vendredi 31 janvier 2014

Une cadre de La Poste met à fin à ses jours sur son lieu de travail

Le corps de cette quinquagénaire, cadre supérieure chez Coliposte, a été retrouvé pendu, jeudi, dans une partie non occupée du bâtiment à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis.

Elle a été découverte sans vie dans une partie non occupée du bâtiment. Une cadre de la Poste, âgée d'une cinquantaine d'années, s'est suicidée par pendaison sur son lieu de travail à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis, où son corps a été retrouvé jeudi, ont indiqué vendredi les syndicats et la direction du groupe.
"Nous venons d'apprendre qu'une postière, cadre supérieure de Coliposte (l'opérateur colis du groupe, ndlr) en fonction à Noisy-le-Grand, a mis fin à ses jours sur son lieu de travail", a indiqué FO dans un communiqué. "C'est avec une profonde émotion que la Poste a appris hier le décès brutal d'une collaboratrice, cadre de son activité colis", a déclaré de son côté le groupe à l'AFP.
Une enquête de police ouverte
"La Poste a immédiatement pris contact avec sa famille, établi un dispositif d'écoute et de soutien psychologique auprès de ses collègues et s'est mise à la disposition des autorités policières. Un CHSCT (Comité d'hygiène de sécurité et des conditions de travail) extraordinaire se tient actuellement", a ajouté l'entreprise.
Thierry Roux, responsable syndical FO chez Coliposte a indiqué à l'AFP que le moment précis où a eu lieu le drame reste inconnu, car la cadre "a été vue à son travail mercredi soir, donc a priori c'est entre mercredi soir et jeudi après-midi, où on a retrouvé le corps". Selon le syndicaliste, outre le CHSCT extraordinaire qui était en cours vendredi matin, une enquête de police a aussi été lancée.
"Pas forcément lié" aux conditions de travail 
Le malaise social vécu par certains salariés du groupe, qui emploie quelque 240.000 personnes, avait été mis en lumière en 2012 après le suicide sur leur lieu de travail de deux cadres en Bretagne, précédé d'un autre suicide à Paris. Depuis, le groupe a signé un accord sur la qualité de vie au travail, ouvert des chantiers de négociation et allégé la pression sur les effectifs en recrutant un peu plus que prévu, sans pour autant compenser les départs.
La Poste a aussi présenté mardi son nouveau plan stratégique à l'horizon 2020 qui vise à transformer profondément son modèle économique, alors que le groupe fait face à une chute des volumes de courrier. Dans ce cadre, l'entreprise prévoit d'ouvrir rapidement des négociations en vue d'un "pacte social", dont le contenu reste flou à ce stade. Pour Thierry Roux, le drame survenu chez Coliposte soulève "beaucoup d'interrogations", notamment sur le lien éventuel avec le travail. Tout en soulignant que "ce n'est pas forcément lié", il relève que lors de la présentation du plan stratégique, La Poste a annoncé que Coliposte serait désormais rattaché au courrier et non plus une entité distincte, ce qui pose "question sur les services support, sur l'encadrement".
 

mercredi 29 janvier 2014

François Hollande plaisante sur le dernier tweet de Valérie Trierweiler

Selon des confidences recueillies par «Le Canard enchaîné»…
Coutumier des mots d’esprit, «Monsieur Petites Blagues», comme François Hollande est parfois surnommé, n’a pas résisté au plaisir d’en faire une sur le dernier tweet de Valérie Trierweiler en tant que «première dame».
L’ex-compagne du président avait remercié sur Twitter «l'extraordinaire personnel de l'Elysée» et assuré qu’elle «n'oublierai(t) jamais son dévouement ni l'émotion au moment du départ.»
Soulagé»
Selon l’hebdomadaire, lorsqu’il a pris connaissance de ce message, le chef de l’Etat s’est écrié devant ses collaborateurs: «S’il y a des gens qui souhaitent quitter l’Elysée pris par l’émotion, ils doivent me le dire dans les prochains jours.»
Le Canard précise que François Hollande est «’’rasséréné’’ et même carrément ‘’soulagé’’» depuis sa mise au point sur sa relation avec son ex-compagne

http://www.20minutes.fr/societe/1284070-20140129-francois-hollande-plaisante-dernier-tweet-valerie-trierweiler

mardi 28 janvier 2014

Valérie Trierweiler : "Il n'y a pas eu de préavis"

L'ancienne compagne de François Hollande, actuellement en déplacement à Bombay avec Action contre la Faim, a évoqué leur "rupture" devant quelques journalistes mardi matin. Et laissé entendre que le pouvoir avait peut-être eu raison de son couple.

