lundi 30 décembre 2013

Accident de ski de Michael Schumacher : le parquet ouvre une enquête

Toujours plongé dans le coma, Michael Schumacher, qui souffre d'un traumatisme crânien grave, est "dans une situation critique", selon le CHU de Grenoble. Victime d'un accident de ski dimanche à Méribel, l'ancien pilote de Formule 1 a été opéré et se trouve en réanimation. Une enquête a été ouverte.

Au lendemain de son accident de ski, Michael Schumacher est toujours plongé dans un coma artificiel au Centre hospitalier universitaire de Grenoble. La famille de l'ancien champion de F1 a tenu à remercier le personnel médical ainsi que "les gens dans le monde entier qui ont exprimé leur sympathie et envoyé leurs meilleurs vœux pour le rétablissement de Michael". Les anciens et actuels pilotes ainsi que des personnalités comme Angela Merkel ont rapidement réagi à la terrible nouvelle.
L'accident. En vacances avec sa famille dans la station de Méribel, Michael Schumacher était parti faire du ski avec son fils de 14 ans, dimanche en fin de matinée, lorsqu'il a chuté, sa tête heurtant un rocher malgré le port d'un casque qui a explosé. Les secours sont rapidement intervenus sur une portion jugée hors piste, mais qui se trouverait à la jonction entre deux pistes balisées. L'ancien champion de F1 était alors "conscient mais un peu agité". Il a été héliporté vers l'hôpital de Moutiers avant de rejoindre le CHU de Grenoble vers 12h40, l'un des tout meilleurs services neurologiques en France. Schumi souffrait à son arrivée d'un traumatisme crânien avec coma. Cela a nécessité une intervention neurochirurgicale. Dimanche soir, lors de la première communication de l'hôpital et du service de presse de l'ancien sportif, l'état de santé de l'Allemand était jugé "critique". Sa femme et leurs deux enfants sont à ses côtés. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Méribel sur les circonstances de son accident, mais le directeur de la station a expliqué que Schumacher "connaissait parfaitement bien les pistes".
Pronostic vital engagé selon les médecins.Lors d'un point presse au CHU de Grenoble lundi en fin de matinée, médecins et chirurgiens ont précisé l'état de santé de l'ancien champion de Formule 1 dans le coma suite à un accident de ski dimanche à Méribel. Ces derniers ont indiqué qu'ils ne pouvaient se prononcer sur le "devenir de Michael Schumacher" dont le pronostic vital est engagé.
Selon les médecins, il est arrivé avec un traumatisme cranien grave et "son état s'est rapidement dégradé". Les examens ont montré une "hypertension intracranienne" et l'opération qu'il a subie a permis "d'évacuer les oedèmes". Mais le chirurgien a indiqué que "malheureusement ils avaient constaté l'apparition "d'hémorragie diffuse bilatérale. L'ancien champion est actuellement dans le coma, en hypothermie et "tous les traitements sont mis en oeuvre". L'équipe médicale, qui a répété à plusieurs reprises que l'homme était dans une situation critique, a refusé de s'engager davantage sur un pronostic et indiqué "travailler heure par heure".  
 
Une enquete ouverte. Le parquet d'Albertville (Savoie) a annoncé l'ouverture d'une enquête sur les "circonstances et les causes de l'accident de ski". Les premiers éléments ont confirmé que le choc avait eu lieu sur "une zone hors-piste" sur laquelle des rochers sont parfois en partie enfouis sous la neige. "La présence, le rôle ou l'action d'un tiers ne serait pas mis en cause", a indiqué le parquet. L'enquête confiée au Peloton de gendarmerie de haute montagne de Bourg-Saint-Maurice et aux gendarmes de Méribel "ne sera pas clôturée avant plusieurs jours".

Des fans et des personnalités en nombre pour le soutenir. Dès dimanche soir, les fans, casquette Ferrari vissée sur la tête, se sont pressés devant l'entrée de l'établissement protégé par des policiers. L'ancien pilote français Olivier Panis, résidant dans les environs, s'est également rendu au CHU de Grenoble pour prendre des nouvelles de son ancien rival et ami. A sa sortie, il s'est dit inquiet de l'état du Baron Rouge. Un peu plus tôt, le neurologue et ancien responsable du service orthopédique de l'hôpital La Pitié-Salpêtrière, Pierre Saillant, était également arrivé à Grenoble, faisant enfler la rumeur d'un état de santé beaucoup plus inquiétant de la légende de la F1. Les deux hommes s'étaient rencontrés en 1999 après le violent accident en course dont avait été victime Schumacher et qui l'avait tenu éloigné des pistes durant trois mois en raison d'une double fracture tibia-péroné. Son proche ami Jean Todt, ancien mentor chez Ferrari, ainsi que Ross Brawn, son ancien ingénieur avec lequel il remporta ses titres mondiaux chez Benetton et Ferrari, sont également arrivés à Grenoble dans la soirée.
Le soutien du monde de la F1. Longtemps, Schumacher a suscité toutes les émotions. Adulé par les uns, détesté par les autres pour son outrageante domination durant de longues années et des manœuvres en course parfois à la limite, l'homme fait l'unanimité sur Twitter depuis dimanche et les messages d'espoir se multiplient. Sur Twitter, au milieu des fans de Schumi, les anciens et actuels pilotes n'ont pas tardé à faire eux-aussi part de leur inquiétude et à prier pour la survie du mythe. Surnommé "Baby Schumacher" et ogre actuel des circuits, le quadruple champion du monde Sebastian Vettel s'est dit "choqué". "J'espère qu'il va aller mieux le plus vite possible, a confié l'Allemand à l'agence SID. "Je prie pour que Dieu te protège, mon frère. Je te souhaite un prompt rétablissement Michael !", a écrit Felipe Massa, accompagné d'une photo des deux hommes sur un podium alors coéquipiers chez Ferrari. Son frère Ralf Schumacher, également ancien pilote, n'a pas communiqué, mais son site Internet affiche un écran totalement noir.
 

dimanche 29 décembre 2013

Marseille : braquage d'une boutique de téléphonie

Une boutique de téléphonie, située à proximité d'un grand centre commercial à Marseille, a été braquée dans la journée de samedi. Trois hommes sont toujours en fuite.

