samedi 22 mars 2014

Landes : chute mortelle dans une fosse à purin

L'accident s'est produit ce vendredi en fin de matinée à Montaut. Un homme de 40 ans est décédé. Son père de 71 ans a frôlé la mort en tentant de lui porter secours
U
n terrible accident s'est produit ce vendredi matin à Montaut. Vers 11h30, un homme de 40 ans qui travaillait avec son père sur leur exploitation familiale de la route de Pouy a effectué une chute dans une fosse à purin d'environ 20 mètres de diamètre. Son père de 71 ans a aussitôt tenté de lui porter secours, mais il s'est lui aussi retrouvé dans une posture très dangereuse.
Selon le récit d'un des meilleurs amis de la victime et président du comité des fêtes de Montaut, Michel Larrère, cet homme "perfectionniste" était descendu dans la fosse afin de tenter de dégager quelque chose qui gênait son évacuation. Son père l'a vu tomber et perdre connaissance, sans doute en raison des émanations de gaz. Il a alors voulu voler à son secours en descendant à son tour dans la fosse. Mais il a lui aussi perdu connaissance.
Par chance, le septuagénaire avait appelé à l'aide. Et ce sont des peintres qui effectuaient des travaux sur la ferme qui ont pu le dégager quelques secondes avant l'arrivée des secours.
Sur place, les pompiers des centres de secours de Saint-Sever et de Mugron ont très vite compris qu'il était trop tard pour sauver le fils. Ils ont donc concentré leurs efforts sur le père, qui a finalement pu reprendre connaissance avant d'être laissé entre les mains du Samu et transporté vers le centre hospitalier de Mont-de-Marsan. Lors de son admission, ses jours ne semblaient plus en danger.

En fin de matinée, les gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Sever, en charge des constatations, ont été rejoints par leur commandement montois, mais aussi le directeur de cabinet du préfet et la maire du village, Claude Boissaeau-Deschouarts. La mère de la victime était évidemment en état de choc. Mais les pensées de tous allaient vers la compagne du fils. Installé à Lahosse, le couple avait deux enfants, des jumeaux de deux ans seulement


http://www.sudouest.fr/2014/03/21/montaut-40-chute-mortelle-d-un-quadragenaire-dans-une-fosse-a-purin-1499364-3595.php

vendredi 21 mars 2014

Trahis par un perroquet: quatre ans ferme

Deux hommes de 30 et 34 ans, trahis par le perroquet de leur victime, ont été condamnés aujourd'hui à Tours à quatre ans de prison ferme pour avoir frappé et volé une étudiante de 22 ans à son domicile.

L'un des agresseurs était entré, quelques semaines auparavant, en contact avec l'étudiante qui avait mis en vente sur un site en ligne du matériel informatique. A cette occasion, il avait pénétré dans l'appartement qu'elle partageait avec son compagnon à Fleury-les-Aubrais, dans la périphérie de
Tours, repérant l'existence d'un coffre-fort ainsi que la présence d'un perroquet prénommé Pepito... Se mettant en cheville avec un jeune père de famille paumé, l'initiateur du cambriolage a épié les allées et venues de sa future victime et de son ami, achetant cagoules, gants et talkies-walkies.

Le 10 février, les deux hommes ont passé la nuit en bas de l'immeuble de leur victime à fumer des joints dans une voiture. Et le 11 au matin, ils sont entrés en action, pénétrant dans l'appartement où l'étudiante ne s'est pas laissé faire. Dans la bagarre, elle a eu quatre tendons sectionnés à la main droite. Les deux hommes se sont malgré tout emparés de deux ordinateurs, de deux téléphones, d'un poste de télévision et de Pepito, le fameux perroquet, dont l'un d'eux avait déjà prononcé le nom quelques semaines plus tôt.

La victime s'est alors souvenue de cette voix déjà entendue dans la bouche d'un homme souhaitant lui acheter une tablette numérique et a ainsi permis l'identification de ses agresseurs

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/21/97001-20140321FILWWW00432-trahis-par-un-perroquet-quatre-ans-ferme.php

mercredi 19 mars 2014

Castelsarrasin. L'apprentie gendarme face à l'ex de son campagnon

Parmi les autres affaires que la présidente Vanessa Maury avait à juger durant la dernière audience du tribunal de grandes instances de Castelsarrasin (notre édition du 16 mars) celle d’une Grisollaise de 23 ans accusée de violence présumée durant une soirée en discothèque, n’a pas manqué d’occuper les débats du tribunal. Représentée par son avocate, la mise en cause présumée, une gendarme adjoint volontaire (GAV) officiant dans une brigade de l’agglomération toulousaine, contestant être l’agresseur d’une jeune Grisollaise de 17 ans. Cette dernière ayant été hospitalisée aux urgences le 15 avril dernier avec six points de sutures à l’arcade sourcilière. «Je venais à peine d’entrer dans la boîte (le Big Ben, à Grisolles) que l’ex de mon copain, m’a agressé en essayant de me frapper avec un verre qu’elle tenait à la main… Je me suis simplement protégée et le verre est parti en direction de la victime qui est une amie de mon agresseur. C’était juste, un geste impulsif pour parer son agression» lâchait la jeune gendarme. Des explications que battait en brèche l’avocate de la victime en tendant à la juge des extraits d’échanges publiés, peu après les faits, sur les réseaux sociaux entre la mise en cause et une proche de la victime.

Des conversations sur «Facebook» devenues pièces à conviction

Des échanges virulents et violents qui ne plaidaient pas pour le moins en faveur de la Grisollaise qui ne devait pas penser que ses propos tenus sur «Facebook» pourraient faire l’objet d’une pièce à conviction. L’avocate de la partie civile enfonçait le clou et réclamait de très lourds dommages et intérêts : «Ce n’est ni la pauvre victime qu’elle dit être, ni la jeune femme calme qu’elle entend présenter aujourd’hui… Ces déclarations sur «Facebook» le confirment et dévoilent qui est vraiment Melle M. Au vu des préjudices physiques et moraux de ma cliente, nous réclamons 5 000 euros de dommage, plus 1 500 euros.» Un crêpage de chignon aux lourdes conséquences pour la mise en cause sur lequel la procureur Véronique Benlafquih tenait toutefois à faire la part des choses. «Une dispute a éclaté au Big Ben, un établissement où ce genre de faits a souvent lieu (1), nous ne serons jamais sur le fond et avec certitude qui a commencé. Ce dont nous sommes plus sûrs, c’est que Melle M. a effectivement jeté un verre au visage de la victime et qu’une partie des témoignages de part et d’autre qui sont ceux de l’entourage sont pour cette raison sujet à caution. Reste que les faits sont là, la victime a eu six points au visage, ce qui n’est pas rien ; je requiers une amende de 200 euros contre Melle M.»

«Ma cliente n'a pas été expulsée de la boîte de nuit»

Un réquisitoire qui surprenait visiblement l’avocate de la mise en cause présumée qui apportait de nouveaux éléments au débat. «Cela fait un an que ma cliente reçoit des appels téléphoniques anonymes et qu’elle vit sous la menace… Doit-on rappeler que c’est «l’ex» de son copain qui a été expulsée de la boîte de nuit après les faits. Pas ma cliente ! Un point que confirme le témoigne du responsable de la sécurité de la discothèque qui a aussi indiqué que c’est ma cliente qui a été insultée et importunée par cette jeune femme qui n’a jamais accepté que son «ex» parte avec Melle M. Tout cela, c’est sûr aurait pu se terminer par une simple procédure en responsabilité civile via leurs assurances respectives… La victime cousine de «l’ex» petite amie du copain de ma cliente en a voulu autrement, c’est la raison pour laquelle nous nous retrouvons ici aujourd’hui.» Et de conclure : «Au vu du métier de ma cliente, cette procédure n’est pas anodine, c’est important pour elle que ce tribunal confirme qu’elle n’a agressé personne.» Verdict le 10 avril après délibéré de la cour.
(1) Une autre affaire de violences commises sur le parking du Big Ben le 1er janvier, était jugée durant cette audience. Une jeune femme qui s’était interposée pour faire cesser une rixe avait été violemment jetée au sol par un Nicolaïte de 22 ans. Originaire de Millau, la victime a fait l’objet de 15 jours d’arrêt de travail. Le mis en cause qui a reconnu les faits a été condamné par le TGI à une peine de 35 heures de travail d’intérêt général, l’affaire a toutefois été renvoyée à une date sine die pour faire valoir les intérêts civils de la victime qui n’était pas assistée d’un avocat.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/19/1842541-castelsarrasin-apprentie-gendarme-face-ex-campagnon.html

