lundi 29 avril 2013

Tonnay-Charente (17) : un homme sauvé in extremis de la noyade

Près d'une dizaine de sapeurs pompiers sont intervenus ce dimanche matin, à partir de 10 h 15 pour sauver un homme en perdition dans la Charente. Les pompiers l'ont récupéré en arrêt cardiaque et ont réussi à le réanimer. Cet homme de 46 ans domicilié à Tonnay-Charente est actuellement soigné à hôpital de Rochefort.
Des témoins l'ont vu tomber à l'eau. Mais pour l'heure, il est difficile de déterminer s'il s'agit de l'acte volontaire d'un désespéré ou s'il ne s'est pas retrouvé intentionnellement dans l'eau.

http://www.sudouest.fr/2013/04/28/tonnay-charente-17-un-homme-sauve-in-extremis-de-la-noyade-1038540-1504.php

dimanche 28 avril 2013

Quatre logements détruits dans un incendie

Parti d'un logement dans les combles, l'incendie a ravagé une maison, rue du Général- De-Gaulle. Quatre appartements touchés et onze personnes évacuées.
«Le voisin a vu de la fumée. » Cette mère de famille était chez elle, à Bucy-le-Long, hier en milieu d'après-midi, et ne s'était pas encore aperçue du début d'incendie dans la maison du 13-15 rue du Général-De-Gaulle où elle résidait, lorsqu'un riverain a donné l'alerte. Le feu s'est déclaré dans un appartement situé dans les combles, en l'absence des occupants, et des flammes sont sorties de la fenêtre de toit. En tout, quatre logements, dont un inoccupé en rénovation, ont été touchés dans ce groupe d'habitations mitoyennes.
La priorité des pompiers - une douzaine d'hommes étaient sur place, de Vailly-sur-Aisne et Soissons, bientôt rejoints par des renforts - était d'éviter la propagation de l'incendie aux bâtisses attenantes, comme le soulignait l'adjudant-chef Brouet, à la tête des opérations. Déjà, le feu a gagné le n° 11, selon certaines sources, et de nombreux dégâts ont été occasionnés dans ces constructions à toitures soissonnaises avec beaucoup de charpentes, du plancher et une couverture en ardoise.
Un chat, un perroquet et des oisillons tués
Les soldats du feu, alertés vers 15 h 30, sont restés jusque tard dans la soirée, œuvrant dans des conditions difficiles, les ardoises menaçant d'être projetées et une épaisse fumée noirâtre ou marron, selon les moments, se dégageait du foyer. S'il n'a pas fait de victime humaine, il a été fatal à un chat - qui s'est sauvé vers les flammes en voyant les pompiers - un perroquet et des pigeons Lahore, nés récemment, noyés.
Sur place, les gendarmes de la brigade de Soissons ont dévié la circulation, attendant la fin de l'intervention pour procéder aux constatations nécessaires à l'enquête. Les origines de l'incendie n'étaient, en effet, pas établies hier soir, même si la rumeur évoquait un court-circuit. Deux couples ainsi que deux concubins d'occupants de la maison ont été relogés chez des proches. Une famille de cinq personnes a décliné l'offre de la municipalité qui mettait un appartement à sa disposition pour le week-end. Elle est partie s'installer à l'hôtel.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/quatre-logements-detruits-dans-un-incendie

Saint-Quentin-la Poterie : jaloux, il tabasse le nouvel amant de son ex-femme

Dans la nuit de vendredi à samedi, les gendarmes de la brigade d’Uzès sont intervenus aux alentours de 0 h 30 au domicile d’une femme dont l’ex-mari a tabassé le nouveau compagnon.
L’ex-mari ne supportant pas la séparation a surpris son ex-femme avec son nouvel amoureux. Fou de rage, il s’en est alors violemment pris au nouvel homme et l’a roué de coup. L’ex-mari a été placé en garde à vue à la brigade d’Uzès en attendant d’être présenté au magistrat.
Dans la nuit de vendredi à dimanche, les gendarmes de la brigade d’Uzès sont intervenus aux alentours de 00h30 au domicile d’une femme dont l’ex-mari a tabassé le nouveau compagnon.
L’ex-mari ne supportant pas la séparation a surpris son ex-femme avec son nouvel amoureux. Fou de rage, il s’en est alors violemment pris au nouvel homme et l’a roué de coup. L’ex-mari a été placé en garde à vue à la brigade d’Uzès en attendant d’être présenté au magistrat.
L'amour. La haine. Une frébile frontière qui conduit parfois les amoureux déchus à des actes d'une rare violence. En tout cas, c'est visiblement sous le coup de la jalousie, que dans la nuit aux alentours de minuit (l'heure du crime ?), un ex-mari encore amoureux n'a pas supporté de voir l'objet de ses désirs dans les bras d'un autre.
Jaloux, il le roue de coups
Mal dans ses baskets depuis sa séparation d'avec sa dulcinée, l'amoureux éconduit a décidé d'aller rendre une petite visite à cette dernière. Et a trouvé la dame en question en bonne compagnie, yeux dans les yeux avec le nouvel élu de son coeur. Fou de rage devant cette scène d'un bonheur auquel il ne pouvait plus prétendre, l'ex a eu un coup de sang et a roué de coups le nouveau prétendant.
Les gendarmes de la brigade d'Uzès prévenus de l'altercation sont rapidement intervenus et ont interpellé l'ex-mari qui a fini sa nuit en garde à vue. Et c'est en cellule qu'il attend la décision du magistrat le concernant.
 

Gros couac au péage pour le premier week-end payant de l’A63

Le chassé-croisé des vacances de printemps devait être un premier temps fort pour l’autoroute A63 entre Bordeaux et le Pays basque.
Soumis à péage depuis la nuit de jeudi à vendredi, le tronçon girondin et landais de l’ancienne N10 réserve en fait une mauvaise surprise aux clients du concessionnaire Atlandes.

Aux deux péages « ouverts » (disposés en pleine voie et pas aux bretelles de sortie) de Saugnacq-et-Muret et de Castets, un bug informatique entrave la lecture de certaines cartes bleues aux automates.
« 81% des cartes bleues passent normalement », indique Patrice Dessiaume, le patron d’Atlandes. Un problème de logiciel refuse les autres, ou entraînent des temps de lecture très longs. Les cartes refusées doivent être réintroduites dans l’automate par le personnel d’Atlandes, jusqu’à la délivrance de l’autorisation bancaire et la levée de la barrière.
« Là où vous auriez dû passer en 15 secondes, vous passez en une minute. Un jour de départ en vacances avec un trafic de 2500 véhicules par heure, ça bouchonne », regrette Patrice Dessiaume.
Depuis le début de ce samedi après-midi, le bouchon a pris de l’épaisseur dans le sens nord-sud à Saugnacq-et-Muret.
A 14 heures, il faisait près de 4 km en amont du péage, pour un temps d’attente d’environ une demi-heure. Au milieu de l’après-midi, il est monté à 8 ou 10 km.
Ce samedi matin, des usagers avaient mentionné un problème similaire dans le sens sud-nord au péage de Castets. Mais selon Atlandes, on y circulait normalement dans l’après-midi. Au péage nord, « nous avons pris des mesures pour fluidifier le trafic », ajoute Patrice Dessiaume sans plus de précisions.
Celles-ci consistent à lever par intermittences les barrières de péage pour désengorger l’amont. Et apaiser la colère des usagers qui trouvent un peu fort de café de devoir payer pour perdre leur temps sur la route.

 http://www.sudouest.fr/2013/04/27/gros-couac-au-peage-pour-le-premier-week-end-payant-de-l-a63-1038199-5425.php

samedi 27 avril 2013

Le conjoint violent sous contrôle judiciaire

Les faits remontent au 10 mars. Ce jour-là, une femme en pleurs appelle la police. Elle vient d'être frappée violemment par son conjoint et a été menacée d'un couteau.
Malgré l'arrivée rapide des policiers, l'homme violent avait déjà quitté les lieux et, depuis, il ne donnait plus de nouvelles.
Les policiers ont retrouvé sa trace et l'ont convoqué au commissariat pour qu'il s'explique. Il s'y est rendu, hier matin. Longuement entendu, il a reconnu les violences conjugales régulières ainsi que les menaces avec le couteau.
Présenté dans l'après-midi, devant le magistrat de permanence, au parquet de Saint-Quentin. Cet homme de 36 ans a été placé sous contrôle judiciaire en attendant son procès pour violences aggravées.

http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/le-conjoint-violent-sous-controle-judiciaire

En Italie, il emmure le cadavre de son père pour toucher sa retraite

Un quadragénaire a emmuré pendant deux ans le cadavre de son père, aux abords de Rome, afin d'encaisser la retraite du défunt.
Un quadragénaire a emmuré pendant deux ans le cadavre de son père dans une cache de la maison, aux abords de Rome, afin d'encaisser la retraite du défunt, ont rapporté les médias italiens. Le corps du père, qui selon les premiers éléments de l'enquête serait mort en août 2011 à l'âge de 83 ans, a été retrouvé par la police dans une maison de Subiaco, une petite ville à quarante kilomètres de la capitale.
Typographe au Vatican

Agé de 44 ans, le fils, dont l'identité n'a pas été révélée, avait emmuré le cadavre dans une niche de briques et de béton qui se trouvait à l'intérieur de la vieille chambre du père, dont la porte avait été fermée à clé puis scellée avec du silicone. Toxicomane, repris de justice et au chômage, l'homme encaissait depuis deux ans le montant (1 400 euros par mois) de la retraite de son père, ancien typographe au Vatican.
En attendant les résultats des analyses du médecin légiste, la police n'a pas exclu que l'ancien typographe ait été non seulement caché mais aussi tué par son fils. Ce dernier a été arrêté pour dissimulation de cadavre

http://www.midilibre.fr/2013/04/26/en-italie-il-emmure-le-cadavre-de-son-pere-pour-toucher-sa-retraite,686539.php

Meurtre d'Alexandre Junca : Le chasseur de Cabidos reste en prison

La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Pau et son président Michel Treilles ont décidé le maintien en détention de Claude Ducos. Ce chasseur de 74 ans est mis en examen pour assassinat, acte de torture et de barbarie, et séquestration, dans le cadre de l'affaire Alexandre Junca.
Il avait réclamé sa remise en liberté mardi. Ses avocats insistant sur le respect strict d'un éventuel contrôle judiciaire avec assignation à résidence chez des amis de trente ans. La chambre de l'instruction en a décidé autrement vendredi matin, estimant que toutes les conditions n'étaient pas réunies en vue de cette remise en liberté.

"On retient un risque de pressions et de concertation mais les autres mis en examens sont en prison!" a réagit Maître Josy-Jean Bousquet, l'un des avocats de Claude Ducos. Quant au trouble à l'ordre public, moi j'estime que c'est un trouble à l'ordre public que de laisser un innocent en prison."
"On semble oublier que la liberté est la règle et la détention l'exception", conclut le bâtonnier du barreau de Béziers.

http://www.sudouest.fr/2013/04/26/meurtre-d-alexandre-junca-claude-ducos-maintenu-en-detention-1037127-4344.php

vendredi 26 avril 2013

Fusillade à Istres : le tueur, un déséquilibré passionné d'armes, était sous contrôle judiciaire

L'homme de 19 ans qui a tué jeudi trois personnes et blessé une quatrième avait acheté sa Kalachnikov sur Internet.
La piste d'un acte commis par un déséquilibré est explorée, jeudi, après la fusillade qui a coûté la vie à trois personnes et blessé une quatrième à Istres (Bouches-du-Rhône).
Selon les premiers éléments de l'enquête, qui reste confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire à la demande du parquet d'Aix-en-Provence, l'auteur des coups de feu a fait usage d'un fusil d'assaut peu après 14 heures en pleine rue, dans un quartier pavillonnaire de la ville situé aux abords de l'étang de Berre. Les victimes, ciblées dans son entourage, semblent avoir été visées un peu au hasard. Il s'agit de deux voisins, âgés de 35 à 45 ans, qui faisaient du bricolage devant leur domicile. La troisième victime est un automobiliste d'une soixantaine d'année qui passait au moment de la fusillade et qui a été tué au volant de son véhicule. La fusillade a duré plusieurs minutes. Plusieurs impacts ont été retrouvés sur des voitures.
Interpellé sur place à un rond-point, le tireur, Karl R., Français de 19 ans originaire de la ville, n'a opposé aucune résistance. Devant les policiers, il a soutenu dans des termes nébuleux avoir agi au nom d'al-Qaida. Mais ses propos ont été jugés «incohérents» par un policier qui confie qu'il «peine à expliquer pourquoi et comment il a commis son geste fou». Lors de ses premières auditions, précise le parquet d'Aix-en-Provence, il ne s'est «revendiqué d'aucune idéologie»

Un «trafic intracommunautaire» d'armes

Connu pour avoir été traité dans des services psychiatriques, il n'apparaît pas dans les fichiers de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI). Selon Manuel Valls, le jeune homme a par ailleurs livré le nom d'un soi-disant comparse qui, selon ses dires, allait «commettre un acte». Vite identifié et localisé dans la soirée, Nicolas M., né en 1988 à Corbeil-Essonnes, a été arrêté dans le XVIIe arrondissement de Paris par la sous-direction antiterroriste (Sdat) de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ). Les perquisitions n'ont permis de trouvé aucune arme. Son téléphone mobile a été confisqué afin d'être expertisé.
Depuis la Chine, où il est en visite d'État, le président de la République, François Hollande, a fait part de sa «vive émotion» et a «immédiatement» demandé à Manuel Valls de se rendre sur place. Le ministre de l'Intérieur, arrivé en fin de journée, a promis que «tout sera fait pour comprendre ce qu'il s'est passé». «L'auteur a tiré parce qu'il possédait une arme de gros calibre», a-t-il déclaré.
Les investigations de la Brigade criminelle ont permis d'établir que Karl R. a effectivement acheté sa Kalachnikov sur Internet. Une note du ministère de l'Intérieur intitulée «Physionomie du trafic d'armes et les saisies d'armes en France» portée à la connaissance du Figaro pointait dès 2010 un «trafic intracommunautaire» permettant aux particuliers français de commander en toute impunité par Internet et remilitariser armes automatiques et fusils en vente libre en Belgique, en Espagne ou en Allemagne.
Au moment des faits, le tueur d'Istres était déjà depuis un an sous contrôle judiciaire pour une affaire de détention d'armes, dont la prolifération est érigée comme une nouvelle priorité du ministère de l'Intérieur.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/04/25/01016-20130425ARTFIG00729-fusillade-a-istres-la-piste-d-un-desequilibre.php
 

Explosion du trafic de drogue : autant d'affaires en trois mois qu'en un an

Au premier trimestre 2013, les policiers de la sûreté départementale ont réalisé autant d'affaires de stupéfiants que sur toute l'année 2012. La lutte contre le trafic est un objectif prioritaire.
«En trois mois, le trafic de stupéfiants à Toulouse a été équivalent à toute l'année 2012». Mercredi soir, lors d'un débat organisé par la municipalité, avec la population, autour du quartier Arnaud-Bernard (notre édition d'hier), Cédric Esson, directeur départemental adjoint de la sécurité publique de Haute-Garonne, est revenu sur la problématique du trafic de stupéfiants dans la Ville rose avec ce constat : depuis le début de l'année, les services de police ont mis un coup d'arrêt à de nombreux trafic. «Nous avons déjà résolu autant d'affaires qu'en 2012», a-t-il précisé hier.
Une réussite qui relève de plusieurs explications. «Pour nous, le trafic de stupéfiants est l'un des objectifs majeurs de l'année fixé par le ministre et le préfet, insiste le DDSP adjoint. Nous sommes donc engagés à 100 % et nous mettons le paquet, dans la continuité des années précédentes. Mais ce n'est pas la seule explication. En 2012, les enquêtes ont été plus longues et complexes, relève-t-il. D'autre part, certaines affaires initiées en 2012 ont été bouclées en ce début d'année.»
La lutte contre le trafic de stupéfiants concerne toute l'agglomération. «Il y a, bien sûr, les zones de sécurité prioritaires mais nous sommes conscients que tous les quartiers, dont Arnaud-Bernard, sont touchés.» Des moyens dédiés sont affectés à l'endiguement de ce fléau. «Il y a des brigades de police spécialisées. Nous nous attachons aussi à sensibiliser la population à la remontée d'informations.»

Des enquêtes au long cours

En matière de stupéfiants, les policiers se livrent à un travail de fourmi. «Ces enquêtes sont toujours longues. Il faut apporter la preuve, matérialiser le trafic. Tout cela prend du temps.» Car la police entend s'attaquer aux racines du problème. «L'objectif n'est pas uniquement d'interpeller l'usager ou le petit revendeur. Il s'agit de remonter à la plus haute hiérarchie, à celui qui approvisionne, à celui qui vit de ce trafic».
Cannabis sous toutes ses formes essentiellement, mais aussi cocaïne, héroïne ou encore khât circulent sur le marché parallèle toulousain. «Il y a également les avoirs criminels, c'est-à-dire les véhicules ou les sommes d'argent des trafiquants issus de ce commerce. Nous cherchons à leur faire mal au portefeuille, en plus de la saisie des produits. Pour l'année dernière, cela représente des dizaines et des dizaines de milliers d'euros.»

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/26/1614821-trafic-drogue-autant-affaires-trois-mois-an.html

Courpignac (17) : deux personnes grièvement blessées dans un violent choc frontal

Une violente collision entre deux voitures s’est produite mercredi vers 10 h 10 sur la RD 730, lieu-dit Chez Faure, hors agglomération de Courpignac.
Dans ce face-à-face, les deux conducteurs ont été grièvement blessés et ont dû être désincarcérés par les sapeurs-pompiers. Au volant de la Citroën C5, une conseillère municipale de Courpignac, Cécile Espiot, 47 ans, qui a été immédiatement prise en charge par les médecins du Service médicalisé d’urgence et de réanimation de Jonzac. Polytraumatisée, souffrant de multiples fractures, elle a été transférée au Centre hospitalier universitaire de Bordeaux par l’hélicoptère de la Sécurité civile, Dragon 33. Avec elle, dans la voiture, se trouvaient deux passagers. Choqués mais indemnes, ils ont toutefois été conduits à l’hôpital de Jonzac pour observation.
Le conducteur du second véhicule (Peugeot 308), Pierre Maillard, 82 ans, demeurant à Catus dans le Lot, a, lui aussi, été grièvement blessé. Il a été admis au Centre hospitalier de Jonzac.
Cet accident a mobilisé de nombreux services de secours, les gendarmes de Mirambeau et de Jonzac (peloton de surveillance et d’intervention, brigade motorisée), les pompiers de Montendre, Jonzac et Montlieu-la-Garde ainsi que les services de la Direction départementale des infrastructures pour le nettoyage de la chaussée. Le maire de la commune, Christian Callegari s’est également rendu sur les lieux.
Le temps des secours, cette voie très empruntée, en particulier par les poids lourds entre Mirambeau et Montendre, a été fermée. Des déviations ont été mises en place par Chamouillac pour les véhicules arrivant de Montendre et par Rouffignac pour ceux arrivant de Mirambeau. La route a été rendue à la circulation peu après 13 heures.

