vendredi 24 mai 2013

Trois mineurs arrêtés après le braquage d'un tabac avenue Jean-Rieux

Un tabac presse de l'avenue Jean-Rieux a été attaqué par trois hommes hier après-midi. Après une poursuite rocambolesque, trois suspects mineurs ont été interpellés et placés en garde à vue
Cagoule, arme, menaces ! Les trois individus qui ont fait irruption hier vers 17h15 dans un tabac-presse de l'avenue Jean-Rieux, à Toulouse, ont fait comme à la télévision. Sauf que la gérante du lieu ne s'est pas dégonflée. Et son premier réflexe a consisté à fermer sa caisse. Les voleurs se sont retrouvés sans argent, pas très à l'aise malgré leurs cagoules et leur arme. Par dépit, ils ont piqué des cigarettes avant de quitter le magasin en courant.
Très vite, un message d'alerte a été diffusé aux patrouilles de police et tout le monde s'est mis à chercher trois jeunes suspects. Des recherches qui n'ont pas été fructueuses jusqu'à l'annnonce discrète d'un chauffeur de bus, du côté du Grand-Rond. Trois individus venaient de monter dans son bus sans payer leur ticket. Le message a été passé au PC de Tisséo et a vite intéressé les services de police. Parce que le signalement des trois voyageurs sans billet correspondait de près à celui donné par la victime du tabac-presse. Le bus s'est retrouvé cerné par des voitures de police et des policiers de la briagde anticriminalité ont interpellé les trois suspects.
Ces garçons, de «jeunes mineurs» selon nos informations, se trouvaient dans les bureaux de la brigade criminelle hier soir. L'un d'eux aurait été reconnu par la commerçante. Les enquêteurs restaient très prudents. L'arme utilisée n'a pas été retrouvée. En revanche, dans les poches des suspects, des paquets de cigarettes blondes américaines de la marque volée au tabac. Une coincidence troublante. La nuit s'annonçait longue par les trois suspects.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/24/1633683-trois-mineurs-arretes-apres-le-braquage-d-un-tabac.html

lundi 20 mai 2013

Une collégienne réapparaît sept jours après sa disparition

Enola Devanne avait été vue pour la dernière fois lundi dernier à Fontenay, près de son collège et de la gare routière, selon les gendarmes qui avaient lancé un appel à témoins.

La collégienne de 13 ans, disparue le 13 mai à Fontenay-le-Comte en Vendée, a été retrouvée lundi "en bonne santé à Niort", a-t-on appris auprès de la gendarmerie qui avait lancé dimanche un appel à témoins pour retrouver  l'adolescente, vue pour la dernière fois lundi dernier près de son collège et de la gare routière.
La jeune fille a été retrouvée lundi en fin de matinée grâce aux investigations des gendarmes dans un appartement de Niort, a-t-on indiqué à la gendarmerie de Fontenay, précisant qu'il s'agissait a priori d'une fugue. Au plus fort des recherches, une cinquantaine de militaires avaient été mobilisés pour la retrouver.
 

dimanche 19 mai 2013

Murat-sur-Vèbre. Une vingtaine de brebis périssent dans l'incendie

Un important incendie s'est déclaré hier après-midi sur un ensemble de bâtiments agricoles (bergerie, atelier, hangar) en bordure du village de Labessière, village situé entre Murat et Brusque. L'alerte a été donnée vers 16h30. Vingt-cinq sapeurs-pompiers des centres de secours de Murat et Lacaune ont été dépêchés sur les lieux. Ils étaient équipés de gros moyens : six véhicules de lutte contre l'incendie placés en plusieurs points autour des différents bâtiments ont été nécessaires pour, au bout de deux heures d'effort, circonscrire l'incendie. Le capitaine Jean-Luc Pistre et ses hommes, s'apprêtaient à poursuivre cependant leur mission : isolement du foyer central et surveillance en périphérie car la paille continuait à se consumer. Car si le hangar était définitivement perdu, l'objectif devenait de protéger au mieux les bâtiments contigus, moins endommagés : bergerie, atelier, salle de traite.

Une vingtaine brebis perdues

Bien que cela reste à expertiser, ce serait la foudre, tombée sur l'une des deux cellules à grains, qui serait à l'origine du sinistre. À chaud, le propriétaire Julien Pistre déplorait que sept années de travail - sans doute depuis son installation sur la ferme familiale - soient parties en fumée. Outre le hangar abritant 150 balles de paille, ce sont en effet un tracteur et une vingtaine de brebis qui constituent les dommages les plus importants,; le jeune agriculteur ayant pu cependant évacuer à temps l'essentiel du troupeau de cette bergerie (environ 250 ovins) vers un bâtiment proche.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/19/1629756-murat-vebre-vingtaine-brebis-perissent-incendie.html

samedi 18 mai 2013

Tarbes. La benne déverse ses déchets de bois sur la RN 21

En pleine heure de pointe, hier matin, la circulation a été perturbée, au rond-point Saint-Frai, sur la RN 21, à Tarbes, suscitant le mécontentement des usagers.
La raison ? Vers 6 h 45, la benne de la remorque d'un camion s'est renversée sur le côté droit déversant son chargement sur la chaussée. Une partie des déchets de bois a même atterri dans la station-service du Carrefour Market, situé en bordure du rond-point. Le grillage clôturant l'enceinte du supermarché a été endommagé. Ainsi que le trottoir.
Un engin de levage de l'entreprise Castellini a remis la benne sur ses pieds aux alentours de 9 h 30. Pendant ce temps, les services de la ville de Tarbes procédaient au nettoyage de la chaussée pour enlever les copeaux de bois.
Comme il s'agit d'une route nationale, les agents de la direction interdépartementale des routes nationales étaient sur place pour évaluer les éventuels dégâts subis par la chaussée.
La police nationale a mis en place une déviation de la circulation. Depuis le rond-point Saint-Frai, les automobilistes ne pouvaient pas rejoindre le boulevard Jean-Raoul-Paul, en direction de Lourdes.
Le camion de l'entreprise Seosse, installée à Saint-Lon-Les -Mines (Landes), venait de Toulouse où il avait chargé sa cargaison de déchets d e bois. Il rentrait au siège de l'entreprise. Ces déchets de bois sont recyclés et servent de combustibles dans l'industrie.
Selon les premières constatations, il semble que les crochets hydrauliques de la remorque aient cédé, ce qui a occasionné le renversement de la benne.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/18/1628924-tarbes-benne-deverse-dechets-bois-rn-21.html

vendredi 17 mai 2013

Un obus trouvé dans le Cognaçais, les gendarmes appellent à la vigilance

L'engin possédait encore sa fusée lorsque, presque 100 ans après, il a été découvert sur le bord d'un chemin par un promeneur à Saint-Sulpice-de-Cognac lundi. Cet obus de la Première Guerre mondiale a rapidement été désamorcé par le service de déminage de la gendarmerie. 
Les autorités profitent de cet événement qui s'est parfaitement bien déroulé pour rappeler les règles de base à effectuer à la découverte d'engins explosifs : ne pas y toucher, ni le déplacer ou le transporter. Repérer les lieux et alerter la mairie qui se mettra en relation immédiate avec la gendarmerie ou la police. Enfin, ne jamais enterrer l'obus pour s'en débarrasser.

Des précautions qu'il vaut mieux répéter plutôt deux fois qu'une. À Cognac, on se souvient encore de cet homme qui, voulant bien faire, avait débarqué au commissariat en novembre avec ce qu'il croyait être une mine antipersonnel, trouvée dans le grenier d'une vieille maison. Tout le quartier avait été bouclé, les écoles avoisinantes évacuées. Ce Cognaçais avait mis l'objet dans un sac à dos, l'avait posé sur le siège passager de sa voiture avant de filer vers le commissariat et même de heurter le trottoir en stationnant...
Plus près de nous, en mars, un artisan travaillant dans une maison de ville boulevard Gambetta à Barbezieux avait découvert un obus lors de la démolition d'un mur. Il s'agissait d'un obus à tenon de 1870. Là encore, la gendarmerie avait immédiatement été avertie

http://www.sudouest.fr/2013/05/17/un-obus-trouve-dans-le-cognacais-les-gendarmes-appellent-a-la-vigilance-1056701-1112.php

Menace de massacre dans un lycée à Strasbourg : la photo d'un suspect diffusée

Un internaute a annoncé sur un forum de jeux vidéos son intention de commettre un massacre dans un établissement scolaire. Plusieurs écoles ont été placées sous surveillance policière.