mardi 18 mars 2014

Montpon : un chargement de produits toxiques se déverse sur la route

Il était environ 16 h 45 lundi, sur la départementale 730 à la sortie de Montpon-Ménestérol, en direction de La Roche-Chalais, au lieu dit Les Renardières. Un scénario de crise s'est mis en place. Un camion a renversé son chargement de produits chimiques. Les pompiers ont reçu l'alerte et déployé d'importants moyens. Ils ne connaissaient alors pas la dangerosité du produit.
Arrivés sur place, en pleine forêt de la Double, ils ont constaté que cinq citernes de 1 000 litres chacune se trouvaient sur la route. Deux d'entre elles étaient fissurées et des centaines de litres de liquide ont commencé à couler sur la chaussée. Un ruisseau se situe à 500 mètres de là. Le risque de pollution est réel et la dangerosité du produit reste à évaluer.
Important dispositif
Les gendarmes présents sur les lieux ont bloqué la route dans les deux sens. À l'heure de la sortie du travail, les automobilistes nombreux à passer par là, ont dû prendre les déviations mises en place. Celles-ci devaient toujours être actives cette nuit et pourraient être encore d'actualité ce mardi matin.
Pendant ce temps, la quarantaine de pompiers et les 10 engins d'intervention, notamment ceux de la cellule de risques chimiques, sont intervenus. À l'intérieur des énormes bidons dispersés sur la chaussée, ils ont constaté qu'il y avait du dibromo cyanoacétamide. Il s'agit d'un produit chimique qui devait être livré à la société Corenso, à Saint-Seurin-sur-l'Isle (Gironde). Il serait utilisé pour le traitement de l'eau dans le cadre d'un processus de fabrication de carton.
Dangerosité
Selon les nomenclatures détaillées du produit publiées sur Internet, il est mentionné qu'il serait nocif pour la peau et présenterait une réelle dangerosité pour les poissons en cas de déversement dans un cours d'eau. Lorsqu'il est chauffé, les fumées seraient aussi très toxiques.
Le premier enjeu pour les soldats du feu a donc été de construire une digue en terre, permettant d'absorber le liquide. Vers 18 heures, le lieu était sécurisé. « Les fuites des deux citernes ont été endiguées », ont précisé les pompiers. « Environ 1 000 litres » se sont cependant perdus dans le sol, avant l'arrivée des secours. « Mais le ruisseau n'a pas été touché et tout risque de pollution de l'eau est écarté », selon les secours.
Ils étaient toujours sur place lundi vers 21 heures. « Il n'y a plus de danger, mais il faut maintenant trouver une entreprise spécialisée habilitée à évacuer ce produit chimique. »

http://www.sudouest.fr/2014/03/18/un-chargement-de-produits-toxiques-se-deverse-sur-la-route-1494472-1884.php

Feu de camion maîtrisé sur l'A9 entre Agde et Sète : circulation rétablie

Le feu de camion sur l'A9 a été maîtrisé, selon Vinci la circulation est rétablie sur deux des trois voies, ce, jusqu'à ce soir. Il se situait au point kilométrique 140, non loin d'Agde, en direction de Montpellier. 
L'incendie de poids-lourd sur l'A9 a été maîtrisé mardi vers 10 h, selon Vinci Autoroutes. La circulation est rétablie sur deux des trois voies, ce, jusqu'à ce soir.  Ce poids lourd avait pris feu sur l'autoroute A9, entre Agde et Sète, ce mardi 18 mars au matin, vers 8 h 40. Les sapeurs-pompiers d'Agde étaient à pied d'œuvre pour éteindre le sinistre.
Il semble que l'incendie de ce véhicule ait débuté au niveau sa remorque frigorifique. Le conducteur de cet ensemble routier a eu le temps de stopper le camion sur un refuge sur le bas-côté de la voie de droite et de détacher le tracteur afin de limiter les dégâts... et surtout d'éviter que le feu ne prenne dans les réserves de carburant.


Une voie de l'A9 neutralisée
Une voie de l'A9 avait été réservée à l'intervention des secours et un ralentissement d'un kilomètre environ s'était formé en direction de Montpellier. 

http://www.midilibre.fr/2014/03/18/a9-un-camion-en-feu-entre-agde-et-sete,835740.php

lundi 17 mars 2014

Une femme de 45 ans décède dans l'incendie

D'importants moyens ont été déployés, ce lundi matin, à Montsûrs (Mayenne), à la suite d'un violent incendie d'appartement. La locataire, 45 ans, a été retrouvée morte.

Une femme de 45 ans a trouvé la mort, ce lundi matin, dans l'incendie de son appartement HLM de la rue des Ifs, à Montsûrs, à l'est de Laval.
L'alerte a été donnée vers 6 h 10. Le feu, très violent, a provoqué un fort dégagement de fumée et risquait de se propager à l'étage supérieur du bâtiment.
Au total, 35 hommes et 11 véhicules, issus de six centres de secours du département, ont été mobilisés.
http://www.ouest-france.fr/feu-dappartement-une-femme-de-45-ans-decede-dans-lincendie-2010675

dimanche 16 mars 2014

Charente-Maritime : la voiture d'un candidat aux municipales brûle pendant une réunion électorale

Il était 20h30 environ vendredi soir quand une voiture a pris feu sur le parking de la salle des fêtes de Brie-sous-Mortagne.
Le véhicule appartenait à Pascal Preuvost, candidat sur la liste "Bien vivre à Brie", liste d'opposition à celle du maire sortant Maurice Girerd et menée par Annie Manuel qui précisément animait une réunion électorale à laquelle assistait une soixantaine de personnes.
La voiture a été entièrement détruite et les gendarmes de la brigade de Mirambeau ont ouvert une enquête.
Personne dans la commune, pas plus Annie Manuel que le maire Maurice Girerd en place depuis 19 ans, ne croit à l'accident. Annie Manuel et Maurice Girerd sont d'accord pour dire que depuis plusieurs semaines et en tout cas depuis le début de la campagne, un climat délétère règne dans le bourg de 255 habitants.
"Il n'y a pas de coïncidence, ou plus exactement il y en a trop, comme on veut" commente Annie Manuel. "Ce qui arrive est lamentable, c'est un coup monté ! Par qui, je ne sais pas, mais ce qui est certain c'est qu'aucun de mes colistiers est capable de faire une chose pareille."

http://www.sudouest.fr/2014/03/15/charente-maritime-la-voiture-d-un-candidat-aux-municipales-brule-pendant-une-reunion-electorale-1492651-1272.php

Des policiers pris pour cible par une arbalète

Une patrouille de police a été la cible d'un tir d'arbalète, dans la nuit de vendredi à samedi. Des policiers contrôlaient un véhicule à Alès, dans le Gard, quand un homme qui assistait à la scène les a menacés. Il a tiré dans leur direction avec une arbalète.
La flèche, longue d'une quarantaine de centimètres, est allée se ficher dans le pare-choc arrière de la voiture des forces de l'ordre fonctionnaient. Le syndicat SGP Unité police qui révèle cette information appelle à une sanction exemplaire. Le suspect, âgé de 25 ans, devrait être jugé mardi.
 

samedi 15 mars 2014

Haute-Savoie: un alpiniste fait une chute mortelle sur le glacier d'Argentière

Un alpiniste français est mort samedi en Haute-Savoie après avoir fait une chute à 3.500 mètres d'altitude sur la partie haute du glacier d'Argentière, a-t-on appris auprès des secours en montagne.
Accompagné de trois autres alpinistes, l'homme descendait sur le bassin du Glacier du Milieu, dans le secteur de l'Aiguille d'Argentière, lorsqu'il a «perdu l'équilibre, skis au pied» et «dévissé sur près de 200 mètres» peu avant 13 heures, terminant sa chute sur une barre rocheuse.
«Il semblerait qu'il ait perdu de l'adhérence avec ses skis. Ce n'était pas quelqu'un de la région. Il était en vacances dans la vallée pour faire de la montagne», ont indiqué les gendarmes, ajoutant que le groupe se trouvait «non loin du refuge d'Argentière».
Indemnes, ses compagnons de cordée ont été évacués par le Peloton de gendarmerie de haute-montagne (PGHM) de Chamonix depuis le refuge d'Argentière, qu'ils avaient regagné après l'accident.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de l'accident. On ignore pour l'heure quel a été l'itinéraire du groupe. «Des auditions sont en cours», ont précisé les gendarmes

http://www.20minutes.fr/article/1324214/20140315-haute-savoie-alpiniste-fait-chute-mortelle-glacier-argentiere

Marlienne retrouvée morte : un fils interpellé

L'homme d'une quarantaine d'années que les enquêteurs recherchaient, depuis la découverte du corps sans vie d'une mère de famille nombreuse de Marly, a été interpellé en fin de matinée.
D’importants moyens policiers, dont un hélicoptère, ont été déployés durant toute la matinée pour retrouver l’un des fils de cette famille connue à Marly. Ce dernier, l'un des douze enfants de la victime, avait fui la maison en début de matinée après avoir enterré le corps de sa mère dans le jardin de leur maison de Marly. L'auteur présumé, activement recherché par les enquêteurs, a été retrouvé vers 11 h sur le parking de l’hôpital de Mercy où il a été interpellé puis hospitalisé.

http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2014/03/15/marlinienne-retrouvee-morte-un-fils-interpelle

Tué en side-car sur la RN2

FROIDESTREES (02). Le conducteur d'un side-car est décédé ce samedi matin dans un accident de la route. 

Vers 10 heures ce samedi matin, un conducteur de side-car est décédé dans un accident survenu sur la RN2.
La collision entre le deux-roues et un engin agricole a été fatale au conducteur originaire du nord de la France. 
La RN2 est actuellement coupée à la circulation. De nombreux poids lourds sont stoppés et un bouchon s'est formé. 
Si vous le pouvez, évitez cet axe. 
C'est le quatrième accident mortel depuis le début de l'année dans l'Aisne. 
Cet accident mortel survient au surlendemain d'un autre accident impliquant un deux-roues. A Merfy, au nord de Reims, un motard a été tué dans un choc à la sortie d'une tournant avec une camionnette.
 