http://www.sudouest.fr/2013/04/25/violent-face-a-face-sur-la-rd-730-1035064-1322.php

Un coma éthylique au collège

Un adolescent de 16 ans a fait un coma éthylique le 12 avril dernier dans son collège, à Villeneuve-les-Avignon, dans le Gard, rapporte Le Dapuhiné. Hospitalisé, le collégien a ensuite pu expliquer qu'il avait acheté avec un ami une bouteille de vodka dans un supermarché proche de l'établissement.
Vu l'âge des deux adolescents, la caissière a refusé de leur vendre la bouteille d'alcool, comme le lui impose la législation. Mais les collégiens ont demandé à un autre client de l'acheter à leur place. La caissière a procédé à la vente. Convoquée par les policiers, la jeune femme de 25 ans fait l’objet d’une composition pénale pour le 31 mai prochain.
 

jeudi 25 avril 2013

D’énormes bouchons sur l’A 6 à la suite d’une voiture en feu

Un véhicule a pris feu peu avant 19 heures sur l’A 6 à la hauteur du pont de Grigny (Essonne) dans le sens - province. Il n’y a aucun blessé malgré la voiture calcinée que peuvent voir les automobilistes au ralenti.

L’incident provoque d’énormes bouchons sur l’autoroute du soleil, entre Antony (Hauts-de-Seine) et Grigny (Essonne).


http://www.leparisien.fr/transports/d-enormes-bouchons-sur-l-a-6-a-la-suite-d-une-voiture-en-feu-25-04-2013-2758607.php

Un an de prison avec sursis pour l'incendiaire de Mareuil (24)

Un habitant du canton de Mareuil, reconnu coupable d'avoir provoqué 20 incendies entre 2010 et 2012, dans un secteur allant de Mareuil à Verteillac, a été condamné à un an de prison avec sursis et mise à l'épreuve. Le tribunal correctionnel de Périgueux a aussi prononcé deux obligations : celle de se soigner et celle d'indemniser les victimes. Aux parties civiles, dont le service départemental d'incendie et de secours, il devra verser au total une somme de 13 689 euros.
Cet habitant du canton de Mareuil âgé de 40 ans avait été jugé le 27 mars. Le tribunal correctionnel de Périgueux a rendu sa décision ce mercredi.

Les incendies avaient à chaque fois détruit entre 1 et 8 hectares. Lors de sa garde à vue, le pyromane avait reconnu qu’à chaque fois il allumait "de l’herbe sèche ou des ronces avec son briquet ". Lors de la perquisition menée à son domicile, les forces de l’ordre ont trouvé des vidéos et des magazines spécialisés sur les sapeurs-pompiers. Mais lors de l'audience du 27 mars, il était revenu sur ses déclarations et avait nié en bloc être l'auteur des incendies.

http://www.sudouest.fr/2013/04/24/un-an-de-prison-avec-sursis-pour-l-incendiaire-de-mareuil-24-1034878-2235.php

Carhaix. Des coups de feu tirés en centre-ville : un blessé

Hier soir, vers 22 h 30, des coups de feu ont été tirés au niveau de la rue du Général-de-Gaulle, à Carhaix. Un homme a été blessé à la jambe. Une quinzaine de gendarmes et des pompiers sont intervenus sur place.
Une enquête a été ouverte par le parquet de Brest qui, pour l’instant, ne souhaite pas communiquer sur cette affaire. 


http://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/chateaulin-carhaix/carhaix/carhaix-des-coups-de-feu-tires-en-centre-ville-un-blesse-25-04-2013-2083300.php

Bébé congelé en Isère: une "bonne mère de famille" qui a fait un déni de grossesse

La femme de 28 ans arrêtée mardi en Isère, après la découverte d'un bébé congelé dans son appartement à Moirans, a affirmé avoir été "désemparée" par une naissance qu'elle ne soupçonnait pas.
La femme de 28 ans arrêtée mardi en Isère, après la découverte d'un bébé congelé dans son appartement à Moirans, a affirmé avoir été "désemparée" par la naissance de cet enfant qu'elle a étranglé avant de le mettre dans son congélateur, a indiqué le procureur de Grenoble mercredi.
Dépeinte comme "une bonne mère de famille" par son entourage, la jeune femme, qui a deux enfants de 2 et 8 ans, a été présentée à un juge d'instruction mercredi après-midi dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour "homicide sur enfant de moins de 15 ans", a précisé le procureur, Jean-Yves Coquillat, au cours d'une conférence de presse. Le parquet a requis son placement en détention provisoire. Durant sa garde à vue, "elle a indiqué qu'elle avait accouché seule le 14 mai 2012 dans sa salle de bain et qu'elle ignorait qu'elle était enceinte", a expliqué le magistrat. La jeune femme maigre avait pris cinq kilos mais personne dans son entourage ne s'était douté de sa grossesse.

Désemparée par les hurlements, elle étrangle son enfant
"Quant l'enfant est né, il s'est mis à pleurer. Elle déclare avoir été désemparée par les hurlements et n'avoir su que faire. A ce moment-là, elle l'a emporté dans sa chambre, l'a mis dans un sac, l'a étranglé et a mis le sac contenant l'enfant dans le congélateur", a expliqué M. Coquillat. La jeune femme n'a ensuite plus touché au sac. C'est son concubin, rencontré il y a neuf mois, qui l'a découvert dimanche midi alors qu'il cherchait un plat surgelé. L'homme, un chauffeur-livreur de 28 ans, n'avait jamais ouvert le congélateur auparavant. Selon ses dires, "quand il arrivait, il n'avait qu'à se mettre les pieds sous la table", a indiqué le procureur.
Très perturbé par sa découverte, il s'est présenté à la gendarmerie de Sassenage, près de Grenoble, mardi matin. Les gendarmes ont perquisitionné le domicile sans succès puis ont finalement retrouvé le bébé dans une haie de la commune sur les indications de la jeune femme, qui venait de l'y jeter. "Elle est manifestement très affectée par l'acte qu'elle a commis. Elle ne s'est pas alimentée pendant sa garde à vue. Elle ne va pas bien", a souligné M. Coquillat.
"Une vie sentimentale pas très heureuse"
S'occupant de personnes âgées, elle était en arrêt maladie depuis le mois de février. Mère d'une fille de 8 ans et d'un garçon de 2 ans de deux pères différents, "elle semble avoir eu une vie sentimentale pas très heureuse", selon le procureur. Le garçon de deux ans n'a jamais été reconnu par son père. Le bébé mort serait du même père. "Il semble que ses deux enfants étaient bien traités et bien élevés. Tout le monde la dépeint comme une bonne mère. Son actuel compagnon parle même de situation idyllique depuis qu'il la connaissait", a ajouté le magistrat. La jeune femme a indiqué avoir été victime d'une agression sexuelle et de violences par trois personnes à l'âge de 13 ans. Elle n'avait pas d'antécédents judiciaires.

http://www.midilibre.fr/2013/04/24/bebe-congele-en-isere-une-bonne-mere-de-famille-qui-a-fait-un-deni-de-grossesse,685237.php

Un motard contrôlé à 252 km/h au lieu de 90 km/h sur la route de Pau

Un motard a été contrôlé à 252 km/h sur la départementale 2, c'est-à-dire la route de Pau, à Arbus mardi soir. La vitesse retenue a été rabaissée à 240 km/h, soit tout de même 150 km/h au dessus de la limite autorisée.
Il était entre 17h30 et 18 heures quand ce conducteur a été contrôlé par la brigade motorisée de la gendarmerie de Pau. L'homme de 36 ans sans antécédents judiciaires conduisait une Kawazaki ZXR 1000.

Il a fait l'objet d'une rétention immédiate de permis. Et sa moto a été confisquée pour vérifier qu'elle n'a pas été débridée.
Les contrôles d'alcoolémie du motard sont négatifs mais des contrôles toxicologiques doivent être encore analysés.

http://www.sudouest.fr/2013/04/24/arbus-64-un-motard-controle-a-252-km-h-au-lieu-de-90-1034798-4344.php

mercredi 24 avril 2013

Affaire Grégory : l'ADN ne parle pas, "l'espoir s'amenuise"

Le mystère entourant la mort du petit Grégory demeure. Les nouvelles analyses réalisées à Bordeaux pour tenter de faire enfin la lumière sur cette affaire criminelle hors normes n'ont en effet pas permis d'avancer plus avant vers le ou les meurtriers du garconnet retrouvé noyé, pieds et poings liés, dans la Vologne en 1984.
Alors que la famille attendait beaucoup de ces examens d'ADN, la science, elle, s'est heurtée, une nouvelle fois, au mur du temps. Les 29 ans séparant ces expertises des faits devenant chaque jour qui passe une marche de plus à gravir sur l'échelle de la difficulté.