Les services de police étaient en alerte, vendredi, à Strasbourg, après qu'un internaute a posté un message sur le forum de jeuxvideo.com annonçant son intention de commettre un massacre dans un établissement scolaire à l'aide d'une arme à feu. La justice vient de lancer un appel à témoins et diffuse la photo du suspect, relayée dans un tweet ci-dessous.
La photo montre le visage d'un adolescent ou d'un jeune homme portant une capuche foncée. Les enquêteurs ont mis en place un numéro vert pour tenter de l'identifier: le 03.90.23.13.05, a précisé lors d'une conférence de presse le procureur de Strasbourg, Michel Senthille. A la suite de ces menaces, un dispositif exceptionnel de plus de 750 policiers et gendarmes a été déployé vendredi autour de 59 lycées du Bas-Rhin, a détaillé le préfet d'Alsace, Stéphane Bouillon.
"Un dispositif important a été mis en place pour identifier l'auteur de la menace et parer au passage à l'acte, auto ou hétéro-agressif", a expliqué le magistrat. Ce dispositif exceptionnel, déployé devant 59 lycées du Bas-Rhin selon le rectorat, comportait plus de 750 policiers et gendarmes, a détaillé le préfet d'Alsace, Stéphane Bouillon. S'il s'agit d'un canular, il est "de très mauvais goût", a commenté le procureur.
Dans ce cas son auteur encourrait une peine de deux ans de prison et 30.000 euros d'amende. Le message en question, posté mardi soir sur internet, a été signalé au commissariat de Versailles par un adolescent qui l'avait repéré sur le forum consacré à un jeu vidéo. Cet adolescent l'a signalé à sa mère, qui a elle-même prévenu les services de police. La mise en place d'un important dispositif policier autour de lycées du Bas-Rhin survient au lendemain du suicide d'un homme de 50 ans dans le hall d'une école primaire à Paris.
"Dernier chapitre"
Le message aurait été posté depuis un cybercafé de Strasbourg, selon Les Dernières nouvelles d'Alsace, qui révèle l'information. Information relayée massivement sur les réseaux sociaux par les adolescents. Des voitures de police effectuaient des rondes répétées, après que cet inconnu a menacé d'écrire le "dernier chapitre" de sa vie dans un lycée. "J'habite dans une certaine ville, où se trouve un certain lycée, et vendredi, je laisse ma trace dans l'histoire", a écrit cet inconnu dans un message intitulé "Tout s'arrête bientôt", posté mardi soir sur un site de jeux sur internet. "La vie de beaucoup de gens, dont la mienne, finira ce jour-là", ajoute l'inconnu, selon le fac-similé du message publié sur le site de Rue89 Strasbourg.
Un journaliste des DNA, présent à l'entrée du collège St-Etienne à Strasbourg, a confirmé le dispositif de contrôle mis en place à la suite de ces menaces qui ont créé un véritable vent de panique chez les scolaires et leurs parents.La présence policière aurait également été confirmée devant les établissements Notre-Dame, Ste-Clotilde, Kléber, Marc Bloch (Bischheim), René Cassin, selon les DNA, qui précisent que cette liste n'est pas exhaustive. 
 

jeudi 16 mai 2013

Découverte d’ossements humains: un homme écroué

Un homme de 41 ans a été mis en examen pour assassinat et écroué mercredi soir à Saint-Etienne après la découverte d’ossements identifiés comme étant ceux d’une femme disparue en 2010, a-t-on appris jeudi auprès du parquet, confirmant une information du Progrès.
Dimanche, des promeneurs avaient découvert des ossements et des lambeaux de vêtements dans une forêt de la commune de Chambles, dans l’agglomération de Saint-Etienne. Les analyses ADN effectuées lundi ont révélé qu’il s’agissait du corps de Fatima Bachiri, une Algérienne de 32 ans qui avait disparu le 2 juillet 2010, dernier jour de l’année scolaire où elle aurait dû aller chercher ses filles de 10 et 12 ans à l’école publique de Beaulieu (Loire).
L’homme interpellé mercredi, sur lequel pesait des soupçons, avait déjà été entendu au cours de l’enquête, a précisé le procureur adjoint de la République de Saint-Etienne, André Merle, qui a refusé d’indiquer le lien existant entre cet homme et la victime. En dépit de la persistance de ses dénégations, l’homme a été mis en examen pour assassinat « de par la présence d’indices graves et concordants », a déclaré le magistrat.

http://www.republicain-lorrain.fr/france-monde/2013/05/16/decouverte-d-ossements-humains-un-homme-ecroue

Besançon : La gérante avait simulé son propre braquage

Elle avait tout inventé mais n’avait trompé personne. La gérante salariée de la chocolaterie De Neuville, rue de la République, dans la Boucle de Besançon, avait mis en scène son braquage avec un trop grand souci de réalisme et surtout une naïveté confondante.
Ce samedi 13 avril, il est 10 h 30 lorsque la jeune femme, âgée de 26 ans, appelle au secours. Deux individus encagoulés lui ont réclamé la caisse sous la menace d’un couteau et avant de s’enfuir lui en ont assené un coup au ventre. Blessée, elle est évacuée sur une civière par les pompiers.

Tissu d’incohérences

L’enquête qui débute ne fait que relever les incohérences des dires de la victime qui prétend qu’elle détenait 32.000 € dans la caisse. Une somme tout à fait inhabituelle à conserver par-devers soi-même dans un commerce des plus florissant.
Ensuite, les braqueurs ont laissé le couteau sur place, qui ne porte que les empreintes de la victime. D’habitude, les policiers ont un mal de chien à mettre la main sur l’arme du crime que, par réflexe, son auteur emporte systématiquement.
Enfin, à cette heure de grande affluence en ville, dont le choix paraît déjà curieux pour des malfrats un minimum consciencieux, aucun riverain, passant ou œil électronique ne les a aperçus arriver ou s’enfuir. Dans un créneau aussi restreint, c’est quasi impossible.
Ces constatations faites dans les premières heures de l’enquête placent aussitôt la victime au rang de suspect numéro un. Les policiers s’emploient donc à l’environner, s’attachant tout particulièrement à son train de vie qui paraît très au-delà de ce que son salaire lui permet. D’autant plus que de nombreux achats sont réglés en liquide. Convoquée mardi matin et placée en garde à vue dès son arrivée au commissariat, la vendeuse indélicate a mis 24 heures à reconnaître sa culpabilité. Employée depuis avril 2010, elle avait commencé à puiser dans la caisse en janvier 2011.
Elle était depuis quelque temps pressée par son employeur, basé dans la Seine-et-Marne, de déposer l’argent liquide qu’elle était censée détenir au magasin à la banque. Légitimement inquiet de la savoir conserver une telle somme en caisse, celui-ci se faisait de plus en plus insistant. La jeune femme a alors imaginé ce stratagème, se trouvant dans l’impossibilité de répondre à l’impératif de son patron de façon concluante. Bien qu’ayant contracté des prêts pour masquer ses emprunts, la tentation de dépenser l’argent avait été trop forte.

Prise dans un tourbillon

Prise à la gorge dans ce tourbillon d’argent facile, la jeune femme est allée jusqu’à se blesser elle-même. Pas trop grièvement que l’on se rassure et là encore, la reconstitution de son agression devant les enquêteurs de la sûreté avait achevé de convaincre ces derniers qu’ils avaient affaire à une menteuse, qui se retrouve aujourd’hui chocolat.
Déférée au parquet hier après-midi, elle s’est vue signifier sa convocation devant le tribunal correctionnel pour le 28 juin et a été placée sous contrôle judiciaire.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/05/16/la-victime-se-retrouve-chocolat

Lille : pas de transports en commun

Aucun bus, métro ou tramway ne circulait à Lille ce matin, pour la troisième journée consécutive, en raison d'un mouvement de grève du personnel pour des motifs salariaux, a indiqué le gestionnaire du réseau Transpole.

"La situation est malheureusement la même que les deux jours précédents : bus, métro et tram ne circulent pas aujourd'hui", en raison d'un blocage des dépôts, a annoncé Transpole.

Les lignes périurbaines et certaines dessertes scolaires fonctionnaient normalement, a ajouté Transpole.

La CGT avait appelé hier soir "à un durcissement du mouvement" de grève, dès lors que le gestionnaire "a une volonté délibérée (...) de ne pas discuter" tant que les piquets de grève ne sont pas levés.

Une réunion de conciliation doit se tenir à 15h à l'initiative de la DIRECCTE (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi), selon Transpole.

Conséquence du mouvement de grève, le trafic était très perturbé sur les routes de la métropole lilloise, où 75 kilomètres de bouchons cumulés ont été relevés à l'heure de pointe ce matin, selon le CRICR (Centre Régional d'informations et de coordination routière).