MAJ 11h30

La RN2 vient de rouvrir à la circulation

http://www.lunion.presse.fr/accueil/un-conducteur-de-side-car-decede-dans-un-accident-sur-la-rn2-ia0b0n315948

vendredi 14 mars 2014

Seine-Saint-Denis : un jeune homme meurt d’une méningite foudroyante

Un jeune homme de 19 ans est jeudi matin d’une méningite foudroyante, à l’hôpital Robert-Ballanger, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Il est décédé peu de temps après son admission aux urgences. Le malade présentait les symptômes caractéristiques (fièvre, courbatures, maux de crâne). Des analyses ont ensuite confirmé qu’il avait bien succombé à une infection invasive à méningocoques de sérogroupe C, une maladie particulièrement grave.
 L’Agence régionale de
(ARS) a été immédiatement alertée par l’hôpital comme le veut la procédure dans ce type de cas. L’ARS indique que la famille et les proches du jeune homme, ainsi que le personnel hospitalier ayant été en contact avec lui, ont reçu un traitement médicamenteux préventif. Ils vont être vaccinés à l’hôpital Avicenne de Bobigny http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/aulnay-93-un-jeune-homme-meurt-d-une-meningite-foudroyante-14-03-2014-3673221.php

Accident de La Roche-Chalais (24) : une information judiciaire ouverte

Le conducteur qui a percuté un automobiliste qui changeait sa roue dans nuit de mardi à mercredi avait bu
 
À la suite du décès d'un automobiliste, percuté par une voiture dans la nuit de mardi à mercredi à La Roche-Chalais alors qu'il changeait une roue, le parquet a décidé d'ouvrir une information judiciaire.
Il est reproché au conducteur qui a percuté un la victime d'être à l'origine d'un homicide involontaire aggravé. En effet, le dépistage d'alcoolémie effectué a révélé un taux de 1,92 g/l d'alcool dans son sang.
De plus, ce Périgordin de 34 ans serait aussi à l'origine de blessures involontaires sur deux personnes. Il a été placé sous contrôle judiciaire

http://www.sudouest.fr/2014/03/14/une-information-judiciaire-ouverte-1490367-1884.php

HORNOY LE BOURG Accident de circulation mortel

Une personne est décédée dans une collision impliquant six véhicules dont trois voitures, un poids lourd, un engin agricole et un fourgon, sur la RD 901 dans le canton d'Hornoy-le-Bourg ce vendredi 14 mars peu avant 9 heures. L'absence de visibilité due au brouillard matinal expliquerait cet accident. L'intervention des secours est toujours en cours. L'axe Abbeville - Poix-de-Picardie est fermé à la circulation au niveau du rond point de la RD 901 et de la RD 51.


http://www.courrier-picard.fr/region/hornoy-le-bourg-accident-de-circulation-mortel-ia201b0n332427

Une femme meurt dans un incendie à Nice

Une femme de 70 ans est morte ce soir dans l'incendie de son appartement à Nice, a-t-on appris de sources concordantes.
Selon la police et les pompiers, le feu s'est déclaré dans un appartement au premier étage vers 20h40 et a duré une trentaine de minutes. Trois autres personnes ont été légèrement intoxiquées par les fumées et traitées sur place, selon les pompiers.

Au total, 17 personnes ont dû être évacuées à la suite de l'incendie de ce logement situé dans l'ouest de la ville et dont l'origine n'a pas encore été déterminée, a indiqué la police.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/13/97001-20140313FILWWW00404-une-femme-meurt-dans-un-incendie-a-nice.php

jeudi 13 mars 2014

Accident à Grendelbruch : un octogénaire décède

Un homme de 84 ans, selon une information donnée par les sapeurs-pompiers, est décédé au volant de sa voiture, cet après-midi vers 17h, à Grendelbruch, dans le Bas-Rhin

L'accident s'est produit sur la RD266, à Grendelbruch, en direction du Hohwald. Une seule voiture était impliquée dans cet accident. Un homme âgé de 84 ans a succombé à un arrêt cardio-respiratoire.
Selon les dernières informations communiquées ce jeudi soir, le conducteur a fait un malaise au volant. La voiture et quitté la chaussée et heurté un arbre. L'octogénaire est décédé sur place

http://www.dna.fr/actualite/2014/03/13/accident-a-grendelbruch-un-octogenaire-decede

Un homme de 75 ans se suicide devant la mairie de Charantonnay en Isère

L'homme qui s'est donné la mort devant l'Hôtel de Ville était en conflit avec la municipalité à propos du plan local d'urbanisme de cette commune située entre Vienne et Bourgoin-Jallieu. Son geste dramatique a-t-il été guidé par la rancoeur à l'égard de la mairie? Une enquête est ouverte
Il gisait au sol, blessé à la tête, un fusil de chasse à côté de lui. Un homme de 75 ans s'est suicidé, sur la place de la mairie de Charantonnay. Les gendarmes l'ont découvert par hasard, en patrouille, mercredi 12 mars vers 23h45.

Transporté dans un état grave au CHU Hôpital Edouard Herriot de Lyon, il y est décédé ce jeudi à 6 heures. Les médecins avaient très vite indiqué qu'il n'y aurait rien à faire pour le sauver.

Un plan local d'urbanisme mis en cause


La victime était en conflit avec la mairie depuis que le nouveau plan local d'urbanisme avait été dévoilé. "Tous les propriétaires sont touchés par le plan local d'urbanisme", se contente de répondre le directeur général des services municipaux ce matin, ne souhaitant pas réagir précisément sur le cas de la victime.

Selon le Parquet, l'homme avait déjà menacé la Mairie de passer à l'acte. Il a fini par le faire, et de manière précautionneuse : il a laissé une pochette à son épouse avec, à l'intérieur, une lettre explicative et tous les courriers nécessaires pour gérer administrativement son décès...


http://alpes.france3.fr/2014/03/13/un-homme-de-75-ans-se-suicide-devant-la-mairie-de-charantonnay-en-isere-432177.html

Bourogne (90) : un ouvrier a le bras arraché

Un accident du travail s'est produit ce jeudi matin à l'Ecopôle de Bourogne (usine d'incinération) dans le Territoire de Belfort. Selon les premiers éléments, un ouvrier qui travaillait dans le secteur des mâchefers (résidus de la combustion) a eu le bras arraché.
L'homme, âgé de 31 ans et employé au service maintenance et électricité était, dans la matinée, affairé avec trois collègues à une mission d'entretien dans un entrepôt. A la fin de cette tâche, alors que ses trois collègues étaient à l'écart, il a eu le bras happé dans un convoyeur de mâchefer, dans des conditions qui reste indéterminée.
Les pompiers et le Samu ont été mobilisés sur place ainsi qu'un hélicoptère pour évacuer le blessé. Le directeur et le personnel de l'Ecopôle étaient sous le choc après cet accident. Une cellule psychologique devait être mise en place.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/03/13/bourogne-un-ouvrier-a-le-bras-arrache

Un accident mortel près de Combourg

La matinée commence sous le brouillard aux alentours de Rennes. Un accident mortel s'est produit au nord, dans les environs de Combourg.

Prudence si vous prenez le volant ce matin, d’épaisses nappes de brouillard recouvrent l’agglomération rennaise. La circulation est ralentie, notamment sur la rocade.

Trois véhicules impliqués

Peu avant 8 h, trois véhicules sont entrés en collision frontale près de Combourg.Un des occupants, un homme de 43 ans, est décédé. Celui de l’autre voiture a été grièvement blessé. Il a été transporté au centre hospitalier de Ponchaillou, à Rennes. Il n’y avait pas d’autres passagers dans les véhicules. La route est toujours bloquée. La gendarmerie est sur place. Des déviations sont en place.
Les prévisions de Météo-France indiquent que ce brouillard va persister jusqu’en fin de matinée, surtout dans les campagnes. Ensuite, le soleil dominera dans un ciel dégagé avec des températures maximales de 19 °C.

http://www.ouest-france.fr/meteo-un-epais-brouillard-ce-matin-autour-de-rennes-2000299

mercredi 12 mars 2014

Un professeur de sport se tue en chutant d'un mur d'escalade

Un professeur de sport de 59 ans est mort lundi soir en chutant d'un mur d'une dizaine de mètres dans un club d'escalade de Thionville (Moselle), dans des circonstances encore non expliquées.
Le parquet de Thionville, qui a ouvert une enquête, restait dans l'immédiat très prudent sur les causes de l'accident, survenu lors d'une séance d'escalade en accès libre dans ce club, dont la victime était l'un des "plus anciens adhérents".
Toutefois, selon les premiers éléments de l'enquête l'équipement n'est pas en cause et il s'agirait plutôt d'une erreur humaine.
Une cellule psychologique a été mise en place pour la vingtaine de témoins présents au moment du drame. Ces derniers seront également prochainement entendus par le parquet, qui a par ailleurs prévu une autopsie jeudi.

http://www.sudouest.fr/2014/03/12/un-professeur-de-sport-se-tue-en-chutant-d-un-mur-d-escalade-1488762-7.php

Un homme a trouvé la mort ce matin dans un accident, sur la RN19, à hauteur de Charmoille

Un homme a trouvé la mort ce matin dans un accident, sur la RN19, à hauteur de Charmoille, en Haute-Saône. Le choc s'est produit vers 7h40 entre une voiture et un poids lourd. Les deux véhicules circulaient en direction de Port-sur-Saône. La voiture quittait Charmoille, et était en train de s'engager sur la nationale, depuis une voie d'accélération, lorsqu'elle a percuté le poids lourd. Les pompiers de Vesoul et Port-sur-Saône, appelés sur place, ont dû désincarcérer le conducteur de la voiture. Mais ce dernier, en arrêt respiratoire, n'a pas pu être ranimé. Le chauffeur du poids lourd, lui, est indemne. La circulation a été légèrement perturbée dans les deux sens pendant une bonne heure et demie, le temps d'évacuer la victime et les deux véhicules. Les circonstances exactes du choc restent encore à déterminer. La gendarmerie de Vesoul, également sur place, est chargée de l'enquête

http://www.estrepublicain.fr/haute-saone/2014/03/12/un-homme-a-trouve-la-mort-ce-matin-dans-un-accident-sur-la-rn19-a-hauteur-de-charmoille-en-haute-saone

Grisolles. Un cycliste layracois tombe dans le canal et se noie

C’est un accident rarissime qui a eu pour cadre hier en fin de matinée la voie verte qui longe sur toute la traversée du Tarn-et-Garonne - entre Pompignan et Lamagistère - le canal latéral à la Garonne. Cet axe (considéré d’ailleurs comme une voie départementale : la RD 200) est très fréquenté par les sportifs, promeneurs, joggeurs et aussi les cyclistes. C’était encore le cas hier avec en plus une atmosphère printanière qui incite à la balade. Hugues Andrieu 79 ans domicilié à Layrac-sur-Tarn (en Haute-Garonne dans le canton de Villemur) sur son vélo de course est donc en train d’emprunter cette voie, et il accomplit le trajet en compagnie d’une amie elle aussi adepte du cyclotourisme. Il est environ 11h40 hier matin, les deux sportifs pédalent sur cet espace aménagé. Le Layracois est en tête à hauteur du pont routier qui enjambe le canal, non loin de la discothèque du «Big-Ben».