  • Des mélanges d'ADN
Toutefois, si Jean-Marie Beney, procureur de Dijon, a confirmé, ce mercredi lors d'une conférence de presse, qu'il n'avait pas de "révélations extraordinaires" à faire, plusieurs éléments nouveaux sont venus enrichir le dossier avec la découverte notamment de plusieurs ADN partiels et de mélange d'ADN.
En particulier sur les cordelettes avec lesquelles l'enfant a été ligoté. Des cordelettes où des traces d'ADN "masculin partiel" ont été détectées. Mais comme l'a indiqué le procureur: "Il n'a été possible que de mettre à jour un mélange très partiel, difficilement exploitable." Et pour cause: "elles étaient très dégradées".
Les vêtements de Grégory ont également été analysés avec des résultats divers. Ainsi aucune empreinte n'a été détectée sur le bonnet et les chaussures. En revanche, il a été relevé sur le pantalon un profil ADN partiel féminin, un ADN masculin partiel sur l'anorak, et trois mélanges d'ADN sur pantalon et t-shirt.
  • Aucune correspondance
Problème, aucune de ces traces ne correspond à une des 280 personnes identifiées dans ce dossier.
"Ces ADN complets ou partiels ont été comparés à la base constituée dans le dossier, précise le procureur de Dijon. Ces comparaisons ne permettent pas de mettre des noms sur ces profils d'ADN. Sur la base des 280 personnes, il n'y a pas d'identification formelle."
Néanmoins, si les éléments de preuve se sont dégradés avec le temps, des traces de meilleures "qualités" permettraient sans doute d'y voir plus clair. Les dernières analyses ont ainsi identifié une empreinte génétique de Grégory présente sur son t-shirt. Preuve qu'il est toujours possible d'obtenir des résultats.
  • De nouveaux prélèvements?
Dès lors, ce nouvel échec signifie-t-il qu'on ne connaîtra jamais le nom du meurtrier de l'enfant? "Le dossier n'est pas fermé, mais l'espoir s'amenuise", reconnaît le procureur de Dijon. Pour autant, il estime "nécessaire de continuer et de faire une nouvelle série de prélèvements, pour mettre un nom sur ces ADN partiels ou complets."

http://www.sudouest.fr/2013/04/24/affaire-gregory-l-adn-ne-parle-pas-l-espoir-s-amenuise-1034899-7.php

Un tabac de Seine-et-Marne attaqué à la voiture-bélier

Un bureau de tabac, à Pommeuse, en Seine-et-Marne, a été attaqué à la voiture-bélier dans la nuit de mardi à mercredi, et une douzaine de cartouches de cigarettes ont été volées.
Le butin est maigre : une douzaine de cartouches de cigarettes. Un bureau de tabac, à Pommeuse, en Seine-et-Marne, a été attaqué à la voiture-bélier dans la nuit de mardi à mercredi, ont indiqué des sources proches du dossier.
"Un 4x4 a été utilisé pour enfoncer le rideau métallique" vers 4 heures du matin, dans ce village de 2.500 habitants proche de Coulommiers, d'habitude tranquille, a expliqué l'une de ces sources. Le véhicule était volé, a précisé l'autre source. La police judiciaire de Meaux a été chargée de l'enquête, a "pris des photos et commencé les recherches de traces", a ajouté cette source.
 

Montbazens. Accident de sport : ils appellent les secours qui refusent de venir

C'est encore un sentiment entre colère et incompréhension qui prédomine à l'ASPP, club de football de Port-d'Agrès-Saint-Parthem. André Dalmon et Patrick Fernandez, respectivement président et entraîneur, racontent : «Lors de la rencontre Montbazens-ASPP et suite à un choc entre deux joueurs, le 6 avril, vers 20 heures, Benoît Ferrières, un des joueurs de Port-d'Agrès-Saint-Parthem, reste à genou, se plaignant de la mâchoire. Les dirigeants ainsi que le chirurgien-dentiste, Pierre Vaquier, un des joueurs de l'ASPP, ont accouru précipitamment vers le blessé. Il saignait abondamment et un premier diagnostic s'orientait vers une fracture de la mâchoire. Il est fait appel aux secours, les dirigeants répondent aux questions mais les personnes contactées refusent de déplacer des secours (pas de perte de connaissance, donc diagnostic vital non engagé). Après un quart d'heure d'attente et ne voyant pas de solution arriver, nous prenons la décision d'évacuer le blessé par nos propres moyens, sachant les responsabilités encourues.
Suite à des examens à l'hôpital, Benoît Ferrières souffre d'une double fracture de la mâchoire avec déplacement. Passé le temps de l'émotion, le président, l'entraîneur et l'ensemble des bénévoles s'interrogent devant ce qui ressemble fortement à un dysfonctionnement des services de secours. Les questions fusent : et si la blessure avait été plus grave ? Si pendant le transport il y avait eu un problème, qui aurait été responsable ? Quelles auraient été les conséquences ? Qui aurait «assumé» ?
En espérant que des situations comme celles-ci ne se reproduiront pas, nous espérons des réponses, ''nous'' c'est-à-dire les dirigeants bénévoles d'associations attentionnés. Nous tenons, enfin, à remercier également les pompiers qui étaient présents autour du stade ; n'étant pas en poste ni de service, ils ont œuvré et essayé en vain d'infléchir une telle décision, conscients de la gravité de la blessure».

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/24/1613299-landes-12-ans-reussit-echapper-enlevement.html

Meurtre d'Alexandre Junca : Claude Ducos saura le 26 avril s'il est remis en liberté

Claude Ducos saura vendredi s'il est remis en liberté et placé sous contrôle judiciaire dans le cadre de sa mise en examen pour "assassinat de mineur de moins de 15 ans accompagné d'acte de torture et de barbarie" et "séquestration en bande organisée".
Ce chasseur habitant Cabidos est mis en cause par Mickaël Baerhel, meurtrier présumé d'Alexandre Junca entre le 4 et le 5 juin 2011 à Pau. Des relevés téléphoniques, la nature de sa relation avec Mickaël Baerhel ainsi que l'élimination d'un véhicule qui aurait pu servir au transport du corps de l'adolescent sont autant d'éléments qui ont conduit à la mise en examen de cet homme de 74 ans.
Mardi matin, ses avocats maîtres Loréa Chipi, inscrite au barreau de Pau, et Josy-Jean Bousquet, bâtonnier du barreau de Béziers ont réclamé sa sortie de la prison de Mont-de-Marsan en plaidant notamment qu'il n'existait aucun trouble à l'ordre public potentiel.
Maître Chipi a réclamé une "exigence maximale" de respect des différentes parties en se référant pour son client à l'article 137 du Code de la procédure pénale : "Toute personne mise en examen, présumée innocente, demeure libre".
"Vous savez qu'il existe des exceptions" lui a rétorqué le président de la chambre d'instruction avant de céder la parole à l'avocat général Dominique Jeol. Lequel a lui aussi requis le maintien en détention de Claude Ducos. Pour le représentant du parquet, il existe des risques de pressions sur des personnes qui pourraient être interrogées dans les semaines à venir, mais aussi sur la personne de Claude Ducos lui-même.
Il a aussi été question du fond de cette affaire. Notamment des différents indices qui tendent à confondre le chasseur ami et petit ami de Mickaël Baerhel. Mais le septuagénaire n'en a pas dit plus au président que lors de ses dépositions auprès de la juge d'instruction ou lors de ses gardes à vue.
"Je suis complètement innocent dans cette histoire-là, a réaffirmé Claude Ducos. Croyez-moi, s'il (Mickaël Baerhel) m'avait parlé de ça, je serais allé au commissariat." Sur le remplacement de sa Peugeot 605 par un modèle identique auquel il a apposé les mêmes plaques d'immatriculation, le chasseur n'a pas apporté de réponses aux suspicions de la justice.
Quant aux relevés téléphoniques qui montrent qu'il a été en contact avec Mickaël Baerhel, les 4, 5 et 17 juin, Claude Ducos a soutenu qu'il ne savait pas pourquoi Baerhel l'appelait si régulièrement (21 fois le 5 juin). "C'est peut-être parce que je suis le seul de ses amis à avoir un véhicule capable de transporter un corps", avait-il expliqué aux enquêteurs. "Mais ça, je l'ai dit après avoir su qu'il a tué quelqu'un."
La délibéré de la chambre de l'instruction sera rendu vendredi, le 26 avril, à 11 heures.

http://www.sudouest.fr/2013/04/23/affaire-alexandre-claude-ducos-saura-le-26-avril-s-il-est-remis-en-liberte-1033682-4344.php

mardi 23 avril 2013

Preignan. Un jeune homme victime d'un accident de tracteur

Un jeune homme de Preignan, grièvement blessé par un tracteur agricole. Hier vers 14 h 45, un Preignanais âgé de 32 ans a été grièvement blessé lors d'un accident survenu dans un champ desservi par le chemin de la Cahuze en commune d'Auch dans le secteur du cimetière. Secouru par les pompiers et une équipe médicale du SAMU, il a été transporté à l'hôpital auscitain. Son pronostic vital était engagé selon les enquêteurs. Le blessé venu pêcher sur ce secteur, serait monté sur le tracteur agricole piloté par un homme de 78 ans, pour discuter avec lui. C'est après être tombé du tracteur qu'il aurait été blessé notamment au niveau de la rate par le lourd engin agricole dans des circonstances qui restaient à préciser

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/23/1612411-preignan-un-jeune-homme-victime-d-un-accident-de-tracteur.html

Le balcon se décroche avec le locataire dessus

Même les pompiers m'ont dit qu'ils n'avaient pas encore vu un truc pareil », s'exclamait hier matin Mathieu Gargiulo.

Ce locataire d'un appartement au 3 ème niveau de la Résidence de l'Hippodrome, rue Carpentier (quartier Saint-Roch, à Amiens) a eu une sacrée frayeur dimanche soir, vers 20 h 10.

