"Les écoutes, faites par des agences d'intelligence privées suisses, ont duré plusieurs mois en 2011", a précisé Me Versini-Campinchi. "Quels sont les fonds qui ont permis une telle enquête?" s'interroge l'avocat, qui se demande "s'il n'y a pas également de documents" attestant d'une écoute de Mme Lauvergeon. Il n'a pas précisé qui le couple soupçonnait d'avoir diligenté ces écoutes présumées, ni le nom de la société suisse d'enquête privée. Le groupe Areva n'a souhaité faire aucun commentaire.
Le Canard Enchaîné révèle l'existence d'un rapport d'enquête datant du 26 septembre, réalisé par cette société et relatif à l'achat par Areva d'UraMin. Cette enquête détaille, selon Me Versini-Campinchi, l'agenda, les comptes en banques et les données téléphoniques de M. Fric. Selon Le Canard, figurent également dans le rapport "une centaine de numéros joints par le mari d'Anne Lauvergeon de février à juin 2011". L'hebdomadaire cite un extrait selon lequel "les recherches préliminaires menées sur M. Fric n'ont pas permis d'obtenir d'informations laissant penser qu'il aurait pu bénéficier de manière illégitime du rachat d'UraMin par Areva". Une autre enquête de l'officine privée a visé le directeur du développement d'UraMin, Daniel Wouters.
Le Canard Enchaîné révèle l'existence d'un rapport d'enquête datant du 26 septembre, réalisé par cette société et relatif à l'achat par Areva d'UraMin. Cette enquête détaille, selon Me Versini-Campinchi, l'agenda, les comptes en banques et les données téléphoniques de M. Fric. Selon Le Canard, figurent également dans le rapport "une centaine de numéros joints par le mari d'Anne Lauvergeon de février à juin 2011". L'hebdomadaire cite un extrait selon lequel "les recherches préliminaires menées sur M. Fric n'ont pas permis d'obtenir d'informations laissant penser qu'il aurait pu bénéficier de manière illégitime du rachat d'UraMin par Areva". Une autre enquête de l'officine privée a visé le directeur du développement d'UraMin, Daniel Wouters.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire