Monsieur le Préfet,
Je sais combien vous êtes attaché à ce double objectif, comme nous l’a rappelé le Président de la République, d’une part protéger nos concitoyens devant un risque sanitaire majeur auquel notre pays n’a jamais eu à faire face, en particulier protéger les plus fragiles d’entre nous, et d’autre part maintenir une activité économique elle aussi nécessaire pour éviter le désespoir qui finirait par désagréger notre vie sociale. Devant ce double défi le Président de la République a pris des mesures immédiates nécessaires que nous appliquons dans notre département comme sur tout le territoire national, cependant au regard des mesures prises, il apparaît des disparités de traitement insupportables de part leur iniquités, car ces mesures vont condamner beaucoup de nos commerces de proximité qui sont l’essence même de la vie dans nos villes et bourgs. l’Aisne plus que tout autre département est fragilisé économiquement, notre tissu social prêt à ce rompre. Depuis plusieurs années et encore plus depuis quelques mois avec les services de l’Etat, la Banque des Territoires nous mettons tout en œuvre pour faire revivre ces centres urbains. Les collectivités locales investissent et accompagnent fortement les plans de relance de l’Etat et de la Région, tous ces importants moyens mobilisés n’ont qu’un but éviter la mort de nos commerces de proximité. Ils subissent déjà une concurrence inégale de la part de centres commerciaux ou de plateformes de vente en ligne, qui ne sont pas soumis au même charges foncières. L’Aisne pour faire face à des obligations de solidarité sociales comme l’APA ou le RSA, a l’un des taux d’imposition foncier, parmi les plus élevés de France. Monsieur le Préfet,
Je sais combien vous êtes attaché à ce double objectif, comme nous l’a rappelé le Président de la République, d’une part protéger nos concitoyens devant un risque sanitaire majeur auquel notre pays n’a jamais eu à faire face, en particulier protéger les plus fragiles d’entre nous, et d’autre part maintenir une activité économique elle aussi nécessaire pour éviter le désespoir qui finirait par désagréger notre vie sociale. Devant de double défi le Président de la République a pris des mesures immédiates nécessaires que nous appliquons dans notre département comme sur tout le territoire national, cependant au regard des mesures prises, il apparaît des disparités de traitement insupportables de part leur iniquité, car ces mesures vont condamner beaucoup de nos commerces de proximité qui sont l’essence même de la vie dans nos villes et bourgs. l’Aisne plus que tout autre département est fragilisée économiquement, notre tissu social prêt à ce rompre. Depuis plusieurs années et encore plus depuis quelques mois avec les services de l’Etat, la Banque des Territoires nous mettons tout en œuvre pour faire revivre ces centres urbains. Les collectivités locales investissent et accompagnent fortement les plans de relance de l’Etat et de la Région, tous ces importants moyens mobilisés n’ont qu’un but éviter la mort de nos commerces de proximité. Ils subissent déjà une concurrence inégale de la part de centres commerciaux ou de plateformes de vente en ligne, qui ne sont pas soumis au même charges foncières. L’Aisne pour faire face à des obligations de solidarité sociales comme l’APA ou le RSA, a l’un des taux d’imposition foncier, que paient tous nos commerçants, parmi les plus élevés de France .
Devant cette situation Monsieur le Préfet, il apparaît nécessaire de permette à ces commerces: vente de jouets, de vêtements, de chaussures, librairies, et beaucoup d’autres de réouvrir sans délai. Bien sûr l’engagement de respecter les mesures de protection sera si nécessaire encore renforcé, mais ne condamnez pas ces commerces. Soyez assuré Monsieur le Prefet de mon plus profond respect et de mon engagement à vos côtés pour faire de l’Aisne une terre d’avenir. Pascal Tordeux. Vice-Président du Département. que paient tous nos commerçants, parmi les plus élevés de France .
Devant cette situation Monsieur le Préfet, il apparaît nécessaire de permette à ces commerces: vente de jouets, de vêtements, de chaussures, librairies, et beaucoup d’autres de réouvrir sans délai. Bien sûr l’engagement de respecter les mesures de protection sera si nécessaire encore renforcé, mais ne condamnez pas ces commerces. Soyez assuré Monsieur le Prefet de mon plus profond respect et de mon engagement à vos côtés pour faire de l’Aisne une terre d’avenir. Pascal Tordeux. Vice-Président du Département.
samedi 31 octobre 2020
Lettre de Pascal Tordeux à Monsieur le Préfet pour la réouverture des commerces vente de jouets, de vêtements, de chaussures, librairies, et beaucoup d’autres
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