Il était tranquillement en train de fumer une cigarette sur son balcon quand la structure s'est décrochée du mur pour tomber un étage plus bas, sur le balcon de la voisine du dessous. Sous les yeux des autres résidents, qui ont alors appelé les sapeurs-pompiers à la rescousse. Heureusement, personne n'a été blessé dans la mésaventure.

Les occupants des deux logements touchés par cette chute de balcon ont juste été relogés pour la nuit, devant le danger que représente l'absence de garde-corps.


http://www.courrier-picard.fr/region/le-balcon-se-decroche-avec-le-locataire-dessus-ia167b0n63294

Quant à Mathieu Gargiulo, il ne comprend toujours pas ce qui s'est passé : « Je suis tombé avec le balcon, à la verticale. Je n'ai même pas eu le temps de réagir ».

On comprend aussi le choc éprouvé par la voisine du bas, qui a donc vu son voisin « atterrir » chez elle. « Heureusement qu'elle n'était pas sortie sur son balcon, car ça pèse quand même entre deux et trois tonnes, souffle Mathieu Gargiulo, en précisant : et je ne fais que 70 kg. Le décrochage du balcon n'est donc pas lié au poids ». La petite terrasse n'était pas non plus encombrée.

Le locataire affirme également n'avoir jamais entendu le balcon craquer et n'a pas relevé de fissures avant cet incident. « La Résidence de l'Hippodrome n'a que treize ans. Mais il y a visiblement des erreurs de conception », avance-t-il.

Gérée en copropriété par la Sergic, cette dernière a fait venir un huissier et un ingénieur hier matin, pour constater les dégâts.

« Des expertises vont être également menées sur les autres balcons de la résidence pour voir s'ils pourraient eux aussi se décrocher », commentait-on hier après-midi à la Sergic.

L'organisme venait de faire remettre en place des garde-corps dans les deux logements touchés, « les locataires peuvent retrouver leurs appartements dès ce soir (N.D.L.R. : lundi soir) ».

Clairement pour la Sergic, il s'agit là d'un « problème structural ». Un problème qui a provoqué une belle peur aux locataires de la résidence dimanche, et qui aura mobilisé une quinzaine de sapeurs-pompiers pour sécuriser les lieux.


http://www.courrier-picard.fr/region/le-balcon-se-decroche-avec-le-locataire-dessus-ia167b0n63294

Bordeaux : il range sa cave et découvre un lance-roquette

C'est en rangeant sa cave que ce retraité habitant Bordeaux a fait une découverte surprenante. Un véritable arsenal de guerre avait été laissé dans son sous-sol par un de ses anciens amis.
C'est un drôle de trésor. En rangeant sa cave, un retraité de Bordeaux a découvert un lance-roquettes ainsi que trois munitions, le tout rangé dans un sac plastique. Selon Sud Ouest, cet habitant de la rue Naujac a rapidement su d'où venait l'armement : un ancien ami, collectionneur d'armes et licencié d'un club de tir, avait abandonné ses biens militaires dans son sous-sol.
Devant un tel arsenal, la police a dû faire intervenir les démineurs qui ont établi un périmètre de sécurité tandis que les enquêteurs ont fait appel à des militaires des forces spéciales pour analyser l'artillerie. Si le lance-roquettes antichar et deux des trois ogives ne sont pas dangereux, la troisième roquette pourrait contenir de la matière explosive et sera testée en fin de semaine par les spécialistes au camp de Souge.
Le propriétaire retrouvé
Les enquêteurs ont réussi à retrouver le propriétaire des armes. Il s'agit d'un sexagénaire domicilié à Mérignac qui a travaillé dans l'industrie militaire. Plusieurs armes ont été saisies chez lui : huit carabines de tous calibres, plusieurs armes de poing, revolvers et pistolets automatiques. Cerise sur le gâteau : la police a également mis la main sur un lance-grenade.
L'homme a indiqué que le lance-roquette qu'il avait abandonné était un cadeau d'un ancien militaire. Il devra comparaître au tribunal correctionnel pour détention illégale d'arme et de munitions de guerre.

Paris. Un rabbin et son fils agressés devant la synagogue

Alors qu’ils s’apprêtaient à entrer dans la synagogue Beth-El de la rue Saulnier, dans le IX arrondissement de Paris, un rabbin et son fils ont été agressés au cutter. L’assaillant, d’origine iranienne, était inconnu des services de police mais portait selon Europe 1 la tenue vestimentaire des d'un hôpital psychiatrique de la région lyonnaise.
Agé d’une cinquantaine d’années, le père a été touché au cou et son fils, 18 ans, à la nuque. Le pronostic vital des deux hommes n’est pas engagé.
Après l’interpellation et le placement en garde à vue de l’agresseur, la police devra déterminer ses motivations et si cette attaque peut être qualifiée d’antisémite.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/23/1612477-paris-un-rabbin-et-son-fils-agresses-devant-la-synagogue.html

Avignon : l’évadé de la prison du Pontet repris par la police espagnole

Il s’était évadé en octobre dernier de la prison du Pontet, près d’Avignon. Redda Boughanem, un braqueur algérien de 43 ans a été repris il y a quelques jours à Torremolinos, en Andalousie, par la police espagnole.
Redda Boughanem, un Algérien de 43 ans, qui s’était évadé en octobre dernier de la prison du Pontet, près d’Avignon, a été repris il y a quelques jours à Torremolinos, en Andalousie, par la police espagnole. L’homme, un braqueur, avait profité d’une permission de sortie, à l’occasion d’un tournoi d’échec, pour prendre la poudre d’escampette, et se réfugier en Espagne.
Se faisant passer pour des proches d’un riche prince arabe

Il a ensuite mis sur pied une organisation de grande envergure, pour détrousser des businesmen. Premier acte : avec une prostituée de luxe marocaine, il piège deux hommes d’affaires dans un hôtel parisien, alléchés par la perspective d’acheter du matériel informatique à bas prix. Pris en otage et séquestrés, ils devront s’acquitter d’une rançon d’un million d’euros pour retrouver la liberté.
Equipés de ceintures explosives
La même équipe va ensuite monter un deuxième coup au Luxembourg : se faisant passer pour des proches d’un riche prince arabe, ils organisent une réunion avec une quinzaine de représentants de montres de luxe et de bijoux. Eux aussi se retrouvent séquestrés et équipés de ceintures explosives, qui se révéleront fausses. Au total, ils devront céder pour plus de 2,5 M€ en matériel et en liquide pour leur libération. L’enquête a été menée par la police luxembourgeoise, l’Office centrale de lutte contre la criminalité organisée, et la police espagnole, qui a annoncé hier son succès. À l’arrivée, seize personnes ont été arrêtées, huit en France et autant en Espagne. Une partie des bijoux et des montres dérobées, près de 130 000 € en liquide, des armes à feu et des katanas a également été saisie.

http://www.midilibre.fr/2013/04/22/dma-l-evade-de-la-prison-repris-par-la-police-espagnole,683935.php

Un homme happé par un train sur la ligne Agen-Bordeaux

Un homme s’est fait happer par un train, dimanche soir vers 20h40.
Il se serait avancé sur la voie ferrée, au niveau de Fauillet, alors qu’un train arrivait. Le conducteur du train n’a pu l’éviter.

L’homme était décédé à l’arrivée des pompiers.
Les quelque 140 passagers du train corail, transportés sur cette ligne Agen-Bordeaux, ont été pris en charge par la SNCF.
Le trafic devait être interrompu pendant deux heures, le temps pour les gendarmes de procéder aux constatations, à renfort d’éclairage.

http://www.sudouest.fr/2013/04/22/un-homme-happe-par-un-train-1031907-3692.php

lundi 22 avril 2013

Comblanchien : il reçoit un bloc de pierre de 500 kg sur les jambes

Un jeune homme de 21 ans a été victime d'un accident du travail ce lundi vers 13 h 20 dans une carrière de Comblanchien (canton de Nuits-Saint-Georges). Pour une raison actuellement indéterminée, un bloc de pierre de 500 kg lui est tombé sur les deux jambes. L'homme, blessé gravevement, a été transporté par les sapeurs-pompiers vers le Centre hospitalier de Beaune. A noter, sur place, l'intervention des soldats du feu de Beaune et de Nuits-Saint-Georges, ainsi que des gendarmes et du Samu. Une enquête est en cours.

http://www.bienpublic.com/edition-de-beaune/2013/04/22/comblanchien-il-recoit-un-bloc-de-pierre-de-500kg-sur-les-jambes

Seine-Saint-Denis. Des flacons de méthadone découverts dans les buissons d'une école

C'est une information du "Parisien". Information qui fait écho à la récente découverte d’une seringue usagée à l’école Emile-Zola à Sevran (Seine-Saint-Denis). A l’école Aragon d’Aulnay-sous-Bois, dans ce même département, les parents sont en colère, car des substituts à l’héroïne et des couteaux ont été trouvés. C'est, en effet, dans les buissons de l'établissement que des écoliers ont fait "de drôles de découvertes", comme l'écrivent nos confrères, en l'occurrence "des flacons de méthadone". Gérard Ségura, maire, a confirmé l’incident, consigné par la police municipale et signalé par la directrice au commissariat. Furieux, les parents ne veulent pas que cette découverte en reste là et ont décidé de bloquer, ce lundi après-midi, l'école. 

   http://www.letelegramme.fr/ig/generales/france-monde/france/seine-saint-denis-des-flacons-de-methadone-decouverts-dans-les-buissons-d-une-ecole-22-04-2013-2079683.php