Loin des caméras et des micros, c'est autour d'un café qu'elle s'est entretenue avec plusieurs confrères. Une discussion informelle d'une heure et demie pendant laquelle Valérie Trierweiler s'est confiée mardi matin à Bombay, notamment sur sa rupture avec François Hollande. Car c'est bien d'une rupture qu'il s'agit. Revenant sur les propos de Nathalie Kosciusko-Morizet, qui avait parlé d'un "licenciement", elle explique qu'"il n'y a pas eu de préavis".
Valérie Trierweiler a ainsi laissé entendre que le pouvoir avait cassé son couple "malgré les frontières qu'elle s'était imposée". "Je ne l'ai jamais poussé à être président, je n'ai jamais rêvé d'entrer à l'Elysée", a-t-elle dit selon RTL. "Pas en guerre" avec François Hollande, elle a précisé qu'ils continuaient de s'appeler. Le chef de l'Etat aurait même suivi sa conférence de presse de la veille "avec attention" d'après I-télé.
Le journalisme "pourquoi pas" mais surtout pas politique 
L'ancienne Première dame a trouvé "sa fonction utile", c'était "un recours pour les gens". Et le préfixe "ex" qu'on ajoute désormais devant "ne la dérange pas". "Je l'ai été", explique-t-elle selon RTL. Pour la suite, elle se voit bien "pourquoi pas" retourner à ses premières amours, le journalisme. Mais surtout pas politique. "Je suis vaccinée, on ne mesure pas à quel point il y a de la trahison et de l'hypocrisie, on prend des coups sans l'avoir demandé. Ce ne sont pas mes codes", dit-elle dans des propos rapportés par RTL. L'un de ses objectifs? "Continuer dans l'humanitaire", précise France Info.
Sa nouvelle vie, "soudaine", elle continue à s'y "habituer". Elle assure que "ça se calmera une fois que les paparazzi l'auront vue deux ou trois fois faire les courses" à son retour à Paris, selon I-télé. En attendant, Valérie Trierweiler affirme aller bien. Avant d'ajouter : "Mais dans un mois, qui sait".

 http://lci.tf1.fr/politique/valerie-trierweiler-il-n-y-a-pas-eu-de-preavis-8354758.html

dimanche 26 janvier 2014

Une mini-tornade balaye le nord de la France

Une forte rafale de vent a privé des dizaines de milliers de foyers d'électricité, samedi soir dans le Nord-Pas-de-Calais. Encore 2 500 personnes n'avaient toujours pas de courant dimanche matin. Quelques blessés légers sont à déplorer et de gros dégâts matériels.

Jusqu'à 35 000 foyers se sont retrouvés sans électricité, samedi en début de soirée, après un orage suivi d'un coup de vent aussi rapide que brutal qui a frappé le Nord-Pas-de-Calais, la Picardie et le nord de la Normandie. "Vers 19H30, un événement météorologique a violemment balayé le Nord-Pas de Calais, en particulier sur les Flandres et la Côte d'Opale. En quelques minutes, au plus fort de l'évènement, 35.000 clients ont été privés d'électricité", a annoncé ERDF dans un communiqué publié samedi soir.
En milieu de soirée, 23 000 foyers avaient pu retrouver du courant. Dimanche matin, il restait encore 2 500 clients sans électricité. "Les interventions se poursuivront dimanche pour assurer réparations et remises en service", a indiqué EDRF qui précise que les secteurs d'Hazebrouck (Nord) et autour de Calais, ont été les plus touchés.
Des vents jusqu'à 143 km/h
Selon Keraunos, l'Observatoire Français des Tornades et des Orages Violents, c'est une sorte de mini-tempête avec des rafales dépassant les 140 km/h qui a frappé le pays vers 20h, venant du littoral et remontant vers la Flandre intérieure. "A son passage, des chutes de grêle, des chutes de neige roulée (pluie et neige mêlées), de fortes pluies et de violentes rafales convectives ont été observées, écrit Keraunos sur son site. "Une rafale à 143 km/h a été enregistrée à Echinghen. Des pointes à 128 km/h à Calais, 126 km/h au Cap Gris Nez, 120 km/h à Boulogne, 108 km/h à Dunkerque et Abbeville, 107 km/h à Steenvoorde , 106 km/h à Merville et 98 km/h à Saulty et Lillers ont également été relevées."