Les faits se sont déroulés samedi à Marseille dans une boutique SFR proche du centre commercial de La Valentine dans le 11e arrondissement. Trois malfaiteurs, cagoulés et munis et d'une arme longue ont fait irruption dans cette boutique où se trouvaient 3 clients et 4 employés.

Les malfrats ont ensuite rempli des sacs de téléphones en exposition, avant de prendre de la fuite. Leur véhicule, identifié comme volé, a été retrouvé plus tard, incendié, dans une traverse du quartier. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Marseille.
Un magasin d'articles de coiffure à proximité immédiate de cette boutique avait été également victime d'un braquage voici quelques semaines. Le 12 décembre dernier, un autre magasin SFR avait été attaqué dans le 12e arrondissement de la ville, un acte avec lequel les enquêteurs font le rapprochement.
 

samedi 28 décembre 2013

Saint-Maur : la boulangère chasse son braqueur à coups de balai

Elle a fait preuve d’un courage qui frise l’inconscience. Une employée de la boulangerie Le Petit Duc, à Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne), ne s’est pas laissée impressionner par un malfaiteur venu la boutique, ce samedi après-midi. Bien au contraire : elle a réussi à faire fuir son agresseur en lui assénant plusieurs coups de balai.

 La scène s’est déroulée peu après 15h30. Les images de la vidéosurveillance du magasin montrent un homme vêtu tout de noir entrer dans la boulangerie et sortir immédiatement un revolver argenté. Il braque son arme sur la vendeuse qui, dans un premier temps, recule vers l’arrière-boutique. Mais, alors que le malfaiteur s’emploie à fracturer une caisse automatique, à laquelle les vendeurs eux-mêmes n’ont pas accès, la commerçante surgit un balai à la main.

Surpris, le
recule et se dirige vers la porte vitrée par laquelle il est entré. Mais celle-ci ne s’ouvre que depuis l’extérieur. Il se retourne et fait de nouveau face à la boulangère. Un duel de quelques secondes s’engage alors, au duquel le malfaiteur est maladroitement atteint par le balai. Après avoir une nouvelle fois pointé son arme sur la commerçante, il essaie encore de sortir mais n’y parvient toujours pas. C’est alors qu’il donne plusieurs coups de crosse aux portes-vitrées, les faisant voler en éclat.

Ultime épisode de cette scène surréaliste : un commerçant voisin déboule, une matraque télescopique à la main. Cette intervention achèvera de faire perdre ses moyens au malfaiteur, qui prend la fuite pour de bon. Le braqueur est reparti bredouille de son expédition.
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/saint-maur-la-boulangere-chasse-son-braqueur-a-coups-de-balai-28-12-2013-3446077.php

Castelnau : suicide sur les voies, trains bloqués

Il s'agit d'une personne de sexe féminin décédée sur le coup. 
Selon les premiers éléments de l'enquête il s'agirait d'un suicide. Ce matin peu après 9 h, une personne de sexe féminin se serait allongée sur les voies à quelques mètres du passage à niveau menant sur l'avenue Marcel Dassaut à Castelnau-le-Lez, au moment même où arrivait le TER Marseille-Montpellier.
Cette dame, dont l'identité n'a pas été encore révélée, est morte sur le coup. La circulation ferroviaire, quant à elle, a été interrompue, dans les deux sens, durant près d'une heure et demie.


http://www.midilibre.fr/2013/12/28/castelnau-suicide-sur-les-voies-trains-bloques,802101.php
  

vendredi 27 décembre 2013

Drogue. Deux jeunes séquestrés et molestés au Guilvinec

Un jeune homme et une jeune fille de 14 ans ont été menacés, séquestrés et frappés, par des dealers au Guilvinec (Finistère). Cinq personnes ont été arrêtées.
Les faits se déroulent courant décembre au Guilvinec, près de Pont-l’Abbé. Un jeune homme d’une vingtaine d’années est redevable d’une dette de stupéfiants de quelques centaines d’euros. Trois mineurs, âgés de 15 à 17 ans et un autre homme vont alors se charger de lui mettre la pression en le séquestrant et en le frappant à plusieurs reprises dans une maison.
La cousine de la victime, une jeune fille de 14 ans va elle aussi être séquestrée et frappée. Les gendarmes ont procédé, jeudi matin, à l’interpellation des trois mineurs et de la mère de l’un d’entre eux.
Une information judiciaire pour séquestration et violence avec arme a été ouverte par le parquet de Quimper.

http://www.ouest-france.fr/tele-fifi-trouve-lamour-dans-le-pre-1821821

dimanche 15 décembre 2013

Dun-sur-Meuse : une employée d’Intermarché braquée

Ce samedi soir, vers 19 h, à la fermeture du magasin Intermarché à Dun-sur-Meuse, une employée de 31 ans a été agressée par deux hommes, encagoulés dont un armé d’un revolver.
Ils lui ont dérobé son sac qui contenait la caisse du jour : environ mille euros.
La brigade de recherches de Verdun mène actuellement les investigations pour retrouver les auteurs.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/12/15/dun-une-employee-d-intermarche-braquee

