C'est une vidéo dont tout le monde parle mais que personne n'a
vue. Elle n'aurait été diffusée que quelques minutes sur le Net mais son contenu
supposé est pris au sérieux par la police de Sète, dans
l'Hérault. Elle montrerait un homme armé qui envisagerait de faire un carnage
vendredi dans un lycée de la ville, le lycée Joliot-Curie. Réelle menace ?
Simple rumeur ? Vendredi matin, en tout cas, les accès de cet établissement
avaient été sécurisés alors que le commissariat a reçu de nombreux appels de
parents angoissés. Une précision, cette rumeur serait née quelques jours après
la tuerie de
Newton.
"Il s'agit sûrement d'une plaisanterie. Nous n'avons pas vu la vidéo en question qui a été retirée très vite et nous n'avons parlé à personne qui l'a regardée", affirme le commissaire de police Caroline Belda. Elle ajoute : "Certains élèves ne voulaient peut-être pas aller à l'école car c'est le dernier jour avant les vacances". Et la commissaire de constater que, dans le doute, certains parents avaient décidé ce vendredi matin de ne pas envoyer leurs enfants au lycée.
La police de Sète, a encore expliqué la commissaire, "ne pouvait faire faire l'impasse" sur cette rumeur. Ainsi, par précaution, une "bonne dizaine" de policiers en civil et en uniforme ont été placés à proximité de ce lycée, alors que le proviseur a été invité a renforcé le dispositif de contrôle aux entrées. Des forces ont également été mises en réserve en cas de besoin. Une enquête va être ouverte pour essayer de trouver l'auteur de cette vidéo, a indiqué le commissaire Belda.
Lire aussi : Après Newtown, une élève préparait une nouvelle tuerie
"Il s'agit sûrement d'une plaisanterie. Nous n'avons pas vu la vidéo en question qui a été retirée très vite et nous n'avons parlé à personne qui l'a regardée", affirme le commissaire de police Caroline Belda. Elle ajoute : "Certains élèves ne voulaient peut-être pas aller à l'école car c'est le dernier jour avant les vacances". Et la commissaire de constater que, dans le doute, certains parents avaient décidé ce vendredi matin de ne pas envoyer leurs enfants au lycée.
La police de Sète, a encore expliqué la commissaire, "ne pouvait faire faire l'impasse" sur cette rumeur. Ainsi, par précaution, une "bonne dizaine" de policiers en civil et en uniforme ont été placés à proximité de ce lycée, alors que le proviseur a été invité a renforcé le dispositif de contrôle aux entrées. Des forces ont également été mises en réserve en cas de besoin. Une enquête va être ouverte pour essayer de trouver l'auteur de cette vidéo, a indiqué le commissaire Belda.
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