"Il y a plus de difficultés ce (jeudi) matin que (mardi)", où l'on avait compté jusqu'à 60 km de bouchons à l'heure de pointe du matin, a déclaré un porte-parole du CRICR.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/16/97001-20130516FILWWW00408-lille-pas-de-transports-en-commun.php

Montpellier : accident sur l'A9 à hauteur d'Ikea, 8 blessés

Un spectaculaire accident sur l'autoroute près de la sortie Montpellier-Est à la hauteur du magasin Ikea a fait huit blessés légers et beaucoup de tôles pliées. 
L'accident qui s'est produit sur l'A9 à hauteur d'Ikea a fait huit blessés légers. Un camion et deux véhicules sont entrés en collision sur l'autoroute. Un accident qui se situe sur la voie Sud (dans le sens Béziers-Nîmes) en face du magasin Ikea. Un axe rendu d'autant plus difficile qu'il pleut et que la sortie Montpellier-Est est congestionnée en raison du concert au Zénith de Marc Lavoine.  
Selon les premiers éléments des pompiers actuellement sur place, ils ont procédé à la désincarcération du chauffeur du camion. 

http://www.midilibre.fr/2013/05/15/montpellier-gros-accident-sur-l-a9-a-hauteur-d-ikea,697308.php

mercredi 15 mai 2013

Haute-Garonne : à 3 ans, il marchait seul sur l'autoroute

Mardi, sur l'autoroute A 64 en Haute-Garonne, un enfant de 3 ans marchait le long de la voie. Il avait échappé à la vigilance de sa maman devant la ferme où ils vivent.
Les spectateurs de cette scène ont dû penser avoir une hallucination. Mardi, en fin de matinée sur l'autoroute A 64,  au niveau de la sortie de Martes-Tolosane, en Haute-Garonne, un enfant de 3 ans a été retrouvé marchant le long de l'autoroute. Il avait échappé à la vigilance de sa maman devant la ferme où ils vivent, au lieu-dit Bordenave à Mondavezan, rapporte La Dépêche.
L'enfant, qui voulait rattraper son chien, l'a suivi sur le bord de l'autoroute. Par miracle un touriste qui circulait dans le sens Toulouse-Bayonne a aperçu l'enfant et a aussitôt alerté les gendarmes. L'enfant a ensuite été pris en charge par la brigade de Martres-Tolosane.
Entre-temps, la maman s'est rendue compte de la disparition de son fils et à appelé la gendarmerie pour signaler la disparition. Pratiquement au même moment où les gendarmes récupéraient le bambin. "Heureusement qu'il n'a pas essayé de suivre son chien en traversant l'autoroute", a confié un gendarme soulagé. Le chien, quant à lui, s'est fait écraser sur l'autoroute.
 

Un corps sur les voies du RER

Le corps sectionné d'une femme d'origine asiatique a été retrouvé sur les voies du RER B à Bourg-la-Reine, rapporte Le Parisien-Aujourd'hui en France sur son site. Le conducteur d'un train l'a aperçu en circulant vers minuit et demi. Les raisons du décès sont pour le moment inconnues. La victime n'a pas été heurtée par un RER mais elle pourrait avoir été "happée" par le passage de l'un d'eux.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Un-corps-sur-les-voies-du-RER-607436

Terssac. Un homme armé recherché par les gendarmes

Un homme de 61 ans, peut-être armé, était toujours activement recherché par les gendarmes hier soir, autour de Terssac. Pour autant, l'inquiétude sur ses réelles intentions et surtout le danger qu'il pourrait représenter pour la population, ont baissé d'un cran au fil des heures. Tout démarre à 12h55. Le centre opérationnel de la gendarmerie d'Albi reçoit l'appel d'une Terssacoise les informant que son mari, suite à «une petite dispute», aurait quitté le domicile conjugal pour une destination inconnue. .. très énervé et surtout armé. Elle n'est pas absolument sûre qu'il soit parti avec son fusil, mais cette hypothèse est évidemment prise au sérieux, ce qui explique le gros dispositif déployé par la compagnie de gendarmerie d'Albi. Le chef d'escadron Thierry Damerval va d'abord engager tous les effectifs disponibles des communautés de brigades de Réalmont, Villefranche et Cagnac-les-Mines et du PSIG d'Albi. Pour appuyer leurs recherches, une équipe cynophile arrive de Colomiers. Le chien suivra une piste, qui s'arrêtera assez vite. Un hélicoptère du détachement aérien de Toulouse va survoler un long moment le secteur, sans plus de résultats. Entretemps, l'épouse avait pu joindre très brièvement son mari au téléphone, juste le temps pour celui-ci de lui indiquer... où il avait caché les clés de la maison! Puis il coupera son portable.
En début de soirée, aucun individu armé n'avait été signalé ni aucun coup de feu entendu. Les gendarmes s'avouaient donc perplexes, espérant que le sexagénaire, après ce coup de colère, finirait par rentrer chez lui.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/15/1626668-terssac-un-homme-arme-recherche-par-les-gendarmes.html

Saint-Priest : une voiture percute une rame de tramway et la fait dérailler

Un accident particulièrement spectaculaire s’est produit dans la nuit de lundi à mardi à Saint-Priest, où une voiture a provoqué le déraillement d’un tramway de la ligne T2.
Vers minuit, la conductrice d’une Renault Mégane, qui circulait avenue Jean-Jaurès, n’a pas vu que le feu situé au carrefour avec la voie du tramway était rouge. À cet instant arrivait une rame, qui se dirigeait vers l’hôtel de ville. L’automobiliste n’a pas eu le temps de freiner et a percuté l’avant du tramway à pleine vitesse.
Sous l’effet du choc, sa voiture a été projetée de l’autre côté de la rue et le tramway a déraillé sur une quinzaine de mètres. Deux essieux de la rame, qui pèse plus de 50 tonnes, sont sortis des rails, ce qui donne une idée de la violence du choc. Dans la voiture pulvérisée, la conductrice a été sérieusement blessée. Elle souffre de plusieurs fractures, mais ses jours ne sont pas en danger. Son passager, plus légèrement blessé, souffre de douleurs au dos.
Dans le tramway, le conducteur et ses passagers sont tous sortis indemnes de l’accident. Mais il a fallu plus de cinq heures et des moyens lourds pour remettre la rame sur la voie, puis l’évacuer. 

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/05/15/une-voiture-percute-une-rame-de-tramway-et-la-fait-derailler

mardi 14 mai 2013

Biscarrosse (40) : rumeurs infondées autour d'une tentative d'enlèvement

Une rumeur infondée suivant laquelle un enfant de Biscarrosse aurait été victime d'une tentative d'enlèvement court actuellement dans la station balnéaire du Nord des Landes.
D'après le commandement du Centre opérationnel de renseignements de la gendarmerie des Landes, ce vent de panique souffle et s'intensifie effectivement depuis le signalement d'un fait survenu lundi après-midi à la sortie du collège Jean-Mermoz.

Un couple qui circulait dans un 4x4 noir aurait en effet proposé à un enfant de 13 ans de monter dans leur voiture. Ce dernier, qui circulait à vélo, aurait décliné l'invitation douteuse et le couple aurait tout simplement poursuivi sa route.
Si aucun élément permet de parler d'une véritable « tentative d'enlèvement », l'alerte compilée dans un procès verbal de renseignement judiciaire est prise très au sérieux et fera l'objet de plus amples investigations.

http://www.sudouest.fr/2013/05/14/biscarrosse-40-rumeurs-infondees-autour-d-une-tentative-d-enlevement-1053439-5410.php