Coincé par ses cale-pieds

Soudainement, sans explication plausible, il fait un faux mouvement sur son vélo alors que le chemin offre un virage à gauche pour contourner la pile de l’ouvrage. Le septuagénaire est déséquilibré et il plonge dans les eaux froides du canal avec son cycle. Son amie stoppe aussitôt et plonge dans le canal pour tenter de l’en sortir. Mais le cycliste a ses pieds coincés dans les cale-pieds de son vélo et continue de couler, de descendre dans cette eau profonde, froide et un peu turbide. L’alerte est donnée auprès des pompiers du centre de secours de Grisolles qui sur place arrivent à extraire le septuagénaire de l’eau. Ils procèdent après l’avoir remonté sur la berge, aux massages cardiaques et respiratoires, pour tenter de faire repartir le cœur de l’agriculteur retraité qui a cessé de battre. Ils sont relayés par une équipe médicale du SAMU 82. Au bout de quarante minutes d’efforts, las ils ne peuvent que constater son décès. Celui-ci est confirmé par les gendarmes de la COB Grisolles-Villebrumier. Quarante-huit heures après l’accident mortel de Corbarrieu (notre édition de lundi) cet accident porte à sept le nombre des morts sur les routes de Tarn-et-Garonne depuis le début de l’année.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/12/1837216-grisolles-le-cycliste-tombe-dans-le-canal-et-se-noie.html

mardi 11 mars 2014

Trois morts dont un enfant de 5 ans sur l'A131

L'accident dramatique s'est produit ce mardi 11 mars peu après 12 heures sur l'A131 au niveau de Saint-Aubin-sur-Quillebeuf dans l'Eure.

Une seule voiture est impliquée dans l'accident, qui s'est déroulé à 9 kilomètres de l'échangeur de Bourneville direction Tancarville. Trois personnes sont décédées, un enfant de 5 ans ainsi que deux femmes âgées respectivement de 31 et 38 ans. Une quatrième personne âgée d'une vingtaine d'années, grièvement blessée, a été transportée au CHU de Rouen.

Pour l'heure une voie est neutralisée. Voir l'évolution de la situation sur
le site Internet de Bison Futé.

On ne connaît pas encore les circonstances de l'accident.

http://haute-normandie.france3.fr/2014/03/11/accident-sur-l-a131-trois-morts-dont-un-enfant-de-5-ans-430963.html

Lot-et-Garonne : ils enferment l'escroc présumé dans le coffre et attendent la police

La scène qui s'est déroulée lundi vers 18 h 30 à la sortie du péage de l'A 62, au Passage-d'Agen, a dû surprendre ou plutôt inquiéter les automobilistes qui y ont assisté : en l'espace de quelques secondes, quatre Tonneinquais planqués à l'arrière d'un fourgon blanc en sont sortis pour ceinturer un jeune homme venu à la rencontre de leur camarade, resté dehors, avant de l'enfermer dans le coffre et d'appeler les forces de l'ordre.
Les cinq compères entendaient ainsi se faire justice. Et mettre un point final à une sombre histoire présumée d'escroquerie dans laquelle on retrouve aussi Daniel Salliot, agriculteur de Tombebœuf et ancien président, haut en couleur, de la Coordination rurale 47.
Lui a été la première « victime ». Le 19 février dernier, il trouve, grâce à son gendre, qui travaille chez Stop Auto, un client pour lui acheter son utilitaire Mercedes au prix de 26 000 euros. L'affaire est conclue. Une bonne chose de faite. Sauf que quelques jours plus tard, la mauvaise nouvelle tombe : sa banque lui explique que son compte ne sera jamais crédité de cette somme car celui de l'acheteur n'était pas approvisionné. Pis, tous les documents fournis étaient apparemment faux. Et le véhicule aurait déjà changé d'immatriculation avant d'être à nouveau revendu.
Dernièrement, c'est à Tonneins que le même individu, dont la visiblement fausse carte d'identité porte le nom de « Da Silva » récidive. Même société Sky-Da basée à Toulouse. Même numéro de K-bis, justificatifs de domicile faux, etc. Le bouche-à-oreille permet aux deux « victimes » de se rendre compte que la même mésaventure leur est arrivée. Cette fois, c'est une Peugeot 207, d'une valeur de 10 000 euros, qui est en jeu. Et là, une lueur d'espoir apparaît. Car Mickaël, Jean-François et Anthony, les trois frères Rodriguez, du garage du même nom, à Tonneins, ne lui avait pas remis la déclaration d'achat nécessaire pour changer l'immatriculation de la citadine…
Après avoir mené une expédition toulousaine pour essayer, en vain, de retrouver le dit acheteur, Daniel Salliot assure que l'entreprise ne se résume qu'à une boîte aux lettres cassée… Impossible, donc, de retrouver « l'escroc » recherché. Sauf à lui donner un rendez-vous pour qu'il récupère le fameux document.
« Il voulait qu'on lui faxe ou qu'on lui envoie par mail, explique l'un des trois frères Rodriguez, venus avec deux amis, lundi, pour mettre en place le guet-apens. Je lui ai dit que j'étais sur Agen jusqu'en soirée et que ça faisait mi-route, qu'il pouvait venir le chercher… » Après plusieurs heures sans donner de nouvelles, lundi, rendez-vous est donné. Arrivé à pied, son chauffeur, au volant de la fameuse 207 étant resté plus loin, un jeune homme est pris au piège. Mais il ne s'agit pas du bon et ce dernier, comme son accompagnateur, expliquent ne rien avoir « à se reprocher ».
Tous ont été entendus, lundi soir, au commissariat par les enquêteurs qui cherchent à démêler toute cette affaire. Relâchés lundi, ils seront reconvoqués aujourd'hui. Les deux « interpellés » comme les six « interpelleurs » qui ont voulu se faire justice… « Maintenant, c'est un travail commode pour la police », estimait, lundi, Daniel Salliot. Pas certain que l'institution judiciaire ne partage son enthousiasme…

http://www.sudouest.fr/2014/03/11/coffre-dans-le-coffre-1487076-3603.php

Rochefort (17) : un jeune homme meurt après une bagarre en sortie de boîte

Vincent Biradès, âgé de 18 ans et originaire de Dolus d'Oléron, avait reçu des coups à la tête dimanche matin devant la discothèque El Diablo. La police lance un appel à témoins

Vincent Biradès, âgé de 18 ans et originaire de Dolus d'Oléron, est décédé lundi suite aux coups qu'il avait reçus à la tête, dimanche matin, devant la discothèque El Diablo à Rochefort. L'information vient d'être officiellement confirmée par le commissariat de Rochefort, en charge de l'enquête.
Que s'est-il précisément passé, dimanche matin, vers 6h30 ? Selon les premières éléments fournis ce mardi matin par le commissaire Xavier Lhermitte, la victime aurait été violemment frappée à la tête alors que plusieurs bagarres étaient en cours devant la boîte de nuit.
Les policiers écartent un règlement de compte ou un différend personnel. Il pourrait s'agir d'un acte isolé sur fond de nuit bien arrosée.
Un jeune Rochefortais âgé de 27 ans a été rapidement interpellé et mis en cause. Mais était-il seul ? Est-il celui qui a porté le coup fatal ?
Les policiers rochefortais sont à la recherche de témoins directs susceptibles de décrire précisément ce qui s'est passé sous les coups de 6h30 cette nuit-là. Toute personne ayant un témoignage à apporter peut contacter les officiers Tinka et Vidrequin au 05 46 87 69 14.
Par ailleurs, les amis de Vincent Biradès, élève au lycée Marcel-Dassault à Rochefort, appellent à un rassemblement demain mercredi, à 17 heures, devant El Diablo, en hommage à leur camarade.
http://www.sudouest.fr/2014/03/11/rochefort-17-rixe-mortelle-devant-la-discotheque-el-diablo-1487566-1504.php

Décès d'un adolescent de 16 ans par méningite dans les Alpes

Un adolescent de 16 ans originaire de Fréjus (Var), transféré fin février à l'hôpital pour enfants de Lenval à Nice, est décédé la semaine dernière des suites d'une méningite, selon l'Agence régionale de santé (ARS) de Provence-Alpes-Côte d'Azur. Le type de méningite contracté n'a pas été précisé dans l'immédiat par l'ARS.

La victime est l'un des deux jeunes patients varois hospitalisés à Lenval en février pour des méningites de type B et Y.  C'est la quatrième victime de cette infection fulgurante en moins de trois semaines dans le département. L'autre adolescent hospitalisé à Lenval, âgé de 12 ans, est sorti de l'hôpital "en début de semaine dernière",
indique le quotidien Nice-Matin dans son édition d'aujourd'hui.