Dans le Nord, les pompiers ont déclaré avoir reçu une centaine d'appels. Les pompiers du Pas-de-Calais ont recensé 90 interventions "principalement à Saint-Omer, Boulogne-sur-Mer, Calais, Béthune". De gros dégâts matériels ont été signalés, avec des tuiles arrachées, des chutes d'arbres et de poteaux électriques. Des centaines de techniciens sont encore mobilisés.
Selon La Voix du Nord, trois personnes ont été blessés sur une zone commerciale d'Halluin (Nord) dont les magasins ont été particulièrement touchés.
 

vendredi 24 janvier 2014

Un cambrioleur prend la fuite par peur des serpents dans une maison

La solution est-elle trouvée contre les cambriolages ? Un homme a été interpellé jeudi à Rueil-Malmaison, transi de peur après avoir pris la fuite d'un pavillon qu'il venait de fracturer. Selon les premiers éléments de l'enquête, le présumé voleur a fracturé peu avant 17h00 la fenêtre d'un pavillon.
 Il s'apprêtait à y commettre ses méfaits lors qu'il a  vu un panneau indiquant en substance : "attention présence de reptiles ici".   Pris de peur, il s'est enfui un tournevis à la main et a été aperçu par une patrouille de police qui l'a interpellé jugeant son comportement suspect. L'homme a été placé en garde à vue, selon  le source policière.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/un-cambrioleur-prend-la-fuite-par-peur-des-serpents-dans-une-maison-8353297.html

jeudi 23 janvier 2014

Mort de l'ex-truand Michel Ardouin dit le "porte-avions"

CAÏDS. L'ex-truand Michel Ardouin, compagnon de route du célèbre Jacques Mesrine qui le surnommait le "porte-avions", est décédé mardi à Paris à l'âge de 70 ans, a annoncé son éditeur La Manufacture de Livres.
90 banques en 18 mois. Figure du milieu parisien dans les années 1970, après avoir débuté à 15 ans dans la délinquance, Michel Ardouin s'était associé en 1972 avec l'ex-ennemi public Jacques Mesrine avec qui il avait braqué quelque 90 banques en 18 mois.
 

Incendie Paris-Opéra : 3 ans ferme pour la principale responsable

La jeune femme à l'origine du terrible incendie de l'hôtel Paris-Opéra, qui avait fait 24 morts en avril 2005, a été condamnée à trois ans de prison ferme, soit un an ferme de plus que requis.

"Votre imprudence caractérisée est directement à l'origine du décès de 24 personnes", a déclaré le président du tribunal correctionnel à l'audience jeudi. "Il vous était quasiment impossible de méconnaître le risque d'incendie. Il est extrêmement probable qu'à tout le moins, vous ayez eu connaissance du départ de feu", a-t-il ajouté.
Deux ans ferme requis. Lors du procès en novembre, l'accusation avait requis trois ans de prison, dont deux ferme, contre Fatima Tahrour, qui a reconnu avoir renversé des habits et couettes sur des bougies en quittant l'hôtel après une dispute avec son amant, le veilleur de nuit. Mais elle a toujours affirmé ne pas s'être rendu compte de la portée de son geste et n'avoir appris le drame que le lendemain. L'incendie, le pire dans la capitale depuis la Libération, était le premier d'une série qui avait fait 52 morts en quelques mois dans des hôtels ou meublés parisiens abritant majoritairement des étrangers. Il avait conduit à un durcissement de la législation anti-incendie pour les hôtels.
 

jeudi 9 janvier 2014

Carcassonne. Il frappe sa compagne et dévaste son appartement

Mardi soir, vers 23 h 30, des témoins ont été alertés par des cris provenant de la rue Tranquille en centre-ville de Carcassonne où une voix féminine appelait au secours. La police a été avisée et à son arrivée sur les lieux, elle a trouvé la porte d’un appartement défoncée et un logement totalement dévasté. A l’intérieur, était présente une femme, cachée sous une table, qui a très vite expliquée aux fonctionnaires que son concubin l’avait frappée et avait saccagé son logement. Celui-ci se trouvait encore là et a été appréhendait.
Il était ivre (avec une alcoolémie d’ 1, 82 g/l dans le sang) et a été placé en dégrisement. Hier matin, il a été placé en garde à vue et, au cours de ses auditions, il a nié être l’auteur des faits reprochés... Ce matin, à 9 heures, il sera présenté au magistrat du parquet en vue d’une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/09/1790208-carcassonne-il-frappe-sa-compagne-et-devaste-son-appartement.html

mercredi 8 janvier 2014

Une cycliste meurt écrasée par un camion à Paris

Une cycliste de 42 ans a été tuée ce matin, écrasée par un camion dans les rues de la capitale. L'enquête a été confiée au service de traitement judiciaire des accidents.

