La Teste (33) : il sera jugé pour avoir donné une fausse alerte à la noyade

Un homme de 37 ans sera jugé prochainement devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour avoir lancé une fausse alerte à la noyade et déclenché un important dispositif de recherches et de secours, pour rien.
Le 9 juillet dernier, les pompiers avaient reçu un appel signalant un nageur en difficulté au large de la plage du Pilat.

D’importants moyens avaient alors été engagés pour tenter de localiser et sauver ce baigneur, dont deux embarcations de plongeurs, plusieurs véhicules terrestres, deux hélicoptères de la sécurité civile et de l’armée de l’air ainsi que du personnel médical.
Les recherches étaient restées vaines, et pour cause, il n’y avait pas de nageur en difficulté. C’était une fausse alerte. Les enquêteurs ont remonté la piste de l’appel grâce à la puce d'un portable, avec d’autant plus de difficultés que celui-ci n’était plus en service.
Ils ont finalement identifié et interpellé l’auteur de ce coup de fil qui a d’abord nié les faits avant de les reconnaître, expliquant qu’il était un peu dépressif à ce moment-là.
Il sera jugé pour le délit de « divulgation d’informations fausses de nature à provoquer l’intervention des secours » et pourrait être amené à rembourser tout ou partie des importants frais engagés pour les opérations de secours.

http://www.sudouest.fr/2013/09/20/faits-divers-1174498-4584.php

La comptable se fait voler 32.000 euros

La comptable de l'université Joseph Fourier à Grenoble s'est fait dérober son sac à main mercredi matin, dans lequel elle transportait 32.200 euros en liquide provenant des frais d'inscription des étudiants, a-t-on appris auprès de la police.

Un homme en scooter a menacé la comptable avec une bombe lacrymogène avant de se faire remettre le sac, qui contenait aussi ses papiers d'identité et son téléphone portable, selon la même source, confirmant une information du Dauphiné Libéré.

La comptable se rendait à la banque pour y déposer l'argent. Le vol de cette grosse somme provenant de l'université pourrait être une coïncidence selon la police, car il n'était pas prévu que la victime se rende à la banque ce jour-là. Contactée par l'AFP, l'université Joseph Fourier n'a pas souhaité faire de commentaires, indiquant seulement qu'elle allait déposer plainte. Spécialisée dans les sciences et la santé, elle compte quelque 15.400 étudiants.

 

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/La-comptable-se-fait-voler-32-000-euros-629642

Karim Achoui : Je suis hostile au statut de repenti

Collision mortelle à Coursan : le conducteur en cause était ivre

Les deux véhicules se sont percutés de face, samedi vers 4 h 30 du matin, entre Coursan et Narbonne. Le conducteur qui a perdu le contrôle de sa voiture est décédé sur le coup. Il avait 2,36 grammes d'alcool dans le sang.
Drame de la route, ce samedi aux premières heures du jour, sur la D 6009, à la sortie de Coursan en direction de Narbonne. Vers 4 h 30 du matin, une Renault Megane, que des témoins avaient aperçue zig-zaguant quelques kilomètres avant, a violemment percuté une Peugeot 508 qui arrivait en sens inverse.
Le choc, sur cette longue ligne droite particulièrement accidentogène, a été d'une extrême violence. Le conducteur de la Mégane, dont la voiture s'était déportée sur la gauche, selon les premiers éléments recueillis sur place, a été tué sur le coup. Il s'agit d'un habitant de Lézignan-la-Cèbe, dans le Biterrois, âgé de 34 ans. Son passager, âgé de 24 ans et demeurant à Nissan-lez-Ensérune, a été grièvement blessé.