Fin février, trois jeunes hommes âgés de 29 et 22 ans pour deux d'entre eux, étaient également décédés de méningite à méningocoque à Nice. Une étudiante en droit de 19 ans a par ailleurs succombé le 2 mars dans un hôpital de Thionville (Moselle), à cette même maladie.

Selon le site internet d'information dédié aux infections à méningocoque (
http://www.info-meningocoque.fr), la maladie peut être détectée par l'un des signes suivants: une fièvre élevée mal supportée, une ou plusieurs taches rouges ou violacées sur la peau.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/11/97001-20140311FILWWW00083-un-4eme-deces-par-meningite-dans-les-alpes.php

Il tire avec un fusil sur son beau-frère à Fajoles : trente mois ferme

Dans «un contexte conflictuel extraconjugal», Grégory Garcia, flanqué de deux compères P. L. et J. C., se rend le 1er février à la maison familiale à Fajoles. Tirant un coup de fusil de chasse sur son beau-frère, l’accusé purgera trente mois ferme.
Entre les départements de la Dordogne et du Lot, les faits qui se sont déroulés le 1er février dernier à Fajoles auraient pu basculer dans le drame. Autrement dit, être jugés non pas au tribunal correctionnel de Cahors mais en Cour d’assises. À tel point que l’ambiance tendue entourant ce dossier avait nécessité un renvoi à hier, 14 heures, pour parfaire la défense des prévenus (lire l’édition du 4 février).
Le 1er février donc, à Fajoles, P. L. et J. C. patientent dans le véhicule qui vient de déposer leur ami Grégory Garcia à la maison familiale. «Grégory Garcia décide, après un contexte conflictuel extraconjugal avec son beau-frère (N.D.L.R. G. J.), de s’y rendre. Au départ Madame la présidente, c’était juste pour discuter, juste pour écarter le père», argue la représentante du ministère public.

Point de non-retour

Mais Grégory Garcia franchit le point de non-retour : il tire un coup de feu en l’air, comme pour mieux apeurer sa famille, son père notamment, avant de cibler G.J. d’un coup de fusil de chasse à bout portant. Blessé à la fesse et au flanc, l’homme est transporté au centre hospitalier de Figeac, tandis que le principal accusé et ses deux complices prennent la fuite vers la Dordogne.
Car ce trio habite le département limitrophe, Sarlat précisément d’où proviennent les cartouches et le fusil. «Vous êtes plein de paradoxes. Vous êtes des adultes insérés dans la vie sociale mais vous avez un comportement de fou. Lorsqu’on a commis l’irréprochable, on prend ses responsabilités. Mais vous non. Vous cachez l’arme et le véhicule qui finiront par être retrouvés et vous, par être interpellés», décrit encore la représentante du ministère public.

Pas de plainte de la victime

G. J., la victime, était le grand absent de l’audience pour cause d’hospitalisation. C’est pourtant cette ligne de défense qu’a retenue Me Vincent Maris, du barreau de Périgueux. «Il est rare que dans un dossier de violence avec arme, l’audience se déroule sans la victime qui d’ailleurs ne porte pas plainte. Ce trio est désœuvré, c’est grave mais pauvre. Monsieur Garcia regrette amèrement les faits. Il ne faut pas s’arrêter à la simple lecture du PV de synthèse. Il y a les actes mais aussi les hommes…»
Pour le tribunal, les éléments constitutifs de la violence aggravée, à savoir l’usage d’une arme en réunion, la préméditation, sont caractérisés. Grégory Garcia est reconnu coupable et condamné à quatre années d’emprisonnement, dont trente mois ferme et dix-huit mois de sursis avec mise à l’épreuve. Il devra se soigner, réparer le préjudice et ne plus détenir d’arme. Ses deux compères écopent de dix-huit mois de sursis avec mise à l’épreuve et obligation de réparer les divers préjudices.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/11/1836299-il-tire-avec-un-fusil-trente-mois-ferme.html

Accident au lac de Monteils : un enfant de trois ans héliporté

En cette période de vacances scolaires et surtout parce que le temps quasi-printannier s’y prête, le parc de la Lère connaît un regain de fréquentation. Ce lieu de détente et d’oxygénation entre Caussade et Monteils est une destination loisirs et promenades pour nombre d’habitants de ce secteur du Quercy. Hier après-midi c’était le cas et il y avait du monde surtout autour de l’aire de jeux. Celle-ci est bordée par un des trois plans d’eaux ou lacs qui caractérise le parc. Il y avait notamment là une famille de Saint-Cirq. Et pratiquant le vélo, non loin de son père, un petit garçon de trois ans s’est aventuré vers les bords du lac (moyen). On ne sait pas comment, toujours est-il qu’il a fait une chute de son deux-roues. Qui s’est prolongée en direction des eaux froides de cette pièce d’eau. Heureusement une personne présente sur place a été témoin visuel de cet incident. Et rapidement a plongé dans l’eau pour ramener le bambin sur le bord. L’alerte était donnée vers les sapeurs-pompiers de Caussade et une équipe du Samu 82 qui arrivaient rapidement sur place pour procéder aux massages cardiovasculaires du petit garçon. Après quelques minutes d’efforts le pouls reprenait et l’on estimait que l’enfant était en bonne voie de rétablissement. Eu égard à son séjour dans l’eau, au choc thermique déclenché et en raison de son jeune âge il était décidé de faire appel à l’hélicoptère du SAMU 31 qui décollait de Toulouse et avant 18h45 venait prendre le petit garçon pour le diriger vers l’hôpital des enfants au CH Purpan à Toulouse pour les soins appropriés.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/11/1836263-monteils-un-enfant-de-trois-ans-heliporte.html

La Chaux-du-Dombief: dans un état critique après un accident

Ce lundi, vers 7 heures, les sapeurs-pompiers de Saint-Laurent-en-Grandvaux ont été alertés suite à un accident de la circulation. Un jeune automobiliste qui circulait, route du Pic de l’aigle, sur la commune de La Chaux-du-Dombief, a terminer sa course au fond d’un ravin, après avoir glissé sur une plaque de neige verglacée.

Désincarcéré puis médicalisé, il a été évacué par hélicoptère, vers 9h25, dans un état critique sur centre hospitalier de Besançon.

http://www.leprogres.fr/jura/2014/03/10/chaux-du-dombief-dans-un-etat-critique-apres-un-accident

lundi 10 mars 2014

Accident du travail à Sarcelles

Un homme de 51 ans a fait une chute d’environ 7 mètres, ce lundi après-midi, vers 14 h 25, au centre My Place, à Sarcelles. Ce technicien d’une entreprise de climatisation de Seine-et-Marne travaillait sur le toit du magasin , lorsque la nacelle sur laquelle il travaillait s’est décrochée du mur. La victime serait originaire de Courrières (Pas-de-Calais).                                        
Elle a été transportée à l’hôpital Beaujon, à Clichy (Hauts-de-Seine). Son pronostic vital est engagé.


http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/sarcelles-sa-nacelle-se-decroche-l-ouvrier-chute-de-7-m-10-03-2014-3660263.php

Puy-de-Dôme. dramatique accident, la passagère de 18 ans tuée

Un dramatique accident de la route, s'est produit dans la nuit de samedi à dimanche, dans le secteur de Thiers (Puy-de-Dôme). Un jeune homme, voulant échapper à un contrôle de gendarmerie, a percuté un arbre de plein fouet. Sa passagère, une Thiernoise âgée de 18 ans, n'a pas survécu au choc.
Le conducteur, lui aussi domicilié à Thiers, est blessé. Il a été transporté au CHU dans un état grave, même si son pronostic vital ne semble pas engagé.
Une patrouille qui circulait dans le secteur avait repéré le véhicule roulant à vive allure après avoir brûlé un feu rouge. Pris en chasse, le jeune homme s'est d'abord arrêté. Mais lorsque les militaires sont arrivés à sa hauteur, il a redémarré en trombe, avant de percuter un arbre un peu plus loin.

http://www.leprogres.fr/france-monde/2014/03/10/il-tue-sa-passagere-en-voulant-eviter-les-gendarmes

Saône-et-Loire : un accident sur la RCEA fait un mort et trois blessés

L’accident a eu lieu vers 15h20, à la hauteur de la commune de Blanzy, a indiqué le Codis 71 (centre opérationnel départemental d'incendie et de secours). Il s’est produit au niveau de la sortie Blanzy centre-ville. Les médecins du SMUR, près d’une trentaine de pompiers et cinq ambulances ont été dépêchés sur les lieux.