Vol de cuivre et de carburant : un procès sur fond de menaces

Après avoir dénoncé ses deux complices pour le vol de 3 500 kilos de cuivre et 1 470 litres de carburant en 2011, l'un des auteurs est revenu hier sur ses accusations, préférant assumer seul les conséquences.
Le 18 mai 2011, trois sacs de denrées alimentaires (viande, charcuterie) étaient dérobés dans la zone de stockage du magasin Dia, situé route de Bétheny. Trois individus sont aperçus ce jour-là. Le lendemain, nouvelle effraction.
Cette fois, la caméra de surveillance va repérer un individu seul, qui va fracturer des casiers dans le vestiaire des employés et dérober portefeuilles et numéraire. Grâce aux images, les enquêteurs vont remonter jusqu'à Kevin Leclerc, 24 ans, déjà 19 condamnations à son actif.
Interpellé peu de temps après les faits, non seulement il va reconnaître les vols chez Dia, mais il va aussi donner le nom de ses deux complices, Teddy Boughelala et Freddy Decobecq, et livrer des détails plus que précis sur d'autres faits, notamment le vol de 3 500 kilos de cuivre commis dans la zone Farman, ainsi que 1 470 litres de carburant siphonnés dans des poids lourds.
Le vol de cuivre remonterait au week-end du 1er mai 2011. Après avoir découpé la clôture d'une société de transports située boulevard de Val-de-Vesle à Reims, les voleurs auraient déchargé deux camions qui contenaient les tonnes de cuivre. Une fois découpé, le cuivre aurait été stocké dans un camion laissé à l'abri dans un terrain vague du quartier du Bois-d'Amour, près de l'allée du Fer-à-Cheval pour être revendu. Les circonstances du vol, le lieu de stockage : les détails sont édifiants de précisions. A tel point que le camion et son lourd chargement seront retrouvés sur ses indications dans ledit terrain vague, proche du domicile de Freddy Decobecq. Un tuyau et des bidons vides seront également retrouvés près de chez lui. Kevin Leclerc mettra également en cause Teddy Boughelala dans le vol des 52 fontaines.
Volte-face
Pourtant hier, alors qu'il comparaissait à la barre du tribunal correctionnel de Reims, aux côtés des deux hommes qu'il accuse, Kevin Leclerc n'avait plus rien à dire, si ce n'est qu'il était le seul auteur du cambriolage au magasin Dia. Pour le reste, il niera sans vraiment nier la présence des deux autres. Il ne reviendra pas sur ses accusations : « Je n'ai rien à dire ». Il ne dira pas qu'il n'a pas reçu de menaces, il indiquera seulement « ne pas vouloir (s)'expliquer sur ces faits ». Pour autant, il a bien été fait état de menaces à son encontre. Des menaces rapportées non pas par lui, mais par l'administration pénitentiaire, qui pourraient expliquer cette étrange volte-face.
De leur côté, Freddy Decobecq, 5 condamnations, et Teddy Boughelala, 17 mentions, n'ont eu de cesse de nier leur participation, indiquant ne pas comprendre ce qu'ils faisaient là, ni pourquoi ils auraient été dénoncés par Kevin Leclerc. Sauf à y voir une vengeance pour Freddy Decobecq pour une sombre histoire de femme. La compagne de Kevin aurait « flashé » sur Freddy. « Il voulait se venger de moi. »
Le mutisme de l'un. Les explications alambiquées des autres… Le parquet n'y a pas cru, requérant de lourdes peines à l'encontre des trois prévenus : deux ans de prison ferme pour Kevin Leclerc, un an ferme sous le régime de la semi-liberté pour Freddy Decobecq et Teddy Boughelala. L'affaire a été mise en délibéré au 10 juin.

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/vol-de-cuivre-et-de-carburant-un-proces-sur-fond-de-menaces

Reims. Elle perd son permis pour excès de vitesse en tentant de fuir un dragueur

Une jeune commerciale a perdu son permis de conduire le 23 avril dernier vers Reims (Marne) après avoir été flashé par un radar alors qu'elle tentait de semer un automobiliste un peu trop insistant vers Reims.

Sur une route du côté de Châlons-en-Champagne, au sud-est de Reims (Marne), la jeune femme s’aperçoit qu’elle est suivie par un homme, en voiture. L’automobiliste semble vouloir attirer son attention et la drague sur plusieurs kilomètres.

"Elle atteint la barre des 145 km/h"

Accélérations, ralentissements, le conducteur n’aurait pas hésité à avoir une conduite dangereuse pour séduire la jeune femme. Excédée par ce comportement, elle décide d’appuyer sur l’accélérateur et atteint la barre des 145 km/h. Une vitesse à laquelle les deux conducteurs ont été flashés avant d’être rattrapés par la patrouille motorisée de Saint-Menehould. Les gendarmes ont verbalisé les deux automobilistes sans tenir compte de l’excuse de la drague soulignée par la jeune femme.

Cette dernière a porté plainte contre le dragueur et présente un recours devant le tribunal administratif afin de récupérer son permis dont la suspension était prévue à trois mois.


http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/13/1625120-reims-perd-permis-exces-vitesse-tentant-fuir-dragueur.html

lundi 13 mai 2013

Il s’écrase contre un parapet de l’A 86 en fuyant la police

Le conducteur d’une qui a voulu échapper à un contrôle de police à Dugny (Seine-Saint-Denis) a fini sa course folle contre un parapet, ce lundi, vers 10 h 45, sur l’A 86, à hauteur de Saint-Denis. Il n’y a pas eu de blessés. Dans sa fuite de près de 10 kilomètres, l’automobiliste a rejoint l’autoroute A 1 puis l’A 86, où il a perdu le contrôle de son véhicule, à hauteur de la sortie du Stade de .
Selon les premiers éléments de l’enquête, le chauffard a refusé d’obtempérer parce qu’il serait en défaut de permis de conduire. L’automobiliste et son passager ont finalement été interpellés par la police, sur les lieux de l’accident, en présence d’un hélicoptère, qui était dans les parages, pour une autre affaire.

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93

Nabirat (24) : un touriste parisien, d'origine sénégalaise, victime d'une agression raciste

Mardi 7 mai, vers 17 heures, laissant sa femme et son enfant dans le camping de Nabirat où ils étaient en vacances, un aide-soignant de 47 ans d’origine sénégalaise, vivant à Evry (91), est parti se promener en voiture. Il a croisé un homme de 21 ans qui conduisait un tracteur : "Qu'est-ce-que tu fais là ? Retourne chez toi !" lui a-t-il dit.
Le touriste a poursuivi sa balade quand, quelques minutes après, le conducteur est revenu à la charge avec deux compères, respectivement âgés de 58 et 50 ans. Les trois hommes ont agressé l'aide-soignant, l'ont sorti de son véhicule, lui ont arraché son tee-shirt, cassé ses lunettes et asséné des coups de pied et de poing. Ils l'ont également insulté : "Sale nègre, on t’avait dit de rentrer chez toi ".

La victime, qui souffrait d’un traumatisme crânien et se plaignait notamment des côtes, s’est rendue aussitôt à l’hôpital de Gourdon (46), où elle s’est vu signifier une ITT (interruption de travail) de trois jours, avant d’aller porter plainte auprès de la gendarmerie de Domme.
Grâce à plusieurs témoignages, les enquêteurs ont identifié les trois agresseurs,  interpellés ce lundi à 7 h 45 à leurs domiciles de Nabirat. Placés en garde à vue, ils devront répondre de violences aggravées par deux circonstances, en réunion et avec injures publiques envers un particulier en raison de son origine.

http://www.sudouest.fr/2013/05/13/nabirat-24-un-touriste-parisien-d-origine-senegalaise-victime-d-une-agression-raciste-1052388-1962.php

Bazet. Poursuite en hélicoptère

Les habitants de Bazet ont été quelque peu surpris, vendredi en fin d'après-midi, lorsqu'aux alentours de 18 heures, un hélicoptère de la gendarmerie a survolé le village : «Il a tourné un moment, puis il s'est posé dans un champ pas loin. On a cru que quelqu'un venait d'être arrêté. Surtout que les routes d'accès étaient bleues de gendarmes, il y en avait partout», témoigne un riverain. Un peu plus tôt dans l'après-midi, un habitant avait téléphoné à la gendarmerie pour signaler le comportement étrange d'un individu, qui lorgnait avec insistance vers le parc à jeux des enfants. Craignant une tentative d'enlèvement, les autorités ont dépêché sur place des forces conséquentes. En fait, l'individu était un peu éméché et après avoir été interrogé, il a été remis en liberté.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/13/1625022-bazet-poursuite-en-helicoptere.html

Lyon 5e : après un délit de fuite, il tente de soudoyer un ami pour se dédouaner

Au terme d’une course poursuite digne d’un film de Luc Besson, la Golf avait dévalé les marches d’une impasse près de Fourvière. Le conducteur n’était autre que le propriétaire du véhicule.
Le 1er mai, pour échapper à un contrôle de police, il avait dévalé les escaliers de la montée Nicolas de Lang sous Fourvière. Non content de cet exploit, il apparaît qu’il aurait également soudoyé une connaissance pour qu’elle endosse à sa place la responsabilité et aille se dénoncer à la police

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/05/12/lyon-5e-apres-un-delit-de-fuite-il-tente-de-soudoyer-un-ami-pour-se-dedouaner

dimanche 12 mai 2013

L'A63 coupée dans le sens Bayonne-Bordeaux au niveau de Canéjan (33)

Sur l’A63, en direction de Bordeaux, l’axe était coupé ce dimanche à 15 h 30, au niveau de la commune de Canéjan en raison d’un poids-lourd en feu, arrêté sur la bande d'arrêt d'urgence.
Des déviations ont été mises en place :
- pour les véhicules légers, prendre la sortie 24 puis suivre la D1010,
- pour les poids-lourds, prendre la sortie 24 puis suivre la D1250.


