ferme-964606-4697.php

mardi 12 février 2013

Fleurance. Une sexagénaire agressée à son domicile

Samedi en fin de soirée un individu est entré dans une maison d'habitation à étage, en passant par une cours intérieure au 79 rue des Quatre Consuls Il était cagoulé et avec des gants .Il a pris à partie la locataire des lieux,une sexagénaire . Il lui a pris avec force les poignets et lui a demandé de lui remettre de l'argent et des bijoux. Celle ci lui a répondu qu'elle n'avait pas d'argent il a alors fouillé dans son à main et pris 40€ et les bijoux qu'elle avait hérité de la famille (chaines,colliers, bagues broches)puis il est tranquillement parti.»sur le moment je n'ai pas eu peur, mais c'est ensuite que je me suis mise à trembler et les gendarmes ont appelé un médecin pour me calmer»dit elle encore toute émue.C'est dans ce même quartier que dans la nuit suivante les pneus des voitures ont été crevés.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/12/1558907-fleurance-une-sexagenaire-agressee-a-son-domicile.html

Part-Dieu : le suspect écroué et toujours le mystère de la femme coupée en deux

Une silhouette malingre, courbé comme un jonc sous le poids d’un crime hors norme : Nabil Ferjami, 26 ans, a été déféré hier au palais de justice de Lyon. Il a été mis en examen et écroué pour meurtre. Ce Franco-Tunisien sans emploi est seul suspect dans la mort de Tellya Sebih, pâtissière en alternance, disparue depuis dix jours de la résidence « habitat jeunes », située rue Maurice-Flandin, derrière la gare de la Part-Dieu à Lyon 3e.
Après des déclarations floues et fluctuantes, il a fini par avouer avoir tué la jeune femme. Elle habitait dans l’appartement 226. Il logeait au 326. Il dit être descendu d’un étage pour frapper à sa porte, dans la nuit du 30 au 31 janvier. Il avoue l’avoir battue. Il parle de coups de poing et de pied. Sans pour autant expliquer les motifs de cette soudaine furie. Pas plus qu’il ne détaille les actes mortels. Les premiers constats médico-légaux laissent penser que la malheureuse a été très violemment frappée à la tête. Des plaies peuvent laisser supposer quelques coups de couteau. Il faudra attendre les résultats de l’autopsie pour combler des zones d’ombre. Mystérieux sur ses motivations, taiseux sur la scène de meurtre, Nabil Ferjami a néanmoins indiqué sa façon de se débarrasser du corps, dans des conditions sordides : il a coupé les jambes de sa victime et transporté en plusieurs fois la dépouille dans des sacs poubelles. Ce que confirment des images vidéos et des badges d’ouverture de portes. Dimanche soir vers 20 h, au bout de sa garde à vue, probablement acculé par une série d’indices confondants, il a conduit les enquêteurs de la brigade criminelle dans un passage piéton, entre les rues Flandin et Gabillot, jusqu’à l’arrière d’un immeuble, à quelque 500 mètres de la résidence. Derrière un bosquet, il avait sommairement camouflé sa victime, sous quelques centimètres de terre. Dans un scénario de « la femme coupée en deux » que n’aurait osé imaginer Chabrol. Dans les fragments de son discours criminel, Ferjami a parlé de vodka, en laissant planer une acre fumée de cannabis sur le déroulement exact de la soirée fatidique. Il évoque une bagarre dans la résidence, un peu plus tôt. Il dit avoir voulu séparer les protagonistes. Ce que confirment des locataires qui ont entendu cris et sirène d’alarme, le soir du crime. « Je ne suis pas quelqu’un de violent même si c’est horrible ce qui s’est passé » a-t-il déclaré hier aux magistrats, ajoutant : « ça m’a anéanti, ça anéantit ma famille, j’ai enlevé la vie à quelqu’un. » Puis, dans un curieux dédoublement, il a lâché : «Ce soir-là ce n’était pas le Nabil que je connais, Nabil n’était pas là. » « Il faudra chercher à comprendre dans l’opacité du passage à l’acte ce vertige étrange qui peut métamorphoser un homme » confie Jean-François Barre, son avocat. Dans son ordonnance, le juge Pierre Goudard a noté la possibilité « d’une dangerosité plus structurelle » pour justifier une détention préventive.

http://www.leprogres.fr/faits-divers/2013/02/12/le-meurtrier-presume-ecroue-et-les-mysteres-de-la-femme-coupee-en-deux

Naujan-et-Postiac (33) : Happé par sa machine

C'est sa nièce, inquiète, qui a donné l'alerte samedi en fin d'après-midi. Son oncle viticulteur de 53 ans était parti faire de la pré-taille sur une parcelle de vignes à Naujac-et-Postiac. Mais il semble avoir rencontré un problème mécanique.
Selon les premières constatations des gendarmes partis à sa recherche, il serait intervenu sur une machine encore en marche. Sa manche aurait été happée par la machine qui aurait ensuite aspiré tout son corps. Il était décédé à l'arrivée des secours.