Les secours ont constaté que la collision avait fait un mort. On déplore aussi trois blessés légers, qui ont été transportés au centre hospitalier de Montceau-les-Mines. Les victimes sont tous membres d’une même famille arménienne. L’accident a provoqué d’importants embouteillages sur la Route Centre-Europe Atlantique, qui est un axe très fréquenté.


http://bourgogne.france3.fr/faits-divers

Agen : il conduit les policiers à sa réserve de drogue

Si seulement tout pouvait toujours être aussi simple, cela pourrait faciliter bon nombre de procédures.
Vendredi, vers 15 heures, un Agenais de 30 ans a été interpellé par la police alors qu'il roulait sans inquiétude après avoir préalablement embouti une voiture boulevard Carnot, à Agen. Le conducteur, de toute évidence contrarié de s'être fait prendre, a commencé à se rebeller et à insulter copieusement les forces de l'ordre, après avoir été contrôlé positif à l'alcool.
Non content de ces premières effusions, l'homme à la langue visiblement bien pendue, s'est vanté d'être un gros trafiquant de drogue et de posséder de la cocaïne à son domicile. Information que les policiers se sont bien entendu chargés de vérifier, en se rendant par deux fois chez ce soi-disant Pablo Escobar agenais, par ailleurs bien connu des services de police.
Et effectivement, à l'endroit indiqué par le trentenaire, à savoir le faux plafond de son appartement, les policiers ont découvert la drogue, 300 grammes de résine de cannabis.
Une perquisition fructueuse dont les voisins de cet homme se souviendront puisqu'en procédant à la fouille du domicile, une canalisation d'eau a été perforée, entraînant une coupure qui a duré quelques heures.
Placé en garde à vue dès vendredi, l'individu a été déféré au parquet le lendemain après-midi, et écroué dans la foulée. Il sera jugé ce lundi, à 10 h 30, devant le tribunal correctionnel en comparution immédiate

http://www.sudouest.fr/2014/03/10/il-conduit-les-policiers-a-sa-reserve-de-drogue-1485825-3603.php

Noyée dans sa piscine

C'est son mari qui a découvert le corps ce lundi matin. Une enquête est ouverte

ne femme de 55 ans, dont l'identité n'a pas été révélée, a été découverte ce lundi, vers 9 heures, noyée dans la piscine de sa maison de Breuillet. La quinquagénaire y vivait avec son mari. C'est d'ailleurs lui qui a fait la découverte, ce lundi matin, et qui a prévenu les gendarmes.  
Apparemment, la femme, qui était habillée, ne portait ni blessure ni trace de coups. A la demande du parquet, le corps sera autopsié.
La gendarmerie de La Tremblade a ouvert une enquête.

http://www.sudouest.fr/2014/03/10/breuillet-17-une-femme-de-55-ans-se-noie-dans-sa-piscine-1486476-1268.php

Drame familial de Montaner (64) : 25 ans de prison pour Xavier Angély

Xavier Angély était jugé depuis mercredi dernier pour le meurtre de son épouse et tentative de meurtre sur ses deux enfants. Dans la nuit du 23 au 24 février 2012, le corps de Sandra Pouts avait été retrouvé lardé de 26 coups de couteau. Les deux enfants, alors âgés de 9 et 6 ans, avaient pu échapper au feu qui avait été allumé à deux endroits de la maison familiale.
Le verdict est tombé ce lundi en début d'après-midi : l'homme écope de 25 ans de réclusion, dont 18 ans de peine de sûreté. Le retrait total de l'autorité parentale a également été décidé.
L'avocat général Jean-Christophe Muller avait requis ce lundi matin 30 ans de réclusion criminelle dont 20 ans de sûreté.

http://www.sudouest.fr/2014/03/10/drame-familial-de-montaner-64-25-ans-de-detention-pour-xavier-angely-1486457-4299.php

Labastide-Beauvoir. La conductrice sauvée par un crucifix

Mardi matin vers 9 h 00 un accident a eu lieu au croisement des RD38 et RD2 à l’entrée de la commune. Une conductrice qui a perdu le contrôle de son véhicule dans le virage a percuté un crucifix. Bien que spectaculaire, cet accident n’a heureusement pas fait de victime. En revanche le monument commémorant une mission ecclésiastique de 1944 n’en est pas sorti indemne.
«C’est une partie de notre patrimoine qui a été détruit. Le crucifix est brisé en quatre morceaux et le piédestal est totalement détruit. Nous recherchons un artisan soudeur qui pourra réparer cette croix qui commémore une mission organisée par l’abbé Barrière, en présence du cardinal Monseigneur Saliège durant laquelle les paroissiens ont prié pour la paix et la fin des hostilités» a expliqué le maire. «Ce monument sera reconstruit à l’identique. Il fait partie de notre histoire. Il aura permis d’empêcher le véhicule de basculer dans le fossé et de finir par des tonneaux» a-t-il conclu.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=21275&WS=291720_2501986&WA=3993

Saint-Jean-de-Luz. Une septuagénaire périt dans l’incendie du Grand Hôtel

Une septuagénaire a péri et une trentaine de personnes ont été évacuées, sans qu'il y ait de blessés, lors d'un incendie, tôt lundi au Grand hôtel de Saint-Jean-de-Luz. Le feu n'était toujours pas maîtrisé peu après 9 heures.

Une soixantaine de pompiers sont engagés depuis 5 heures du matin, contre l'incendie qui a pris au Grand hôtel de Saint-Jean-de-Luz. Une septuagénaire a péri lors de cet incendie, qui n'était pas maîtrisé peu après 9 heures, a-t-on appris auprès des pompiers. Une trentaine de personnes ont été évacuées, sans qu'il y ait de blessés. La victime est décédée dans des circonstances encore non précisées, lors de l'évacuation du bâtiment composé pour partie d'appartements de standing aux étages supérieurs.
 

Un Carmausin de 13 ans se tue en scooter

Un jeune habitant de Carmaux âgé de 13 ans est décédé des suites de ses blessures, hier dans l’après-midi, à l’hôpital des enfants de Purpan à Toulouse. L’accident à l’origine de son décès s’est produit samedi à 21h50 à Carmaux. Un cyclomoteur avec à son bord le mineur de 13 ans et un conducteur âgé de 17 ans et lui aussi Carmausin, a heurté un véhicule à l’intersection du chemin de la Vente et de la rue du Pré Grand. Les deux jeunes ont été immédiatement transportés à l’hôpital d’Albi mais l’état grave du plus jeune a amené à son transfert immédiat à l’hôpital Purpan à Toulouse. Le conducteur blessé mais dont les jours ne sont pas en danger se trouve toujours au CH d’Albi. L’enquête est en cours pour connaître les circonstances exactes de l’accident. Elle est confiée à la brigade accident du commissariat de Carmaux.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/10/1835853-carmaux-un-carmausin-de-13-ans-se-tue-en-scooter.html

Tragique accident à Corbarieu

Un tragique accident de la route, survenu hier, à Corbarieu, a coûté la vie à un habitant de Reyniès. Vers 6 heures, alors qu’il circulait dans le sens Montauban-Corbarieu, Alexandre Penchenat, 33 ans, seul au volant de sa voiture, a soudainement perdu le contrôle de sa Volkswagen Polo noire, en négociant une légère courbe à droite. Le véhicule a traversé la chaussée et a heurté de plein fouet la buse d’un fossé, à l’entrée d’une maison de Corbarieu, située au 740 route de Montauban. La voiture a rebondi sur l’obstacle et a terminé sa course une vingtaine de mètres plus loin, s’immobilisant sur le flanc gauche, au milieu de la chaussée, Le malheureux conducteur a été éjecté sous la violence du choc.
Réveillé par le fracas de l’accident, un riverain a aussitôt prévenu les secours. Les sapeurs-pompiers de Corbarieu, de Villebrumier et de Montauban sont intervenus, ainsi que le SAMU pour prodiguer sur place les premiers soins d’urgence. L’automobiliste était très grièvement blessé.

Héliporté dans un état critique

Très vite, les secours ont fait appel à l’hélicoptère. L’appareil du SAMU s’est alors posé sur le stade de Corbarieu où le blessé a été transféré. Il a été ensuite évacué vers l’hôpital de Toulouse-Rangueil, dans un état critique. Alexandre est mort en fin de matinée, des suites de ses graves blessures.
Pierre Bonnefous, maire de Corbarieu s’est rendu hier matin sur les lieux de l’accident. Ainsi que le capitaine Claude Vergne, pour la compagnie de gendarmerie de Montauban et ses hommes de la COB de Grisolles et Villebrumier. Une enquête a été ouverte pour tenter d’élucider les circonstances exactes de ce nouveau drame de la route.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/10/1835541-corbarieu-un-automobiliste-se-tue-sur-la-route.html

dimanche 9 mars 2014

Boissy-Saint-Léger : un adolescent se pend après une dispute

Ce serait une banale dispute entre un adolescent de 13 ans et sa famille qui aurait viré au drame, ce dimanche midi dans la cité de la Haie-Griselle à Boissy-Saint-Léger (Val-de-Marne). D’après les premiers éléments, le jeune garçon se serait violemment querellé avec ses proches peu avant midi. Sous la colère, il a brutalement quitté l’appartement familial pour se réfugier dans un local poubelles où il se serait pendu.

 Découvert sans vie quelques instants plus tard, il a été réanimé par le Samu et les sapeurs-pompiers avant d’être acheminé vers l’hôpital du Kremlin-Bicêtre dans un état jugé critique par les médecins.

http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/boissy-saint-leger-un-adolescent-se-pend-apres-une-dispute-09-03-2014-3656979.php

Roubaix : incendie d’appartement samedi soir, un mort

Il est environ 20 heures samedi, Roger et son épouse regardent les infos alors que leur petite-fille dort. Deux explosions la réveillent, Roger sort sur le balcon et voit ses voisins de la rue d’en face : « ils m’ont dit qu’il avait le feu en dessous ! » Au premier étage de la résidence Les Muséales donnant sur la rue des Champs près du musée de la Piscine de Roubaix, un feu est en train de détruire un appartement. Roger prévient les secours avant de quitter l’immeuble.
« Quand nous sommes arrivés, une femme, brûlée à la tête et aux mains, nous a prévenu qu’une personne se trouvait à l’intérieur, explique le commandant des opérations de secours. Nous avons mis une lance à l’intérieur et une à l’extérieur mais il était déjà trop tard, l’incendie avait tout détruit. Malgré nos efforts, l’homme n’a pas survécu. »
Selon les habitants de cette résidence, nombreux sur le square Jean-Pennel, cet homme d’une soixantaine d’années était venu rendre visite à son amie. Il n’habite pas là et n’est pas Roubaisien.
Son amie, hospitalisée au centre hospitalier de Roubaix, a été portée par un étudiant vivant au quatrième étage : « nous avons été prévenus pour une jeune fille (la petite-fille de Roger) qui a sonné à toutes les portes et en descendant, nous avons vu cette dame qui voulait aller chercher son ami dans l’appartement mais il y avait beaucoup de fumée donc je l’ai portée pour qu’elle sorte et soit à l’abri. »
Le feu ne s’est pas propagé aux autres logements grâce à la rapidité d’intervention des pompiers, comme l’attestent les témoins, et grâce à la présence d’un balcon qui a limité l’extension de l’incendie. Au total, 27 sapeurs pompiers étaient présents et les appartements devaient être aérés. Un élu de Roubaix était sur place. La police va ouvrir une enquête pour déterminer les circonstances de la mort de cet homme, grâce notamment au témoignage de son amie qui doit d’abord être soignée de ses blessures.

                    http://www.lavoixdunord.fr/region/roubaix-un-homme-meurt-dans-un-incendie-d-appartement-ia24b58797n1973101

Tassin-la-Demi-Lune : un homme retrouvé mort en centre-ville

C’est un automobiliste qui a vu l’homme s’effondrer sur le trottoir ce dimanche matin, avenue de la République à Tassin-la-demi-Lune.
Malgré l’intervention des secours, le cinquantenaire n’a pas pu être réanimé. Les gendarmes de la brigade de Tassin s’orientent vers la piste du malaise cardiaque. Une autopsie sera toutefois réalisée ce lundi.