De gros ralentissements se sont formés dans les kilomètres qui précèdent le lieu de l'incendie. Les véhicules ne sont pas rabattus sur l'A63 ensuite mais directement dirigés vers la rocade bordelaise

http://www.sudouest.fr/2013/05/12/l-a63-coupee-dans-le-sens-bayonne-bordeaux-au-niveau-de-canejan-1051280-7.php

Elle sauve un homme qui voulait se suicider dans le canal

Ce samedi soir vers 18 h 40 au niveau de la rue Victor-Hugo à Venarey-Les Laumes, un homme, originaire de la commune de Hauteroche, a tenté de se suicider en se jetant à l’eau dans le canal de Bourgogne.
C’est une habitante de Ménétreux-le-Pitois qui l’a empêché de réussir sa tentative en lui permettant de s’extraire du canal, visiblement en le tirant par le bras. Selon nos informations, l'homme aurait, il y a quelques années, été victime d'un accident physique très traumatisant avec un bovin.
A noter, notamment, l’intervention des sapeurs-pompiers de Semur-en-Auxois. Au final, l’homme a été transporté vers l’hôpital de Semur.

http://www.bienpublic.com/haute-cote-d-or/2013/05/11/venarey

Ils voulaient faire "comme les vrais" : 3 faux policiers interpellés à Strasbourg

Trois jeunes de 21 et 22 ans ont été interpellés alors qu'ils patrouillaient à Strasbourg en voiture avec gyrophare, brassard de police et fausses cartes. "De jeunes écervelés ayant agi par idiotie", a commenté une source proche de l'enquête...
Ils voulaient se donner "des sensations fortes en faisant comme les vrais". Trois jeunes de 21 et 22 ans ont été interpellés alors qu'ils patrouillaient à Strasbourg en voiture avec gyrophare, brassard de police et fausses cartes.

Le trio a reconnu avoir régulièrement effectué des sorties depuis quatre mois dans les rues de l'agglomération strasbourgeoise, évitant toutefois les quartiers chauds et le centre-ville, a précisé le commissaire divisionnaire. Leur véhicule, une Laguna grise équipée d'un gyrophare acheté sur internet, avait déjà attiré l'attention d'une patrouille une semaine plus tôt car il était, chose inhabituelle pour un véhicule de police, muni d'un attache-remorque. Mais la voiture avait disparu avant que sa plaque ne puisse être relevée. Vendredi soir, une patrouille a finalement intercepté ce véhicule et a eu la surprise d'en voir sortir un jeune homme, muni d'un étui de cuisse avec un pistolet à billes, qui leur a présenté une carte de police grossièrement imitée en disant être "de la maison", et plus précisément de la brigade anti-criminalité (BAC).
Fausses contraventions
Lors de leur garde à vue, les trois jeunes hommes ont raconté avoir eu l'idée, après les échecs répétés de l'un d'entre eux au concours de police, "de se déguiser en policiers pour connaître des sensations fortes en faisant comme les vrais", selon une source proche de l'enquête. Ils ont affirmé avoir contrôlé lors de leurs "patrouilles" des automobilistes ayant commis des infractions au code de la route, pour les réprimander, mais sans encaisser d'amende. Dans le coffre de la voiture, la police a néanmoins retrouvé des formulaires d'avis de contravention à en-tête du ministère de l'Intérieur que l'un d'entre eux avait bricolés. Ils ont affirmé avoir renoncé à s'en servir. La police a toutefois lancé un appel à témoins pour vérifier leurs dires.

Inconnus des services de police, ces faux policiers n'ont "pas le profil de grands délinquants, mais plutôt de jeunes écervelés ayant agi par idiotie", a commenté une source proche de l'enquête. Le trio a été libéré de sa garde à vue samedi, le temps de boucler l'enquête pour vérifier s'il n'avait pas profité de ses patrouilles pour encaisser de fausses contraventions.
 

L'héritier de Trenet est fauché

En douze ans, le patrimoine de Charles Trenet, estimé à plusieurs dizaines de millions d'€, a volé en éclats. Légataire universel du chanteur dont il fut le secrétaire pendant les 20 dernières années de sa vie, Georges El Assidi, 52 ans, est actuellement logé à titre gratuit et vit des 417 € mensuels du RSA. Fisc, mauvaises affaires avec une société danoise à qui il avait confié ses intérêts, crédit non remboursé, famille du chanteur qui conteste le testament (déboutée en appel le mois dernier)…Cet ancien apprenti boulanger espère retrouver prochainement l'accès aux droits d'auteurs, estimés à 500 000 € par an pendant encore 60 ans….
De quoi était fait l'héritage ?
La maison d'Antibes qu'il avait dessinée, une propriété de 6 hectares à Aix-en-Provence, deux appartements communicants à Canet-en-Roussillon, plusieurs voitures dont «la dame blanche», une Rolls Royce, et des liquidités.
Que vous en reste-t-il ?
J'ai encore tous les objets que j'ai pu sauver, et non pas dilapidés comme disent certains, mais les maisons ont été vendues par la banque où j'avais fait un emprunt pour payer les droits de succession.
Les droits d'auteur ?
La banque en perçoit, le reste est sous séquestre.
Comment aviez-vous rencontré Charles Trenet ?
Un ami m'a emmené chez lui en novembre 1979. Puis je l'ai accompagné à Antibes, et je suis parti au service militaire. Quand j'en suis revenu, il m'a dit «on va se tutoyer, entre jeunes !» et il m'a embauché.
Comme chauffeur ?
Non, j'avais pas encore le permis. Les gens ont dit gigolo, mais ce n'était pas ça. D'abord il était très seul à cette époque-là, sa mère venait de mourir et moi aussi je venais de perdre la mienne. On était comme deux orphelins, et il a été comme un père pour moi. Mais il aimait la vie, faire du sport, marcher, bien manger…
Que faites-vous aujourd'hui ?
Je me bats pour sauver mes intérêts et je participe à ce qui se fait pour son centenaire. Vous verrez tout ce que j'ai prêté pour l'exposition qui viendra en juillet à Narbonne.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/12/1624522-l-heritier-de-trenet-est-fauche.html

samedi 11 mai 2013

L'incendie ravage quatre entreprises

Un violent incendie a éclaté dans la nuit de jeudi à vendredi, dans un bâtiment industriel proche du centre de Beauvais. Il abritait quatre entreprises mais personne n'a été blessé.
Pas de blessé mais de gros dégâts. Dans la nuit de jeudi à vendredi, un violent incendie a ravagé un bâtiment industriel de 4 000 m², situé rue Corréus à Beauvais, à deux pas du centre-ville. L'alerte a été donnée à 22 h 30. Une quarantaine de pompiers venus des casernes de Beauvais, Bresles, Noailles, Lachapelle-aux-pots, Tillé et Noyers-Saint-Martin sont mobilisés pour maîtriser les flammes.
Vers 23 h 30, le bâtiment est entièrement dévoré par les flammes. Inquiétant car juste à côté, se trouvent le dépôt de bus de la Cabaro et sa station-service. Le vent pousse heureusement les flammes dans le sens contraire et les pompes ne seront pas touchées.

http://www.courrier-picard.fr/region/l-incendie-ravage-quatre-entreprises-ia0b0n77971

RN 141 en Charente : la roue d’un camion atterrit sur leur pare-brise

Un spectaculaire accident n’a fait que quatre blessés légèrement touchés, vendredi aux alentours de 13 h 30, sur la RN 141, à hauteur de Brie.
Un petit camion-plateau, qui circulait en direction de La Rochefoucauld, a soudainement perdu les deux roues arrière-gauche. L’une a été violemment projetée sur le pare-brise d’une Citroën Xsara qui circulait en sens inverse. 