Gaillac. Il se fait doubler en achetant de la cocaïne

C’est vrai qu’il a eu du mal à aller déposer plainte pour vol auprès des gendarmes de Gaillac. Le jeune homme, qui a reçu quelques coups, venait de se faire gruger de 250 € qu’il destinait à un éventuel achat de cocaïne. C’était le 19 mai 2012, à la sortie d’une discothèque. La victime a alors demandé à un groupe s’il avait de la cocaïne. Pas de problème, répondent les individus qui conduisent le jeune homme à un distributeur où il retire 250 € en espèces avant de se rendre chez un pseudo-fournisseur absent. L’affaire se terminera au bord du Tarn où le jeune homme sera pris à partie et délesté de la somme. Jeudi, au tribunal correctionnel d’Albi, Emmanuel G, 24 ans, 9 condamnations au casier pour des violences et conduite sans permis en récidive, a tenté d’expliquer qu’il n’était pour rien dans l’embrouille. Il était poursuivi pour vol avec violence en récidive.
«Je n’ai rien à voir avec ce vol, explique le prévenu, je l’ai rencontré avec sa copine à la discothèque avec mon frère et mon beau-frère. J’ai voulu les séparer lorsqu’il y a eu l’embrouille, j’ai frappé avant qu’il ne me frappe !». «Et l’argent ? «lui demande la présidente. «Je suis parti, je ne l’ai pas», rétorque Emmanuel. «Votre version ne correspond pas à celle de la victime !»
«C’est un habitué de nos audiences, lâche le procureur de la République. Il lui a cassé le nez, il n’était pas seul, c’est vrai mais il faut qu’il calme sa violence. Les violences oui, le vol, pas sûr…», lance-t-il en refusant toute confusion de peine et en demandant une peine de 6 mois avec sursis, avec obligation d’effectuer un travail d’intérêt général (TIG) de 210 heures. Pour Me Frédéric Albarède, «il a fallu trois auditions de la victime pour approcher un peu la réalité des faits. Le vol ne peut être caractérisé dans ce dossier, il faut s’en tenir aux violences». Le tribunal a tranché et condamné le prévenu à 6 mois de prison. 

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/15/1775513-gaillac-il-se-fait-doubler-en-achetant-de-la-cocaine.html

vendredi 13 décembre 2013

Le corps d'un nouveau-né trouvé dans une déchetterie

Macabre découverte vendredi à Châteauroux dans l'Indre. Des personnes en charge du tri ont découvert le corps d'un nouveau-né.

Le corps d'un nouveau-né a été découvert vendredi matin sur le tapis de tri d'une déchetterie de la banlieue de Châteauroux, a annoncé Michel Georjon, élu de Châteauroux en charge du secteur du traitement des ordures. Le corps de l'enfant est apparu au milieu des papiers et cartons qui arrivaient sur le tapis de tri de la déchetterie du Poinçonnet (Indre).
On ignorait encore vendredi en début d'après-midi s'il s'agissait d'un garçon ou d'une fille. Le lot dans lequel le corps a été découvert vers 9H30 vendredi matin faisait partie des ordures ramassées mercredi, mais il était impossible de localiser le lieu exact de leur collecte, a indiqué M. Georjon. La découverte a eu lieu au moment où un groupe de lycéens visitait la déchetterie.
Les pompiers et le Samu ont mis en place une cellule de soutien psychologique. Le procureur de la République s'est rendu sur place. Une autopsie du corps de l'enfant va être pratiquée dans le cadre de l'enquête de police.
 

mercredi 11 décembre 2013

Accident à la chaîne suite à un malaise

Une automobiliste de 69 ans, a eu un malaise cardiaque grave au volant de sa voiture à Sars-Poteries dans le Nord, rapporte la Voix du Nord. Elle a perdu le contrôle de son véhicule et a provoqué une série de collision, en quittant a chaussée pour aller percuter une poubelle, une clôture ainsi qu’un véhicule en stationnement. Malgré les efforts des riverains, dont un médecin, la dame a succombé à son accident cardiaque, malgré l'intervention du SAMU et des pompiers.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Accident-a-la-chaine-suite-a-un-malaise-643436

mardi 10 décembre 2013

Castres. Guerre froide déclarée chez les chauffeurs de taxi

Depuis février 2013, une tension s’est installée entre les deux associations castraises de chauffeurs de taxi. Des mesquineries perturbent la profession, surtout les jours où le Castres olympique reçoit des adversaires anglo-saxons.
La concurrence se veut déloyale chez les chauffeurs de taxi de Castres depuis quelques mois. Une succession d’attitudes sournoises et de gestes fourbes a fini par irriter les trois professionnels regroupés au sein de l’association Allô Taxis Castres, créée en février dernier. Vendredi, dans la matinée, une feuille de platane a été intentionnellement scotchée, à plus de 2 mètres du sol, sur le numéro de téléphone de la permanence d’Allô Taxis Castres inscrit sous le panneau de la station de taxis, quai des Jacobins. «Ainsi, aucun client ne peut nous joindre, précise Laurent Savignol, un des trois chauffeurs de l’association. Ce genre de comportement arrive de plus en plus fréquemment, surtout les jours de grand match du Castres olympique, quand des Anglo-saxons viennent à Castres ! Comme lors du match contre Northampton, où, déjà, notre numéro a été caché avec du papier ou même du chatterton, c’est insupportable !»

Câbles de lumineux sectionnés

Jusqu’en février 2013, la ville abritait la seule Association des taxis de Castres, regroupant une douzaine de professionnels. «Mais nous étions trois chauffeurs à ne pas vouloir fonctionner comme les autres. On faisait du médical, on travaillait en soutien avec des ambulanciers et des taxis extérieurs à Castres. Tout cela ne plaisait guère», ajoute Laurent Savignol.
De... guerre lasse, les trois taxis ont démissionné et fondé une deuxième structure. La création d’Allô Taxis Castres, visiblement, a encore dérangé dans le métier. «Dans la nuit de jeudi à vendredi dernier, un collègue a eu les câbles de son lumineux sectionnés sur sa voiture garée devant son domicile. Voilà pourquoi nous sommes de plus en plus en colère !»

On compte sur la vidéo surveillance

Président de l’Association des taxis de Castres, Augustin Garcia désapprouve aussi ces actes de malveillance. Il précise : «Je pense que tout cela n’est pas trop normal. C’est du même ordre que lorsque l’on peint des radars ! Effectivement, les trois chauffeurs ont quitté notre association car les statuts et notre façon de travailler ne leur convenaient pas. Pourtant, nous étions tous logés à la même enseigne… Autrefois, il est arrivé que notre numéro soit caché ; parfois, des plaisantins nous faisaient déplacer pour rien ! On est tous là pour gagner notre croûte, on se partage le travail. Moi, je ne suis fâché avec personne. De toute façon, une caméra vidéo est implantée près du quai des Jacobins, il est donc possible de savoir par qui et comment sont commis ces actes.»