Délicate opération de désincarcération
Dans le véhicule percuté, un jeune couple de touristes qui quittait le littoral audois pour revenir à son domicile, en Moselle, a été, lui aussi, grièvement blessé. L'homme, âgé de 32 ans, et sa compagne, âgée de 26 ans, avaient décidé de partir tôt, samedi matin, pour éviter les difficultés de circulation.
Les trois blessés ont été pris en charge par les pompiers de Coursan et de Narbonne, qui ont dû procéder à une délicate opération de désincarcération. Les victimes ont évacuées sur le centre hospitalier de la ville. Si toutes trois souffrent de traumatismes graves, aucun pronostic vital n'était engagé, ce samedi matin.
Un suraccident s'est produit quelques instants après le drame, lorsque deux véhicules qui survenaient à cet instant ont percuté les deux voitures enchevêtrées au milieu de la route. Aucun de leurs occupants n'a été blessé. Sur place, les gendarmes de la communauté de brigades de Coursan, le peloton de surveillance et d'intervention et la brigade motorisée de la compagnie de Narbonne ont procédé aux premières constatations, tandis que la circulation était coupée et des déviations mises en place.
Tard dans la soirée de samedi, les analyses de sang, concernant le conducteur tué, ont démontré que celui-ci était en état d'ivresse : il avait 2,36 grammes d'alcool dans le sang...

http://www.midilibre.fr/2013/09/14/un-mort-dans-une-collision-frontale-entre-coursan-et-narbonne,756981.php

Accident mortel à Colayrac : 12 mois avec sursis pour le conducteur responsable

Le tribunal a requis douze mois de prison avec sursis à l’encontre d’un automobiliste qui avait, en août 2011 à Colayrac-saint-Cirq ,tué un motard lors d’une collision.
«Il ne faut jamais perdre de vue qu’on ne maîtrise pas le comportement routier de ceux qui arrivent en face». Dans l’affaire jugée mercredi, le parquet soulignait ainsi la difficulté de requérir en maintenant l’équilibre entre la faute réelle du conducteur de 20 ans qui a percuté un motard de 33 ans sur une route de Colayrac-Saint-Circq, le 17 août 2011 à 19 h 45 et d’autres éléments concernant la conduite inadaptée de la victime.

La part des choses

Le jeune automobiliste avait manœuvré pour tourner à gauche, s’extrayant d’une longue file de voitures.
Mais il ne voit pas un motard qui surgit sur sa droite, sur l’autre voie. Le choc est terriblement violent. Le motard ne survivra pas à ses blessures. Il décédera à 20 h 15.
Imprudence du jeune qui n’a pas ralenti en amorçant son virage, conduite inadaptée de la victime, le ministère public requérait trois mois avec sursis et l’annulation du permis de conduire du prévenu assorti d’une interdiction de le repasser avant 10 mois.

Absence de précautions

«Inattention, imprudence», scandait Me Briat qui s’étonnait, tout comme la compagne en pleurs du motard décédé, du manque de regrets exprimés par le prévenu.
Pour Me Peis-Hitier «l’automobiliste n’a commis aucune faute. Il n’allait pas vite alors que l’ensemble des témoignages atteste que le motard roulait à une vitesse excessive et qu’il était sous l’emprise du cannabis». Elle demande la relaxe. Le tribunal, considérant que le prévenu a coupé la route au motard sans prendre aucune précaution le condamnait à 12 mois de prison avec sursis et annulait son permis avec interdiction de le repasser avant un an.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/13/1708191-accident-mortel-colayrac-12-mois-sursis-conducteur-responsable.html

Cuxac-d’Aude. Sans permis, il conduit un blessé à l'hôpital

Dimanche à Cuxac d’Aude, deux véhicules sont entrés en collision sur la Départementale 113, direction Narbonne. Un conducteur, victime d’une fracture ouverte d’une jambe, a transporté un blessé au service des urgences de l’hôpital de Narbonne. Mais lors des constatations par la gendarmerie, il s’avère que la personne qui a conduit le blessé, qui n’avait que des contusions, était un mineur sans permis et qui en outre a été contrôlé positif aux stupéfiants.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/12/1707200-sans-permis-il-conduit-un-blesse-a-l-hopital.html