Lannemezan. Hélène a offert un rein à son époux Jean

Le CHU de Toulouse est le 2e en France à pratiquer le plus grand nombre de greffes rénales à partir de donneurs vivants. Un espoir pour les patients sur un sujet encore tabou.
Donner un rein, c'est ce qu'a fait Hélène Fourquet, 63 ans, habitante de La Barthe-de-Neste, pour son mari Jean Fourquet, médecin et ancien conseiller radical du canton de 1980 à 1994. «C'est vrai que cette technique est méconnue. Combien j'ai rencontré de gens qui me demandaient de voir ma cicatrice… Comme Saint Thomas !» témoigne cette dernière.
L'équipe de l'hôpital Rangueil, qui enregistre chaque année 350 nouveaux cas de patients en attente d'un rein, affiche un objectif de 25 % de la part de greffes à partir de donneurs vivants. «Le potentiel de dons entre vivants est important. Dire à un patient ''on peut vous greffer'', ça change la donne, on lui donne des mois de vie en plus et on améliore sa qualité de vie» témoigne le docteur Federico Sallusto, chirurgien transplanteur, dédié à cette spécialité. Grâce à l'évolution de la technique médicale, de la loi de bioéthique, un patient en attente d'une greffe rénale peut gagner du temps et ne pas passer trois ans sous dialyse s'il trouve un donneur vivant quel que soit son groupe sanguin : c'est la greffe ABO-incompatible.
«Aujourd'hui, l'obstacle de l'incompatibilité du groupe sanguin entre donneur et receveur est levé grâce à la technique de l'immunoadsorption : on fait passer sur une colonne - une sorte de filtre - le plasma du patient pour y attirer les mauvais anticorps et les retirer du sang. Ça coûte cher, autour de 20.000 €, mais une dialyse revient à 65.000 € en moyenne par an» résume le professeur Rostaing.
«Nous avons fait confiance à l'équipe. Mais j'avais peur du rejet du greffon, de gâcher le rein d'Hélène» glisse Jean Fourquet qui a aujourd'hui repris à temps partiel son activité de médecin, avec l'impression «d'avoir rajeuni de 15 ans».

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/22/1611491-lannemezan-helene-a-offert-un-rein-a-son-epoux-jean.html

Manif pour tous : des échauffourées et quelques interpellations en fin de soirée

A deux jours du vote solennel, un dernier rassemblement des opposants au mariage gay s'est tenu dimanche à Paris. En fin de soirée, quelque dizaines de manifestants ont provoqué les CRS. Une quinzaine d'interpellations ont eu lieu.
Des dizaines de milliers d'opposants au mariage homosexuel ont une nouvelle fois crié dimanche à Paris leur hostilité à la loi sur le mariage gay qui sera adoptée mardi, dans une marée de drapeaux blancs, roses et bleus et aux cris de "Hollande, ta loi, on n'en veut pas". La manifestation a réuni 45.000 personnes selon la police, 270.000 selon les organisateurs.
Le cortège s'est dispersé vers 18h45 sans aucun incident. Mais dans la soirée, des échauffourées ont éclaté aux Invalides entre plusieurs dizaines de jeunes opposants et les forces de l'ordre qui ont procédé à des interpellations. Impassibles à quelques mètres de ce face à face, d'autres militants poursuivaient une "veillée" à la lueur de bougies.
Le compte-rendu de la journée de dimanche :
22h02. Au moins quinze interpellations. Les échauffourées entre des dizaines d'opposants au mariage gay demeurés place des Invalides et les CRS ont débouché sur au moins quinze interpellations, selon un journaliste de l'AFP. Chantant la Marseillaise et brandissant des drapeaux français, le groupe de manifestants a été vigoureusement repoussé par les policiers et gendarmes qui ont contraint une partie d'entre eux à descendre dans la station de métro Invalides.

Ciré d'Aunis (17) : collision mortelle et délit de fuite

Samedi matin, vers 6 h 15, un accident mortel s’est produit à une dizaine de kilomètres de Rochefort, sur la D 5, à hauteur de Ciré-d’Aunis. En cause, une voiture et un deux-roues. Le conducteur du scooter, Fabrice Fouché, 35 ans, est mort sur le coup.
Il ne demeurait pas à Ciré-d’Aunis, et l’on ignorait samedi dans quelle commune il était domicilié. Selon une rumeur, il aurait habité Ballon. Mais Noël Gaunet, maire de Ballon, est formel : la victime a vécu un temps dans ce petit village tout près de Ciré-d’Aunis, mais ce n’est plus le cas « depuis au moins quatre ou cinq ans ».

« Ils couraient très vite »
Selon nos informations, la voiture entrée en collision avec le deux-roues serait une Renault Mégane que ses occupants ont abandonnée sur place après le drame pour prendre la fuite.
Un jeune livreur, Anthony, 20 ans, qui effectuait sa tournée ce samedi non loin du lieu de l’accident, raconte : « Je circulais sur cette route en venant d’Aigrefeuille, et je n’ai pas vu l’accident quand il s’est produit. J’ai été alerté par un appel de phare et j’ai fait demi-tour. Quand je suis arrivé sur les lieux du drame, les pompiers étaient là. J’ai vu un homme et une femme qui couraient sur la route en direction d’Aigrefeuille. Ils couraient très vite, et un samedi matin, à cette heure-là, ça se remarque. »
Les enquêteurs n’ont pas confirmé cette information, mais, lorsqu’ils sont arrivés sur place, les occupants de la Mégane, un véhicule de location, avaient disparu.
Un deuxième véhicule
Une seconde voiture, une Peugeot 106, a également été trouvée sur les lieux. Le conducteur de ce véhicule qui roulait sur la voie où gisait le cyclomotoriste - qui, semble-t-il, était alors déjà mort - n’aurait pu l’éviter.
Samedi en fin d’après-midi, cinq personnes se trouvaient toujours en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie. « Tout laisse à penser que le conducteur de la voiture qui a percuté le scooter se trouve parmi eux », a-t-on précisé au parquet, où l’on évoque une affaire « très complexe » et un accident sans « témoins directs ».
L’enquête a été confiée conjointement aux gendarmes de la brigade de recherches de Rochefort et à ceux de la communauté de brigades de Surgères.

http://www.sudouest.fr/2013/04/21/collision-mortelle-et-delit-de-fuite-1031194-7.php

dimanche 21 avril 2013

Lyon : le trafic SNCF perturbé

Le trafic SNCF était fortement perturbé dimanche après-midi autour de l'agglomération lyonnaise, avec une vingtaine de trains enregistrant des retards de 30 minutes à 4 heures, à la suite d'un incendie dans des installations électriques, a-t-on appris auprès de la SNCF. L'incident affecte notamment la ligne à grande vitesse Paris - Lyon Part-Dieu et Paris - Saint-Etienne, ainsi que les lignes classiques vers le nord-est de la région lyonnaise, dont celle reliant Lyon Part-Dieu à Ambérieu et Genève.
Compte tenu de l'incapacité pour la SNCF de prévoir quand la situation pourra revenir à la normale, la compagnie ferroviaire a recommandé à ses usagers de différer leurs trajets prévus dans la soirée de dimanche, a indiqué Jean-Charles Ogé, directeur régional d'astreinte. Cette mesure, a-t-il précisé, vise à prévenir l'engorgement de la gare de Lyon Part-Dieu, où de nombreux départs ont dû être retardés ou annulés dimanche après-midi.
Les perturbations sont survenues à la suite d'un incendie qui s'est déclaré vers 13h30 dans des installations techniques électriques au niveau de Lyon Saint-Clair (Caluire), au nord de Lyon. Éteint vers 16 heures par les pompiers, l'incendie a interrompu le courant électrique de la caténaire alimentant les voies et vers 17 heures dimanche, celle-ci n'avait toujours pas pu être réalimentée, a-t-on précisé.
La coupure a entraîné de fortes perturbations et des retards allant d'une demi-heure à 4 heures pour une vingtaine de trains, dont des TGV, a encore indiqué la SNCF. Les passagers d'un TER bloqué depuis près de 4 heures étaient en cours d'évacuation à Montluel (Ain), près de Bourg-en-Bresse, a-t-on annoncé. D'autres trains ont dû être détournés, notamment via Mâcon pour rejoindre la gare de Lyon-Perrache. Cela a été le cas notamment d'un TGV transportant des supporteurs stéphanois de retour de Paris, où ils avaient assisté samedi soir à la finale de la Coupe de la Ligue.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Lyon-le-trafic-SNCF-perturbe-603301

Accident et feu de voiture : le jeune conducteur s'était assoupi au volant

Un jeune homme de 22 ans a réussi à s'extraire de sa voiture qui venait de prendre feu, la nuit dernière, près de Westhouse, dans la région de Sélestat.
Les sapeurs-pompiers sont intervenus pour un accident ce dimanche matin peu après 5h, entre Westhouse et Valff, sur la RD206, dans la région de Sélestat.
Il s'agit d'un accident avec feu de voiture. Le conducteur qui avait quitté le véhicule par ses propres moyens n'a été que légèrement blessé.
L'accident s'est produit à la sortie de Westhouse ; la voiture a fait une embardée et quitté la chaussée lorsque le conducteur, un jeune homme de 22 ans, s'est assoupi au voulant. Le véhicule a heurté un arbre et s'est immobilisé dans un champ, un peu plus loin, avant de prendre feu.
Le conducteur a réussi à s'extraire de l'habitacle et n'a été que légèrement blessé. Il a été conduit à l'hôpital.

http://www.dna.fr/actualite/2013/04/21/accident-et-feu-de-voiture-un-blesse-leger