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/10/1771434-castres-guerre-froide-declaree-chez-les-chauffeurs-de-taxi.html

Saint-Etienne : l’homme disparu retrouvé mort à Montaud

Dominique Ravel a été retrouvé lundi matin vers 11h30 au pied d’un immeuble actuellement en chantier boulevard Albert 1er, quartier de Montaud à Saint-Etienne. Un examen de corps doit être pratiqué à l’institut médico-légal de Saint-Etienne et permettra de connaître peut-être l'origine du décès. Dans l'immédiat, deux hypothèses sont évoquées, le suicide ou la chute accidentelle.
Pour mémoire, vendredi 6 décembre, Dominique Ravel, 53 ans, avait quitté à 16 heures l’hôpital de jour de Bellevue pour rejoindre avec le tramway le quartier d’Armeville à Saint-Etienne où il était domicilié.


http://www.leprogres.fr/loire/2013/12/09/saint-etienne-l-homme-disparu-retrouve-mort-a-montaud

lundi 9 décembre 2013

Drancy: des montres volées dans un braquage

Une centaine de montres ont été volées lors d'un braquage dans un centre commercial de Drancy (Seine-Saint-Denis), pour un préjudice de 10.000 euros, a-t-on appris lundi de source proche de l'enquête.
Les deux braqueurs ont agi dimanche vers 10h30, alors que les boutiques du centre commercial étaient ouvertes, a-t-on précisé, confirmant une information du Parisien. "L'un avait une bombe lacrymogène et l'autre une arme de poing, réelle ou factice", a ajouté cette source.Le service départemental de la police judiciaire a été chargé du dossier.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Drancy-des-montres-volees-dans-un-braquage-642950

dimanche 8 décembre 2013

Flora Coquerel, Miss Orléanais 2013-2014, candidate au titre de Miss France 2014

Nancy : Incendies criminels : sept gardés à vue

Très agitée, la nuit de vendredi à samedi, à Maxéville. Un feu de poubelles au sein d’un local technique au 21, rue Vayringe, vers 1 h 30. L’agression au couteau (des estafilades) d’une personne par trois hommes et une femme, un quart d’heure plus tard, à hauteur du 44 bis de la même rue. Avant le point d’orgue peu après 2 h, avec l’incendie criminel d’un garage semi sous-terrain, au 53 bis, rue Lafayette. Le feu s’est déclaré dans le garage H2 de la résidence « Les Cadières ». « Je venais d’arriver et les pompiers étaient déjà à l’œuvre. Ils m’ont interdit d’entrer chez moi durant l’intervention », explique Eddy, un résidant. « C’est la première fois qu’un tel acte se produit. C’était plutôt tranquille, ici ». Locataire au 3e étage, Danielle a vu les flammes et la fumée qui léchaient la façade. Au 1er niveau, juste au-dessus de l’appentis qui prolonge le parking souterrain, les volets ont fondu. Et le toit de l’appentis s’est effondré sur les véhicules stationnés en dessous.
« Les pompiers ont conseillé de ne pas ouvrir nos fenêtres de ce côté-ci de la façade. Il y a encore une odeur de fumée dans mon logement », déclarait hier matin Danielle, en promenant son chien. Abderrahmane qui occupe un appartement au 1er étage avec sa femme et leurs quatre enfants, a dû quitter précipitamment les lieux avec toute sa famille. « On a été réveillés par des craquements puis les pompiers sonnaient à toutes les portes de l’immeuble ». Dehors en pleine nuit et dans le froid avec femme et enfants, le père de famille a été momentanément accueilli par une voisine. Les pompiers ont travaillé jusqu’au moins 5 h afin de s’assurer qu’aucun point chaud ne persistait dans le parking totalement sinistré. Le temps de s’assurer également qu’aucune victime n’était à déplorer dans les appartements dans les cas où personne n’avait répondu lors du porte à porte des secours. En l’absence des locataires, les pompiers devaient entrer par effraction afin de lever le doute d’une potentielle asphyxie provoquée par les fumées toxiques. Très réactive, la police procédait, dans l’heure, à l’interpellation de sept suspects (6 hommes et une femme), susceptibles d’être impliqués à la fois dans le feu de poubelle, l’agression au couteau et l’incendie du parking. Âgés de 13 à 18 ans, les sept ont été placés en garde à vue. Une détention prolongée hier, le temps pour les policiers de décanter les responsabilités et les motivations de chacun lors de cette violente chevauchée nocturne.

http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2013/12/08/incendies-criminels-sept-gardes-a-vue

samedi 7 décembre 2013

Braquage d'un magasin de jouets Toys"R"Us par des hommes armés

Un magasin de jouets Toys"R"Us à Thiais, dans le Val-de-Marne, a été braqué samedi en début de soirée par trois ou quatre personnes armées.
Un magasin de jouets Toys"R"Us à Thiais (Val-de-Marne) a été braqué samedi en début de soirée par trois ou quatre personnes armées, qui se sont emparées de 18.000 euros avant de prendre la fuite. Vers 18H10, les braqueurs ont pénétré dans le magasin situé dans le centre commercial Belle-Epine de Thais, cagoulés et armés de deux fusils mitrailleurs et d'un fusil à pompe. L'enseigne était apparemment très fréquentée en ce samedi soir, à trois semaines de Noël. 

Au cours du braquage, les malfaiteurs ont menacé le personnel, frappé deux employés avec la crosse de leurs armes et ont fait usage de bombes lacrymogènes, selon une source policière. Ils ont ensuite dérobé le contenu du coffre, soit environ 18.000 euros, avant de prendre la fuite à bord d'une berline compacte par l'A86.  Une enquête a été confiée à la police judiciaire du Val-de-Marne, a précisé la préfecture. 
 

vendredi 6 décembre 2013

Les dealers s’en prennent au père de leur client

Les trois Laonnois n’ont pu se faire rétribuer le cannabis qu’ils avaient vendu au fils, ils s’en sont donc pris au père.
Lorsque les deux mineurs de 16 ans et le jeune homme de 18 ans réclament leur dû à leur « client », mardi 26 novembre, ce dernier prend la poudre d’escampette. Les trois jeunes gens se rendent donc à son domicile, rue des Cordeliers, dans le haut de Laon, où ils se font passer pour lui.