Une autopsie à été ordonnée par le parquet pour mieux cerner les circonstances du drame

http://www.sudouest.fr/2013/02/10/naujan-et-postiac-33-happe-par-sa-machine-962444-3019.php

lundi 11 février 2013

Air France assignée après une blague d'un pilote sur le roi du Maroc

Certains passagers d'un vol reliant Casablanca à Paris début décembre sont en colère après la plaisanterie du commandant de bord au sujet de Mohammed VI. Ils ont assigné la compagnie Air France en justice.
C'est une plaisanterie qui va se régler devant le tribunal. La compagnie Air France est assignée en référé à Bobigny après une petite phrase d'un de ses pilotes sur le roi du Maroc. Le rendez-vous est fixé au 25 février, précise RTL ce lundi.

C'était le 5 décembre dernier lors du vol AF 2497 Casablanca-Paris. Alors que l'avion s'apprête à décoller, le commandant de bord informe les passagers qu'il y aura du retard. L'appareil ne peut décoller tout de suite du fait de la présence sur la piste de l'avion du Roi du Maroc. Et le pilote d'encourager les passagers mécontents à "s'adresser directement à Mohammed VI, Palais Royal, Rabat".
"Un incident isolé"
Humour ? Maladresse ? La phrase fâche en tout cas certains passagers qui décident de se réunir dans un collectif, le
collectif AF2497. Dans une lettre de protestation adressée début décembre au PDG d'Air France Alexandre de Juniac et visant le pilote, ils évoquent une "atteinte à la dignité du Roi du Maroc et celle de tous les Marocains par sa moquerie et ses injures clairement discriminantes pour ne pas dire racistes (...) sa négligence de la sécurité de tous les voyageurs."

Dans sa réponse, Air France regrette cet "incident isolé". Mais malgré les excuses de la compagnie et la convocation du pilote auprès de sa hiérarchie, le collectif est déterminé à obtenir les copies des bandes audios du cockpit au décollage. A suivre

Violent choc frontal en Meuse : un blessé

La départementale 113, reliant Doulcon à Sassey-sur-Meuse a été complètement coupée à la circulation, ce dimanche, aux alentours de 16 h, en raison d’un violent accident.
Un agent de Voies Navigables de France âgé de de 48 ans circulait dans le sens Doulcon-Sassey, quand il a vu arriver un véhicule en face, qui s’est déporté sur son côté de la chaussée. « Il a freiné autant qu’il pouvait mais n’a pas pu l’éviter », souligne sur place, un collègue qui a pu lui parler. L’agent VNF, bien que choqué, est indemne.
Le conducteur d’en face, un habitant de Dun-sur-Meuse de 46 ans, a été médicalisé sur place par le SAMU. Avant d’être transporté au Centre hospitalier de Verdun pour y subir plusieurs examens. Ses jours n’étaient pas en danger. On ne connaît pas encore la cause de l’accident.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/02/10/choc-frontal-a-doulcon

Cognac-Barbezieux: neuf retraits de permis à l'issue de la nuit

On avait pourtant prévenu... Les gendarmes seraient de sortie dans la nuit de samedi à dimanche, surtout à la sortie des boîtes de nuit.
Bilan ce dimanche matin, sur la compagnie de Cognac: une quinzaine de conducteurs en infraction (alcool et produits stupéfiants) au cours de la nuit écoulée.

Les gendarmes ont retiré neuf permis. Le "gros de l'activité" a été réalisé à Saint-Laurent de Cognac, entre 4 heures et 6 heures du matin. Ici, tous à tour, trois conducteurs, tous âgés de 20 ans, conduisaient sous l'empire d'un état alcoolique et étaient positifs aux stupéfiants. Ils avaient tous des passagers. Les prises de sang détermineront la nature des produits stupéfiants consommés. Leur permis a été retiré. Les autres infractions, relevées en Cognaçais et Barbezilien, concernent l'alcool avec des taux oscillant entre 0,6 g/l et 1,4 g/l.