La buraliste fait fuir son braqueur

L’attaque à main armée n’a pas duré plus de trois minutes, entre deux clients.
La buraliste, Marie-Noëlle Marquet, qui tient la Maison de la presse située au centre du village, en a été pour une forte émotion. Elle était sur le pas de sa boutique quand un jeune homme encagoulé et ganté a surgi, l’entraînant par le cou vers le tiroir-caisse situé au fond du magasin : « Je n’ai pas opposé de résistance mais je lui ai dit, non tu n’auras pas ma caisse. Où tu t’en vas ou j’utilise ma bombe lacrymogène. Il a alors sorti un couteau pour tenter d’ouvrir mon tiroir. Je l’ai aspergé. Il s’est sauvé ».
La buraliste a couru après lui et a pu le voir s’engouffrer dans une voiture où l’attendait un complice. Un client qui arrivait au même moment a, lui aussi, vu une auto démarrer en trombe.
La communauté de brigades de Saint-Loup et la Brigade des recherches de Lure étaient sur place.
En 27 ans, c’est la première fois que Mme Marquet subissait ce type d’agression à laquelle elle s’attendait un jour ou l’autre. Marie-Noëlle Marquet tient ce commerce avec sa fille Marie-Pierre.

http://www.estrepublicain.fr/haute-saone/2013/04/21/la-buraliste-fait-fuir-son-braqueur

Carcassonne. À peine installée un voleur et l'ABF lui tombent dessus

Sujet récurrent s'il en est, les travaux dans les commerces et chez les particuliers dans un centre ville classé et sous très haute surveillance des Bâtiments de France. Une affaire récente démontre le côté souvent ubuesque de cette situation. Sonia Houacine ouvre il y a un mois, rue Barbès, un salon de thé : Fééry-cake. Le salon accueille, à peine, les premiers clients que l'architecte des Bâtiments de France lui fait savoir que sa grille de protection doit être installée à l'intérieur et non à l'extérieur. La commerçante s'exécute et retire le rideau de fer. Mais deux jours après, un voleur, ne voyant aucune réelle protection du salon, force la porte vitrée et fait main basse sur un fond de caisse 10 € et quelques pâtisseries qui lui resteront sur l'estomac puisqu'il a été interpellé aussitôt et condamné à de la prison ferme. Mais Sonia Houacine n'en est qu'au début de ses pérégrinations administratives puisque l'ABF lui impose des travaux qui s'élèvent entre 15 000 et 20 000 € et qu'elle ne peut réaliser pour l'instant après les investissements qu'elle a consacrés à la rénovation du local commercial. «Pour l'instant nous n'avons pas les moyens de faire les travaux», dit-elle exaspérée et confie encore, «Si c'était à refaire, j'irai m'installer ailleurs». La colère gronde rue Barbès où les commerçants sont confrontés, ici comme ailleurs, aux mêmes exigences impitoyables des Bâtiments de France. À tel point que les commerçants envisagent de monter une association pour se faire entendre tant auprès de la mairie qu'auprès de l'administration des Bâtiments de France.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/21/1610960-carcassonne-peine-installee-voleur-abf-tombent-dessus.html

Libourne : six personnes mordues par un chien à la sortie de la discothèque

Alors que les derniers clients quittaient ce samedi matin à 5 heures la discothèque le Beach Coco, sur la zone des Dagueys, une rixe a éclaté sur le parking.
Les gendarmes la compagnie de Libourne, alertés par un des employés de la boîte de nuit, ne connaissent pas encore les motifs exacts qui ont déclenché cette bagarre entre un homme de 25 ans demeurant à Arveyres, et son agresseur.
Toujours est-il que celui-ci s'est ensuite dirigé vers sa voiture. Là, il a fait sortir son chien, un dogue argentin coupé de labrador. L'animal s'est jeté sans discernement sur le groupe mordant six personnes dont une sérieusement au bras.
Interpellé par le Peloton de surveillance et d'intervention (PSIG), le propriétaire du chien a été placé en garde à vue puis conduit à l'hôpital Robert-Boulin comme les autres victimes.
En revanche, le dogue argentin a réussi dans un premier temps à s'échapper. Il a été retrouvé ce samedi matin et a été placé en fourrière où il va subir des examens vétérinaires.

http://www.sudouest.fr/2013/04/20/libourne-six-personnes-mordues-par-un-chien-a-la-sortie-de-la-discotheque-1030764-2966.php

samedi 20 avril 2013

Un Bohainois blesse grièvement un policier à moto

Un motard de 38 ans est entre la vie et la mort après avoir été fauché par une voiture hier soir à Cambrai. Le conducteur du véhicule, originaire de Bohain, roulait ivre.
La victime, policier à la Bac d'Arras, souffre d'un important traumatisme crânien. Il a voulu éviter le véhicule en donnant un coup de guidon mais il a percuté l'avant gauche et a fait un vol plané sur le macadam
La voiture impliquée dans l'accident était conduite par un jeune homme de Bohain âgé de 22 ans. Il se trouvait en compagnie de trois amis.
Le taux d'alcool du chauffeur s'est révélé positif au moment de souffler dans l'éthylomètre.

Il a été placé en garde à vue au commissariat de Cambrai, où il se trouve toujours.
Ses trois camarades, tous des Bohainois, ont également été entendus pour faire toute la lumière sur ce drame.

http://www.aisnenouvelle.fr/article/actualites/un-bohainois-blesse-grievement-un-policier-a-moto

Un routier trop rapide roué de coups

Un routier a été roué de coups sur une route départementale des Yvelines, par plusieurs jeunes gens vexés d'avoir été doublés par le camion.

La querelle d'automobilistes a dégénéré hier après-midi, sur la D30 entre Achères et Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), après que les occupants d'une voiture eurent été vexés d'avoir été doublés par un camion, comme l'a d'abord indiqué Le Parisien.

Ils ont alors passé à tabac le chauffeur du poids lourd, avant de lui rouler sur la cheville en partant. L'homme, dont l'âge n'a pas été précisé, a la jambe cassée, a précisé cette même source.

Un homme en garde à vue

Selon Le Parisien, la voiture circulait avec cinq jeunes gens à bord. Vexés d'avoir été doublés par un camion, ils l'ont à leur tour dépassé, avant d'obliger le chauffeur à s'arrêter.

Toujours selon le quotidien, un des jeunes occupants de la voiture, un militaire âgé de 22 ans et originaire de Poissy, a été oublié par ses amis lorsqu'ils ont pris la fuite.

Interpellé, il aurait dit aux enquêteurs avoir été pris en stop par les automobilistes. Or, il est le propriétaire du véhicule, dont la plaque d'immatriculation a pu être relevée. Ce jeune homme se trouvait ce soir en garde à vue, a confirmé la source proche de l'enquête.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/20/97001-20130420FILWWW00387-un-routier-trop-rapide-roue-de-coups.php

Télescopages sur l’A31

La circulation, dans le sens Nancy-Toul, a été sérieusement perturbée, hier, en fin de journée. En cause, un accident initial, suivi d’un suraccident, survenus à 5 minutes d’intervalle l’un l’autre sur le tronçon Velaine – Gondreville de l’A31.
À 18 h 22, un coup de frein trop appuyé est à l’origine d’une première collision entre deux voitures, non loin du rond-point de Gondreville. L’accident a fait deux blessés légers, un garçon de 10 ans et une fille de 15 ans, transportés vers les urgences du CHU de Brabois.
Le second accident, dû au ralentissement causé par le premier est survenu à 18 h 27, à hauteur de Velaine-en-Haye, sur le tronçon Laxou-Velaine. Six voitures et deux poids lourds se sont télescopés. Les véhicules accidentés ont été remorqués par un dépanneur au niveau du rond-point de Gondreville afin de dégager le trafic sur l’A31, perturbé par la formation d’un bouchon de 4 km en amont des accidents, sur l’A31, ainsi que sur l’A33 pour les automobilistes en provenance de Brabois.
Sur place se trouvaient 25 hommes des Centres d’intervention et de secours des casernes de Toul, Nancy-Joffre, et Nancy-Gentilly. Également des hommes de la Compagnie républicaine de sécurité de Champigneulles, ainsi que de la Direction interdépartementale des routes de Fléville.
La circulation a été déviée sur la D400. Elle commençait à se rétablir aux alentours de 20 h.

http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2013/04/20/telescopages-sur-l-a31