Ils l’agressent par trois fois

C’est ainsi qu’ils s’introduisent chez lui, réclament ce qu’on leur doit et finissent par gifler, bousculer le père de leur créancier et lui voler la somme de 600 euros.
Les agresseurs ne s’en tiennent pas là puisqu’ils reviennent deux jours plus tard pour le violenter de nouveau, avant une ultime visite le lendemain. Cette fois-ci, ils ne se contentent plus de le bousculer mais lui assènent des coups de bâton. Tant et si bien que la victime sera hospitalisée.
Le cinquantenaire ne portera plainte que quelques jours plus tard, le lundi 2 décembre. Les policiers iront chercher les Laonnois chez eux. Ce n’est qu’au bout de deux jours de garde à vue que ces derniers reconnaîtront, à moitié, les faits.

Comparution
au mois de février

Le jeune homme de 18 ans comparaîtra finalement au mois de février devant le tribunal. Quant aux deux mineurs, mis en examen et sous contrôle judiciaire, ils ont été placés en centre éducatif fermé en attendant d’être jugés.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/les-dealers-s-en-prennent-au-pere-de-leur-client-ia0b0n262490

Sabotage des freins : le crime aurait pu être parfait

L’an prochain, probablement après le mois de septembre, la cour d’assises de la Moselle verra s’asseoir dans le box des accusés un homme portant le costume avec aisance. Hier matin, au tribunal de Metz, sa cravate foncée accentue un air sérieux à peine trahi par des baskets et une démarche un peu raide. Cet homme, aux cheveux courts et aux lunettes fines, est élégant. Il choisit ses mots avec habileté. « Ça ne fait qu’accentuer le trouble autour de ce dossier criminel assez incroyable », confie un magistrat. Pas seulement parce qu’une des victimes est une juge du tribunal de grande instance de Strasbourg.
En janvier 2012, la juge de l’application des peines quitte son domicile et monte dans son véhicule personnel. Il vient d’être révisé mais un voyant lumineux lui signale un problème sur le système de freinage. Elle roule prudemment. Quand elle en a besoin, ses freins ne répondent pas. Elle utilise son frein à main et parvient à s’arrêter sans encombre.
Le garagiste découvre des flexibles de freins sectionnés proprement. Un sabotage en règle aboutissant à une plainte.

Les enquêteurs ont mis la main sur un plan quasi militaire

La magistrate parle aux enquêteurs de la sûreté départementale du Bas-Rhin d’un incident arrivé quelques semaines plus tôt. Quand elle a remarqué un individu en train de la suivre. Un homme qu’elle connaît pour avoir suivi son contrôle judiciaire. Elle a révoqué, en 2011, quelques mois de sursis qui ont envoyé cet informaticien derrière les barreaux.
Les policiers l’ont interpellé en février 2012. Et trouvé, chez lui, des détails sérieux. Effrayants pour sa victime, probablement. Là, des photos d’elle lors d’une audience à huis clos. Ici, un document décrivant un plan d’action quasi militaire pour se venger de sa cible. Le numéro de la plaque d’immatriculation de la juge, une description des systèmes de freinage des voitures, le suspect n’a rien négligé. Sur un bout de papier, il est annoté : « Ne pas cracher, ne pas laisser de mégots… » Des conseils avisés pour éviter d’être identifié en cas d’investigations policières. Le pense-bête du parfait criminel.

Une assistante sociale visée également

Les enquêteurs font également le lien avec une forme de harcèlement qui a touché un membre du service pénitentiaire d’insertion et de probation. Une femme, encore. Après des problèmes relationnels rencontrés avec le mis en cause durant son passage en prison, l’assistante sociale a retrouvé plusieurs fois sa boîte aux lettres saccagée. Pour les policiers, ces actes vicieux sont signés.
Un faisceau d’éléments que le suspect réfute depuis les premiers instants de sa garde à vue. Mis en examen pour tentative de meurtre en février 2012, le quinquagénaire se trouve derrière les barreaux. Il a été récemment renvoyé devant la cour d’assises du Bas-Rhin.
La cour d’appel de Colmar a jugé préférable néanmoins que le dossier soit dépaysé, et jugé en dehors de l’Alsace. D’où son arrivée en Moselle. Hier, l’accusé a demandé sa remise en liberté devant la chambre de l’instruction messine. Il a une nouvelle fois prétendu être totalement étranger à cette histoire. Il est reparti comme il était arrivé : les menottes aux poignets.
http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2013/12/06/sabotage-des-freins-le-crime-aurait-pu-etre-parfait

jeudi 5 décembre 2013

Biterrois : un blessé grave sur la route d'Agde après une collision

Un grave accident de la circulation a eu lieu ce jeudi matin sur la route d'Agde. Une personne a été héliportée vers Lapeyronie. Elle souffrirait d'un important traumatisme crânien.
Ce jeudi matin, vers 8 h, un accident de la circulation a eu lieu sur la RD 13 sur la commune de Bessan. Deux voitures se sont percutées et les deux conducteurs ont été blessés. L'un d'eux, souffrant notamment d'un grave traumatisme crânien, a été évacué vers Lapeyronie via le Dragon34.
3 km de ralentissement


A la suite de cet accident, la circulation a été fermée sur cet axe routier et une déviation a été mise en place vers Vias. Au total pas moins de 3 km de ralentissement ont été constatés. Il faut dire que sur place de gros moyens matériels ont été engagés, notamment des ambulances et un camion de désincarcération des victimes. 

http://www.midilibre.fr/2013/12/05/bessan-un-blesse-grave-ce-matin-sur-la-route-d-agde,792876.php

Carcassonne. À 63 ans, il bat sa mère de 82 ans

L’homme a tenté à plusieurs reprises de minimiser son geste. Mais le tribunal n’a pas cru à ses explications et a condamné René H. à un an de prison ferme.
L’affaire n’est pas banale en raison de l’âge du prévenu, 63 ans, et des faits qui lui sont reprochés : de violences sur sa mère âgée, quant à elle, de 82 ans. René H. sort de sa cellule de la maison d’arrêt de Carcassonne pour comparaître, hier après-midi, devant le tribunal correctionnel. La présidente Noëlle Asselain rappelle les faits mais auparavant elle se penche sur le casier judiciaire de René H. Sur celui-ci, quatre condamnations : une pour proxénétisme, deux autres pour violences sur conjoint ou concubin et une quatrième pour extorsion de fonds avec violence. Il y a quelques mois, René H. bénéficie, de la part du juge d’application des peines de Brest, d’une liberté conditionnelle. Il est placé sous bracelet électronique mais loin, très loin de chez lui à Carcassonne chez sa mère. Une mère qu’il n’a pas vue depuis des années et qui vit avec l’un de ses frères, Paul, âgé d’une cinquantaine d’années. Le climat de la maison est particulièrement tendu, ambiance délétère car René H. agressif s’en prend régulièrement à sa mère.

