lundi 3 février 2014

Affaire Hollande/Gayet : Closer dément la folle rumeur

Depuis la publication des photos révélant la liaison entre François Hollande et Julie Gayet le 10 janvier dernier, le magazine Closer est au centre de l'attention. Ce matin encore, Laurence Pieau, la directrice de la rédaction du magazine, s'exprimait au micro d'Europe 1, et a répondu aux questions de Jean-Marc Morandini, dans Le Grand Direct des Médias. Le journaliste est revenu sur la fameuse Une et a demandé à la patronne de Closer de revenir sur son choix publier les photos, ou non : "Quand on sort une histoire comme ça, on y réfléchit évidemment un peu. C'est pas moi toute seule qui y suis allée (…) Il y a un groupe derrière qui a une culture journalistique qui nous permet de sortir ce genre d'histoire à partir du moment où j'ai une exclu et où les principaux intéressés sont au courant. Je fais mon job et on me donne la possibilité de le faire, alors j'y vais".

Durant cet entretien, Laurence Pieau revient également sur l'origine de ces photos, qui ont été prises par le photographe Sébastien Valiela : "On ne traque pas le Président de la République. On a suivi Julie Gayet (…) C'est en suivant Julie Gayet qu'on est arrivé au 20, rue du Cirque, et qu'on a eu beaucoup, beaucoup de chance sur l'histoire parce que tout s'est fait en quelques jours", confie la patronne du magazine.
"On entend dire un milliard de choses"
Jean-Marc Morandini demande ensuite à Laurence Pieau si les informations n'avaient pas été directement données par Julie Gayet, comme une rumeur l'affirme depuis quelques jours : "On entend dire un milliard de choses. Il y a plein de gens très intelligents aujourd'hui qui m'expliquent comment les photos ont été faites, comment je ne me suis pas rendue compte des choses… S'il y a quand même un truc sur lequel je suis un peu au courant, c'est la façon dont les photos ont été faites, dont cette histoire a démarré". L'occasion pour la (...) Lire la suite sur CloserMag.fr

dimanche 2 février 2014

La chouette blanche qui passionne les habitants de Washington

Apparue à Washington il y a une dizaine de jours, une chouette des neiges captivait les habitants de la capitale américaine, avant que celle-ci ne soit percutée par un bus. C'est désormais inquiète que la population attend d'en savoir plus sur son état de santé, pour le moment jugé "stationnaire".

Oubliant pour un temps son amour quasi exclusif pour Bao Bao, le bébé panda né fin août au zoo national, Washington se passionne à présent pour une chouette blanche et ses tribulations, de squares en clinique. La chouette des neiges, magnifique avec son plumage blanc et ses yeux jaunes, avait captivé l'attention des badauds en apparaissant en centre-ville il y a une dizaine de jours. La capitale américaine était alors sous la neige, renforçant le côté irréel de cette venue peu ordinaire pour un animal originaire d'Arctique.
Chacune de ses apparitions, sur un auvent de magasin, un banc de square, une branche d'arbre, était donc dûment chroniquée et photographiée par le Washington Post et sur Twitter, entre autres. Puis malheur, la chouette a été percutée jeudi par un bus de la ville et recueillie au zoo national avant d'être transférée à City Wildlife, une clinique qui soigne les petits animaux sauvages. Là encore, des communiqués sur son état de santé - le doigt d'une patte cassé, du sang dans son bec faisant soupçonner une blessure interne, déshydratation - ont alimenté la chronique.
Vendredi, City Wildlife faisait savoir sur sa page Facebook que le résultat d'examens était attendu la semaine prochaine et que la chouette, une femelle, était dans un "état stationnaire" et "au calme, nourrie et étroitement surveillée".
Le panda Bao Bao toujours dans le cœur des Washingtoniens
Bao Bao dont la gestation, la naissance et la récente première apparition publique ont donné lieu à des reportages sans fin, ne se considére néanmoins pas battue pour régner dans le coeur des Washingtoniens.
Le bébé panda, elle aussi une petite femelle, a ainsi fait savoir vendredi après-midi, par un communiqué de presse de ses gardiens du zoo national, qu'elle "poussait bien et devenait chaque jour de plus en plus active et curieuse".