Par chance, les quatre occupants de la voiture (une famille domiciliée en Haute-Vienne) ne souffrent que de légères blessures. Les pompiers les ont transportés au centre hospitalier d’Angoulême.
« Je doublais un véhicule, tranquillement. Je roulais à 110, pas plus. Je ne comprends pas comment les deux roues ont pu lâcher […]. L’une a été projetée très haut, très loin, à au moins 30 mètres […]. Je ne comprends pas », a témoigné le conducteur du petit camion, un jeune homme d’une vingtaine d’années, domicilié à Chabanais

http://www.sudouest.fr/2013/05/11/faits-divers-1050610-4584.php

Vol à l'étalage / Il venait « faire ses courses »

Il venait faire « ses courses » à Cora. Tout simplement. Un couple de Polonais a été pris en flagrant délit de vol par les vigiles de l'hypermarché de Soissons alors qu'il glissait dans un sac trois appareils photos et un GPS dans le rayon. Quelques pas plus loin, toujours sous la surveillance du service sécurité, il arrachait les antivols des marchandises qu'il glissait dans le double fond tapissé d'aluminium du sac. Une fois les caisses passées, l'homme a été interpellé tandis que la femme s'enfuyait. Remis aux fonctionnaires de police, le voleur a été placé en garde à vue et a été entendu avec l'aide d'un interprète.
Il a expliqué aux policiers qu'il avait vu une annonce dans une sorte de journal en Pologne, dans lequel on proposait « du travail » en France. Arrivé à Soissons, il avait rencontré un couple qui lui avait confié le sac pour faire les fameuses courses.
L'hypermarché a porté plainte. Le montant des marchandises volées s'élève à près de 815 euros. Les appareils photos et le GPS ont été restitués au magasin et l'homme a reçu une convocation en justice pour le 16 septembre prochain.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/vol-a-letalage-il-venait-faire-ses-courses

Une vielle dame se trompe de train, la SNCF stoppe deux TGV pour elle

La compagnie ferroviaire a accepté de stopper deux TGV pour qu'une vieille dame qui s'était trompée de train puisse arriver à destination. Un voyageur a raconté la scène à L'Est Républicain.
Quand la SNCF fait preuve de compassion pour ses voyageurs... L'histoire qui remonte au 3 mai. Des contrôleurs  et des régulateurs ont accepté d'arrêter deux TGV pour permettre à une vieille dame qui s'était trompée de train d'arriver à destination, selon l'Est Républicain.
En provenance des Antilles, la vieille dame a eu la mauvaise surprise d'apprendre que le train ne s'arrêtait pas à Reims mais allait directement sur Nancy. Paniquée, elle se met à pleurer et devient inconsolable. Son voisin tente de négocier avec le personnel de bord. "Je leur explique la situation de la dame. Leur dit qu'elle va arriver à 22h50 à Nancy sans savoir où aller. Elle sera sans doute complètement perdue elle qui doit effectuer son premier voyage en métropole", raconte Bernard Braun à l'Est Républicain.
En l'espace de "45 secondes", le personnel de bord accepte d'arranger la pauvre dame en effectuant un arrêt exceptionnel à la gare de Champagne-Ardenne, située à une dizaine de kilomètres de Reims. Mieux, un autre TGV "parti 15 minutes plus tard de la gare de l'Est va, lui aussi, s'arrêter exceptionnellement à la gare TGV de Champagne-Ardenne pour la récupérer". Là, "deux agents de la SNCF l'attendaient toutefois pour l'accueillir et pour rester à ses côtés jusqu'à l'arrivée du TGV pour la gare rémoise", raconte Bernard Braun dans le quotidien régional, toujours épaté par le geste de la compagnie ferroviaire.  
 

vendredi 10 mai 2013

Le désarroi d'une famille face à un décès

Perdre un membre de sa famille est toujours douloureux, le moment a été plus difficile encore pour des Laonnois qui se sont retrouvés démunis face au décès d'un des leurs, au cours d'une nuit, fin avril. « On savait que cela pouvait arriver à n'importe quel moment. On a demandé à notre médecin ce qu'il fallait faire si cela se produisait dans la nuit, il nous a dit de faire le 15. »
Vers 2 h 30 du matin, quand le père de famille a rendu son dernier souffle, sa fille a effectivement composé le numéro du Samu : « J'ai demandé si un médecin pouvait venir constater le décès. On a d'abord demandé dans quelle chambre nous étions. La personne que j'avais en ligne pensait qu'on appelait de l'hôpital. Quand j'ai dit que nous étions un particulier, à domicile, on m'a répondu que quelqu'un allait arriver puis on m'a rappelé pour me dire que personne ne viendrait. Je n'ai pas compris. »
Le Samu ne peut rien faire
Arrivée au domicile de ses parents, la sœur appelle à son tour et s'emporte : « Que ce ne soit pas une urgence, je le comprends mais si ce n'est pas votre mission, orientez-nous. Que doit-on faire ? » Face à leur désarroi, leur interlocuteur au centre 15 n'a pas eu d'autres réponses que « que voulez-vous que je vous dise, il est mort, on ne peut plus rien faire ». La famille a tenté d'appeler les pompiers : « Nous avons été très bien reçus au téléphone, la personne comprenait notre situation mais il n'avait pas de médecin dans leur équipe pour venir constater le décès. Ils nous ont dit de faire le 15, ce qu'on avait déjà fait deux fois. »
Passé le choc de cet échange, la famille est parvenue à joindre directement leur médecin traitant et l'infirmière : « Tout a pu être fait et ensuite les pompes funèbres sont venues. » Aux côtés de leur mère, les deux sœurs s'interrogent : « Il faut choisir l'heure de sa mort. Nous n'avons pas eu de chance, notre père est décédé dans la nuit, juste avant un week-end. »
Si cette famille laonnoise a souhaité raconter ce qui leur était arrivé, c'est pour dénoncer la situation, pour que plus jamais aucune famille ne soit confrontée à cela. « Nous ne demandons rien, pas même des excuses mais nous espérons qu'une telle situation ne se reproduise plus. »
« C'était une volonté de la part de mon mari d'être à la maison alors qu'il était très malade », confie l'épouse du défunt. « Je suppose que les décès sont plus fréquents à l'hôpital qu'à domicile et donc que la gestion est plus simple mais ce n'est pas normal qu'on nous laisse comme ça, sans solution. »

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/le-desarroi-dune-famille-face-a-un-deces

Important incendie nocturne au centre de Verdun

Un gros incendie s'est déclaré rue des Récollets ce mercredi soir vers 23 h. L'artère se trouve en plein centre Ville de Verdun. Le feu a pris au sous sol d'un bâtiment désaffecté de trois étages. Problème :  il est mitoyen de deux autres bâtiments occupés par des locataires qui ont du être évacués par les services de police. Les pompiers ont pu maitriser le feu au bout d'une heure. Mais la fumée était importante. Les locataires ont du être relogés.
Ce jeudi matin une équipe de pompiers et de policiers va inspecter les décombres. Le bâtiment est certes inoccupé mais connu pour y accueillir régulièrement des squatteurs.


http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2013/05/09/important-incendie-cette-nuit-au-centre-de-verdun

jeudi 9 mai 2013

Maryse Jumeaux, secrétaire de mairie, porte plainte contre le maire

Il y a deux jours, Maryse Jumeaux, secrétaire de mairie à Noyales, recevait sa lettre de licenciement. Ce que lui reproche, son employeur, le maire, Didier Colpin ? Officiellement, elle ne le sait pas. Officieusement, en revanche…
Maryse Jumeaux, 49 ans, aurait en réalité dû fêter ses trente ans cette année. Trente ans au service de l'État, assise derrière le seul bureau de la mairie, dans des communes où les services publics se font la malle depuis, justement, une trentaine d'années…
Maryse Jumeaux a essuyé ses fonds de culotte dans les mairies de Vadencourt, Proix et de Noyales, notamment. Des premiers magistrats, elle en a donc vu passer quelques-uns… Dont le dernier qu'elle a côtoyé, Didier Colpin, maire de Noyales élu en 2008.
Augmentée
En 2011, celui-ci ne semble pas mécontent des services de sa secrétaire. Après 25 ans au même taux et au même salaire, Maryse Jumeaux est augmentée de quelques dizaines d'euros. Pour la secrétaire employée à mi-temps, c'est une première. Avec le recul, elle ne s'en plaint pas. Au contraire.
Elle fait seulement état de remarques désobligeantes et régulières, à propos du mandat de son fils, élu conseiller municipal sur la liste du maire, en 2008, mais qui ne souhaite plus siéger en assemblée. « Mon fils voyait comment cela se passait. Il ne voulait plus assister aux conseils municipaux. Il m'a simplement dit : ''Si je ne démissionne pas, c'est pour toi''. »
Maryse Jumeaux dit alors espérer rester en dehors de cette situation délétère : les séances de conseil municipal qui tournent au fiasco depuis des mois, un maire rappelé à l'ordre par le préfet à plusieurs reprises, et ce, en raison de votes et de procédures irrégulières (voir par ailleurs), des adjoints et des conseillers municipaux d'opposition qui font corps…
La secrétaire dit ne pas vouloir s'en mêler. À l'inverse de son employeur : « Il m'a reproché absolument tout : de nuire à son image en côtoyant l'opposition, d'avoir des amis qui ne sont pas du même bord que lui et enfin, de porter atteinte à mon poste, si la mairie passait aux mains de ses ennemis lors des prochaines élections. ''Votre poste sera supprimé'', m'a-t-il assuré, se souvient Maryse Jumeaux. Les autres mettront quelqu'un d'autre à votre place. »
Harcèlement moral
En trois ans, la situation s'envenime. Maryse Jumeaux reçoit un premier avertissement au mois de juin 2012. En juillet, l'entretien préalable à son licenciement n'aboutit pas. Elle réclame alors son dossier et demande à être assistée par son avocat. La situation s'éternise, ponctuée de recommandés reçus « tous les mois et demi » de la part de son employeur. Jusqu'au couperet final : il y a deux jours, elle recevait sa lettre de licenciement, sans entretien préalable.
« C'est du harcèlement moral », résume Maryse Jumeaux, aujourd'hui en arrêt maladie. Et cela se traduira devant la Justice. Une procédure est entre les mains du procureur de la République de Saint-Quentin. (Voir ci-dessous) Parallèlement, l'avocat parisien de Maryse Jumeaux assure qu'il va engager un recours pour l'annulation du licenciement « abusif » de la secrétaire, remplacée, quelques mois, par l'épouse de Didier Colpin… en toute illégalité ?