Sur fond d'alcool

Le 23 octobre dernier, il boit plus que de raison avec son frère Paul. Quand la présidente lui demande de raconter cette soirée, René H. se perd dans des souvenirs d’une enfance malheureuse minimisant son implication. «Je ne vous demande pas de dissertation psychologique», lui lance la présidente, René H.persiste. «Ce n’est pas non plus une séance de psychanalyse, rétorque-t-elle. C’est la confusion. Dans la soirée René ou Paul aurait été particulièrement agressif pour récupérer chez leur mère une bouteille de porto.Mais c’est le lendemain que René H. violent. Alors que le juge d’application des peines de Carcassonne lui permet de retourner sur Brest, comme le souhaitait René H. celui dégoupille quand il apprend que son frère lui a emprunté sa voiture. Il fait une véritable scène à sa mère et l’aurait même frappée selon les déclarations de celle-ci et d’un autre frère avec qui elle était au téléphone. «Je récuse tous ces propos, c’est la quatrième dimension», lance René H au tribunal. C’est le frère au bout du fil qui alertera les policiers. Pour le procureur de la République les faits sont constitués, alcoolisé René H tente de minimiser ses actes pourtant un certificat médical lassera bien apparaître des traces de coups, des menaces de mort auraient même été proférées. Il demandera douze mois de prison ferme. Pour son défenseur, il n’y a aucun témoin direct de cette scène et évoquera la haine entre la mère et le fils. Après délibérations le tribunal a relaxé partiellement René H. pour la soirée du 23 octobre mais l’a condamné à douze mois de prison pour la journée du 24 octobre, jour où il a frappé sa mère.

«condamnez-moi Madame le juge»

Scène surréaliste quand un autre prévenu qui devait comparaître avec un complice pour vol a demandé à être condamné à un, deux voire trois mois pour éviter le renvoi de l’affaire. Mais voilà, la présidente l’a demandé pour permettre une expertise médicale du complice, absent des débats. «C’est assez rare qu’un prévenu demande à être condamné et que le tribunal lui refuse,» a confié la présidente. L’affaire a bien été renvoyée. Le prévenu est reparti en prison pour finir de purger une autre peine.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/05/1768336-carcassonne-63-ans-bat-mere-82-ans.html
Un incendie s’est déclaré hier, peu après 17 heures, dans la cuisine du restaurant l’Entrecôte, 15 boulevard de Strasbourg, dans le centre-ville de Toulouse. Une friteuse serait à l’origine du sinistre. Les sapeurs-pompiers sont intervenus sur place et ont maîtrisé le début de feu. Le restaurant est resté fermé hier soir mais il accueillera ses clients dès aujourd’hui. Les dégâts n’étaient pas importants.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/05/1768353-feu-de-friteuse-au-restaurant-l-entrecote.html

Béziers : le pneu éclate, le poids lourds se renverse sur l'A9

La circulation est très perturbée en direction de l'Espagne et difficile vers Montpellier à la suite d'un accident de la circulation. Un camion immatriculé au Portugal a traversé toutes les voies mais aussi le terre-plein central, avant de s'immobiliser sur la voie d'en face. Il n'y a pas de blessé.
On en sait un peu plus des circonstances de l'accident de circulation qui a quasiment paralysé  l'A9 en direction de l'Espagne. Il semble que l'éclatement d'un pneu du tracteur de l'ensemble routier a provoqué la perte de contrôle du chauffeur. Vers 18 h 30, ce véhicule qui circulait dans le sens Espagne France a quitté sa voie de circulation, a traversé le terre-plein central et s'est couché sur la voie opposée sans que le conducteur ne puisse rien faire.
Un drame évité de justesse


Par chance, une voiture qui arrivait face à lui a eu le temps de s'arrêter sans toucher le camion. Trois personnes étaient à bord, elles ont été effrayées par ce qu'elles venaient de vivre et prises en charge par les pompiers. Le poids-lourd, immatriculé au Portugal transportait des colis de meubles qu'il a éparpillé sur toutes les voies. Résultat la circulation ne se fait plus que sur deux voies en direction de Montpellier.
Plus de 3 km de bouchon
Néanmoins  sur la voie nord, un gros bouchon de plus de 3 km s'est formé dans le sens France Espagne. Les gendarmes tentent de délester l'A9 en faisant passer les voitures engagées sur la voie d'arrêt d'urgence.
Quitter l'autoroute
Les ASF, de leur côté, conseillent aux automobilistes qui circulent en direction de l'Espagne de sortir à Béziers Cabrials pour prendre le barreau de La Devèze et de reprendre l'autoroute à Béziers-Ouest direction Narbonne afin d'éviter le bouchon. La plus grande prudence est demandée aux automobilistes qui remonte vers Montpellier à cause des objets éparpillés sur la route et des hommes qui sont au travail en train de tout nettoyer. 

http://www.midilibre.fr/2013/12/04/le-poids-lourds-se-renverse-sur-l-a9-a-beziers,792653.php

mercredi 4 décembre 2013

Des juges demandent la levée de l'immunité parlementaire de Serge Dassault

Les juges Guillaume Daieff et Serge Tournaire ont demandé la levée de l'immunité parlementaire du sénateur et homme d'affaires Serge Dassault dans l'enquête sur l'achat de votes à Corbeil-Essonnes.