Une cycliste a été tuée mercredi matin à Paris, écrasée par un camion aux abords de la place de la République, a-t-on appris de source policière. Selon les premiers éléments, l'accident est survenu vers 8h30 du matin alors que la cycliste, âgée de 42 ans, se trouvait derrière un camion, selon cette source.
"A priori, elle se trouvait dans un angle mort et le camion l'a prise sous une de ses roues en tournant", a expliqué cette source, mais "les circonstances exactes de l'accident doivent être établies". Une enquête a été confiée au service de traitement judiciaire des accidents 
En 2013, 29 personnes ont été tuées sur la route à Paris, le nombre plus bas jamais enregistré dans la capitale. Une seule victime circulant à vélo avait été enregistrée l'an dernier.
 

mardi 7 janvier 2014

Caché dans une voiture, un fuyard se retrouve... dans une école de police

Il était dans le coffre de la voiture d'un employé administratif. Une femme de ménage l'a vu sortir du coffre. Il a escaladé le grillage et a pris la poudre d'escampette", a déclaré à l'AFP le directeur de l'Ecole nationale de police d'Oissel (Seine-Maritime) au sud de Rouen, confirmant une information du quotidien Paris Normandie. Le fuyard et d'autres hommes avaient été pris en filature dans la nuit de lundi à mardi par la brigade anti-criminalité (BAC) de Cergy après un refus de  contrôle routier. Pour échapper à ses poursuivants, l'un des fuyards s'était dissimulé dans le coffre d'un véhicule. Il ignorait que cette voiture appartenait à un employé de l'école de formation de gardiens de la paix et qu'il allait se retrouver au coeur d'une installation policière lorsque ce dernier se rendrait à son travail.

L'alerte a été donnée dans le centre de formation et des élèves policiers ont dû passer aux travaux pratiques pour rechercher l'intrus. C''est un animal qui a mis un terme à la traque interne. "Nous avons constaté grâce à un chien pisteur qu'il avait quitté l'enceinte de l'école", a indiqué le directeur de l'école, le commissaire Dominique Druais. Selon lui, cette intrusion involontaire n'a pas présenté de risque car toutes les armes utilisées par les élèves sont dans une armurerie bien protégée. L'ENP d'Oissel est la deuxième école de France de formation initiale et  continue pour les gardiens de la paix (900 places). Mardi en début d'après-midi, l'homme n'avait pas été retrouvé.


http://lci.tf1.fr/insolite/cache-dans-une-voiture-un-fuyard-se-retrouve-dans-une-ecole-de-8342086.html

80 obus découverts sur une plage du Morbihan ravinée par la tempête

La tempête et la houle dans le Morbihan ont mis au jour 80 obus de la seconde guerre mondiale, sous un blockhaus. Des démineurs sont en train d'intervenir, selon la gendarmerie. Les fortes vagues de ces derniers jours ont emporté le sable sous le blockhaus, révélant la présence de ces obus, selon la gendarmerie.

 
 
C'est un promeneur qui a donné l'alerte, lundi. Un périmètre de sécurité a aussitôt été mis en place sur cette plage "assez fréquentée", selon la même source, confirmant une information de RTL. L'équipe de démineurs a commencé son intervention mardi en milieu de matinée.
 
 

vendredi 3 janvier 2014

Paul Bocuse hospitalisé

Affaibli ces dernières semaines, le chef triplement étoilé de Collonges-au-Mont-d'Or aurait été hospitalisé à la clinique protestante de Lyon aujourd'hui, rapporte ce soir le Progrès. Il serait entouré de sa famille.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/03/97001-20140103FILWWW00419-paul-bocuse-hospitalise.php

Coup de poing de Chabal : décision sur une éventuelle sanction vers 17 heures

Le rugbyman français, qui a décoché un coup de poing au visage du N.8 d'Agen Marc Giraud en décembre dernier, risque gros. Selon la loi, il risque une suspension de deux à 52 semaines. Ce matin, devant la commission de discipline de la Ligue nationale, il a plaidé coupable.

Le plus médiatique des joueurs de rugby français est arrivé peu avant 11h45 au siège de la LNR, rue de Villiers à Paris (XVIIe), détendu et souriant, accompagné du président de son club de Lyon, Yann Roubert. Il a même dédicacé une de ses biographies à la demande d'un badaud, avant de gagner le bâtiment où il a été entendu durant une grosse demi-heure.
"L'ambiance a été bonne. Le fait de jeu va être jugé, c'est une action regrettable et regrettée. J'ai bon espoir que ce fait de match soit jugé avec de la mesure, selon les règles fixées par les règlements", a déclaré le joueur de 36 ans à la sortie de son audition. "Ils (les membres de la commission de discipline, ndlr) étaient à l'écoute. On a revu les images, on a discuté, chacun a apporté ses éléments", a-t-il ajouté, en refusant de faire plus de commentaires. "On va attendre 17h00, on ne va pas polémiquer, parlementer sur quelque chose qui n'est pas encore tombé", a-t-il lancé avant de s'engouffrer dans un taxi.