http://www.sudouest.fr/2013/02/09/un-reseau-avec-une-forte-puissance-de-feu-961047-2780.php

dimanche 10 février 2013

Blagnac. Un loto en faveur de Lucas

L'association «Un espoir pour Lucas», organise un loto ce dimanche 10 février 2013 à 14 heures, l'ouverture des portes à 13 heures dans le chapiteau des Ramiers à Blagnac (chapiteau chauffé). Christelle sa maman explique : «Ce loto a pour but de financer les traitements (en Espagne et aux Etats-Unis) de Lucas, âgé de 6 ans et demi, qui souffre de diverses pathologies, suite à une hémorragie cérébrale à la naissance.
Le début du traitement a commencé il y a deux ans et maintenant Lucas a fait de gros progrès, il tient mieux sa tête, a renforcé la musculature de tout son corps et peut maintenant se déplacer sur une '' flèche'' qui lui permet d'être maintenu debout et de marcher seul dans la maison (avec l'aide d'un adulte pour se diriger)».
Et d'ajouter, «l'association compte sur un nombreux public pour aider à financer matériels spécifiques, voyages et soins à Barcelone et Miami et remercie tous les bénévoles pour la réalisation de ce loto».
Information : http://unespoirpourlucas.blogs.fr

http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/10/1557257-blagnac-un-loto-en-faveur-de-lucas.html
http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/10/1557257-blagnac-un-loto-en-faveur-de-lucas.html

Meurtre d’une Bressane en Malaisie : la famille veut enfin la vérité

Irène Mortel, Joël et Vanessa Foray avaient déjà vécu le pire en 2011. La disparition angoissante de leur fille et de leur sœur là-bas, en Malaisie, à 10 000 kilomètres de la France. Les mois d’attente à guetter un signe, à espérer au moindre coup de fil, ou à désespérer, à se laisser envahir par un mauvais pressentiment. Jusqu’à ce maudit 8 août où Omar Asni avait conduit la police jusqu’au corps de Stéphanie, enterré dans une grotte.
Mais ce n’était que le début du cauchemar. En mai 2012, un an après la disparition, ils partaient au Pahang, le plus grand État de la Malaisie, pour assister au procès du meurtrier présumé de Stéphanie. Sans se douter que leur calvaire ne faisait que commencer, au gré d’une procédure interminable. « On nous avait parlé d’une quinzaine de jours », raconte Vanessa, la grande sœur de Stéphanie. Mais dix mois après, le procès dure encore à cause d’une procédure « à l’américaine ».
D’emblée, le procès est repoussé de trois jours. Puis Omar Asni est amené. « Il rigolait avec les policiers. Puis il s’est assis avec sa famille, se souvient Irène Mortel, la mère. Moi en tant que témoin, je n’avais pas le droit d’entrer. » La juge est seule pour examiner cette affaire criminelle entre deux cas mineurs de petite délinquance. Deux, trois heures par jour, le meurtre est débattu, puis l’affaire est renvoyée au lendemain, ou au mois d’après. « Parfois, l’audience est ajournée à cause d’une fête, d’un torticolis de la juge », ajoute la mère de Stéphanie. Le procès s’étire en longueur sans même qu’Asni ne soit interrogé.
Car la juge n’a pas encore décidé le début du « vrai » procès. Les trois procureurs et les trois avocats de l’accusé n’ont entendu que quinze témoins sur la trentaine a priori.
Et chacun, policier, médecin légiste, chimiste, est mis sur le grill par la défense. Car curieusement, certaines preuves ont été détériorées par une inondation du commissariat. Alors les avocats contestent tout, jusqu’à l’absurde : ce ne serait pas le corps et les vêtements de Stéphanie selon eux. Au photographe de la scène de crime, on demande par exemple combien de policiers étaient sur place. « À moi on m’a demandé la marque des vêtements de ma fille alors que je les avais parfaitement identifiés ou de citer de mémoire des passages entiers des lettres qu’elle m’écrivait », se souvient Irène Mortel.
« Pour identifier Stéphanie, on a prélevé notre ADN. Les avocats ont demandé au médecin si nous avions bu du café ou fumé avant, pour faire annuler les tests ! Tout est fait pour créer un doute », se désole Vanessa.
Depuis dix mois, la famille de Stéphanie n’a pas pu retourner en Malaisie. Elle suit ce « procès » à distance, dans la crainte que le meurtre reste impuni.
« Son meurtrier lui a pris sa jeunesse, sa beauté, un bel avenir professionnel, une vie de famille, ses rêves, sa vie tout entière, explique Vanessa. Mais elle demeurera dans nos cœurs éternellement. Nous nous battons et continuerons aussi longtemps qu’il le faudra afin que justice soit faite. »

http://www.leprogres.fr/faits-divers/2013/02/10/meurtre-d-une-bressane-en-malaisie-la-famille-veut-enfin-la-verite