Des juges parisiens, Guillaume Daieff et Serge Tournaire, ont demandé la levée de l'immunité parlementaire du sénateur UMP de l'Essonne Serge Dassault, dans le cadre de leur enquête sur les achats de votes présumés aux élections de Corbeil-Essonnes, a indiqué mercredi une source judiciaire, confirmant une information du Monde. Le parquet de Paris a émis un avis favorable à cette requête. Il reviendra au bureau du Sénat de se prononcer sur une éventuelle levée de cette immunité, qui permettra le cas échéant d'entendre Serge Dassault sous le régime de la garde à vue.
 

mardi 3 décembre 2013

Berck : la mère d'Adélaïde avait accouché chez elle

La mère d'Adélaïde, la fillette de 15 mois retrouvée morte noyée à Berck-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, avait accouché chez elle, et l'enfant était inconnue de l'administration, a-t-on appris mardi de source proche de l'enquête.
La mère avait accouché chez elle à Saint-Mandé, dans le Val-de-Marne, au domicile où elle a été interpellée vendredi, a indiqué cette source.
 

Berck: aucune trace légale de la fillette

Quatre jours après l'arrestation de Fabienne Kabou, mère de la fillette retrouvée morte à Berck-sur-Mer, les enquêteurs n'auraient retrouvé aucune trace légale de l'enfant, ni dans l'état civile, ni à la CAF, ni auprès de la maternité dans laquelle cette femme a affirmé avoir accouché, a révélé aujourd'hui BFMTV.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/12/03/97001-20131203FILWWW00386-berck-aucune-trace-legale-de-la-fillette.php

De Saint-Sulpice à Cahuzac-sur-Vère, cinq centres de secours cambriolés

C’est du jamais vu dans le Tarn. Des cambrioleurs s’en sont pris, dans la nuit de dimanche à lundi, à des centres de secours du nord et de l’ouest du département pour dérober du matériel professionnel de désincarcération. Les faits ont été constatés hier matin. À Salvagnac et Rabastens, les intrus ont fait main basse sur deux écarteurs hydrauliques. Desoutils sophistiqués qu’utilisent bien sûr les sapeurs-pompiers lors des accidents les plus graves, quand il s’agit d’extraire au plus vite, et dans les meilleures conditions de sécurité, les victimes coincées des tôles enchevêtrées. S’il a été aussi «visité», le centre de secours de Saint-Sulpice peut aussi se consoler de n’avoir pas perdu son outil de travail : là, c’est un fonds de caisse et quelques vivres qui auraient été volés. À Cahuzac-sur-Vère et Castelnau-de-Montmiral, les deux autres casernes concernées par ce qui ressemble bien à un raid nocturne orchestré par une seule et même «fine équipe», les tentatives d’intrusion auraient échoué. Plus que le mode opératoire, c’est la nature du butin qui inquiète les gendarmes du GELAC (groupe d’enquête de lutte anti-cambriolage) de Gaillac et leurs collègues des communautés de brigades de Cordes-sur-Ciel et Rabastens, qui ont constaté les faits et ouvert une enquête.

«Ils préparent un mauvais coup»

«On est sans doute confrontés à une bande bien organisée qui prépare un mauvais coup. Ils ont dû effectuer des reconnaissances, puis réfléchir au choix du matériel. Maintenant qu’ils ont dérobé ce matériel très spécifique, ils sont près du passage à l’acte», explique le lieutenant-colonel Laurens, officier communication et prévention partenariat au groupement de gendarmerie du Tarn.
On l’aura compris : le vol commis dans les centres de secours du groupement Ouest ne serait qu’une étape dans les préparatifs d’un plus gros coup. Reste évidemment à savoir quand et où ce gang va passer à l’action. Rien ne dit que ce soit dans le Tarn. «Les malfrats ont peut-être repéré un rideau qu’ils veulent soulever et qui doit être suffisamment lourd. Avec ce matériel, ils pensent parvenir à leurs fins», échafaude un enquêteur. Une autre hypothèse inquiétera forcément les directeurs de banques : avec un écarteur hydraulique, on peut attaquer un distributeur automatique. Ces derniers mois, en Aquitaine ou encore dans le département du Rhône on a recensé plusieurs casses de DAB utilisant un mode opératoire très violent : du gaz insufflé à l’intérieur de l’appareil grâce à un tuyau. Pour faire passer le tuyau, on se doute qu’il faut d’abord écarter la fente de lecture de la carte ou du rendu des billets.

«Navrant»

Bien évidemment, toutes les unités de la gendarmerie sont en alerte, dans le Tarn et dans les départements limitrophes. Au service départemental d’incendie et de secours (SDIS 81), on n’a pas souhaité réagir à chaud hier. Le commandant Sébastien Lamadon, qui dirige le groupement territorial Ouest, attend l’inventaire précis de ce qui a été dérobé.
«Ce type de vol est navrant. On déséquipe des centres de secours d’un matériel dédié à la sécurité des personnes. La survie de victimes peut en dépendre», souligne le lieutenant-colonel Laurens. Nul doute que le président du SDIS Michel Benoit et son directeur le colonel Dulaud partagent ce point de vue.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/03/1765951-cinq-centres-de-secours-cambrioles.html

RHÔNE. Six blessés dont un grave dans un carambolage sur l'A7 à Ternay

Un accident grave s’est produit, vers 17h45 ce lundi, sur l’A7 en direction du sud, à hauteur de Ternay. Sept véhicules légers et un poids lourd sont impliqués dans le carambolage qui a fait six blessés dont un grave.
Pour permettre l'intervention des secours, l'axe a été coupé à la circulation entre Solaize et Ternay jusqu'à plus de 21h30.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/12/02/l-a7-coupee-a-solaize-apres-un-carambolage