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/maryse-jumeaux-secretaire-de-mairie-porte-plainte-contre-le-maire

Une odeur d'essence suspecte et encore un bar qui brûle au Cap d'Agde

Le Chérazade, un bar du Cap-d'Agde a brûlé dans la nuit de mardi à mercredi. Les enquêteurs ont relevé une forte odeur d'essence sur les lieux.
Dix jours après l'incendie du  Lézard Beach sur l'île des loisirs, c'est au tour du Chérazade d'être totalement détruit par les flammes. Le sinistre a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi.
Sur place, la forte odeur d'essence donnait les premiers indices aux enquêteurs du commissariat d'Agde. Le bar avait déjà brûlé à deux reprises, le dernier incendie remontant à un mois.


Situé au fond d'une impasse, l'établissement devait rouvrir après les travaux réalisés par le propriétaire.

http://www.midilibre.fr/2013/05/08/encore-un-bar-qui-brule-au-cap-d-agde,692950.php

mercredi 8 mai 2013

93: une octogénaire gravement blessée

Une femme âgée de 87 ans a été retrouvée à son domicile de Bondy (Seine-Saint-Denis) sérieusement blessée. Elle a été transportée à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris et son pronostic vital est engagé.

La vieille dame a été découverte mercredi après-midi à son domicile et "présentait des traces de coups sur le bassin et les membres supérieurs", selon une source proche du dossier, qui a évoqué la piste d'une agression.

"Pour le moment, il n'y a aucun élément qui pourrait déterminer qu'il s'agit d'une agression", a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny, précisant que la victime était âgée de 87 ans. Une autre source avait dans un premier temps parlé d'une femme de 77 ans.

Une enquête a été ouverte pour rechercher les causes des blessures, a-t-on appris de même source. La police judiciaire de Seine-Saint-Denis est saisie.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/08/97001-20130508FILWWW00351-93-une-septuagenaire-agressee.php

Un enfant hospitalisé après avoir ingéré un morceau de métal contenu dans un nem

Un garçon de douze ans a été hospitalisé début avril après avoir ingéré un morceau de métal contenu dans un nem acheté dans une grande surface d'Indre-et-Loire, a-t-on appris mercredi auprès de la maman de l'enfant qui a déposé plainte.
«Après avoir ingéré le nem, mon fils a été transporté à l'hôpital Clocheville de Tours. Les praticiens ont retiré l'objet métallique après intubation. D'après leur radio, il ne fait aucun doute que cet objet est arrivé dans l'oesophage de mon fils après ingestion des nems», a expliqué à l'AFP Magali Delile.
Mme Delile avait acheté ces nems dans l'hypermarché Leclerc de La Ville-aux-Dames (Indre-et-Loire). Elle a porté plainte le lendemain de l'hospitalisation de son fils auprès de la police et a alerté la Direction départementale de la protection de la population.
«Je n'incrimine pas le distributeur qui n'est en rien responsable, mais le fournisseur. Je ne sais pas dans quelles conditions ces plats ont été emballés ni préparés. J'espère juste qu'on découvrira comment on peut retrouver un tel objet dans un plat préparé, c'est tout !», a-t-elle tenu à préciser.
Les faits remontent au 2 avril mais ils n'ont été révélés que mercredi dans le quotidien régional La Nouvelle République qu'elle a contacté après avoir lu un article paru dans le même quotidien ces jours derniers qui révélait cette fois la découverte d'une couleuvre inoffensive dans le rayon poisson du même hypermarché.
Contactée par l'AFP, la direction du magasin ne nie pas les faits mais renvoie sur le service communication du groupe Leclerc qui n'était pas joignable mercredi.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1152169/20130508-enfant-hospitalise-apres-avoir-ingere-morceau-metal-contenu-nem

Foix. Elle gagne son procès pour erreur médicale après dix années de lutte

En mai 2013, la Fuxéenne Isabelle Pouchet subissait des soins d'une grande banalité, chez un praticien ariégeois. Après dix ans de bagarre procédurale, et un combat acharné contre l'ancien système français des expertises médicales, la jeune femme vient d'avoir gain de cause devant la chambre disciplinaire dont relève ce praticien ariégeois. Il est ainsi reconnu que cette «blouse blanche» à la longue expérience a commis deux erreurs successives, la première du point de vue de la technique médicale, la seconde en prescrivant à sa patiente des médicaments contre-indiqués, alors qu'elle était sous traitement de fond pour la migraine, et qu'il le savait. Isabelle Pouchet affirme que ces erreurs ont eu des conséquences graves pour sa santé et qu'elle souffre depuis de lésions qui ne disparaîtront pas. Sur ce point, la chambre disciplinaire (où siègent un magistrat professionnel, des praticiens et un représentant de l'Agence régionale de santé) ne tranche pas: «il n'appartient pas à la chambre disciplinaire (...) d'apprécier les préjudices consécutifs aux fautes disciplinaires qu'elle retient, non plus le lien de causalité entre ceux-ci, et non plus de décider d'une indemnisation», souligne la décision de justice. Enfin, considérant que ce praticien n'a jamais commis d'autres fautes, en plus de cinquante ans de carrière, la chambre disciplinaire abandonne toute idée de sanction, et souligne que la plainte d'Isabelle Pouchet n'est pas «abusive». Forte de cette décision, Isabelle Pouchet entend désormais saisir la justice, pour obtenir une indemnisation sur le plan civil. Les conséquences médicales des erreurs commises sont particulièrement importantes, souligne-t-elle. Elle entend également créer une association de défense des victimes d'erreurs médicales.
Contact au 06.33.84.56.17.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/08/1621560-elle-gagne-son-proces-apres-dix-annees-de-lutte.html

Gard : la fillette de 10 ans sauve son petit frère de la noyade

Lundi 6 mai, vers 19 h 20, dans une résidence de Saint-Geniès-de-Comolas, une petite fille de 10 ans trouve son frère, âge de 3 ans et demi, inanimé, dans une piscine. Le petit garçon, ayant échappé à la surveillance des parents a, semble-t-il, réussi à escalader les marches de la piscine hors-sol, avant de tomber dedans.
La fillette prodigue des premiers soins à son frère

La sœur parvient à extraire l'enfant de la piscine et, tout en hurlant, prodigue des premiers soins sommaires à son frère. Un voisin, alerté par le bruit, arrive sur place et prévient les secours. Très rapidement, les Samus de Nîmes et de Bagnols, ainsi que les pompiers de Roquemaure et de Villeneuve-lès-Avignon, arrivent sur place. Ils parviennent à faire repartir le cœur de la victime.
L'enfant a été héliporté vers le centre hospitalier de Montpellier. A l'heure actuelle, son état est stable.

http://www.midilibre.fr/2013/05/07/st-genies-de-comolas-la-fillette-de-10-ans-sauve-son-petit-frere-de-la-noyade,692547.php

mardi 7 mai 2013

Brenouille : Un train de voyageurs heurte un camion au passage à niveau

Un train de voyageurs assurant la liaison entre et Maubeuge a heurté l’arrière d’un camion ce matin à 11 h 15 à un passage à niveau situé à Brenouille (Oise). Le poids lourd, chargé de parpaings, terminait sa manœuvre pour quitter l’usine où il venait de charger lorsqu’il a été gêné par une voiture en stationnement pour franchir le passage à niveau situé après un virage.
 