Sauvetage d’une jeune femme à Dunkerque: un policier se comporte en héros

Si un SDF a perdu la vie en voulant sauver une jeune femme qui a tenté de se suicider en se jetant dans le canal, jeudi matin, quai au Bois, un policier a risqué la sienne pour sauver la désespérée, restant de longues minutes dans l’eau glacée. Le fonctionnaire a été hospitalisé en état d’hypothermie.
Jeudi matin, une jeune femme âgée de 21 ans a tenté de mettre fin à ses jours, en se jetant dans l’eau, quai au Bois, derrière le palais de justice de Dunkerque. Un SDF de 40 ans, surnommé « Le Polonais » avait tenté de lui porter secours, enlevant ses vêtements et plongeant dans le canal. Visiblement, l’homme a coulé à pic. Le corps sans vie du SDF a été retrouvé quatre heures plus tard.
La jeune femme doit sa vie à un policier qui n’a, à son tour, pas hésité à risquer la sienne, pour la sauver de la noyade. Dès qu’il a aperçu la jeune femme en détresse, le major Jean-François Cossement, 57 ans, a enlevé son gilet pare-balles, son ceinturon et son arme, pour se jeter dans une eau à six degrés. « Dans ce type de situation, on ne se pose pas de questions. On y va.Elle avait juste la tête qui sortait de l’eau et commençait à perdre ses forces. Je l’ai maintenue pendant environ cinq minutes en m’agrippant à un crochet qui dépassait du quai, en attendant l’arrivée des plongeurs de la caserne de Dunkerque. À cet endroit, il n’y a aucun moyen de remonter sur la berge. De toute façon, je ne pouvais pas nager avec elle, au risque de couler. Mes chaussures se sont remplies d’eau et je n’arrivais même plus à bouger une jambe. Et puis rapidement, avec la température de l’eau, je me suis retrouvé engourdi», témoigne le fonctionnaire de police, chaudement félicité par se hiérarchie pour son acte de bravoure.
Car les lorsque les sapeurs-pompiers sont arrivés pour extirper la jeune femme et le policier de l’eau, ils étaient tous les deux dans un état d’hypothermie jugé critique. Le major Cossement a été transporté à l’hôpital avec une température corporelle qui était descendue à 34º, un rythme cardiaque inquiétant et une tension bondissant à 18. D’après les médecins du SMUR, s’il était resté une bonne minute de plus dans l’eau glacée, son intervention lui aurait été fatale. « La police est très fière de l’attitude du major Cossement qui a mis sa vie en danger pour sauver un citoyen. On a tendance à oublier que le travail des policiers consiste aussi et avant tout à porter secours aux personnes, parfois au péril de leur propre vie. Depuis le début de l’année, c’est le deuxième policier du commissariat de Dunkerque qui sauve une personne de la noyade. Il faut aussi rendre hommage au formidable travail des sapeurs-pompiers et à leur rapidité d’intervention.Car ce sont les plongeurs de la caserne de Dunkerque qui ont sorti le major et la victime de l’eau, leur permettant de bénéficier de soins rapides. Bien sûr, nous n’oublions ce SDF qui a perdu la vie pour sauver cette jeune femme», précise le commissaire central, Emmanuel Desjars. Il est fort à parier que Jean-François Cossement recevra cette année la médaille de la police pour acte de bravoure et de dévouement.

http://www.lavoixdunord.fr/region/sauvetage-d-une-jeune-femme-a-dunkerque-un-policier-se-ia17b0n1189075

Albi. Bagarre et coups de feu dans la rue

Un couple d'octogénaires a eu «très peur du vacarme. Ils se sont barricadés chez eux», dit leur aide. «Le bruit m'a réveillé. C'était un quartier calme qui le devient de moins en moins», regrette un autre voisin, Claude Combes, né à l'étage de la maison où il vit toujours. Une altercation qui s'est finie peu avant 5 heures du matin a mis en émoi la rue Elie-Augustin. «Le boucan terrible» dont font état les riverains est l'explosion des quatre vitres d'une Golf garée là. Ils évoquent aussi «des coups de feu». De retour au volant de la voiture au pare-brise enfoncée et aux quatre vents, après être allé faire sa déposition au commissariat, son propriétaire décline sa version des faits.

Tir de balles en caoutchouc

Après avoir eu maille à partir avec deux autres jeunes à la discothèque 25e avenue, cet Albigeois de 21 ans est allé aux urgences faire soigner son visage tuméfié, qui portait hier encore les stigmates de la bagarre. «À la sortie de l'hôpital, les autres m'ont suivi jusqu'à chez moi. Cette fois, ils étaient trois. Là, ils n'ont pas réussi à me frapper, car j'étais avec mon père et avec mon frère, mais ils ont cassé à coup de battes les deux vitres côté droit ainsi que les pare brises arrière et avant de ma Golf. Ils m'ont aussi visé avec un fusil à air comprimé tirant des billes. Je me suis protégé avec mon bras replié, mais j'ai pris deux impacts à l'avant-bras», dit le jeune homme, montrant deux ronds de peau arrachée. Des rougeurs et hématomes constatés par les policiers. Impressionnante car c'est une reproduction de fusil à pompe, l'arme de type airsoft ne tire que des balles en caoutchouc. Les blessures heureusement ne sont que superficielles. Les policiers vont maintenant entendre tous les protagonistes et recueillir le témoignage du videur. Le commandant Marc Briane, chef de la brigade de sûreté urbaine du commissariat replace «dans le contexte des soirées du jeudi cette bagarre. Il y en a eu d'autres dans la nuit, mais sans donner suite à plainte». La répercussion s'est ressentie jusqu'à la rue Elie-Augustin. Visage marqué, le jeune habitant le prend avec philosophie : «Je fais du rugby. Je prends plus de coups sur le terrain !»

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/20/1610102-albi-la-voiture-fait-les-frais-de-la-bagarre.html

Carcassonne : le braqueur de "Total" trahi par son empreinte génétique

Le jeune homme a été condamné à 8 mois de prison ferme, trahi par son empreinte génétique relevée sur une clé, dans le tiroir-caisse abandonné. Son complice court toujours. Mais lequel a tiré un coup de feu ?
C'est sans doute parce qu’absolument rien ne prouve que c’est lui qui a tiré en direction de l’employé de la station-service “Total”, route de Limoux, le 6 mai dernier (*), qu’Ahmed Jabri a été condamné à 8 mois de prison ferme (24 mois en tout, dont 16 avec sursis et mise à l’épreuve) et non à 4 ans d’emprisonnement, comme l’avait pourtant requis le procureur de la République ! Le jeune Carcassonnais de 27 ans a été interpellé mercredi, au terme d’une minutieuse enquête de près d’un an. Trahi par son empreinte génétique relevée sur une clé, dans le tiroir-caisse abandonné, vide, par les braqueurs, dans une impasse, au Viguier.
Le “pompiste” avait évité un coup de feu en plongeant derrière le comptoir

Le 6 mai 2012, donc, à 19 h 30, deux individus encagoulés et gantés avaient contraint, sous la menace d’une arme, l’employé de la station-service à leur remettre la caisse. Celle-ci contenait 819 € en liquide. Le “pompiste” avait évité un coup de feu en plongeant derrière le comptoir. Ce n’est que quand les policiers ont récupéré la douille, qu’on a su qu’il s’agissait d’un pistolet d’alarme. Les deux individus avaient pris la fuite, à pied, à travers champ, en direction du Viguier. C’est le lendemain que le tiroir-caisse était retrouvé. Avec les fameuses clés, permettant de résoudre le mystère...
"Les nombreux doutes existants dans ce dossier"
Lors de la perquisition au domicile d’Ahmed, mercredi, les policiers retrouvaient des douilles semblables à celle retrouvée à la station-service. Le prévenu n’a pas trouvé d’explication aux questions pressantes de la présidente du tribunal, Sophie Mollat. Notamment sur la présence de ses empreintes sur les clés.... Me Laredj a soulevé "les nombreux doutes existants dans ce dossier", prié les juges de "ne pas faire l’amalgame avec le braquage du Leclerc"... Pour finalement plaider la relaxe. Faute de relaxe, il a considérablement réduit la peine requise par le procureur.
(*) Les constitutions de parties civiles du gérant et de l’employé de la station-service ont été jugées recevables. L’auteur des faits devra payer 3 000 € à l’employé au titre des dommages et intérêts.

http://www.midilibre.fr/2013/04/19/le-braqueur-de-total-trahi-par-son-empreinte-genetique,682125.php

Pons (17) : un jeune homme de 23 ans tué dans une collision

L'accident s'est produit sur la départementale 137 au lieu-dit Touche au Roy, au niveau de la commune de Pons.
Cet habitant de Saint-Palais-de-Phiolin, petit village situé sur le canton de Saint-Genis de Saintonge, était âgé de 23 ans. Il circulait dans le sens Saintes-Mirambeau à bord d'une Peugeot 405 lorsque, pour une raison inconnue, il s'est déporté et a percuté un poids lourd qui arrivait en sens inverse. Dans le choc, le conducteur de la Peugeot est décédé.

http://www.sudouest.fr/2013/04/19/pons-17-un-jeune-homme-de-23-ans-tue-dans-une-collision-1029730-1391.php

vendredi 19 avril 2013

Béziers : elle vole 1 200 € de marchandises au supermarché et tabasse le vigile

La jeune femme avait tenté de quitter la zone commerciale par une caisse... sans caissière ! Elle a été arrêtée par un vigile, qui avait repéré le manège. La mise en cause a alors vociféré sur le vigile. Voyant que ce dernier ne cédait pas, elle l’a roué de coups.
Jeudi, vers midi, une cliente d’une grande surface de Béziers venait de faire ses courses. Elle s’apprêtait à sortir du magasin le chariot bien plein. Sauf que cette dernière avait bien dans la tête de ne pas payer son dû. Elle a été arrêtée par un vigile, qui avait repéré le manège, alors que la dame allait s’engager vers une caisse sans personnel.
Elle roue de coups un vigile et en frappe un autre

Tout aurait pu s’arrêter là. Mais que nenni, la mise en cause a alors vociféré sur le vigile. Voyant que ce dernier ne cédait pas, elle l’a roué de coups. Dans un premier temps à la tête et avec son sac à main puis, après, à grands coups de pied. Un second vigile est alors intervenu, il a, lui aussi, ramassé quelques gifles de la part de cette cliente très énervée.
Vêtements, produits de beauté et victuailles
Finalement, ils ont réussi à la maîtriser non sans mal. Le chariot contenait pour un peu plus de 1 200 € de vêtements, produits de beauté et quelques victuailles. La dame a alors été remise entre les mains des policiers. Placée en garde à vue, elle a été mise en examen. Elle devra se présenter devant le tribunal le 17 juin prochain.

http://www.midilibre.fr/2013/04/19/elle-volait-1-200-eur-de-marchandises,681927.php