lundi 2 décembre 2013

Deux vendeurs de journaux font fuir des braqueurs

Un couple de vendeurs de journaux de Maromme, près de Rouen (Seine-Maritime), ont réussi à mettre en fuite deux braqueurs armés, en subissant toutefois de légères blessures, a-t-on appris lundi de source policière. Les faits se sont produits vendredi soir mais n'ont été révélés par la police rouennaise que lundi. Deux individus cagoulés et armés, l'un d'une arme de poing, et l'autre d'un long couteau de cuisine, ont fait irruption dans le magasin, à un quart d'heure de la fermeture.
Le couple finissait de servir les clients, en présence de leurs deux enfants, un garçon de 12 ans et une fille de 15 ans. Les deux malfaiteurs ont réclamé la caisse avec insistance mais le couple n'a pas obtempéré, bien que l'un ait pointé l'arme de poing sur la tête du jeune garçon. Des coups ont été échangés entre le couple et les deux agresseurs et ces derniers ont finalement battu en retraite, non sans avoir légèrement blessé les commerçants.
"J'ai chargé le porteur du couteau avec mon balai", a raconté la vendeuse, âgée de 46 ans,. "Il s'est ensuite tourné vers mon mari et l'a blessé", a-t-elle ajouté. Le gérant, âgé de 39 ans, a reçu deux coups de couteau, dont la lame mesurait une quinzaine de centimètres. Les blessures, dans la paume de la main gauche et à la base de l'index de la main droite, ont nécessité une hospitalisation. Son épouse, moins touchée, a montré aux journalistes un gros hématome au bras gauche. Le couple qui tient ce commerce depuis deux ans et demi était agressé pour la première fois. Les deux malfaiteurs n'avaient pas été retrouvés lundi soir.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Deux-vendeurs-de-journaux-font-fuir-des-braqueurs-641776

Uderzo porte plainte contre sa fille et son gendre pour "violences psychologiques"

Le dessinateur et scénariste de bande dessinée a annoncé lundi par l'intermédiaire de son avocat qu'il déposait plainte contre sa fille et son gendre pour "violences psychologiques".

Sa fille avait porté plainte contre X en 2011 pour abus de faiblesse vis-à-vis de son père. Albert Uderzo, co-créateur d'Astérix, vient de rétorquer. Il a fait savoir lundi qu'il déposait plainte contre sa fille et son gendre pour "violences psychologiques". "Nous avons décidé de faire comprendre à Sylvie Uderzo et à son mari que nous n'allons pas nous laisser faire", a déclaré à la presse à Neuilly-sur-Seine l'avocat Pierre Cornut-Gentille. Concernant la plainte de la fille, "on s'achemine vers un non-lieu, mais on pense qu'elle va faire appel", a estimé l'avocat.
Ce nouvel épisode judiciaire s'inscrit dans un conflit familial qui a éclaté en 2007, lorsque Sylvie Uderzo et son époux Bernard de Choisy ont été remerciés par les éditions Albert René, en charge des albums d'Astérix conçus après le décès du coauteur René Goscinny. Mme Uderzo, qui s'opposait à la cession de la société à Hachette Livre (effective en 2008), avait déposé plainte pour "abus de faiblesse", accusant certains membres de l'entourage de son père, aujourd'hui âgé de 86 ans, de profiter de son état de santé pour influer sur la gestion de son oeuvre et de sa fortune. Le père d'Astérix a toujours démenti être en état de faiblesse. "C'est une sorte de harcèlement. C'est douloureux (...) J'étais loin en tout cas de m'attendre à une chose pareille", confiait-il récemment à l'AFP.
 

Le chef du centre de secours se donne la mort dans la caserne

Un homme « très motivé, un vrai bosseur, très serviable ». Quelques heures après le drame, Pierre Cordier, président du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) des Ardennes, peine à s’expliquer la terrible nouvelle.

« Une très grosse perte »

Frédéric Richepin, 39 ans, chef du centre de secours de Signy-le-Petit, a choisi de se donner la mort dans la nuit de samedi à dimanche par pendaison, sur son lieu de travail. Tôt hier matin, c’est l’un de ses collègues qui a fait la macabre découverte, dans la caserne. Trop tard pour intervenir. Pour toute explication, celui qui était aussi premier adjoint à la mairie de Signy-le-Petit a laissé deux lettres. L’une adressée à sa femme, l’autre à son fils, dont le quinzième anniversaire avait lieu hier. À la tête du centre de secours depuis deux ans, adjoint municipal depuis l’élection de Jean-Claude Mouron en 2008, il se murmurait que Frédéric Richepin figurait d’ailleurs en bonne place pour prendre la succession à la mairie.
Aussitôt la nouvelle connue, le préfet des Ardennes Pierre N’Gahane s’est rendu sur place hier matin, en compagnie de Benoît Huré, président du conseil général, et de Pierre Cordier, vice-président, pour témoigner « amitié et soutien » aux sapeurs pompiers, choqués, présents à la caserne.« C’est une nouvelle extrêmement triste, témoigne Éléonore Lacroix, secrétaire générale de la préfecture. « C’était quelqu’un d’engagé dans son travail, et dans sa commune. » Régulièrement en contact avec lui lors des derniers mois, Pierre Cordier déplore« une très grosse perte », vantant les qualités d’un homme« franc et direct », « passionné par la cause des sapeurs pompiers ». Un homme aux compétences reconnues, qui pouvait s’attendre à une promotion hiérarchique« dans les mois à venir », en devenant lieutenant. La date de ses obsèques n’est pas encore connue. Sa famille devait se réunir hier pour en décider.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/le-chef-du-centre-de-secours-se-donne-la-mort-dans-la-caserne-ia0b0n260562

dimanche 1 décembre 2013

A contresens sur l'A36 : un homme en garde à vue

 - Un automobiliste qui circulait à contresens sur l'A36 est provoqué un accident la nuit dernière, vers 2h15, à hauteur de la sortie 21 en direction de l'usine Peugeot, dans le sens Allemagne-Mulhouse.
L'homme aurait emprunté l'autoroute en direction de l'Allemagne depuis l'Ile Napoléon. L'accident s'est produit après la sortie Peugeot, à hauteur d'Ottmarsheim. 
L'autoroute a été fermée à la circualtion depuis la frontière allemande. Elle a été rouverte vers 3h40. La voie de gauche et la bande d'arrêt d'urgence ont également été neutralisées afin de permettre l'évacuation des véhicules. Les gendarmes et la police étaient présents sur place.
L'accident n'aurait pas fait de blessé. L'homme est actuellement en garde à vue.

http://www.lalsace.fr/actualite/2013/11/30/a-contre-sens-sur-l-a36