Le camion a réussi à passer mais l’arrière de la remorque a été happé par la vitesse du train et un wagon a été touché. Le train s’est aussitôt immobilisé mais aucun des 150 passagers n’a été blessé, le chauffeur du camion est également indemne. Le train a pu reprendre sa route une heure plus tard. L’incident a entraîné des retards de 30 minutes à une heure entre Paris et Saint-Quentin.

http://www.leparisien.fr/oise-60

A Dieppe, un pêcheur condamné pour avoir égorgé un phoque veau-marin

Un pêcheur à pied de 21 ans a été condamné à Dieppe à deux mois de prison avec sursis et interdiction de pêche pendant un an pour avoir tué un phoque veau-marin, espèce protégée, alors qu'il pêchait dans une zone interdite
Le cadavre du veau-marin avait été découvert sur la plage du Tréport, en Seine-Maritime, le 28 mai 2012. Egorgé à l'arme blanche et portant des traces de violences au niveau de la boite crânienne. L'enquête de la gendarmerie et de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) avait permis d'identifier l'auteur des faits en novembre 2012. Lors de son procès devant le tribunal correctionnel de Dieppe le 12 avril, le jeune pêcheur, qui pratique la pêche au filet fixe sur la plage, s'est défendu d'avoir tué l'animal et a affirmé avoir trouvé le phoque mort sur la plage. Il s'était pourtant auparavant vanté auprès de sa petite amie de l'avoir tué, pour se "rendre intéressant", selon lui.

Il a finalement été condamné vendredi à deux mois de prison avec sursis, au retrait d'un an de son permis de pêche et à une amende de 200 euros pour destruction d'espèce protégée et pêche dans une zone interdite. Il a aussi été condamné à indemniser trois associations parties civiles (Picardie Nature, l'Association pour la protection des animaux sauvages et la Fédération de Seine-Maritime de pêche et de protection dans les milieux aquatiques).

Selon Daniel Hanchard, président de la Fédération de Seine-Maritime de pêche et de protection dans les milieux aquatiques, "la pose de filets de pêche est interdite dans un rayon de 2 km à l'embouchure des fleuves côtiers en Seine-Maritime", là où le jeune pêcheur a commis son forfait.

En août 2012, 370
phoques veaux-marins et 92 phoques gris ont été comptabilisés dans la baie de Somme où ils viennent mettre bas à partir du début de l'été.
 

Lorraine : écrasé par sa terrasse

Lundi vers 17 h, un habitant de Petit-Réderching (Moselle) a été écrasé par sa terrasse en béton armé dont une colonne de soutien se serait écroulé, rapporte Le Républicain Lorrain. D’après des voisins, la victime âgée de 26 ans, était en train d'enlever cette terrasse avec des amis. La cellule sauvetage déblaiement de Freyming-Merlebach a appuyé les pompiers locaux pour dégager le jeune homme, ,consciente, lequel a été héliportée par les secours à l’hôpital Central de Nancy. Son pronostic vital ne serait pas engagé.

http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2013/05/07/lorraine-ecrase-par-sa-terrasse

lundi 6 mai 2013

Saint-Sylvestre-sur-Lot. L'ambulance des pompiers percute un tracteur

L'accident s'est produit hier vers 12h15 sur la D911 à l'entrée de Saint-Sylvestre-sur-Lot. Une ambulancevient de partir de la caserne des pompiers de Villeneuve-sur-Lot pour se rendre au lieu-dit «Brignoles» sur la commune de Saint-Sylvestre, où une personne venait de se suicider par arme à feu.
Sur la D911, le véhicule de secours se déporte sur la file de gauche pour doubler un tracteur qui circule dans le même sens.C'est à ce moment que le tracteur tourne à gauche pour rentrer sur une propriété. Selon les premiers éléments recueillis sur place, le chauffeur du tracteur, gêné par le bruit de son engin, n'aurait pas entendu la sirène des pompiers.
L'ambulance ne peut éviter le tracteur et le percute assez violemment avant de finir sa course sur le flanc, dans le fossé. Le chauffeur du tracteur n'a été que légèrement blessé dans l'accident, souffrant de quelques coupures dûes aux éclats de verres. Les trois pompiers ont, eux, été légérement blessés et surtout très choqués. Le 3e a été touché plus sérieusement à une cheville. Tout trois ont été évacués sur le centre hospitalier de Villeneuve-sur-Lot.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/06/1620549-saint-sylvestre-lot-ambulance-pompiers-percute-tracteur.html

Manif pour tous : des journalistes agressés

Toutes les manifestations de dimanche contre la loi ouvrant le mariage aux homosexuels ne se sont pas déroulées sans incidents. À Rennes par exemple, des journalistes de la chaîne locale RennesTV, racontent sur Twitter s'être fait agresser et casser leur caméra.

Notre équipe agressée par des manifestants . Grosse baston, des blessés. Nous portons plainte.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Manif-pour-tous-des-journalistes-agresses-605752

dimanche 5 mai 2013

Montpellier : deux hommes gravement blessés à la sortie d'une discothèque

A ce stade de l'enquête, aucune interpellation n'a été effectuée. Les policiers de Montpellier procédaient dimanche matin à des auditions de témoins pour déterminer le mobile de cette rixe.
Deux jeunes hommes âgés d'une vingtaine d'années ont été grièvement blessés dimanche matin, victimes de coups de couteau lors d'une rixe, à la sortie d'une boîte de nuit à Montpellier.

Selon les premiers éléments de l'enquête, une rixe a éclaté vers 4h45 entre plusieurs personnes. Lors de cette bagarre, un homme âgé de 22 ans a reçu plusieurs coups de couteau à l'abdomen. Son pronostic vital est engagé, a indiqué une source proche de l'enquête.

Selon cette même source, un deuxième client, âgé de 23 ans, a reçu trois coups de couteau dans le dos. A ce stade de l'enquête, aucune interpellation n'a été effectuée. Les policiers de Montpellier procédaient dimanche matin à des auditions de témoins pour déterminer le mobile de cette rixe.
 

samedi 4 mai 2013

Larrau. Elle est dévorée par les vautours, deux heures après sa chute mortelle

Des vautours auraient dévoré le corps d'une randonneuse, décédée après une chute de 300 mètres près de Larrau dans les Pyrénées-Atlantiques. Les secouristes n'ont retrouvé que des ossements et des vêtements.
Le corps d'une randonneuse de 53 ans décédée à la suite d'une chute près de Larrau (Pyrénées-Atlantiques), aurait été dévoré par des vautours dans les deux heures qui ont suivi l'accident, selon le Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) d'Oloron.
L'accident de la quinquagénaire s'est produit le 14 avril vers 15 h 45 au sommet de Pista (1 779 mètres). Elle effectuait une randonnée en montagne, quand elle a glissé sur une pente herbeuse au-dessus de la cascade de Pixta et a fait une chute de plus de 300 mètres dans un couloir neigeux entrecoupé d'une barrière rocheuse de 20 mètres de haut.
Les personnes qui l'accompagnaient ont cru qu'elle était tombée en contrebas, mais elle avait chuté au fond du pic.
«Elles ont d'abord essayé de descendre vers elle, mais n'y sont pas arrivées. Elles nous ont appelés vers 16 h 45, le temps de se rendre compte de la gravité de la chute et de trouver un réseau pour téléphoner» a expliqué un secouriste du PGHM. «Ces personnes ont aperçu des corbeaux et des vautours environ une heure après l'accident. Mais elles n'ont pas fait le rapprochement»… a-t-il ajouté.
Deux gendarmes du PGHM et un médecin du Smur d'Oloron se sont immédiatement rendus sur place à bord de Dragon 64, l'hélicoptère de la sécurité Civile.
«Nous sommes arrivés sur les lieux environ deux heures après l'accident, il ne restait que les ossements», a raconté l'un des secouristes. «Le médecin du Smur d'Oloron a constaté que la randonneuse, originaire de Cambo (Pyrénées-Atlantiques), était décédée de multiples fractures. Elle n'a pas survécu à la chute». Les gendarmes et le médecin sont formels à ce propos.
«Nos équipes de secours et le médecin ont remarqué la présence de vautours ainsi que des traces de pattes de vautours sur la neige à proximité des ossements. Un rapport de l'Office national de la Chasse en atteste», a-t-il précisé.
«Leur présence laisse penser qu'ils ont dévoré le corps en très peu de temps», a estimé le secouriste, qui précise que c'est la deuxième fois qu'un tel scénario se produit. «L'an dernier, au pic du Midi d'Ossau, la même scène a eu lieu» a-t-il rappelé.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/04/1619640-larrau-est-devoree-vautours-deux-heures-apres-chute-mortelle.html

Un homme grièvement blessé par balle près de Strasbourg

Un homme de 29 ans a été grièvement blessé par balle vendredi dans la soirée, dans la banlieue près de Strasbourg. Il serait inconnu des services de police.
La police n'a pas encore de piste pour expliquer le coup de feu. Un homme de 29 ans a été grièvement blessé à l'abdomen par une balle de petit calibre à Schiltigheim, dans le Bas-Rhin.
Il a été retrouvé dans une rue de cette commune toute proche de Strasbourg vendredi vers 22 heures et secouru par deux passants qui l'ont conduit à l'hôpital.
La victime serait inconnue des services de police, selon les premiers éléments de l'enquête. Une perquisition a été effectuée à son domicile. Mais les résultats n'ont pas encore été communiqués