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/03/09/tassin-la-demi-lune-un-homme-retrouve-mort-en-centre-ville

Elle se jette du 8° étage pour échapper aux flammes

Une femme d'une trentaine d'années s'est tuée ce matin dans une cité de Besançon en sautant par la fenêtre du 8e étage de son immeuble, où un incendie s'était déclaré. Elle a sauté peu avant l'intervention des pompiers, qui étaient pourtant arrivés "rapidement" sur place, a précisé le secrétaire général de la préfecture du Doubs, Joël Mathurin, interrogé par l'AFP.

La police a ouvert une enquête. Une cellule psychologique a été mise en place par la préfecture et la mairie pour les habitants du quartier, choqués.

L'origine du sinistre, qui a été rapidement maîtrisé, est encore inconnu. La fumée s'étant propagée dans plusieurs étages, "15 personnes, dont 7 enfants", ont été hospitalisées au CHU de Besançon et une cinquantaine de personnes ont été évacuées, selon les pompiers.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/09/97001-20140309FILWWW00118-elle-se-tue-en-voulant-echapper-aux-flammes.php

Rodéo à Bordeaux-Bacalan : le jeune motard accidenté n'a pas survécu

Un jeune pilote de deux roues a été percuté par une voiture samedi après-midi dans le quartier Bacalan. Il n'a pas survécu. 
Un jeune pilote de deux roues a été percuté par une voiture samedi après-midi dans le quartier Bacalan
Le jeune n'a pas survécu. Il est décédé cet après midi rue Brunet à Bordeaux.
Selon les premiers témoignages recueillis par la brigade des accidents et délits routiers du commissariat de Bordeaux, le jeune faisait un rodéo.
Juché en équilibre sur la roue arrière, il n'a pu éviter le choc avec une voiture qui tournait dans sa direction.
Choqué suite à l'accident, le conducteur, un nonagénaire bordelais a été ramené à l'hôtel de police pour être entendu. Le jeune à deux roues n'a pu être sauvé par les secours appelés à son chevet.

http://www.sudouest.fr/2014/03/08/bordeaux-accident-a-bacalan-le-jeune-motard-n-a-pas-survecu-1485068-7.php

Marcilhac-sur-Célé. La mort après une chute de cent mètres

Hier matin, depuis une falaise surplombant Marcilhac-sur-Célé, une voiture a basculé dans le vide et fait une chute de 100 m. La conductrice, une Lotoise de 46 ans, a été tuée sur le coup.
La falaise de Marcilhac-sur-Célé est un lieu connu des randonneurs. Le site est impressionnant avec ce mur calcaire haut de 140 m dont la paroi, par endroits abrupte, plonge jusqu’au village en contrebas.

Le drame qui a coûté la vie à une Lotoise, hier matin vers 8 h 30, s’est déroulé au bout de la petite route qui grimpe jusqu’à son point culminant, là où s’élève un relais de télévision. Dans des circonstances qui restent encore à établir, le véhicule que conduisait cette femme âgée de 46 ans et originaire du secteur, a brusquement basculé dans le vide. Le seul témoin de ce tragique accident est un pêcheur qui pour cette journée d’ouverture à la truite, avait choisi d’installer ses cannes en bordure du Célé, au lieu-dit «le Pont», face à la falaise. L’homme a sursauté en entendant un énorme fracas avant de voir la voiture tomber, se fracasser sur les rochers. Le véhicule a fait un plongeon d’une centaine de mètres environ pour s’immobiliser à flanc de paroi dans des arbres. Malgré le choc de ces images, le témoin se reprend et donne l’alerte.
Les sapeurs-pompiers du Grimp, le Groupe d’intervention en milieu périlleux de Cahors, sont mobilisés car l’accès à la victime est très difficile. Les secours sont une vingtaine sur le site venant des centres de Cajarc, Gramat, Labastide-Murat, les Quatre-Routes, Luzech et Lalbenque. Il y a aussi sur les lieux le Samu de Figeac et les gendarmes.
Les hommes du Grimp, utilisant les techniques de l’alpinisme, sont descendus en rappel jusqu’au véhicule accidenté à peine visible au milieu des branchages. Ils découvriront la victime à quelques mètres ; éjectée, la conductrice est morte sur le coup. Il a fallu aux pompiers de longues heures d’efforts pour pouvoir redescendre son corps jusqu’à la route en contrebas. La dépouille a été ensuite remise à la famille. Le drame a bouleversé les sauveteurs et endeuillé toute une famille.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/09/1835196-la-mort-apres-une-chute-de-cent-metres.html

Un jeune homme perd la vie dans sa voiture en flammes

PASSY-GRIGNY (51). L'accident s'est produit ce samedi soir vers 20 h 30. Pour une raison encore indéterminée, le conducteur d'un véhicule qui circulait sur la RD 980 entre Ville-en-Tardenois et Passy-Grigny a fait une sortie de route. Sa voiture a violemment percuté un arbre. Le choc a été terrible. Au point que le jeune homme de 23 ans, grièvement blessé, a perdu la vie.
Peu après l'impact, son véhicule a pris feu. Des automobilistes témoins de la scène se sont arrêtés pour lui porter secours. Ils ont courageusement sorti le conducteur des flammes mais celui-ci était déjà en arrêt cardio-respiratoire.

Les pompiers de Romigny sont intervenus pour combattre l'incendie. Le Samu, de son côté, n'a pu que constater le décès du jeune homme. Sur place, les gendarmes ont procédé aux premières constatations. Ils vont maintenant tenter de déterminer ce qui a conduit le véhicule a quitter brusquement la route.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/un-jeune-homme-perd-la-vie-dans-sa-voiture-en-flammes-ia0b0n312445

Accident en Haute-Saône : un mort, un blessé en état critique

Un dramatique accident de la route s'est produit ce dimanche matin vers 9 h 30 en Haute-Saône à hauteur de la commune de Corbenay. Une voiture, conduite par une jeune femme de 26 ans,a quitté la chaussée dans une courbe avant de piquer dans un champ et de terminer sur le toit.  Quatre personnes, deux jeunes gens et deux jeunes femmes, tous âgés de moins de 30 ans, se trouvaient alors à bord. Une passagère d'environ 18 ans a été éjectée à près de 80 mètres. Elle n'a pas survécu. Un autre occupant était en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des secours. Il a pu être ranimé mais son pronostic vital était engagé lors de son évacuation. La conductrice, polytraumatisée, a été prise en charge par l'hélicoptère Dragon 25. Le quatrième occupant est également gravement blessé. De très importants moyens de secours ont été déployés sur les lieux.
Toutes les victimes sont originaires des villages des environs dont Vauvillers et Fontenoy-la-Ville.


http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/03/09/accident-mortel-en-haute-saone

Une nonagénaire décède dans un incendie

Une nonagénaire a été retrouvée morte dimanche matin par les marins-pompiers de Marseille qui sont intervenus sur l'incendie de son domicile dans le 8e arrondissement de la ville, a-t-on appris auprès des secours.

Le corps de cette femme âgée de 95 ans a été découvert peu avant 10 heures dans son appartement situé au 1er d'un immeuble de 6 étages, a indiqué la même source. L'origine de l'incendie n'a pas été précisée


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/09/97001-20140309FILWWW00075-marseille-une-nonagenaire-decede-dans-un-incendie.php

Tué par balle, son père en garde à vue

Un homme de 29 ans a été tué par balle dans la nuit de samedi à dimanche à Ondes (Haute-Garonne) et son père, avec qui il s'était disputé lors d'une soirée familiale, a été placé en garde à vue. Le jeune homme a été atteint d'une balle tirée par un fusil de calibre 22 long rifle et a succombé vers 1 heure.

D'après les premiers éléments de l'enquête, le père de 59 ans et son fils se sont disputés lors d'une réunion familiale et amicale dans la salle des fêtes de ce petit village de 700 habitants, à 25 km au nord-ouest de Toulouse. "A l'issue de cette dispute, le père a regagné son domicile et le fils l'y a rejoint. Une nouvelle dispute a alors éclaté" et le coup de feu mortel a été tiré, explique le procureur de la République de Toulouse.

Le procureur n'a pas souhaité s'avancer sur l'origine de la dispute, tout en soulignant que "bien souvent, les motifs de telles disputes paraissent bien dérisoires au regard des conséquences".

Les gendarmes de la brigade de recherches de la compagnie de Toulouse Mirail ont été chargés des investigations et conduisaient dimanche les auditions du père en garde à vue. Ce dernier pourrait être déféré dès lundi au tribunal de grande instance de Toulouse en vue de son éventuelle mise en examen, alors même que sera procédé à l'autopsie de son fils.

Le village d'Ondes, situé à la frontière avec le Tarn-et-Garonne, avait été en 1972 le théâtre d'un fait divers retentissant: un couple d'anglais avait été retrouvé égorgé dans les vignes. Un Toulousain et son neveu avaient été condamnés à mort en 1976, une peine commuée en réclusion criminelle à perpétuité en 1977


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/09/97001-20140309FILWWW00076-tue-par-balle-son-pere-en-garde-a-vue.php

vendredi 7 mars 2014

Carcassonne : la femme qui menaçait de sauter du clocher reçue en préfecture

Christian Dubosts, la femme de 51 ans qui menaçait de se jeter du haut du clocher de l'église Saint-Vincent à Carcassonne, est reçue en ce vendredi après-midi à la préfecture de l'Aude où elle doit rencontrer le préfet en personne pour évoquer son dossier. Mme Dubosts est descendue volontairement du clocher de 54 m vers 11 h 30 ce matin, après y avoir dormi cette nuit et avoir alerté la presse et les autorités, par mail, ce matin. Vers midi, elle avait eu une première entrevue, dans l'église, avec la chef de cabinet du préfet qui a organisé le rendez-vous avec les représentants de l'Etat.
Constructeur en faillite et insolvable Christiane Dubosts a été condamnée définitivement par la Cour de cassation à rembourser un prêt bancaire contracté pour faire construire une maison, il y a une dizaine d'années. Le constructeur n'a pas terminé le bâtiment et a été placé en liquidation judiciaire, déclaré insolvable. Mais la banque a exigé le remboursement du prêt, qui se monte au total à 220 000 euros. "Je veux aller au bout et dénoncer cette injustice", a indiqué Mme Dubosts dans la matinée, lors d'une conférence de presse improvisée au sommet du clocher. Elle estime que seul le préfet peut l'aider à se sortir de l'imbroglio juridique dans lequel se débat cette mère de trois enfants.

Les pompiers, la police nationale et la police municipale s'étaient rendus aux pieds de la tour de l'église St Vincent. L'adjoint au maire charge de la sécurité était également sur les lieux.

http://www.lindependant.fr/2014/03/07/carcassonne-perchee-a-54-m-pour-denoncer-un-deni-de-justice,1856396.php

Marssac-sur-Tarn. Six commerces cambriolés en une nuit

 Marssac, c’est la consternation qui domine chez les commerçants cambriolés. Dans la nuit de mardi à mercredi, trois boulangeries, deux salons de coiffure et le local d’un informaticien ont été la cible de malfaiteurs. Ces commerces sont tous situés dans le centre-ville entre l’avenue d’Albi, l’avenue de Toulouse, et la place de l’Église. Avenue d’Albi, les voleurs ont forcé sans succès la porte d’un coiffeur. Juste en face, ils arrivent à entrer par effraction dans le local d’un informaticien. À l’étage, ils emportent quelques ordinateurs avant de descendre dans le fournil de la boulangerie mitoyenne. Ils repartiront seulement avec deux pizzas. Le périple se poursuit dans la boulangerie de l’avenue de Toulouse. Là encore, ils font sauter la serrure mais repartent bredouilles car la caisse est vide. Les malfaiteurs sont en tout cas très discrets. Même le boulanger qui dort à étage n’a rien entendu. Le butin est aussi maigre au salon de coiffure de la place de l’Église. «Ils sont repartis avec une trentaine de shampoings, de produits de beauté et des serviettes, raconte Delphine Goxe. La gérante ne cache pas son agacement ; «À quoi ça sert de forcer une porte pour des serviettes ? ça nous fait perdre du temps, hier j’ai dû décaler des rendez-vous et maintenant je dois changer la porte.» Même si le préjudice du vol n’est pas très important, les ouvertures des commerces sont très dégradées. Dans la boulangerie proche de l’école primaire, on a remplacé la porte par une planche en bois. Cette fois, pour «quelques bonbons et des gâteaux» dérobés. Les enseignes n’étaient pas équipées d’alarme et pour l’instant, les enquêteurs ne disposent d’aucun témoignage.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=21138&WS=291720_2501986&WA=3978

Gard : une panthère noire perchée sur un mur

Drôle de vision mercredi dans le centre de La Calmette dans le Gard.
Frédéric F., lecteur de Midi Libre, a eu une drôle de vision mercredi dans les rues du centre de La Calmette. En effet, sur le chantier d’une maison, il a aperçu une panthère noire posée sur un mur.
Était-elle en train de faire le guet ? Allait-elle provoquer une belle panique parmi les passants ? Renseignements pris, l’animal n’était qu’en peluche. Ce sont les ouvriers du chantier qui ont mis la main sur ce félin inoffensif et ont trouvé insolite et rigolo de l’installer sur un mur.

http://www.midilibre.fr/2014/03/06/gard-une-panthere-noire-perchee-sur-un-mur,831203.php

jeudi 6 mars 2014

Mort de l'ancien procureur de Paris J.P Dintilhac

L'ancien procureur de Paris et avocat général près la Cour de cassation Jean-Pierre Dintilhac est décédé à l'âge de 70 ans, dans la nuit de mercredi à jeudi, a un porte-parole de la Cour de cassation.

Né le 15 mars 1943 à Paris, il avait été directeur de cabinet du ministre de la Justice socialiste Henri Nallet (1990-1991) et avait terminé sa carrière en 2008 comme président de la deuxième chambre civile de la Cour de cassation (2006-2008).

Il avait auparavant exercé les fonctions de directeur de l'Administration pénitentiaire (1988-1990), de directeur de la Gendarmerie nationale (1991-1993) et d'avocat général près la Cour de cassation (1994-1998). Il était officier de la Légion d'honneur et commandeur de l'ordre national du Mérite


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/06/97001-20140306FILWWW00337-deces-de-l-ancien-procureur-de-paris-jp-dintilhac.php

Journée noire en montagne, un enfant de 7 ans muni d'un casque meurt percuté sur une piste

Un garçon est mort jeudi après avoir été percuté par un skieur de 16 ans sur une piste bleue dans les Hautes-Alpes. Par ailleurs, un alpiniste français a été emporté par une avalanche dans les Alpes italiennes et un skieur disparu depuis deux jours dans le Vercors a été retrouvé mort.

Malgré l'intervention de ssecours, le garçon est décédé une heure après son accident des suites de ses blessures. La jeune victime, un rennais de 7 ans, a été percuté jeudi midi par un autre skieur sur une piste bleue de la station de la Joue-du-Loup, dans les Hautes-Alpes, ont indiqué les gendarmes et le parquet. L'enfant, qui portait un casque, descendait la piste bleue "La Gaudy" lorsqu'il a été percuté par un skieur de 16 ans, originaire d'Amiens.
Le parquet de Gap a ouvert une enquête "pour définir les circonstances exactes de l'accident et déterminer une éventuelle faute pénale", a indiqué à  l'AFP Emmanuelle Porelli, substitut du procureur. L'enquête a été confiée au peloton de gendarmerie de haute montagne de Briançon et à la brigade de recherches de Gap. Des constatations techniques, analyses toxicologiques et auditions de témoins doivent notamment être menées.
Deux autres victimes en montagne sont à déplorer ce jeudi. Un alpiniste français de 35 ans a été emporté par une avalanche dans l'après-midi dans les Alpes italiennes. C'est son épouse, française également, qui a donné l'alerte, après avoir réussi à sortir indemne de l'avalanche, survenue à Cesana, dans le haut Val d'Aoste. A l'arrivée des secours, l'homme était en hypothermie et en arrêt cardiaque. Un skieur normand de 57 ans, disparu dans le Vercors depuis mardi, a en outre été retrouvé mort jeudi après deux jours de recherches. Son corps a été retrouvé à une centaine de mètres du lieu de sa disparition au fond d'une dépression de 100 mètres de profondeur. Il était enseveli sous 80 centimètres de neige.
 

Il refusait de couper l'eau : un ancien salarié de Veolia devant les Prud'hommes

Marc Fazio, salarié de Veolia pendant 20 ans, a refusé de couper l'eau de nombreux foyers après des impayés. Licencié en 2013, il est ce jeudi devant les Prud'hommes pour contester ce renvoi.

"Moi j'étais contre, je l'ai toujours dit" affirme Marc Fazio sur LCI. Cet ancien employé de Veolia comparait ce jeudi, devant les Prud'hommes pour contester son licenciement. Il a refusé de procéder à des coupures d'eau auprès de centaines voire de milliers de foyers, après des impayés. "J'ai demandé plusieurs fois à changer de service" affirme t-il. "On l'a toujours refusé, pour des raisons internes à Veolia, sans donner d'arguments".
La direction de l'entreprise de distribution d'eau émet un tout autre jugement sur cette affaire. Selon Bruno Chaloin, directeur Veolia Centre Gard-Provence-Lozère, se serait l'échec d'une négocation salariale en 2009 qui aurait poussé Marc Fazio à la désobéissance. "Cette situation a perduré de 2009 à 2013 et on a constaté qu'il n'y avait pas d'accord possible avec Mr Fazio" explique Bruno Chaloin.
Face au licenciement de ce salarié, le Collectif de l'eau d'Avignon pour qui "l'eau n'est pas une marchandise", le défend. Pour sa présidente, Marcelle Landeau,  Marc Fazio est "un lanceur d'alerte". Aujourd'hui devant les Prud'hommes, Marc Fazio va demander sa réintégration dans l'entreprise.